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Renato Jones tome 1 sur 2
EAN : 9782355743221
176 pages
Akileos (31/01/2018)
3.33/5   6 notes
Résumé :
Les Un % possèdent plus de la moitié de la richesse mondiale. Ils ont écrasé les économies, ont acheté des gouvernements et ont accumulé plus de pouvoir que tout autre groupe de l'histoire. Et ils n'en ont toujours pas assez. Avec ce genre de pouvoir, comment peut-on imaginer les faire payer ? Et QUI les fera payer ? Permettez-nous de vous présenter Renato Jones, un mystérieux justicier venu remettre les compteurs à zéro. Et avec son entrée en jeu, LES SUPER RICHES ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il comprend les 5 épisodes de la première saison, initialement parus en 2016, écrits, dessinés, encrés et mis en couleurs par Kaare Kyle Andrews, avec un lettrage réalisé par Jeff Powell. L'histoire continue dans la deuxième saison : Renato Jones T2: le Freelance réalisée par les mêmes auteurs. le tome s'ouvre avec une introduction d'une page rédigée par Andrews, incitant chaque lecteur à créer, sans se cantonner à ressasser ou à refaire, mais en utilisant les idées originales de chacun.

Dans la propriété des Jones, une grande fête est donnée pour l'anniversaire de Renato Jones qui vient d'atteindre sa majorité et d'hériter du fonds financier mis en place pour lui. Il s'est isolé au loin sur la pelouse. Il est rejoint par Bliss Chambers, une demoiselle de son âge, son amie d'enfance. Elle lui ramène un part de gâteau avec une bougie sur le dessus, et le fait souffler. Renato se souvient d'un moment de son enfance quand ses 2 parents ont été abattus devant lui par un intrus maniant un fusil à pompe, alors qu'il serrait fort son ours en peluche contre lui. Au temps présent, Renato Jones arrive en hélicoptère sur le yacht privé de Douglas Bradley, yacht qui est de la taille d'un paquebot. Il s'assoit à table avec Bradley, mais une serveuse (Cameron Bradey) renverse du vin sur sa chemise à mille dollars. Bradley la renvoie séance tenante. La page de titre arrive stipulant que depuis 20 ans les 1% se sont employés à assassiner la classe ouvrière, minimisant les salaires, détruisant les bénéfices, tuant l'emploi. Ils ont conduit l'économie à la ruine, détruit des familles et volé leur maison. Ils ont appauvri la classe moyenne et criminalisé et les pauvres. Pourtant aucun d'entre n'a jamais été condamné. Coupure avec une page de pub pour un parfum.

Sur le paquebot de Douglas Bradely, un intrus masqué sème la panique : le Freelancer. Bradley s'est réfugié dans sa pièce sécurisée (panic room) avec Renato Jones pour échapper au justicier masqué. Juste en y entrant, il repousse la serveuse Ming-Ming dehors, lui en interdisant l'accès. Renato Jones se souvient de son enfance à Jakarta, en Indonésie, pauvre orphelin des rues, dont la soeur a été abattue à bout portant sous ses yeux. Interrogé par la police, il finit par donner le nom d'un des enfants dont les avis de recherche placardent les murs : Renato Jones. L'usurpation d'identité passe comme une lettre à la poste, et il est accueilli à bras ouvert par Church (le frère du père de Renato) et par sa grand-mère tout de rose vêtue. Une vie de milliardaire s'offre à lui, avec l'amitié de la petite voisine Bliss, également future héritière de la famille Chambers, riche à millions.

La couverture ne laisse pas beaucoup de doute quant à la radicalité du propos de l'auteur. le justicier en couverture (le Freelancer) s'attaque aux 1%, c'est-à-dire ceux qui forment le groupe des 1% d'individus les plus riches de la planète et qui concentrent en leurs mains près de 50% de la richesse mondiale, à la fin des années 2010. Ce justicier a revêtu un costume noir avec chemise blanche et masque assorti. Il utilise un gros flingue, et il tient une belle pépée dans ses bras, avec des billets volant au vent et des individus grassouillets à ses pieds. Kaare Kyle Andrews fait usage de licence artistique pour donner plus d'impact à son propos, mais aussi pour réaliser un récit qui rentre dans la catégorie du divertissement. S'il restait des doutes au lecteur, ils sont levés avec les origines de l'indépendant (freelancer) : un jeune garçon qui voit ses parents assassinés sous yeux comme Bruce Wayne, et qui dispose d'une fortune sans fin comme Bruce Wayne. Pour lever tout risque d'incompréhension, l'auteur illustre ces pages dans un noir & blanc (avec une nuance de gris) qui évoque fortement la radicalité des dessins de Frank Miller pour Batman : The Dark Knight returns (1986). Mais voilà, Renato Jones n'est pas né dans le monde des ultra-riches, c'est une pièce rapportée.

Kaare Kyle Andrews continue de forcer le trait avec le mode de vie des riches et puissants. À part Renato Jones, ils se livrent tous à des actes abominables, méprisent le peuple, et traitent les autres comme des objets jetables uniquement bons à les servir ou à servir de victimes pour assouvir leurs plaisirs décadents. Freelancer fait observer que pour ces 1% le monde est un buffet à volonté, sans limite, sans conséquence à assumer. le lecteur comprend donc bien qu'il est dans un récit de nature parodique où la justice est aussi expéditive que cathartique, à l'opposé d'un reportage ou d'un essai à charge. le résultat est purement jouissif, proposant des solutions simples et définitives à des problèmes présentés comme simples et tranchés. Avec ce parti pris à l'esprit, le lecteur peut apprécier le récit pour ce qu'il est, et se laisser aller. Il se laisse emporter par la fougue des dessins : les 3 dessins en double page montrant le meurtre des parents du vrai Renato Jones, le dessin en double page servant de générique, l'exécution à bout portant de Douglas Bradley, l'approche du jet privé du Freelancer sous forme d'un point noir sur fond blanc. L'artiste s'amuse avec la mise en page, gérant comme il l'entend sa pagination. Comme il l'avait déjà fait dans Marvel collector 4 : Spider-Man l'empire (2007), et encore plus dans Iron Fist - Marvel Now, tome 1 : Rage 2014/2015, il détoure les personnages avec un trait d'épaisseur unie, irrégulier comme s'il était mal ébarbé, ou comme si l'artiste s'était laissé emporter par l'inspiration et sa fougue, sans chercher à maîtriser son trait. Il n'hésite pas à exagérer un peu les morphologies et les visages, ce qui s'avère une réussite, tant en termes d'expressivité que pour représenter la vivacité des enfants et l'intensité de leurs émotions. Il n'hésite pas à franchir la frontière de la caricature pour la silhouette énorme de grand-mère Jones, ou pour la dentition carnassière des ultra-riches.

Alors que les dessins utilisent avec intelligence l'expressivité des exagérations, la mise en couleurs reste dans un registre plus naturaliste. Les seules exceptions à ce parti pris résident dans les froides exécutions où le noir & blanc s'impose, et dans les scènes du passé pour lesquelles l'artiste surimpose une trame de points comme s'il utilisait la technologie obsolète de la quadrichromie pour imprimer la marque du passé. le lecteur s'amuse de cette narration baroque jouant sur l'exagération du mouvement, les effets dramatiques, la tension, l'exubérance des formes, la grandeur parfois pompeuse et le contraste. Dans le même temps, il ne peut pas complètement ignorer la réalité des thèmes dont l'auteur a nourri son scénario. L'exubérance de la narration visuelle se marie bien avec l'énormité des actes piochés directement dans les scandales qui font les gros titres : concentration des richesses, appauvrissement des classes ouvrières, justice à 2 vitesses, et bien pire encore.

L'impact du récit est multiplié par le fait que Kaare Kyle Andrews ne se contente pas de reprendre les gros titres provoquant l'indignation du peuple et de les enfiler. Il met également en scène des situations moins évidentes, et il en montre toujours l'impact sur les personnages. Dans l'histoire, les riches et puissants se comportent comme des porcs jouisseurs totalement oublieux de toute responsabilité. Il en va différemment des autres personnages. le lecteur peut suivre Cameron Bradley à la recherche d'un emploi à la suite de son licenciement du yacht, et la fausse solidarité de son voisin aisé Bill. Il peut voir l'insécurité de Bliss Chambers faire surface dès qu'elle sent une menace peser sur sa source de financement. Par ailleurs, l'auteur intègre des formes d'oppression moins outrancières qu'un trafic organisé de pédophilie. Cela commence par la conduite d'une Lamborghini dorée qui rappelle qu'il existe des individus assez fortunés pour pouvoir s'en payer une. Ça continue avec Christopher Baal qui tient sa fortune de gestion alternative (hedge funds), un mode de gestion de portefeuille appliqué par certains fonds d'investissement de type fonds spéculatifs ouverts uniquement aux investisseurs institutionnels ou aux grandes fortunes, et inaccessibles au grand public, donc réservés à l'élite des grandes fortunes. Il est encore possible de citer en exemple le discours hypocrite de Nicola Chambers (un des 1%) à fond dans la démagogie et l'empathie factice pour les gens du peuple, ou encore l'obsolescence programmée des systèmes d'exploitation des téléphones. Ces états de fait très concrets rappellent au lecteur que les dés sont bel et bien pipés, et que l'exagération narrative repose sur des inégalités et des abus bien réels.

Le dernier épisode se déroule en Chine et au Japon, et la dénonciation du système capitaliste profitant aux 1% prend encore de l'envergure. Kaare Kyle Andrews évoque 2 phénomènes : le Nyotaimori (corps sushi) et Karō-jisatsu (suicide dû au stress). La première pratique montre que les riches et puissants peuvent payer pour le corps d'autres êtres humains, servant en l'occurrence de plateau pour nourriture. La deuxième pratique montre que la pression capitaliste peut mener des individus au suicide. Cela fait apparaître une autre facette du capitalisme, pas simplement un petit nombre auquel profite le système, mais aussi une forme d'esclavagisme du plus grand nombre, soumis aux diktats de l'emploi, à la fois dans leurs corps, à la fois dans leur esprit. Finalement Bliss Chambers incarne bien cet esclavagisme, servant de fille trophée pour son père, à l'instar d'Ivanka Trump pour le sien, et dont la vie est entièrement dictée par la nécessité de se maintenir dans sa position, n'hésitant pas à jouer de la séduction pour y parvenir, sans aucune considération pour ses conquêtes amoureuses. Sa situation est encore aggravée par la conscience qu'elle en a, ayant compris dès son plus jeune âge qu'elle n'avait été adoptée que pour les avantages fiscaux associés à cette prise en charge.

Avec cette première saison, Kaare Kyle Andrews fait la démonstration éclatante qu'il est possible de créer un récit de divertissement, tout en tenant un discours social et adulte percutant, mêlant humour noir et indignation révoltée contre un système hors de contrôle, sous la forme d'une farce macabre, exaltée et tonitruante, une oeuvre littéraire ambitieuse et hors norme.
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Lors de la sortie de l'album l'éditeur Akileos, plutôt doué pour dénicher des perles souvent assez graphiques, avait mis le paquet en com' et le relais blogs et réseaux sociaux avait été excellent. L'ouvrage étant lu en numérique grâce à ma collaboration avec l'éditeur, je ne peux pas faire de commentaire sur la fabrication. le travail de maquette et de mise en page (de l'auteur) en revanche est particulièrement recherché et vire même presque au concept (on retrouve un peu la démarche de Nicolas Petrimaux sur Il faut flinguer Ramirez), avec de fausses publicités et des doubles pages très design qui débordent très largement les pages de titres de parties.

Renato Jones est l'héritier d'une grande fortune... sale. Vivant dans le monde des 1%, un monde de cynisme, de violence et de plaisirs orgiaques, il assume également le costume de justicier parti en croisade pour éliminer ces abus. Et pour éliminer il faut tuer!

Graphiquement Kaare Kyle Andrews est dans une filiation assez directe du Frank Miller de Dark Knight et Dark Knight returns... ce qui implique un trait assez années 80. La filiation ne s'arrête pas là et je qualifierais directement l'auteur de fils spirituel du dessinateur de Sin City, aussi paradoxalement que cela puisse paraître: si Miller est connu pour ses positions réactionnaires qui avaient fusionné avec les options expéditives du Batman dans les années 80, Andrews se cale dans le sillage d'Occupy Wall Street en proposant avec Renato Jones une des BD les plus politiques qui soient! C'est d'ailleurs la principale qualité de cet album que sa radicalité totalement punk à une époque d'ultralibéralisme triomphant.

Pour l'habillage, Renato Jones est un Batman politique et politiquement incorrecte, totalement émancipé du comic code authority, un Batman que même un Alan Moore n'aurait pas fait. Milliardaire incarnant ce qu'il traque, il est formé par le majordome pour venger les pauvres et assassiner les plus démoniaques des 1%.

Andrews est énervé et entre des fausses publicités pour objets de luxe en mode photo (très drôles) il propose des scènes de massacres au découpage apocalyptique, pas toujours évident à lire avec son trait parfois grossier, mais terriblement imaginatif et recherché! L'album (et son justicier) est très poseur (on reste dans le style super-héros) et le jeu sur les plans, les contrastes et les textures est vraiment remarquable. Je ne dirais pas que Kaare Kyle Andrews est un grand dessinateur (son trait reste assez grossier, comme celui de Miller) mais il est un remarquable maquettiste et designer. Par exemple l'ensemble des séquences présentant l'enfance de Renato sont habillées de trames et fausses pliures qui donnent un aspect de vieille BD et qui ajoute de la classe à la lecture.

Honte d'être riche? C'est lui qui vous jugera... Renato Jones, justicier de luxe"

Le discours en mode Punisher pourra choquer certains même si les personnages éliminés sont tout abominables. Mais l'auteur assume son propos: nous avons affaire à des vampires assoiffés de sang, de sexe et de pouvoir que rien ne peut arrêter. Face au mal il ne faut pas tergiverser. Dans un scénario sommes toutes assez linéaire la subtilité arrive avec l'amie d'enfance du justicier, fille d'ultra-riche et totalement aliénée par son univers fortuné. Renato se retrouve à aimer une personne incarnant ce qu'il abhorre... La fin de l'album, très maîtrisée, donne envie de lire la suite et posant un rebondissement un peu tardif selon moi.

Ce premier volume très rafraîchissant montre (comme un Lupano en rogne) que la BD peut être un loisir tout en prenant position dans le monde cynique qui nous entoure. Graphiquement original bien qu'imprécis, Renato Jones apporte la même nouveauté de ton et de traitement que le Dark Knight de Frank Miller Jadis. D'une lecture un peu complexe du fait d'un découpage haché mais diablement intelligent, il me fait penser, dans un genre moins intello, au récent Black Monday Murders, pour sa puissance évocatrice et sa capacité à proposer un album sorti de tout compromis. Une belle découverte.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Renato Jones n'est pas un justicier comme les autres. Il ne s'attaque pas aux riches mais aux super-riches comme dirait un ancien président français. Les fameux 1%. Ceux qui possèdent plus de la moitié de la richesse mondiale.

En effet, ils assassinent la classe ouvrière, ils déciment les salariés, ils détruisent les acquis sociaux, ils font plonger l'économie dans des crises et détruisent les maisons des familles, ils envoient les pauvres en prison mais aucun d'eux ne purgera une peine car ils sont immensément riches.

Il faut dire que cela ne fait pas dans la concession. Les 1% sont décrit comme des gens détestables. 62 personnes détiennent autant que la moitié de la population mondiale. Il y a quand même de quoi se poser des questions. Pour autant, cette oeuvre est une sorte de vengeance fantasmée pour les détruire de la façon la plus sordide qui soit. Ames sensibles s'abstenir.

On constate que c'est un peu brouillon dans la narration ainsi que le graphisme qui n'est pas toujours à la hauteur. La lecture est parfois difficile pour bien comprendre. Il faudra sans doute faire des efforts. C'est le bémol que j'apporte.

Voici donc une bd qui va sans doute plaire à l'ensemble des gauchistes et qui a contrario ne plaira pas aux plus fortunés des lecteurs. Un comics assez jouissif mais avec un parti pris et des vérités assez dérangeantes.
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critiques presse (2)
BulledEncre
03 octobre 2018
Dans ce premier Opus, l’auteur va plus loin encore puisqu’il vous livre en fin d’album ses secrets de fabrications de cet opus dans un cahier graphique des plus intéressants.
Une BD réservée à un public averti.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BDGest
20 mars 2018
Alors comme à l’accoutumée sur ce type d’album, les avis seront contrastés. Quoi qu’il en soit à la fin de cette Saison une, il n’y a aucune raison de ne pas rempiler pour la suite !
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Nouveau riche, c'est mieux que pas riche du tout !
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Video de Kaare Andrews (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Kaare Andrews
Le talentueux auteur canadien KAARE KYLE ANDREWS (Spider-man: Reign, Iron Fist) vous présente sa série RENATO JONES, un comics coup de poing qu'il scénarise, dessine, colorise et POSSÈDE totalement! Découvrez Renato, le premier super-héros qui s'en prend aux 1%, aux ultra-riches et à la société capitaliste dans laquelle nous vivons? Un comics défouloir et déjanté servi par le talent narratif et le dessin ultra-dynamique de Kaare Andrews, auteur notamment d'un excellent Iron Fist (disponible en France chez Panini).
Tome 1 : disponible dès le 7 février en librairie Tome 2 : à paraître en août 2018
176 pages couleurs (avec bonus graphiques) - 17 ?
PREVIEW à découvrir sur BDgest' : https://www.bdgest.com/preview-2360-BD-renato-jones-saison-1-les-un.html
Comics collector artist edition en noir et blanc + ses bonus collector à retrouver sur la boutique en ligne de l'éditeur : http://www.akileoslaboutique.com
"Les UN % possèdent plus de la moitié de la richesse mondiale. Ils ont écrasé les économies, ont acheté des gouvernements et ont accumulé plus de pouvoir que tout autre groupe de l?histoire. Et ils n?en ont toujours pas assez. Avec ce genre de pouvoir, comment peut-on imaginer les faire payer ? Et QUI les fera payer ? Permettez-nous de vous présenter Renato Jones, un mystérieux justicier venu remettre les compteurs à zéro. Et avec son entrée en jeu, LES SUPER RICHES L?ONT SUPER PROFOND?"
@goldenagevancouver Merci à Golden Age Collectables, Vancouver, qui a tourné cette vidéo pour son aimable autorisation de reproduction / traduction.
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