Critiques filtrées sur 3 étoiles
S'il y a bien un livre que tout le monde recommande en ce moment, c'est bien celui-ci ! Et on comprend pourquoi !!! La thématique soulevée par l'autrice est un sujet dont on parle très peu et qui reste tabou. Seulement voilà, il y a quelques temps j'ai lu un autre livre sur ce même thème que j'ai largement préféré ! Malheureusement, vous dire quelle livre ne serait pas spoilant pour lui mais bien pour celui-ci donc je m'abstiendrai ^^ de plus (c'est peut être dû justement à mon ancienne lecture), j'ai deviné très vite, trop vite, où l'autrice voulait en venir ! Je n'ai donc pas eu l'effet surprise dont tout le monde parle ... Cependant, j'ai passé un bon moment et je trouve super que des auteur(e)s soulèvent enfin ce problème et surtout osent en parler !!
Lola et Max forment un couple uni.
Un jour Max ne rentre pas d'une soirée chez un ami, il avait emmené avec lui sa fille Zelie pour que sa femme puisse se reposer.
J'ai bien aimé ma lecture, mais dès le début, j'ai ressenti un petit quelque chose qui me dérangeait concernant un des personnages. Je ne peux en dire plus pour ne pas spoiler.
J'ai déjà lu ce genre de thème, c'est peut-être pour ça que j'ai vu arriver le dénouement.
Je n'ai pas eu cet effet de surprise.
C'est un roman assez dur très bien écrit, un vrai page Turner. Pour moi, ce n'est pas le meilleur de ' Amélie Antoine auteure dont j'ai lu tous les livres.
Une bonne lecture dans l'ensemble, un bon rythme avec de courts chapitres qui fait qu'on a envie de continuer à lire, à découvrir l'histoire. J'ai aimé l'écriture de l'autrice. Il se lit assez vite.
Mais...... Vous l'avez vu venir ! Au final je ressors de cette lecture un poil déçue, comme disait ma grand-mère, "mi-figue mi-raisin" (tiens il faudrait que je regarde d'où vient cette expression !) .
Déjà pour moi ce roman correspond plus à un roman noir qu'à un thriller. Je ne pense pas que je retiendrai longtemps l'histoire en tête car j'ai l'impression qu'il n'y a pas vraiment eu d'histoire. de plus, je n'ai pas été plus émue que ça, pourtant ce qui s'est passé était effroyable. Je n'arrive pas trop à savoir pourquoi. Peut-être est ce parce que j'ai trouvé les personnages pas assez approfondis, car même si j'ai parfois été énervé, agacé par ce mari, je trouve qu'on survole les personnalités surtout celle de la femme.
Merci à Babelio pour ce masse critique car j'ai tout de même envie de découvrir d'autres romans d'Amelie Antoine (oui c'était mon premier) et de vous inciter à vous faire votre propre avis sur celui-ci.
Mais...... Vous l'avez vu venir ! Au final je ressors de cette lecture un poil déçue, comme disait ma grand-mère, "mi-figue mi-raisin" (tiens il faudrait que je regarde d'où vient cette expression !) .
Déjà pour moi ce roman correspond plus à un roman noir qu'à un thriller. Je ne pense pas que je retiendrai longtemps l'histoire en tête car j'ai l'impression qu'il n'y a pas vraiment eu d'histoire. de plus, je n'ai pas été plus émue que ça, pourtant ce qui s'est passé était effroyable. Je n'arrive pas trop à savoir pourquoi. Peut-être est ce parce que j'ai trouvé les personnages pas assez approfondis, car même si j'ai parfois été énervé, agacé par ce mari, je trouve qu'on survole les personnalités surtout celle de la femme.
Merci à Babelio pour ce masse critique car j'ai tout de même envie de découvrir d'autres romans d'Amelie Antoine (oui c'était mon premier) et de vous inciter à vous faire votre propre avis sur celui-ci.
« Pourquoi tu pleures ? » septembre 2019
« Je pleure parce que mon coeur déborde. Parce que je me sens tellement heureuse que c'en est presque trop pour moi. Parce qu'aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie. »
« Pourquoi tu pleures ? » Juin 2022
« (…) depuis la naissance de ma fille il y a quatre mois, j'ai le sentiment de ne plus jamais pouvoir m'éteindre, de ne pouvoir désormais me contenter que d'un mode veille, bien insuffisant pour récupérer un peu d'énergie. »
« Qu'est-ce qui te prend, Lilas ? Pourquoi tu pleures ? Pourquoi tu pleures, encore ? »
Les larmes sont parfois synonymes de bonheur comme de détresse la plus absolue…
La famille parfaite n'existe pas… et lorsqu'elle est trop parfaite, elle m'apparaît toujours très suspicieuse, j'entends les cris silencieux, je vois les regards meurtriers, je sens le poids des reproches. Maxime et Lilas représentent le couple parfait. Quand enfin la petite Zélie naît, la famille incarne une certaine forme de perfection. L'arrivée d'un enfant bouscule l'équilibre familial, surtout la nuit, et créée une énorme fatigue pour le parent qui assure les repas, ici Lilas qui donne le sein. Pour la laisser souffler, Maxime emmène Zélie à une soirée. Lorsque Lilas se réveille en pleine nuit, ni Maxime ni le bébé ne sont à la maison. Ils ne rentreront pas le lendemain non plus. Que s'est-il passé cette nuit de juin 2022 ? Impossible de sauver les apparences cette fois-ci, il faudra dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.
Je voudrais d'abord mettre en avant la construction en actes de « Pourquoi tu pleures ? », où le récit oscille entre 2022, année du drame, 2019, année du mariage, 2015, année de la rencontre et les années qui suivent. Les événements ne sont pas racontés de manière chronologique et souvent sous la forme de « confessions manuscrites » destinées au père de Lilas, le premier homme à l'avoir aimée, comprise et consolée. Par opposition, le rôle attribué à sa mère qui avait l'habitude de dire : « Faire semblant que tout va bien, c'est le premier pas pour que tout aille bien. » est peu flatteur, et sans doute révélateur d'une relation mère-fille très compliquée. Ainsi, la famille « fondatrice » du développement psychologique de Lilas était loin d'être parfaite, si ce n'est ce père que Lilas semble avoir idolâtré et qui servira de « modèle » au choix du futur homme de sa vie : Maxime. La relation que Lilas avait avec sa mère a incontestablement semé les graines du futur lien avec sa fille. « La déception d'apprendre que j'avais donné naissance à une fille a déferlé en moi, une vague violente accompagnée d'un sentiment atroce de honte de me sentir aussi dépitée. »
Vous devez avoir l'impression que je brode. C'est vrai. Dès les premières pages, le lecteur sent qu'il y a d'énormes problèmes sous-jacents dans la famille parfaite et qu'un drame se profile à l'horizon. Cette impression vient des personnages. Lilas trop amoureuse, Maxime trop idéal, un couple trop idyllique… Et puis, c'est un roman d'Amélie Antoine : on ne va pas regarder les pâquerettes pousser, c'est une certitude. S'il est question de couple, et d'idéaux de petite fille « Je vais pouvoir vivre avec quelqu'un qui m'aime. Qui me trouve intéressante, drôle, intelligente, jolie, tenace. Quelqu'un qui ne me compare jamais à d'autres, qui, au contraire, me met sur un piédestal. Quelqu'un qui semble penser qu'il a de la chance de m'avoir, quelqu'un qui a peur de me perdre et qui a envie de me rendre heureuse. », de maternité avec l'arrivée d'un bébé « Depuis sa naissance, j'avais l'impression d'être une zombie. Qu'elle était un vampire qui suçait toute mon énergie, et qu'en plus, j'aurais dû en être heureuse. », de la difficulté de s'adapter à une nouvelle dynamique familiale, de la gestion de la fatigue, il y a dans « Pourquoi tu pleures ? » une autre thématique majeure que je ne peux malheureusement pas révéler.
Le sujet qu'Amélie Antoine décide de dérouler ici fait partie des sujets tabous. Et pourtant… j'aurais beaucoup aimé pouvoir le développer. L'auteur n'est jamais aussi douée que lorsqu'elle nous emmène dans les affres de la nature humaine, les horreurs que l'on peut dire ou faire, les descentes en enfer impossibles à arrêter. Grâce à l'extrême sensibilité de son écriture, elle a le pouvoir de nous broyer les tripes et de nous fracasser l'âme, et généralement, elle nous achève à grand coup de pelle. Il m'en coûte énormément de le dire, mais pas ici. Je n'ai absolument pas reconnu son écriture. À aucun moment. Et pourtant, j'ai lu tous ses livres. Je n'ai pas retrouvé ce qui me touche tant chez elle : ce don de transmettre les émotions. Il y avait pourtant de quoi me terrasser, me blesser, me laisser imaginer des répercussions de situations vécues. J'aurais dû me sentir proche de Lilas, la prendre dans mes bras, l'écouter, la consoler, la plaindre… mais rien. J'ai eu le coeur sec. Cette absence d'empathie, cette écriture froide peut-être voulue, m'a empêchée de ressentir la moindre affection ou la moindre compassion. Or, de femme à femme, de mère à mère, elles auraient dû être immédiates.
Néanmoins, et certainement contre toute attente après ces quelques mots, je vous encourage à lire ce roman parce qu'il développe des idées fondamentales et des événements primordiaux de la vie d'une femme, que tout ce qui est ressenti et décortiqué par Lilas dans « Pourquoi tu pleures ? » est d'une extrême justesse. le savoir c'est l'affronter. le savoir c'est pouvoir aider. le savoir c'est empêcher des drames.
Lien : https://aude-bouquine.com/20..
« Je pleure parce que mon coeur déborde. Parce que je me sens tellement heureuse que c'en est presque trop pour moi. Parce qu'aujourd'hui, c'est le plus beau jour de ma vie. »
« Pourquoi tu pleures ? » Juin 2022
« (…) depuis la naissance de ma fille il y a quatre mois, j'ai le sentiment de ne plus jamais pouvoir m'éteindre, de ne pouvoir désormais me contenter que d'un mode veille, bien insuffisant pour récupérer un peu d'énergie. »
« Qu'est-ce qui te prend, Lilas ? Pourquoi tu pleures ? Pourquoi tu pleures, encore ? »
Les larmes sont parfois synonymes de bonheur comme de détresse la plus absolue…
La famille parfaite n'existe pas… et lorsqu'elle est trop parfaite, elle m'apparaît toujours très suspicieuse, j'entends les cris silencieux, je vois les regards meurtriers, je sens le poids des reproches. Maxime et Lilas représentent le couple parfait. Quand enfin la petite Zélie naît, la famille incarne une certaine forme de perfection. L'arrivée d'un enfant bouscule l'équilibre familial, surtout la nuit, et créée une énorme fatigue pour le parent qui assure les repas, ici Lilas qui donne le sein. Pour la laisser souffler, Maxime emmène Zélie à une soirée. Lorsque Lilas se réveille en pleine nuit, ni Maxime ni le bébé ne sont à la maison. Ils ne rentreront pas le lendemain non plus. Que s'est-il passé cette nuit de juin 2022 ? Impossible de sauver les apparences cette fois-ci, il faudra dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.
Je voudrais d'abord mettre en avant la construction en actes de « Pourquoi tu pleures ? », où le récit oscille entre 2022, année du drame, 2019, année du mariage, 2015, année de la rencontre et les années qui suivent. Les événements ne sont pas racontés de manière chronologique et souvent sous la forme de « confessions manuscrites » destinées au père de Lilas, le premier homme à l'avoir aimée, comprise et consolée. Par opposition, le rôle attribué à sa mère qui avait l'habitude de dire : « Faire semblant que tout va bien, c'est le premier pas pour que tout aille bien. » est peu flatteur, et sans doute révélateur d'une relation mère-fille très compliquée. Ainsi, la famille « fondatrice » du développement psychologique de Lilas était loin d'être parfaite, si ce n'est ce père que Lilas semble avoir idolâtré et qui servira de « modèle » au choix du futur homme de sa vie : Maxime. La relation que Lilas avait avec sa mère a incontestablement semé les graines du futur lien avec sa fille. « La déception d'apprendre que j'avais donné naissance à une fille a déferlé en moi, une vague violente accompagnée d'un sentiment atroce de honte de me sentir aussi dépitée. »
Vous devez avoir l'impression que je brode. C'est vrai. Dès les premières pages, le lecteur sent qu'il y a d'énormes problèmes sous-jacents dans la famille parfaite et qu'un drame se profile à l'horizon. Cette impression vient des personnages. Lilas trop amoureuse, Maxime trop idéal, un couple trop idyllique… Et puis, c'est un roman d'Amélie Antoine : on ne va pas regarder les pâquerettes pousser, c'est une certitude. S'il est question de couple, et d'idéaux de petite fille « Je vais pouvoir vivre avec quelqu'un qui m'aime. Qui me trouve intéressante, drôle, intelligente, jolie, tenace. Quelqu'un qui ne me compare jamais à d'autres, qui, au contraire, me met sur un piédestal. Quelqu'un qui semble penser qu'il a de la chance de m'avoir, quelqu'un qui a peur de me perdre et qui a envie de me rendre heureuse. », de maternité avec l'arrivée d'un bébé « Depuis sa naissance, j'avais l'impression d'être une zombie. Qu'elle était un vampire qui suçait toute mon énergie, et qu'en plus, j'aurais dû en être heureuse. », de la difficulté de s'adapter à une nouvelle dynamique familiale, de la gestion de la fatigue, il y a dans « Pourquoi tu pleures ? » une autre thématique majeure que je ne peux malheureusement pas révéler.
Le sujet qu'Amélie Antoine décide de dérouler ici fait partie des sujets tabous. Et pourtant… j'aurais beaucoup aimé pouvoir le développer. L'auteur n'est jamais aussi douée que lorsqu'elle nous emmène dans les affres de la nature humaine, les horreurs que l'on peut dire ou faire, les descentes en enfer impossibles à arrêter. Grâce à l'extrême sensibilité de son écriture, elle a le pouvoir de nous broyer les tripes et de nous fracasser l'âme, et généralement, elle nous achève à grand coup de pelle. Il m'en coûte énormément de le dire, mais pas ici. Je n'ai absolument pas reconnu son écriture. À aucun moment. Et pourtant, j'ai lu tous ses livres. Je n'ai pas retrouvé ce qui me touche tant chez elle : ce don de transmettre les émotions. Il y avait pourtant de quoi me terrasser, me blesser, me laisser imaginer des répercussions de situations vécues. J'aurais dû me sentir proche de Lilas, la prendre dans mes bras, l'écouter, la consoler, la plaindre… mais rien. J'ai eu le coeur sec. Cette absence d'empathie, cette écriture froide peut-être voulue, m'a empêchée de ressentir la moindre affection ou la moindre compassion. Or, de femme à femme, de mère à mère, elles auraient dû être immédiates.
Néanmoins, et certainement contre toute attente après ces quelques mots, je vous encourage à lire ce roman parce qu'il développe des idées fondamentales et des événements primordiaux de la vie d'une femme, que tout ce qui est ressenti et décortiqué par Lilas dans « Pourquoi tu pleures ? » est d'une extrême justesse. le savoir c'est l'affronter. le savoir c'est pouvoir aider. le savoir c'est empêcher des drames.
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Ah mince...voilà que je ressors de cette lecture avec un sentiment mitigé.
J'avais lu de très bonnes critiques, j'aime beaucoup Amelie Antoine, ce livre je l'avais réservé à la médiathèque pour le lire au plus vite et voilà qu'il ne m'a pas convaincue plus que cela.
Difficile d'en parler sans spolier l'intrigue, je ne vais donc pas entrer dans les détails.
Lilas forme un couple à priori très amoureux avec Maxime, rencontré lors d'un stage professionnel. La construction du roman est telle que des chapitres reviendront sur le passé du couple, l'enfance de la jeune femme, sous forme d'un journal intime, alternant passé et présent.
Un soir, Maxime qui est sorti avec Zélie pour que Lilas se repose ne rentre pas.
C'est le début de la descente aux enfers.
A ce stade, je ne trouve rien d'original...le sentiment de regarder un thriller sur Netflix vu et revu...est ce dû à l'écriture qui ne m'a pas embarquée ?
Je poursuis et là, la claque, revirement de situation.
On pourrait penser que me voilà enfin "ferée"...et bien pas tant que cela...
C'est pourtant bien un page turner, pas de doute. Alors pourquoi ne suis je pas happéepar cette histoire ? Il y a peu de descriptions, cela m'a semblé peu fouillé, malgré un sujet fort et très dérangeant.
Je referme ce roman sans réponse à certaines questions concernant la personnalité du mari et ce qu'il s'est vraiment passé et avec le sentiment désagréable de déjà-vu.
Déçue donc mais je continuerai néanmoins à lire cette autrice que j'apprécie habituellement.
J'avais lu de très bonnes critiques, j'aime beaucoup Amelie Antoine, ce livre je l'avais réservé à la médiathèque pour le lire au plus vite et voilà qu'il ne m'a pas convaincue plus que cela.
Difficile d'en parler sans spolier l'intrigue, je ne vais donc pas entrer dans les détails.
Lilas forme un couple à priori très amoureux avec Maxime, rencontré lors d'un stage professionnel. La construction du roman est telle que des chapitres reviendront sur le passé du couple, l'enfance de la jeune femme, sous forme d'un journal intime, alternant passé et présent.
Un soir, Maxime qui est sorti avec Zélie pour que Lilas se repose ne rentre pas.
C'est le début de la descente aux enfers.
A ce stade, je ne trouve rien d'original...le sentiment de regarder un thriller sur Netflix vu et revu...est ce dû à l'écriture qui ne m'a pas embarquée ?
Je poursuis et là, la claque, revirement de situation.
On pourrait penser que me voilà enfin "ferée"...et bien pas tant que cela...
C'est pourtant bien un page turner, pas de doute. Alors pourquoi ne suis je pas happéepar cette histoire ? Il y a peu de descriptions, cela m'a semblé peu fouillé, malgré un sujet fort et très dérangeant.
Je referme ce roman sans réponse à certaines questions concernant la personnalité du mari et ce qu'il s'est vraiment passé et avec le sentiment désagréable de déjà-vu.
Déçue donc mais je continuerai néanmoins à lire cette autrice que j'apprécie habituellement.
Oh non, Oh non non non ! Serais-je
passer à côté de l'évènement du moment ? Je crains
bien que oui !
Alors j'ai lu Pourquoi tu pleures d'Amélie Antoine,
auteure que j'aime beaucoup d'ailleurs. ET ...
(roulement de tambours) c'était une bonne lecture mais
sans plus quoi ! Je sais le pourquoi du comment cela
n'a pas fonctionné sur moi !
J'adore quand les choses sont posées, exposées et
relatées. Hors dans ce roman, il faut faire beaucoup de
déduction et en penser ce que l'on veut ou pense avoir
compris ! C'est d'ailleurs l'originalité et le but de ce
roman d'après @vivianelafeedu29 et je crois qu'elle à
raison.
Bon après, ce roman arrivait avec un handicap, il est
passé juste après le fameux Besson coup de coeur
(Ceci n'est pas un faits divers) qui traite de sujets plus
ou moins similaires et douloureux. Néanmoins,
l'auteure nous trimballe, retrimballe et nous retourne
comme bon lui semble et ça c'est fort !
J'ai tout de même ressentis pas mal d'émotions dans
ce roman : compassion, tristesse et haine ! Mais je
n'est pas été envouté et ne garderais pas en mémoire
l'histoire de ce roman. Cependant, j'en garderais un
sentiment d'originalité que je conseillerais à tous ceux
qui aime faire leurs propres déductions.
passer à côté de l'évènement du moment ? Je crains
bien que oui !
Alors j'ai lu Pourquoi tu pleures d'Amélie Antoine,
auteure que j'aime beaucoup d'ailleurs. ET ...
(roulement de tambours) c'était une bonne lecture mais
sans plus quoi ! Je sais le pourquoi du comment cela
n'a pas fonctionné sur moi !
J'adore quand les choses sont posées, exposées et
relatées. Hors dans ce roman, il faut faire beaucoup de
déduction et en penser ce que l'on veut ou pense avoir
compris ! C'est d'ailleurs l'originalité et le but de ce
roman d'après @vivianelafeedu29 et je crois qu'elle à
raison.
Bon après, ce roman arrivait avec un handicap, il est
passé juste après le fameux Besson coup de coeur
(Ceci n'est pas un faits divers) qui traite de sujets plus
ou moins similaires et douloureux. Néanmoins,
l'auteure nous trimballe, retrimballe et nous retourne
comme bon lui semble et ça c'est fort !
J'ai tout de même ressentis pas mal d'émotions dans
ce roman : compassion, tristesse et haine ! Mais je
n'est pas été envouté et ne garderais pas en mémoire
l'histoire de ce roman. Cependant, j'en garderais un
sentiment d'originalité que je conseillerais à tous ceux
qui aime faire leurs propres déductions.
Me revoilà pour une nouvelle critique. Cette fois-ci j'ai terminé le livre en quelques heures.
J'avoue que mon défi fut d'analyser chaque passage pour voir si je parvenais à découvrir toute l'histoire.
J'ai beaucoup lu ce genre de livre, un thriller psychologique et mon défi fut de décortiquer le livre par de petites annotations. Mais commençons par le style.
L'auteure a choisi de faire dialoguer le personnage principal, pourquoi pas, ça installe un page turner car on s'approprie la mère effondrée par la perte de sa famille. On ressent toute sa douleur. Étant une vieille maman il n'était pas difficile de vivre avec elle ces moments douloureux.
« Pourquoi tu pleures ? » dit le titre. Ce petit bout de phrase interrogative ne peut pas être anodin et c'est vrai que la situation de la jeune mère est délicat. Doit-on s'attarder sur le titre ? Disons que ça positionne un stress permanent durant la ,lecture, étant une vieille maman, j'ai pu comprendre ce titre car je l'ai vécu, j'entendais les pleures incessant du bébé, je me suis sentie désoeuvrée face à cette bruyante tornade. Je ne peux rien dévoiler en relevant la FATIGUE. Je n'avais envie que de rejoindre mon lit et me cloîtrer dans un silence absolu, preuve que 'l'intrigue fonctionnait. C'est déjà ça !
Il est vrai que je n'avais qu'une envie de résoudre l'énigme et c'est pour cette raison que j'ai mis quelques heure pour terminer la lecture.
Le rythme est rapide, le fait d'utiliser la première personne du singulier, sous forme épistolaire entraîne une danse saccadée qui n'est pas déplaisante.
Les mots employés sont familiers mettant le livre à la portée de tous.Pas besoin de ressortir les leçons littéraires Il n'y a pas beaucoup de personnages dans l'intrigue qui malheureusement dévoile rapidement qui a fait quoi ? le pourquoi se montre plus important que le qui
Je n'ai pas saisi pourquoi elle s'adressait à sa père de temps en temps. Je croyais que ce monologue permettrait une intrigue tarabiscotée mais j'ai l'esprit tordu et je me suis dit qu'avec ce genre de bouquin le coupable est toujours celui qu'on s'attend le moins.
Mon petit défit de ce bouquin est de savoir si je pouvais décortiquer le livre par des petites ponctions de phrases. Rien de bien compliqué, pour vérifier si l'intrigue est efficace je tiens à partager cette procédure tout en masquant pour être sûre de ne rien dévoiler à vous de décider
Bon j'ai pas trop dévoilé, j'ai prélevé ce qui m'a dérangé.
Positivement l'autrice a su dynamisé le récit. Malgré la simplicité, elle a installer un suspense, jusqu'à la dernière page. J'ai trouvé le dénouement facilement car j'ai lu pas mal de livres de ce genre.
La fatigue, le bruit des pleurs incessants et le stress sont communicatifs. A la fin du bouquin, même si je n'étais pas sur le cul, j'étais fatiguée, empathique car j'ai vécu des moments similaires avec mes enfants.
J'ai mis 7 heures pour le lire tout en faisant des annotations. Cela a passé très vite, je n'ai pas trouvé des moments creux. Ce n'est pas le livre de l'année mais une petite histoire qui demande à être lue
J'avoue que mon défi fut d'analyser chaque passage pour voir si je parvenais à découvrir toute l'histoire.
J'ai beaucoup lu ce genre de livre, un thriller psychologique et mon défi fut de décortiquer le livre par de petites annotations. Mais commençons par le style.
L'auteure a choisi de faire dialoguer le personnage principal, pourquoi pas, ça installe un page turner car on s'approprie la mère effondrée par la perte de sa famille. On ressent toute sa douleur. Étant une vieille maman il n'était pas difficile de vivre avec elle ces moments douloureux.
« Pourquoi tu pleures ? » dit le titre. Ce petit bout de phrase interrogative ne peut pas être anodin et c'est vrai que la situation de la jeune mère est délicat. Doit-on s'attarder sur le titre ? Disons que ça positionne un stress permanent durant la ,lecture, étant une vieille maman, j'ai pu comprendre ce titre car je l'ai vécu, j'entendais les pleures incessant du bébé, je me suis sentie désoeuvrée face à cette bruyante tornade. Je ne peux rien dévoiler en relevant la FATIGUE. Je n'avais envie que de rejoindre mon lit et me cloîtrer dans un silence absolu, preuve que 'l'intrigue fonctionnait. C'est déjà ça !
Il est vrai que je n'avais qu'une envie de résoudre l'énigme et c'est pour cette raison que j'ai mis quelques heure pour terminer la lecture.
Le rythme est rapide, le fait d'utiliser la première personne du singulier, sous forme épistolaire entraîne une danse saccadée qui n'est pas déplaisante.
Les mots employés sont familiers mettant le livre à la portée de tous.Pas besoin de ressortir les leçons littéraires Il n'y a pas beaucoup de personnages dans l'intrigue qui malheureusement dévoile rapidement qui a fait quoi ? le pourquoi se montre plus important que le qui
Je n'ai pas saisi pourquoi elle s'adressait à sa père de temps en temps. Je croyais que ce monologue permettrait une intrigue tarabiscotée mais j'ai l'esprit tordu et je me suis dit qu'avec ce genre de bouquin le coupable est toujours celui qu'on s'attend le moins.
Mon petit défit de ce bouquin est de savoir si je pouvais décortiquer le livre par des petites ponctions de phrases. Rien de bien compliqué, pour vérifier si l'intrigue est efficace je tiens à partager cette procédure tout en masquant pour être sûre de ne rien dévoiler à vous de décider
Bon j'ai pas trop dévoilé, j'ai prélevé ce qui m'a dérangé.
Positivement l'autrice a su dynamisé le récit. Malgré la simplicité, elle a installer un suspense, jusqu'à la dernière page. J'ai trouvé le dénouement facilement car j'ai lu pas mal de livres de ce genre.
La fatigue, le bruit des pleurs incessants et le stress sont communicatifs. A la fin du bouquin, même si je n'étais pas sur le cul, j'étais fatiguée, empathique car j'ai vécu des moments similaires avec mes enfants.
J'ai mis 7 heures pour le lire tout en faisant des annotations. Cela a passé très vite, je n'ai pas trouvé des moments creux. Ce n'est pas le livre de l'année mais une petite histoire qui demande à être lue
J'ai vu passer ce livre dans des posts et des stories qui crillaient au chef d'oeuvre. On m'a dit de le lire vite avant que le tout bookstagram ne me le spoil.
Ça tombe bien, j'aime la plume d'Amelie Antoine, je me lance.
Est ce que, comme souvent, j'en attendais trop ? Peut être... Toujours est il que j'ai été déçue.
Je ne vais pas trop en raconter pour ne pas trop en dévoiler.
Le sujet principal me touche énormément. de part mon expérience, mais aussi parce que les langues se délient et il est de plus en plus évoqué.
Le roman est très dur, certains passages sont très difficiles à lire.
Cependant, on me le présente comme un thriller, ça n'en n'est pas un du tout.
J'avais deviné "la fin" au bout d'un tiers du livre malheureusement.
Je note donc 3/5 pour le (les) sujets, la manière dont ils sont abordés, et la véracité des personnages.
En revanche, pour moi il n'y a pas d'histoire. le récit tient en 3 lignes
Ça tombe bien, j'aime la plume d'Amelie Antoine, je me lance.
Est ce que, comme souvent, j'en attendais trop ? Peut être... Toujours est il que j'ai été déçue.
Je ne vais pas trop en raconter pour ne pas trop en dévoiler.
Le sujet principal me touche énormément. de part mon expérience, mais aussi parce que les langues se délient et il est de plus en plus évoqué.
Le roman est très dur, certains passages sont très difficiles à lire.
Cependant, on me le présente comme un thriller, ça n'en n'est pas un du tout.
J'avais deviné "la fin" au bout d'un tiers du livre malheureusement.
Je note donc 3/5 pour le (les) sujets, la manière dont ils sont abordés, et la véracité des personnages.
En revanche, pour moi il n'y a pas d'histoire. le récit tient en 3 lignes
Maxime et Lilas forment un couple heureux, et leur petite Zélie est venue amplifier ce bonheur il y a quelques mois. Une nuit, Lilas se réveille en sursaut : son mari et sa fille ne sont pas rentrés de la pendaison de crémaillère à laquelle ils étaient censés se rendre pour quelques heures. Malgré de nombreuses tentatives, Maxime reste injoignable et l'aube pointe le bout de son nez. Comprenant qu'il s'est passé quelque chose de grave, Lilas prévient la police. Et si Maxime avait enlevé sa propre fille ? Et s'ils s'étaient volatilisés ? Et s'ils ne revenaient jamais ?
J'avais très envie de lire ce livre à force de le voir absolument partout. Et je dois avouer que j'ai été un peu déçue. D'une certaine manière, j'en attendais plus, probablement trop en fait. Si je l'avais lu sans en avoir entendu parler, je l'aurais certainement plus apprécié. Alors si je prends du recul, je considère que c'est un bon roman, à mi-chemin entre le roman noir et le thriller. C'est un style que j'affectionne particulièrement et ici l'histoire et bien menée : le suspense ne traîne pas mais c'est oppressant à souhait. On est plongés dans les émotions de Lilas, on ressent son inquiétude, sa frustration, sa colère, son incompréhension.
Les chapitres sont entrecoupés de pages du journal intime de Lilas, qu'elle écrit à son défunt papa. Cela nous permet de comprendre un peu mieux les aspects moins joyeux de sa relation avec Maxime, son état d'esprit, ses doutes, etc. On entre dans sa tête et c'est assez plaisant. Outre mes attentes trop élevée, j'ai aussi eu du mal à ressentir de l'empathie pour Lilas, ce qui est assez rare dans ce genre d'histoire.
Une lecture en demi-teinte pour moi, mais je tenterai peut-être de le relire avec un oeil différent dans quelques années. Cela dit, j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice et je lirai probablement d'autres romans qu'elle a écrit.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
J'avais très envie de lire ce livre à force de le voir absolument partout. Et je dois avouer que j'ai été un peu déçue. D'une certaine manière, j'en attendais plus, probablement trop en fait. Si je l'avais lu sans en avoir entendu parler, je l'aurais certainement plus apprécié. Alors si je prends du recul, je considère que c'est un bon roman, à mi-chemin entre le roman noir et le thriller. C'est un style que j'affectionne particulièrement et ici l'histoire et bien menée : le suspense ne traîne pas mais c'est oppressant à souhait. On est plongés dans les émotions de Lilas, on ressent son inquiétude, sa frustration, sa colère, son incompréhension.
Les chapitres sont entrecoupés de pages du journal intime de Lilas, qu'elle écrit à son défunt papa. Cela nous permet de comprendre un peu mieux les aspects moins joyeux de sa relation avec Maxime, son état d'esprit, ses doutes, etc. On entre dans sa tête et c'est assez plaisant. Outre mes attentes trop élevée, j'ai aussi eu du mal à ressentir de l'empathie pour Lilas, ce qui est assez rare dans ce genre d'histoire.
Une lecture en demi-teinte pour moi, mais je tenterai peut-être de le relire avec un oeil différent dans quelques années. Cela dit, j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice et je lirai probablement d'autres romans qu'elle a écrit.
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