Jacob, après un coma de 18 mois, se retrouve prisonnier d'une base souterraine secrète avec ses deux compères Ardell et Hannah. Il fera tout pour s'évader de cette base et échapper à son commandant, le névrosé Colonel Monday.
Ce troisième tome est inspiré du comics The Invisibles où l'on retrouve également une base et un commandant qui s'appelle Friday au lieu de Monday. le lecteur se retrouve ici dans un autre monde, à priori loin des mystérieux rayons. Mais même si Jacob ne peut sortir de la base, il parviendra tout de même à élucider quelques mystères concernant les rayons et fera la rencontre d'un étrange vieillard aux pouvoirs télépathiques très utiles.
Si ce tome isole un peu le lecteur par rapport à son désir de suivre l'évolution et le mystère des rayons, il offre à Aymond une totale liberté d'expression au niveau du dessin. On sent qu'il a pris plaisir à créer se monde souterrain futuriste, loin de la réalité et des décors terrestres et le résultat est plutôt réussi.
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Enfermés dans une mystérieuse base souterraine, Jacob et ses amis sont contraints par un sombre comité de Salut mondial de tenter de résoudre l'énigme des 4 rayons pointés sur la terre.
Mais seules, les exceptionnelles facultés intellectuelles de notre héros ne seront guère suffisantes. Cependant d'autres prisonniers veillent.
Le dessin d'Aymond est toujours aussi efficace et on arrive vite à la fin de ce troisième opus.
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Jacob Kanhadar et ses 2 amis se retrouvent enfermés dans une base secrète. Les dirigeants de ce complexe militaire ne veulent qu'une chose : que Jacob Kanhadar travaille pour eux à découvrir le secret des faisceaux lumineux.
Un troisième tome qui ne donne que des bribes d'informations sur les phénomènes extraterrestres... cela commence à être frustrant de ne pas avancer plus dans le récit et dans l'énigme principale de la série....
La BD reste passionnante mais ce Jacob Kanhadar est à l'image de l'histoire : énigmatique et étrange.
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Jacob se réveille d'un coma de plusieurs mois et se trouve visiblement prisonnier d'un centre de recherche. Il doit contre son gré élucider le mystère des rayons lumineux. Cette suite est différente des deux premiers volumes, pas la même ambiance. On semble plus en sécurité dans cette bulle mais n'est-ce pas pour mieux camoufler la vérité ?
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- mais c’est impossible !... il y a plus de dix millions de codes à combiner pour arriver à ce résultat !...
- espèce de cinglé ! Personne n’est en mesure d’imaginer ses facultés !...
Vous avez cru pouvoir le défier ?
Dans le 168e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Bobigny, 1972 que l'on doit au scénario de Marie Bardiaux-Vaïente, au dessin de Carole Maurel et qui est édité chez Glénat. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Deux soeurs que l’on doit au scénario d’Isabelle Sivan, au dessin de Bruno Duhamel et qui est édité chez Grand angle
- La sortie de l’album Les dinosaures du paradis que l’on doit à l’auteur Mazan ainsi qu’aux éditions Futuropolis
- La sortie de l’album Vingt décembre, chroniques de l’abolition que l’on doit au scénario d’Appollo, au dessin de Téhem et que publient les éditions Dargaud
- La sortie du cinquième et dernier tome de Saint-Elme, un titre baptisé Les thermopyles que l’on doit au scénario de Serge Lehman, au dessin de Frederik Peeters et aux éditions Delcourt
- La sortie de l’album L’expert que l’on doit à l’autrice Jennifer Daniel ainsi qu’aux éditions Casterman
- La réédition dans une version collector de La bombe que l’on doit aux cénario conjoint de Didier Alcante et Laurent-Frédéric Bollée, au dessin de Denis Rodier et qui est publié chez Glénat dans la collection 1000 feuilles
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