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Deadly Class tome 1 sur 12
EAN : 9782365775946
160 pages
Urban Comics Editions (02/10/2015)
4.01/5   59 notes
Résumé :
1987, San Francisco. Marcus Lopez, fils d'immigrés nicaraguayens et SDF depuis plusieurs années, peine à trouver un sens à sa vie. Alors qu'il pense sérieusement à mettre fin de ses jours, il fait la rencontre de Saya, une mystérieuse jeune fille qui va lui ouvrir les portes de l'Académie Kings Dominion des Arts Létaux. Il découvre alors l'existence d'une école où l'on enseigne aux héritiers de l'élite financière à ériger le meurtre au rang d'art. Marcus a désormais... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Il s'agit du premier tome d'une série indépendante de toute autre. Il contient les épisodes 1 à 6, initialement parus en 2014, écrits par Rick Remender, dessinés et encrés par Wes Craig, avec une mise en couleurs de Lee Loughridge.

L'histoire se déroule en 1987, à San Francisco. Marus Lopez Arguello est un adolescent qui vit dans la rue. Il a perdu ses parents dans un accident tragique et dérisoire, cause directe d'un choix de gestion de l'administration de Ronald Reagan. Il vit de menus larcins, côtoie les SDF, fréquente la soupe populaire et dort à même le trottoir.

À l'occasion de la procession du jour des morts (en novembre), il se retrouve impliqué dans un coup de filet de la police. Il reçoit l'assistance d'un groupe de jeunes de son âge, organisés et violents dont la belle Saya sur sa moto, et Willie Lewis qui l'a prévenu dans la foule. Cette première rencontre aboutir à l'assassinat d'un policier et à la proposition d'intégrer une école d'assassins appelée Kings Dominion Atelier of the Deadly Arts (dirigée par Maître Lin).

Dans l'introduction, David Lapham explique que Rick Remender a certes imaginé une intrigue mélangeant suspense, action et violence, mais qu'il a avant tout su recréer une époque, avec ses références culturelles (les groupes de musique de l'époque) et un état d'esprit (celui des lycéens manquant d'assurance, souffrant de solitude, se mettant à l'écart du reste du groupe, etc.). Dans la postface, Rick Remender donne quelques éléments biographiques, expliquant que les déménagements réguliers l'ont contraint à répéter ce schéma dans lequel il se retrouvait dans la position du nouveau devant intégrer un établissement où les élèves se connaissent déjà. L'occurrence la plus difficile est quand il est passé de skater dans une grande ville, à une petite bourgade de campagne.

Remender réussit un amalgame impressionnant entre les comportements adolescents et un récit d'action musclée et brutal. L'intégration de Marus se fait à marche forcée, au milieu de d'adolescents ayant à coeur de montrer leur dureté et leur cynisme (donc en conspuant et raillant le nouvel arrivant), tout en n'étant pas sûr d'eux. Il sait mettre en scène avec intelligence les comportements hérités des parents, le sentiment d'appartenance, le poids des conventions de leur classe sociale et ethnique, la manière heurtée de faire connaissance entre 2 adolescents (chargée d'émotions et d'élans non maîtrisés).

Craig Wes conçoit des dessins de nature réaliste avec des exagérations de nature expressionniste, éloigné de l'esthétique des superhéros. Pour commencer, il y a des personnages de toute morphologie, de toute ethnie, et les adolescents ressemblent vraiment à des adolescents, pas à de jeunes adultes, ni à de grands enfants. Craig exagère de temps à autre les expressions des visages pour mieux mettre en évidence l'intensité des émotions ressenties par les personnages. de même il accentue un geste au-delà du réalisme pour montrer la vivacité d'un adolescent, mais aussi la focalisation de sa concentration dans ce seul geste, ce seul mouvement. Wes Craig s'avère un dessinateur idéal pour donner corps au thème principal du récit. Il transcrit à merveille l'attitude des adolescents se donnant un genre pour masquer l'inconfort qui accompagne cet âge.

Du fait de la nature de l'intrigue, Remender dépeint également des comportements agressifs, et à risque. En particulier, à l'occasion d'une escapade, Marus lèche des buvards de LSD en quantité. Il s'en suit un trip hallucinogène, rendu avec un savoir-faire impressionnant. Remender et Wes trouvent le ton juste pour rendre compte des hallucinations, des remarques déplacées et absconses proférées à haute voix, de la logique intérieure du personnage, du trouble de sa perception allant de déformations visuelles à une logique délirante. Les auteurs rendent compte avec une incroyable justesse de la sensation de défonce, du fonctionnement perverti du cerveau, du côté psychédélique (impression que des facettes de la réalité se dévoilent soudain grâce à un fonctionnement amélioré des sens), sans omettre la paranoïa latente à avoir l'impression de voir des choses dissimulées, de faire se relier des faits, d'accéder à une réalité supérieure interdite au commun des mortels.

"Deadly class" reste avant tout une histoire d'action, avec un centre de formation d'un genre très particulier. Quand les élèves sont envoyés en travaux pratiques, les citoyens innocents en pâtissent. La première épreuve pratique consiste à assassiner un SDF qui l'aurait mérité du fait de crimes commis dans sa vie passée. Remender montre toute la difficulté de passer à l'acte, de s'assurer d'avoir bien tué sa victime, de prendre toute la mesure de la transgression effectuée. Il ne glorifie pas la violence, il ne fait pas de ces voyous des héros. le lecteur prend en sympathie ces jeunes mal dans leur peau, et utilisés par des adultes, mais il ne peut pas cautionner leurs crimes.

Lorsque la violence éclate, Wes Craig prend soin de montrer que les individus ont conscience de la nature de leurs actes, qu'ils hésitent avant de commettre l'irréparable, et qu'une fois portés les coups occasionnent des blessures qui ne guérissent pas magiquement d'une case à l'autre. La violence a des conséquences sur les individus et laisse des séquelles, tant physiques que psychiques.

Rick Remender et Wes Craig ont créé une série originale, avec un élément romanesque un peu gros (une école d'assassins pour adolescents), et des personnages agissant vraiment comme des adolescents. L'intrigue est rapide et l'action est violente. Les actes ont des conséquences, et le meurtre n'est pas réduit à une simple prouesse physique. Les dessins sont précis et expressifs, avec une mise en page innovante quand la séquence le réclame; chaque scène bénéficie d'une tonalité chromatique particulière, déclinée avec intelligence par Lee Loughridge, là encore dans un registre éloigné de la simple pyrotechnie infographique. Cerise sur le gâteau : le lecteur apprend en quoi Ronald Reagan est responsable de la situation de Marcus Lopez Arguello.
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"Deadly Class T.1" de @Remender (Rick Remender), @WesCraigComics (Wes Craig) et @leeloughridge (Lee Loughridge) chez @UrbanComics

Synopsis Tome 1 :

"Marcus Lopez, fils d'immigrés nicaraguayens et SDF depuis plusieurs années, peine à trouver un sens à sa vie. Alors qu'il pense sérieusement à mettre fin de ses jours, il fait la rencontre de Saya, une mystérieuse jeune fille qui va lui ouvrir les portes de l'Académie Kings Dominion des Arts Létaux. Il découvre alors l'existence d'une école où l'on enseigne aux héritiers de l'élite financière à ériger le meurtre au rang d'art. Marcus a désormais un but dans la vie, il va tuer celui qu'il considère responsable de la mort de ses parents : Ronald Reagan."

Scénario : Rick Remender ;
Dessins : Wes Craig ;
Colorisation : Lee Loughridge ;
Éditeur : Urban Comics ;
Prix : 15.50 € ;

Ce tome 1 peut se décomposer en deux parties : la première vie de Marcus et la seconde vie de Marcus.

Dans la première partie, nous découvrons Marcus, ses origines, sa vie d'avant l'Amérique, ses parents et ce qui l'a malheureusement amené à la rue. En effet, ses parents sont des immigrés du Nicaragua, qui ont fui leur pays et sont venus s'installer aux Etats-Unis, sous la présidence de Ronald Reagan. Par un beau matin ensoleillé, toute la petite famille va se balader et un événement tragique va faire, que notre héros se retrouve orphelin et va poursuivre son enfance dans un orphelinat, qui va se révéler être l'enfer sur terre. Cette tragédie aurait pu être évitée, si l'administration Reagan avait fait correctement son boulot. C'est ce qu'en déduira notre héros et c'est ce qui va devenir son leitmotiv, nourrissant sa haine envers le 40e Président des USA. Nous le retrouvons quelques années plus tard, à la rue, mendiant pour sa survie. Cette vie difficile va le mettre sur la route de flics ripoux qui, sans l'intervention de Saya & Co, aurait signé son arrêt de mort. Cette rencontre va être décisive et c'est ce qui nous amène à la deuxième partie de ce tome 1.

Dans la deuxième partie, Marcus va découvrir un monde auquel il ne s'attendait pas et auquel il ne va pas forcément avoir le profil type. En effet, Saya & Co sont les descendants des plus grandes familles mafieuses du monde et ils étudient à une école très particulière : l'Académie Kings Dominion des Arts Létaux. C'est un peu la "Star Academy" des futurs assassins et psychopathes oeuvrant dans le monde entier, à l'insu du commun des mortels. Un joli programme l'attend donc dans ce nouveau monde, bien entouré par ses nouveaux amis. C'est une boutade, en effet, il va être sous les feux des projecteurs et être passé au crible par tous les clans de cette institution et, donc, attiser les convoitises et la haine, car notre héros serait à l'origine d'un événement ayant fait sa notoriété, notoriété qui est remontée aux oreilles du patron de ces lieux. Vous commencez à entrevoir le merdier dans lequel il s'est fourré.

Qu'est-ce que j'en pense de ce tome 1 ? :

C'est une très bonne découverte et j'ai encore bien fait de suivre les avis que j'ai pu lire sur internet et/ou les réseaux sociaux et je remercie donc le @CommisDesComics et l'@etagereimagin entre autre, pour m'avoir fait découvrir cette petite merveille. Dès les premières pages, le lecteur est plongé dans la vie merdique de notre héros et dans tous les déboires qu'il va subir par la suite. le scénario tient la route, c'est dynamique, accrocheur et intense. le lecteur est mal-mené du début jusqu'à la fin, pour son plus grand plaisir. Les dessins pourront paraître inachevés, imprécis pour certain, mais c'est ce qui fait l'atout charme de cet opus, car ils sont parfaitement représentatifs du bordel qui éclate à la figure de Marcus. C'est donc une série que je vous invite également à découvrir et j'ai hâte de lire la suite.

Note Tome 1 : 18/20.

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San Francisco, 1987. Marcus n'était pas un garçon plus mauvais qu'un autre, à la base ; mais la mort de ses parents, la violence de l'orphelinat, la rue et bien d'autres épreuves de la vie ont fait de lui une bête enragée fort dangereuse. Si vous ne lui cherchez pas les poux sur la tête, tout se passera bien. Par contre, si vous le poussez à bout, vous lui fournirez une occasion en or de déverser son amertume et sa colère. Marcus est capable du pire, il en est conscient. Est-il un psychopathe ? un sadique dépressif ? Peut-être... Comment pourrait-il le savoir ? Il n'a que quatorze ans. Ce dont il est certain, qu'une fois lancé sur la pente du crime, il n'est plus capable de se maîtriser. Pour le policier, le petit orphelin rageux est un ennemi à abattre ; pour le citoyen lambda, c'est juste une fréquentation à éviter, ni plus ni moins. Mais pour Maître Lin, le vieux directeur de Kings Dominion, prestigieuse École des Arts Létaux, il est un diamant brut qui attend d'être taillé pour pouvoir exploiter son potentiel.
Lien : https://pulco-suivezlepapill..
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Après les mangas, je commence à me mettre aux bandes dessinées ! (j'adooore découvrir de nouveaux genres livresques, j'aime plutôt bien les graphiques et les illustrations, bon ok, je me suis encore laissée attendrir par sa couverture…😅)

Nous voici donc dans les années 1980, auprès de Marcus, dans les rues de San Francisco. Marcus n'a pas eu une enfance très facile, ni très heureuse et cela lui a permis de devenir un élève parmi tant d'autres dans la seule et unique école spécialisée où tuer devient un art à part entière🏆

J'ai trouvé les personnages assez bien travaillés et ils ont chacun une histoire touchante à raconter malgré le lieu où ils se retrouvent. L'histoire, quant à elle, est plutôt originale, même si le début est un peu trop long à mon goût et que le premier tome ne fut pas un coup de coeur, je pense que cette BD a du potentiel et qu'elle pourrait me plaire par la suite, à voir🤷

En bref, j'ai plutôt bien aimé rencontrer Marcus et ses camarades de classe dans leur aventure rocambolesque où se faufilent drogues et meurtres.

Lien : https://www.instagram.com/fe..
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Marcus a quatorze ans, il vit dans la rue depuis qu'il a fui l'orphelinat. Il est seul et n'a qu'un seul but, assassiner Reagan qu'il juge responsable de la mort de ses parents. Un soir il est secouru par une jeune fille qui prend tous les risques pour qu'il échappe à la police. Il rencontre alors Maître Lin, le directeur de la deadly class, une école où sont formés des assassins et qui lui propose d'intégrer l'établissement. Commence alors la formation de Marcus. L'idée est intéressante, mais ce premier tome m'a laissée sur ma fin. le personnage n'a pas évolué depuis le début et les aventures de cet opus ne laissent rien présager de la suite. A voir.
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critiques presse (3)
BDGest
13 novembre 2015
Véritable tome d’introduction (...) ce premier opus ne laisse pas indifférent, mais il faudra en connaître plus sur les intentions des auteurs pour se faire une vraie opinion.
Lire la critique sur le site : BDGest
ActuaBD
02 octobre 2015
Il faudra au moins un deuxième volume pour dissiper le trouble suscité par certains développements de cette histoire.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
07 septembre 2015
Une très très belle découverte, avec un Rick remender qui dévoile une autre facette de son talent. Une série que l'on espère bientôt traduite.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Introduction de David Lapham :

Si vous avez détesté le lycée, il doit forcément y avoir des gens qui ont adoré ça, non ? Quelqu’un devait forcément s’éclater dans ce lieu où vous étiez forcés d’aller, que vous ne pouviez pas quitter, et où aucune figure d’autorité ne vous prenait au sérieux. Avec en plus un ordre social rigide bien établi où l’élite pouvait écraser tous ceux qui étaient en dessous. Ça ressemble à quoi ? À la vie ? Non... Dans la vraie vie, on peut partir. On peut appeler la police... ou un avocat. Personne ne vient dans votre box au bureau pour vous écraser la tête contre votre écran d’ordinateur. Alors, ça ressemble à quoi ? À la prison, non ? peut-être... et ils organisent des réunions pour que les anciens élèves puissent se rassembler et se remémorer ces soi-disant meilleurs moments de leur vie !

[...]

Autobiographie déguisée en thriller (ou l’inverse), l’intrigue se situe dans les années 1980. Elle est imprégnée de la musique et de la culture de cette décennie. Pour moi, qui ai également grandi à cette époque, c’est une autre couche de réalité qui me ramène à mes propres cauchemars. C’est aussi un rappel d’à quel point on peut se sentir seul et désespéré quand on est ado. Le fait que des jeunes à qui on apprend à tuer accordent autant d’importance à aimer ou haïr tel groupe ou tel réalisateur nous démontre que nous cherchons tous à nous lier les uns aux autres, même si ça passe par des insultes, des humiliations sociales, des comportements idiots... ou tout simplement en éclatant la tête de quelqu’un avec un tuyau en fonte.
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Le bonheur, ça se résume à l’absence de douleur. Je ne peux pas espérer plus.
Ce type qui m’a pris mes chaussures, j’ai vu quelque chose de terrifiant dans son regard. Mon avenir. C’est à ça que je finirai par ressembler. Quel intérêt de continuer à vivre comme ça ?
Je ne suis pas croyant. J’ai appris tout ce que j’avais besoin de savoir sur la religion à l’orphelinat. Assis dans le sous-sol à regarder un groupe de chrétiens se payer la tête de mormons. Comme si une religion ressemblait moins à une secte et racontait moins de conneries qu’une autre.
J’avais rigolé et je leur avais dit que ça devait être ce que les Juifs faisaient dans le dos des Chrétiens quand ça avait été eux la nouvelle secte à la mode. Ils n’avaient pas trouvé ça drôle.
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"Ce ne sera pas visible lorsque tu te réveilleras, mais ceux qui savent quoi chercher le verront, d'autres victimes des mêmes aiguilles. Il faut du temps pour les voir. Il faut du temps pour voir les vraies blessures d'autrui. Mais les tiens verront les couleurs, comme un drapeau, et il se sentiront chez eux avec toi."
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L'histoire se déroule dans un monde très familier. Il n'y a pas de magie. Pas de vaisseaux spatiaux. Personne ne peut voler ou tirer des lasers avec les yeux. c'est l'histoire du passage à l'âge adulte d'une bande de gamins fracassés par la vie et qui doivent faire avec un monde de violence. Ce sont les années 1980. Pas de portables ou d'emails. Et une bonne partie de l’intrigue s'inspire de faits réels. (Postface de Rick Reminder)
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- Yo, qu'est-ce que t'écoutes?
- Les Smiths.
- Mec, ce son de dépressif...? C'est pas un peu un truc d'homo?
- Si "Brave et honnête", c'est "homo", alors ouais.
- Pas de bravoure à gémir avec une guitare.
- Je ne sais pas. C'est dur d'exprimer des émotions sincères et de ne pas avoir peur de la tristesse. La plupart des gens font tout pour le cacher, comme si c'était une faiblesse. Ils font semblant d'être forts, en espérant faire croire aux autres qu'ils sont ce qu'ils ne sont pas. C'est plus courageux d'être honnête que de faire semblant.
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