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Laurent-Frédéric Bollée (Autre)LF Bollée (Autre)
EAN : 9782344017043
136 pages
Glénat (12/11/2020)
4.24/5   79 notes
Résumé :
« Moi je crois que plus on s’abîme, plus on est beau ».

Le drame et la poésie s’invitent naturellement quand est évoquée la figure de cet acteur culte du cinéma français décédé à 35 ans après avoir joué dans 37 films et 27 pièces de théâtre.

Un après-midi d'été de l’année 1982, chez lui face à un miroir, il se saisit de son fusil 22 Long Rifle, l’enfonce dans sa bouche et tire. Patrick Dewaere incarne l’idée de l’artiste écorché vif, d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (28) Voir plus Ajouter une critique
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Ce récit graphique retrace la vie de l'acteur Patrick Dewaere. ● Je ne suis habituellement pas très friand des biopics mais je dois dire que celui-ci m'a beaucoup intéressé, notamment parce qu'il déconstruit complètement la chronologie, nous faisant naviguer entre les temps forts de la vie de cet acteur formidable qu'a été Patrick Dewaere. ● En faisant cela, les auteurs nous permettent d'accéder à une compréhension intime de sa vie, de sa personne et de sa fin tragique. ● J'ai été étonné de voir qu'il avait commencé si jeune (comme il était beau à vingt ans !). ● On peut également observer les gens qu'il a croisés au cours de sa carrière, Coluche, Miou-Miou, Bertrand Blier, Gainsbourg et bien sûr Depardieu avec qui il a entretenu des relations si ambiguës, faites à la fois d'amitié et de rivalité, et beaucoup d'autres. ● On voit bien la soif de reconnaissance qui l'habitait, l'immense frustration de ne jamais avoir eu de césar ou d'autres récompenses significatives, lui qui pourtant le méritait plus que tout autre. ● L'idée du portrait qui s'efface peu à peu est très belle, comme le sont les scènes plus oniriques. ● J'aurais aimé en savoir plus sur son enfance, qui n'est évoquée qu'allusivement. ● Un bel album que je remercie Blandine5674 de m'avoir fait découvrir et que je recommande à mon tour.
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Lorsque j'ai commencé à regarder en famille à la TV les films avec Patrick Dewaere (encore vivant), j'étais pré-adolescente, et lui adulte. Je le percevais donc comme un homme mi-rigolard mi-effrayant, à peine plus jeune que mes parents. Ma vision est différente aujourd'hui : c'est celle d'une mère qui perçoit sa sensibilité à fleur de peau et donc la douleur derrière ses rôles, où il incarne (toujours ? je n'ai pas vu tous ses films) des écorchés, ce qu'il était en réalité. Il faut dire que j'ai découvert en 2017 une biographie, 'Un fauve' de Enguerrand Guepy, et j'avais complété cette lecture par quelques recherches, car cet homme & sa vie me bouleversent.
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Cet album est très réussi, qui tourne autour des idées noires de l'acteur. Ambitieux, envieux, ultra-sensible et colérique, sortant vite les poings, Patrick Dewaere souffrait d'une mauvaise image de soi. Certains réalisateurs (Blier, Boisset) et partenaires de scène (Ventura) ont su lui imposer le respect, et il se 'disciplinait' alors, mais il était toujours entier dans ses rôles.
Ses relations avec Depardieu (qu'il appelait "le gros") sont également décrites - une amitié ambigüe car ils visaient les mêmes grands rôles dans le cinéma des 70's-80's. Gérard, son 'alter ego et son rival', peut-on lire dans Wiki. Même chose avec Coluche, son ami des débuts : prises de bec et empoignades, rivaux en amour jusqu'au bout de la courte vie de Dewaere, emporté par le désespoir à 35 ans.
J'ai aimé le voir heureux dans cette BD, avec ses potes en mode bringue & baston, mais surtout "en douceur" avec des femmes, et les deux filles qu'il a eues avec Miou-Miou, puis Elsa. Ces parenthèses ont été hélas de courte durée car la vie de couple/famille et la déglingue (alcool, cocaïne, comportements auto-destructeurs...) font rarement bon ménage, même (surtout ?) en entraînant l'autre dans sa chute.
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Je garde un souvenir troublant de 'La meilleure façon de marcher' avec Patrick Bouchitey (Claude Miller, 1976), que je n'interprète pas tout à fait de la même façon à chaque fois que je le visionne. J'aime beaucoup 'Coup de tête' (JJ Annaud, 1979) où la désinvolture et les facéties jubilatoires de Perrin/Dewaere alternent avec sa douleur et sa rage. Et le film qui me bouleverse le plus est 'Un Mauvais fils' (Sautet, 1980), parce que, comme précisé plus haut, je l'y vois comme un fils instable, et assister à ses dégringolades est un déchirement - a fortiori quand on connaît les dernières années de sa vie, et sa fin brutale deux ans après la sortie de ce film (boudé par la presse suite à un énième débordement de violence).
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Pour finir, cette phrase de son ami Folon qui me semble lui rendre un bel hommage : "Patrick était une flamme. Une flamme vivante. Une flamme, c'est fragile : au moindre courant d'air, elle peut s'éteindre. Il y a eu un courant d'air, et Patrick s'est éteint." Oui, mais pour nous, la flamme brille toujours, et nous brûle parfois les yeux à en pleurer.
Folon, peintre-poète dont Dewaere disait : "Le connaître m'honorait et m'enrichissait. Et ces 'hommes volants', ça me donnait l'envie de m'envoler aussi, loin et pour toujours, si vous voyez ce que je veux dire..." (p. 103)
Oui, on voit. RIP. ♥
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Patrick Dewaere est un de ces rares acteurs français pour qui j'éprouve une affection particulière. En plus de son jeu d'acteur (d'une subtilité brute), est-ce pour son côté écorché, est-ce parce qu'il était un acteur mal aimé à l'époque où il tournait, est-ce pour sa disparition, trop jeune ? Très probablement, un peu de tout ça…
J'étais donc très curieuse de découvrir ce roman graphique réalisé par Laurent-Frédéric Bollée et Maran Hrachyan. Parce que dans ce visage en 1ère de couv' qui est celui qu'on connait souvent du comédien, il y a son regard triste, anxieux, quelque peu fragile mais il y a surtout, sur ses lèvres, ce petit sourire rusé et moqueur.
J'ai vu (à plusieurs reprises) les oeuvres les plus connues de sa filmographie, comme « Les valseuses », « Adieu Poulet », « Un mauvais fils », « La meilleure façon de marcher », « le juge Fayard, dit le Shériff », « Coup de tête »... de fait, je connaissais également les principaux acteurs et grands réalisateurs avec et pour lesquels il a joué tout comme les éléments de sa vie plus intime : que ce soit sa relation avec Miou-Miou, (et possible que mon antipathie pour Julien Clerc vienne du fait que Miou-Miou soit partie avec le chanteur), ses deux filles (qui travaillent dans le cinéma également). Mais je voulais mieux dérouler le fil de cette fin implacable, comme celle qu'a connu un certain nombre de grands artistes à fleur de peau. Je ne pouvais échapper à cette lecture comme attirée comme un aimant par ce grand acteur.
Le dessin d'Hrachyan est assez soigné, les cases plutôt minimalistes, sans trop de détails autour des personnages. Ce sont surtout des visages, des attitudes, quelques scènes (de la ‘'vie'' ou « cinématographique ») comme pris sur l'instant. Comme un album-photo qu'on feuillette. On reconnait aisément les différentes figures qui ont compté dans la vie de Dewaere. le scénario est prenant (même si je ne suis pas la plus objective d'entrée de jeu ; et même si j'ai parfois eu du mal avec cette façon d'insérer des anecdotes qui donnaient l'impression de passer du coq à l'âne).
Mais quelle émotion se fut que de retrouver Patrick Dewaere avec ses amis (et parfois rivaux pas des plus tendres), ses compagnes ou ses compagnons de tournage ! La liste est longue et impressionnante. Claude Miller, Yves Boisset, Jean-Jacques Annaud, André Téchiné, Alain Corneau, Henri Verneuil, Bertrand Blier, Claude Lelouch. Pour les amis et acteurs : Depardieu, Rufus (le témoin de son mariage), Bouchitey, Coluche, Bouteille, Lino Ventura, Brigitte Fossey, Catherine Deneuve, Marie Trintignant…

Cette biographie met parfaitement en scène l'enchainement de tous les évènements et drames qui vont le faire sombrer peu à peu. Son enfance douloureuse, ses rôles de looser et/ou sombres dans lesquels il rentre totalement, le vilain petit canard qu'il était, mal aimé des critiques et journalistes. [Malgré une nomination comme meilleur acteur dans un second rôle et cinq nominations au César du meilleur acteur, il n'obtiendra jamais ces prix alors qu'il attend et espère la reconnaissance de ses pairs - un désamour probablement lié une histoire malencontreuse avec un journaliste qui aura pour conséquence l'hostilité de la profession à son égard-], sa consommation de drogue ; son ami-ennemi Depardieu qui lui vole souvent la vedette ; ses femmes qui le quittent, notamment Elsa qui partira avec Coluche en Guadeloupe en 1982.
Patrick Dewaere mettra fin à ses jours le 16 Juillet 1982, à l'âge de 35 ans, avec l'arme que lui avait offert Coluche (alors que l'acteur participait à l'époque aux essais préparatoires pour le film « Edith et Marcel » de Claude Lelouch, sur Edith Piaf et Michel Cerdan où il aurait donné la réplique à Evelyne Bouix).

C'est un beau roman graphique dans lequel je me suis plongée avec une émotion grandissante, jusqu'aux dernières cases. Que les auteurs aient fait le choix que ce soit Dewaere qui se raconte joue probablement sur cet impact émotionnel et ce sentiment d'intimité avec l'acteur.
Cette biographie a confirmé plus encore mon affection pour lui. Elle montre un homme aussi torturé que passionné et libre. Car si on sait d'avance qu'il n'y aura pas de happy end, au-delà de cette descente aux enfers, il y a aussi tous ces moments forts, ses rôles marquants, son jeu d'acteur intense, ses virées avec les femmes de sa vie, les éclats de rire avec ses amis, la boxe et la musique... Comme le titre le rappelle « A part ça, la vie est belle » - et malheureusement « ça » étant parfois « tout » pour Dewaere.
Et c'est cela que ce roman graphique a réussi à mettre en exergue : la vie d'un homme entier aussi bien pour son travail, ses passions ou ses amitiés, un acteur tel un diamant à l'état brut, souvent impulsif mais, parce que vrai, tout simplement.

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La meilleure façon de marcher de Claude Miller, Les Valseuses de Bertrand Blier, Série Noire d'Alain Corneau, ou bien encore Coup de tête de Jean-Jacques Annaud ou Un mauvais fils de Claude Sautet : voilà (au moins) cinq des chefs d'oeuvre vus pendant mon adolescence qui m'ont convaincu que Patrick Dewaere était un comédien absolument unique en son genre, le genre d'acteurs qui semblaient jouer sa vie sur un plateau, et dont le coté écorché vif et tourmenté imprimait terriblement la pellicule.

Comme tout le monde le sait, Dewaere a décidé de s'éclipser le 16 juillet 1982, d'une balle dans la tête, à seulement 35 balais.

C'est d'ailleurs cette séquence clé de la vie de Dewaere que le scénariste Laurent-Frédéric Bollée choisit pour commencer son roman graphique consacré à l'acteur, comme le dernier one-shot de la belle collection 9½ de Glénat , après Sergio Leone ou Lino Ventura- avec qui Dewaere a joué dans Adieu Poulet en 1975.Une séquence choc qui va lui faire remonter tout le fil de sa brève mais si intense et cahotique carrière .

De son enfance particulièrement instable à ses rencontres avec des acteurs phares- Depardieu, évidemment son meilleur ennemi avec qui il a commencé dans "les Valseuses", mais aussi Deneuve, Blier, Sautet ou d'autres à sa dépendance à la drogue, sa soif de reconnaissance, le mépris affiché par un certain milieu du cinéma et son quasi-bannissement médiatique par l'hyper-corporatiste monde du journalisme, suite à une agression de Dewaere à l'encontre d'un journaliste du Journal du Dimanche qui aura trahi sa confiance, la BD aborde toutes les étapes clés de son parcours, mais de facon ni linéaire ni chronologique .

On sent une vraie liberté à la façon dont LF Bollée raconte les moments de sa vie intime et de la carrière de Dewaere, une liberté qui était le principal trait de caractère du comédien, et dans son quotidien et dans sa façon d'aborder les rôles .Les deux auteurs de cette BD propose un saississant "voyage"parfois à la limite du fantastique, hanté par la fureur et la mélancolie.

La jeune illustratrice Maran Hrachyan , née en Arménie en 1993, avoue dans le dossier de presse ne pas avoir connu l'acteur avant d'être associée au projet, et cette " innocence" sur cet acteur culte des cinéphiles donne une certaine candeur et une fraicheur à une histoire sombre, mais dont la lumière et la force liée à ce comédien dont le charisme est prégnant presque 40 ans après sa mort scintille encore largement .
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Peu coutumier des romans graphiques, j'ai toujours un peu de mal à les chroniquer, manquant de références pour restituer un avis pertinent. Une fois n'est pas coutume, je me contenterai donc de dire assez humblement que j'ai beaucoup apprécié Patrick Dewaere, À part ça, la vie est belle, de LF Bollée et Maran Hrachyan.

Forcément, Dewaere me parle à plus d'un titre, me ramenant des années en arrière pour ses films cultes, et notamment Adieu Poulet ou À mort l'arbitre, tous deux tournés à Rouen. Dewaere le surdoué, Dewaere l'excité, Dewaere le mal aimé, Dewaere le torturé. J'ai rarement vu un visage capable de passer si vite à travers toutes ces expressions, qu'il ne cherchait même pas à dissimuler.

Par leur choix de ne pas attaquer cette biographie sous un angle chronologique mais de la déstructurer en partant de la fin pour revenir s'attarder sur des moments de vie clés, les deux auteurs font mouche et distillent les marqueurs psychologiques permettant d'approcher la complexité de cet acteur atypique.

Le dessin, apaisant et poétique, apporte une touche de douceur à la violence des tourments de Dewaere, bien rendus par les textes racontés à la première personne, qui s'élèvent vers de jolis moments comme dans les échanges avec Depardieu.

Et plus qu'une BD, c'est toute cette collection 9 ½ de Glénat dédiée au acteurs et réalisateurs de cinéma que je découvre avec ce 5e opus, me donnant envie de l'explorer davantage.
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critiques presse (2)
CNLJ
14 mai 2021
Signant sa première bande dessinée, de manière délicate, aux crayons de couleur, Maran Hrachyan donne vie à un Dewaere attachant et brosse cette kyrielle de célébrités avec un sacré talent !
Lire la critique sur le site : CNLJ
ActuaBD
12 janvier 2021
En bande dessinée, la courte vie de ce comédien majeur des années 1970 en France. Pari réussi avec ces épisodes qui croisent les époques, et un dessin profond et sensible.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
[ Bertrand Blier, avant le tournage des 'Valseuses' ]
- Je sais que tout va bien se passer, de toute façon !
[ Dewaere ]
Ça, il aurait pas dû parler aussi vite, le Bertrand ! Car il faut bien avouer que pendant le tournage des 'Valseuses', on lui en a fait voir des vertes et des pas mûres ! On [GD & lui] était jeunes et crétins, et on se prenait au jeu de nos rôles... On avait même la certitude que plus on déconnait, meilleurs on était !
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16 juillet 1982.
Voilà, je l'ai fait... L'irréparable, comme on dit ! Une balle dans la tête, point final. Ci-gît Patrick Jean Marie Henri Bourdeaux, dit Patrick Maurin, dit Patrick Dewaere ! Je vous expliquerai plus tard pour mes différents noms, c'est assez compliqué... En fait, je vais carrément vous raconter ma vie, ce sera plus simple... J'ai toujours été comme ça ! Imprévisible, et insaisissable qu'ils disaient... Au point de me flinguer à 35 ans, un beau jour d'été, alors que j'avais rendez-vous deux heures plus tard dans une salle de boxe pour m'entraîner, et que le matin j'étais encore au boulot... ! Ben oui, au bois de Boulogne, avec Claude Lelouch, pour préparer son film Edith et Marcel... C'est moi qui devais jouer Marcel Cerdan, et on avait rendez-vous pour faire des essais de plans... (p. 4)
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En 1969, un an après m'être marié, je vivotais sans foutre grand-chose. Je commençais des trucs sans les terminer, j'écrivais des chansons sans les chanter, des textes sans les lire. Je croyais que plus on s'abimait plus on était beau !
(p. 46)
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La réussite m'amenait certainement à penser que le monde n'était pas si pourri, et qu'à part ça, la vie était peut-être belle...
La question etait évidemment de mesurer l'importance du "ça". Et, pour moi, parfois, c'était "tout".
Commenter  J’apprécie          100
Je n'ai jamais milité pour quelque chose, moi ! Le militantisme, quelle horreur ! Dès qu'on est plus de cinq, c'est le bordel !
(p. 104)
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Vidéo de Laurent-Frédéric Bollée
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