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Un grimoire somptueux

@Label619

4 raisons de ne pas passer à côté de cette merveille de près de 300 pages:

1: C'est de Mathieu Bablet (Carbone & Silicium, Shangri-la ou encore Adrastée) mais pas que, sont aussi réunis ici Alanva, Rours, Sumi, Thomas Rouzière, Claire Fauvel, Titouan Beaulin, Daphnée Collignon et Quentin Rigaud. Un collectif d'artistes confirmés et de nouveaux talents. (Je vous vois venir, vous allez me dire ça fait plus que 4 raisons, mais je fais ce que je veux)
2: C'est au Label 619 et c'est un gage de qualité! (si vous ne le connaissez pas, je ne vous en veux pas mais vous invite vivement à corriger cette erreur)
3: c'est une plongée approfondie dans l'univers de l'excellente série Midnight Tales (ce n'est pas une suite, pas de panique si vous les avez manqués)
4:Ça parle de sorcellerie de manière originale et de mythologies avec un S à la manière Neil Gaiman (si vous n'aimez aucun de ces trois sujets, je ne peux rien faire pour vous si ce n'est vous prêter mon épaule pour pleurer)

Je pourrais encore ajouter que l'objet livre est un véritable bijou de conception, d'une qualité indéniable et empli de connaissances précieuses mais ça, on en a l'habitude avec le Label 619.
Commençons par le commencement: Midnight Tales. 4 albums qui proposent de courtes histoires narrant les aventures de l'Ordre de Minuit, une société secrète de sorcières protégeant l'Humanité des monstres, des peurs primales et des forces occultes ou comment se plonger dans les retranchements de notre réalité, là où les ombres sous notre lit grouillent d'inconnu, de cités érodées par l'oubli et de créatures dont le seul nom évoqué à voix haute provoque la folie. Un collectif d'auteurs et autrices participent à ces albums le tout chapeauté par Bablet. C'est bien Midnigth Tales, c'est même très bien!


Pour The Midnight Order, on reprend la formule du collectif pour les illustrations et cette fois Bablet scénarise l'entièreté du projet. de l'Ordre de Minuit on retrouve la sorcière Sheridan accompagnée d'une autre alcine; Johnson. Elles ont pour mission de protéger le Monde des différents monstres et de traquer à travers le globe les sorcières trop puissantes, celles qui sont un danger pour le Humanité et pour elles-mêmes.

Neuf récits qui narrent les aventures de l'Ordre de Minuit, une société qui s'est crée lors des persécutions contre les sorcières et qui continue, de nos jours, à garantir un équilibre fragile entre le bien et le mal mais également entre les sorcières et toutes autres créatures (magiques ou maléfiques). L'intelligence de ces récits c'est qu'ils mêlent différentes mythologies dans notre monde actuel, toutes les croyances de toutes les cultures prennent vie sous vos yeux et c'est passionnant. La mission de nos deux héroïnes va leur poser un cas de conscience. A force de trancher les mains des sorcières trop puissantes pour tarir leur pouvoir, Sheridan se questionne sur la légitimité de ses actions au sein de l'ordre et Johnson va faire face à une problématique cruelle quand elle doit traquer sa propre soeur. Des sorcières qui chassent d'autres sorcières, en voila une idée originale! Les notions de bien et de mal, la fidélité à l'Ordre, l'amitié, la légitimité, autant de questionnements qui sont développés au fil des pages sublimes! Planches flamboyantes alternant avec des textes consistants qui composent un album grand et grandiose.

Mélangeant noirceur, gore, érotisme et Pop: Bablet l'avoue, pour cet album il s'est imaginé Lovecraft rencontrant Buffy contre les vampires. Improbable? Pourtant c'est une réussite!
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C'est le nom de Mathieu Bablet sur la belle couverture qui m'a attiré vers cette brique. Je me suis difficilement remis de « Carbone et Silicium ». le concept de BD à nombreuses mains, par ailleurs, me semblait prometteur.

Un pote me l'avait décrit comme « girly ». J'ai pas eu du tout cette impression. Déjà une BD où tous les personnages sont des femmes: j'applaudis. Ensuite, je l'ai plutôt trouvée « womeny »: ces personnages sont puissantes, elles n'ont franchement pas besoin des mâles. Et rien que pour ça cette BD vaut le détour. Et fait du bien.

Concernant le fond, les thèmes sont ceux de l'altérité, de la sororité, de l'entraide. de l'impossibilité de grandir aussi dans un monde dur et qui n'accepte pas les déviants et les marges. Même au sein de celles-ci. Ce que résume la figure de la sorcière. le mode de récit est clairement celui du comic, avec de la contextualisation, pas mal d'action, des flash-backs, un puzzle temporel et les différents dessins qui s'assemblent pour faire une « fresque ». Je n'avais pas lu les « Midnight Tales » (que j'ignorais) ce qui n'empêche pas de suivre ni d'accrocher très vite. Johnson et Sheridan ont un p*** de charisme, et cette balance chez elles entre job de fonctionnaire et de shérifs fantastique dans une administration occulte fait penser aux « Fables » de Bill Willingham. On sent cette influence et celle du « Saga » de Brian K. Vaughan forcément, dans le mélange entre notre monde contemporain et les êtres fantastiques et leur impuissance à y vivre sereinement.

La forme est plurielle, tant dans le mode de récit (BD, faux documents, novella) que dans le dessin. Là je reste mitigé: certains sont sublimes (Mathieu Bablet bien sûr et ses tronches de nez cassés, Thomas Rouzière), d'autres tout bons (Claire Fauvel, Rours, Sumi), le reste est passable, voire pas terrible du tout. On sent une forte influence tantôt manga, tantôt comics. le rythme est bon. On tourne les pages sans s'arrêter. Ça ne permet pas de faire oeuvre. Mais de passer un bon moment, ça c'est sûr.

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J'ai été un peu déçue dans l'ensemble.
J'aime toujours autant le principe et le fond de l'histoire mais j'ai beaucoup moins adhéré aux différents styles graphique qui sont présentés dans cet ouvrage.
Pourtant le concept est intéressant et j'avais plutôt bien aimé la série des Midnight Tales qui est sur le même principe. Mais là, ça ne marche pas aussi bien.
Par contre les interludes "culturel" sont toujours intéressant et permettent aux lecteurs d'approfondir des connaissances.
Lien : https://letmentertainyou.com..
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𝐐𝐮𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐫𝐜𝐢𝐞𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐦𝐚𝐥 ? 𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐫𝐜𝐢𝐞𝐫𝐞𝐬 𝐡𝐚𝐛𝐢𝐭𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 : 𝐬𝐞 𝐫𝐞𝐮𝐧𝐢𝐫 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝'𝐮𝐧 𝐟𝐞𝐮 𝐞𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬𝐞𝐫 𝐧𝐮𝐞𝐬 𝐣𝐮𝐬𝐪𝐮'𝐚 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐢𝐟, 𝐞𝐧𝐢𝐯𝐫𝐞𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐮𝐯𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐟𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐭 𝐝'𝐞𝐜𝐥𝐢𝐩𝐬𝐞𝐬 𝐥𝐮𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬
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Il y a deux semaines j'ai eu la joie de recevoir "The Midnight Order", un ouvrage collectif dirigé par Mathieu Bablet se déroulant dans le même univers que "Midnight Tales" : une petite pépite qui m'a vraiment donné envie de me pencher dessus !

On se retrouve donc dans un univers où L'Ordre de Minuit intervient afin de protéger le monde contre les forces du mal. Quitte, parfois, à devoir emprisonner les sorcières récalcitrantes et à les priver de leur magie en leur coupant les mains. Une méthode expéditive dont l'une des héroïnes, Sheridan, a de plus en plus de mal à vivre avec... D'autant plus quand elle voit son élève, Johnson, s'élever contre sa propre soeur.
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𝐎𝐧 𝐝𝐞𝐯𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐚𝐢𝐝𝐞𝐫 𝐜𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬, 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐚𝐠𝐞. 𝐉𝐞 𝐦𝐞 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐟𝐨𝐢𝐬 𝐬𝐢 𝐜𝐞 𝐧'𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐨𝐧𝐬 𝐟𝐨𝐥𝐥𝐞𝐬
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Ce qui fascine dans cet ouvrage, ce n'est pas tant l'histoire en elle-même (que j'ai tout de même adorée) c'est comment, à chaque fois, un.e dessinateur.rice va ramener sa patte dans cet univers, ses traits et sa palette. Si Mathieu Bablet est la plupart du temps au scénario, construisant un fil rouge partie après partie, chacun.e s'empare de l'histoire pour l'incarner avec brio.
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J'ai particulièrement apprécié les traits d'Allanva, les couleurs incroyables de Rours, ou encore la composition de Daphné Callignon. L'ensemble tient debout avec des interludes dessinés par Mathieu Bablet et des articles oscillant entre réalité et monde de papier.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Je ne connaissais pas du tout the midnight tales donc ça a été plutôt une surprise de découvrir qu'il existait une saga sur cet univers.

L'univers m'a beaucoup plu un mélange à la fois de persécution et de sororité, on a également beaucoup de côté historique. Ce que j'ai aimé dans cette histoire est surtout l'espèce de changement qui s'opère au fil des pages, au début on considère que les filles sont les gentilles, puis que quelque chose ne va pas et au final une vraie remise en question de leur société.

J'ai beaucoup aimé le fait que plusieurs auteurs rajoutent une petite « anecdote » à l'histoire, chacun a sa façon. L'ensemble aurait pu être dysharmonieux mais, c'est très plaisant et assez cohérent (un seul trait de dessin m'a semblé être décalé par rapport aux autres).

Pour conclure, une BD assez sympathique, je pense que j'aurais encore plus apprécié si j'avais lu the midnight tales avant.
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Contrairement à ce que j'ai pu lire dans d'autres chroniques, le label 619 existait déjà chez Ankama avant d'être chez Rue des Sèvres. J'avoue ne pas connaître la "puissance" de l'éditeur par rapport au premier mais cela leur permet peut-être d'être plus libres par rapport au support. En effet l'album est magnifique. C'est un bel album cartonné avec une illustration en dorure très détaillée… Superbe.

The Midnight order est un récit de 8 chapitres autour de l'ordre de minuit. Il est scénarisé/orchestré par Mathieu Bablet (un chapitre par Isabelle Bauthian) et dessiné par 8 auteurs dans des styles différents. 
J'en ai noté qui ressortent du lot. Allanva qui propose un récit à la fois lumineux et sombre. Un dessin détaillé mais aussi vif quand il le faut. Rours quant à lui me fait penser à un mix d'auteurs du label 619. 
Quant à Daphné Collignon c'est une vraie découverte. Elle propose un dessin délicat pour un court récit bien sombre. J'ai bien envie de me procurer ses albums pour en découvrir plus. 
À ces trois là, on peut bien évidemment ajouter celui qu'on ne présente plus Mathieu Bablet (Shangri-la, Adrastée, Carbone et Silicium) qui en plus de scénarisé dessine également les intermèdes entre les chapitres. 
Au niveau de l'histoire, j'ai aimé l'histoire jusqu'au ¾. En avançant dans les chapitres on avance également dans le temps, ça m'a donné l'impression d'une conclusion trop abrupte. de plus, je m'attendais à une conclusion en apothéose. Je suis donc un peu déçu mais toujours impressionné du tour de force pour réaliser ce genre d'album avec plusieurs auteurs. 
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D'abord attiré par la couverture et le sujet, je me suis lancé dans cette lecture au vu des bonnes critiques que j'en lisais çà et là.

C'est un ouvrage épais, protéiforme et original. le récit est divisé en 8 chapitres, qui sont dessinés ou écrits par des illustrateur·rices ou scénaristes différents. Cette méthode participe clairement à la diversité explorée par les auteur·rices.

On suit le fameux “Ordre de minuit”, des sorcières qui tentent essentiellement (mais pas uniquement) de maîtriser d'autres sorcières trop puissantes ou violentes, par des méthodes qu'on pourrait questionner (leur couper les mains, par exemple). le ton est parfois proche de la Trilogie du Samedi que je regardais jadis sur M6, et c'est réconfortant à souhait !

Le livre se promène à travers le monde et révèle ainsi des mythes, des cultures et du folklore international. Des pages documentaires aident à comprendre ou déployer certains concepts mythologiques, ce qui rend la lecture particulièrement riche.

Au-delà de la volonté de quitter l'européo-américano-centrisme habituel sur ces sujets - ce qui est déjà très appréciable -, on sent aussi différentes recherches de représentation des minorités. Ainsi, évoquer un anti-colonialisme par le fantastique me paraît très efficace. de même, faire apparaître des sorcières aux organes génitaux divers m'a profondément réjoui, mettant ainsi l'emphase de manière implicite sur les questions de genre avec finesse.

Les illustrations sont toutes esthétiquement satisfaisantes, et il se dégage une réelle fraîcheur dans le fait de les réactualiser constamment. J'aime aussi la question que soulève le fait de changer d'apparence pour les mêmes personnages : qu'est-ce qui définit leur identité au-delà de leur nom ? A quoi les reconnaît-on ?

Une chouette lecture donc, qui peut faire un beau cadeau à l'occasion !

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The Midnight Order est un groupe de sorcières parcourant le monde à la recherche de sorcières surpuissantes, incapables de contrôler leurs pouvoirs et donc dangereuses pour la société.
Parmi les membres de l'ordre, Sheridan et Johnson autour desquelles se concentre l'histoire de cette BD collective orchestrée par Mathieu Bablet.

Bien que les "chapitres" aient été dessinés par différents illustrateurs, on reconnaît assez facilement les personnages d'une partie à une autre en étant attentif aux signes distinctifs de nos protagonistes. C'est même finalement très plaisant de les retrouver sous des traits différents mais toujours eux-mêmes.

La BD questionne le bien et le mal et les choix que l'on fait (répression ou pédagogie).

Bien entendu la BD parle de sorcellerie et notamment de manière très intéressante dans les parties textuelles "En savoir plus". Ces passages, sorte de parties documentaires, reviennent sur : L Histoire des sorcières, des faits divers qui ont inspirés des films d'horreur (ex. L'Exorciste), la religion, la médecine, la psychiatrie et les termes accolés aux femmes et à la sorcellerie comme l'hystérie mais aussi sur des découvertes comme celle de l'Australie et de la culture aborigène par le capitaine Cook et notamment le "dreaming" (temps du rêve).
Seul petit bémol, la partie sur la "sorcière" moderne qui évoluerait désormais sur les réseaux sociaux m'a dérangée. Pour moi, cela ne relève pas de la sorcellerie mais d'escroquerie pour vendre de l'espoir à des personnes dans le besoin... mais cela reste mon point de vue personnel !

Reste que la partie BD est plaisante, et c'est ce que j'en retiens !
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J'avoue, c'est la couverture qui m'a attiré. Aussi avez vous eu cette splendeur entre vos mains ?? Elle est juste magnifique. Bref, l'intérieur est aussi beau que l'extérieur. alors je viens de lire a la fin qu'il y avait d'autres tomes avant mais en fait y a pas forcément besoin de lire les cinq précédents pour comprendre ce pavé de dessins comme l'on précisé les autres personnes. J'ai bien aimé le fait qu'il y ait une collaboration entre artistes et j'avoue que je ne m'y attendais pas (je n'y avais pas fait attention). Bref franchement ce récit avec pleins de petites histoires a l'intérieur c'était vraiment chouette et intéressant, y avait de l'action et de la réflexion et j'ai bien aimé tous les styles de cette bd. J'ai particulièrement apprécié les interludes entre chaque récit et même le mot de fin parce que mine de rien j'ai appris pleins de choses sur les sorcières et les femmes. Je conseillerai à tout le monde cette pépite aujourd'hui
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Mathieu Bablet s'imprègne à nouveau de l'univers magique de The Midnight tales pour nous proposer un nouvel ouvrage collectif. Ce nouveau roman graphique se positionne comme une conclusion des quatre albums, tout en pouvant se lire de façon indépendante. L'immersion dans l'ambiance fantasmagorique, magique et effrayante, se fait dès la prise en main de l'objet-livre, à l'édition soignée. Huit chapitres construisent l'histoire, où se relaient huit artistes, orchestrés par le chef de file Mathieu Bablet, qui signe à son tour plusieurs scénarios et illustrations. La richesse de cette collaboration se reflète par la multiplicité des points de vue, des propositions graphiques, qui gardent pourtant entre elles une harmonie. Une bande dessinée à la pagination conséquente, qui devrait ravir à la fois les aficionados d'ésotérisme et de sorcellerie, mais aussi les lecteurs curieux de (re)découvrir des artistes qu'ils apprécient ou qu'ils ne connaissent pas encore.
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