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Club N°51 : BD non sélectionnée
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Cet album a un côté Carbone & Silicium transposé au thème des sorcières.

On suit deux membres du Midnihgt Order (société secrète de sorcières établie depuis plusieurs siècles) durant 8 histoires et leurs transitions.

Il est très agréable de voir les personnages évoluer durant les années du récit.

A noter qu'il y a autant de dessinateurs/trices que d'histoires ce qui donne à chacune une ambiance bien particulière.

Pas mon Bablet préféré mais une lecture très agréable.

Gilles
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Tout d'abord en prenant cet ouvrage dans mes mains, on ne peut qu'être impressionné par son aspect qualitatif, c'est un épais bouquin, la couverture est imprimée en encre cuivrée sur un fond noir bleuté, il nous donne la nature de ce qu'il contient : Un livre chargé de mystère, d'ambiance énigmatique, sombre et effrayante.
The Midnight Order est une société secrète de sorcières, chargée de protéger le monde des sorcières aux pouvoirs trop forts.
Le livre est construit sous forme de chapitres distincts ,sous la direction de Mathieu Bablet, réalisés par des artistes différents intercalés d'articles autour du monde des sorcières.
Je ne me suis pas tout à fait retrouvé dans le Mathieu Bablet que je connais, plus orienté SF avec Shangri-la et Carbone & Silicium, et toujours en solo, comme dans Adrastée. On retrouve cependant son écriture, son rythme lent qui nous pèse pour mieux nous engouffrer dans ces mystères, dans cette ambiance lourde. Chaque auteur semble compléter l'histoire de sa petite anecdote et l'ensemble va reconstituer l'histoire de l'Ordre de minuit sur plusieurs années, centrée autour des personnages de Sheridan et Johnson. On pourrait penser que les différents styles nous dispersent, mais je trouve au contraire qu'il y a une homogénéité dans le ton, grâce à un objectif bien défini, le livre, par son aspect luxueux donne une sorte de pouvoir envoûtant, tel un grimoire magique, une oeuvre somme, un témoignage secret, mi-saga, mi-témoignage, un livre interdit qu'on découvre avec angoisse, beau et torturé…
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The midnight club

Reçue à Noël (pas celui-là, celui d'avant) j'avais hâte d'ouvrir cette BD à la magnifique couverture. Et puis en la feuilletant j'avais réalisé que c'était un recueil à la "the midnight tales" que j'avais bofbof apprécié. Il a donc attendu depuis tout ce temps sur mon étagère de livres à lire que je me motive à l'ouvrir.

Comme les midenaïte tayleus, je n'ai, je l'avoue, pas du tout (dutoutdutout) accroché aux dessins à part le trait de deux autrices (Daphné Collignon [rond, doux, épuré] et Claire Fauvel [qui m'a rappelé des teen comics américains] ) et celui de Mathieu Bablet. Sur 8 histoires c'est mort pensez vous et c'est vrai que ça a pas mal atténué mon plaisir de lecture. Et c'est dommage parce que Mathieu Bablet relie avec talent toutes ces nouvelles de quelques planches ou histoires illustrées et que les scénarios sont globalement sympa /bien documentés/ agencés entre eux pour former un tout bien ficelé.

Le tout ? Une histoire de sorcières. de leur place dans le monde. Ni trop faibles (inutiles) ni trop puissantes (trop dangereuses). Sinon gare à vos miches les brouches, un duo plus terrible que Will Smith et Tommy Lee Jones va vous tomber dessus, croyez moi à côté être flachouillé c'est peanuts. le pire c'est que ces GIB (Girls in black) perdent une part d'elle-même pour chaque sorcière qu'elles mettent hors circuit. le tout est entrecoupé d'histoire de sorcellerie et de paranormal à travers les âges. Un bouquin donc très intelligemment ficelé et articulé.

Donc voilà c'est vraiment dommage ce rendu fanzine car il me semble que la dernière fois déjà pour Midnight Tales le visuel avait beaucoup pêché pour moi (mais j'avais pas des masses accroché à l'histoire non plus)(il me semble) (memoria fugit holala). Et cette fois ci j'ai vraiment aimé le travail scénaristique derrière. Bref... Un concept intéressant mais à réaliser avec d'autres copains qui dessinent bien (siteuplé) .
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Fin 2022, Rue de Sèvres lançait le label 619, un label avec des projets BD qui sortent un peu du lot. Ce fut le cas de la Véritable Histoire du Dahlia Noir  avec un dossier sur l'affaire. C'est encore plus le cas avec The Midnight Order, un projet assez fou regroupant 10 artistes pour construire la même histoire. Une sacrée expérience !


Celui qui chapeaute le projet, c'est Mathieu Bablet, l'auteur du désormais célèbre Carbone et Silicium et ici, il s'est entouré d'une belle flopée de jeunes artistes prometteurs pour bâtir cette histoire de femmes et de société secrète. Chaque artiste a réalisé un chapitre de l'histoire en conservant son propre style mais en participant quand même au tout, tandis que Mathieu, lui, fait le lien avec de courts incipit et à l'aide d'un rédactionnel sur les mythes et légendes autour des sorcières ou des appendices confiés à Claire Barbe. Vraiment un gros projet.

L'objet est également magnifique, pour regrouper l'ensemble de ces travaux et histoires, Rue de Sèvres propose une très belle BD reliée avec dos plat et dorures sur tous les côtés + papier épais presque façon canson à l'intérieur. C'est très qualitatif et cela rend à merveille le côté ésotérique et merveilleusement sombre du projet.

Ce dernier est vraiment intéressant. Il propose d'entrer dans un monde où une société secrète a été créée pour accompagner les sorcières et maîtriser celles qui déraillent à cause d'un trop grand pouvoir et qui pourraient ainsi tenter le diable. On suit deux membres de cette organisation Johnson et Sheridan qui font partie de l'élite et accomplissent mission sur mission, malheureusement au détriment de leur humanité, ce dont l'une d'elle sa se rendre compte. Elle va donc essayer d'enrayer la chose.

En partant d'une base classique (sorcières et sorcellerie), les auteurs ont imaginé un bel univers flirtant entre SF et fantastique. le fait que chaque artiste apporte sa touche rend chaque chapitre différent. Ainsi on se retrouve avec une magie africaine tribale, ou avec une américaine très "bronx", ou encore avec une plus asiatique, une australienne, etc. On voyage et on rencontre beaucoup de portraits, légendes et rapports différents à cet art. Cependant très vite, un fil rouge va se dessiner : celui du destin de Johnson et en découvrant son histoire, c'est celle de l'organisation et de sa façon d'utiliser les faiblesses des femmes qui va naître. le récit se veut alors à la fois poignant et percutant, dénonçant comme toujours ce stéréotype de la femme "sorcière" même dans un monde plus libéré que le nôtre a priori.

J'ai aimé plonger dans ce décor qui malgré ses variations est très américain, une Amérique profonde et tribale à sa façon, rappelant les bayous et les grands espaces désertiques. Cependant à varier les auteurs, on varie aussi les styles et si l'intrigue a su m'accrocher avec cette histoire de famille qui a fini par se dessiner, j'ai cependant eu des hauts et de bas dans mon appréciation du projet. En effet, certains styles graphiques ne furent pas du tout à mon goût et avaient plutôt tendance à me sortir du récit, alors que d'autres m'ont totalement charmé. C'est le jeu. Cela m'a au moins permis de découvrir de nouveaux artistes et de voir que malgré un patchwork de style on pouvait créer une histoire cohérente au message fort de bout en bout.

Je tiens cependant à saluer en particulier les chapitres de Daphné Collignon qui m'a émerveillé par son style rond et délicat ; de Claire Fauvel où j'ai beaucoup aimé le travail sur la couleur et le côté un peu "manga" de son trait ; de Sumi avec son trait vif et presque polar à l'ancienne ; d'Allanva qui avait un côté un peu "scooby gang" plus moderne et de Thomas Rouzière pour côté très ethnique et limite futuriste malgré tout dans la décomposition du trait. Ce sont les artistes que j'ai préférés !

Aboutissement d'un projet finement ciselé, cet album du Midnight Order offre une histoire complète riche du rassemblement d'auteurs qu'elle a suscité. C'est une lecture puissante dans son propos, singulière dans sa forme, intéressante dans ses interstices et émouvante dans son message final plein de nuances. Il en dit long encore sur notre vision de l'histoire des femmes et Rue de Sèvres a décidément le chic pour mettre en avant cette thématique dans les oeuvres qu'ils décident de publier. Merci à eux !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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La forme de cette bande dessinée est incroyable ! Chaque chapitre est dessiné par un artiste différent (je vous mets la liste à la fin), ce qui fait plonger les lecteurs dans un univers unique à chaque nouvelle page de titre.

Les chapitres alternent avec les interludes écrites et dessinées par Mathieu Bablet, des dossiers autour des sorcières et leur traitement à travers les âges, et un passage du récit est uniquement composé de texte.

Ce passage intervient en plein milieu du livre et contient des sauts dans le temps de plusieurs dizaines d'années. En quelques pages, le récit prend un tournant à 90 degrés, il y a de quoi déstabiliser. de plus, je n'ai pas trop adhéré au style de l'auteur et à ses phrases qu'il faut relire deux fois pour comprendre. Il ne fait pas de retour à la ligne après une prise de parole, bon courage pour comprendre où chacun commence et finit.

Dernier point noir, cette fois-ci concernant l'ensemble du livre : les fautes d'orthographe sont un peu trop présentes et coupent la lecture.

Le récit se centre autour de deux personnages : Johnson et Sheridan, l'une supportant un peu mieux que l'autre le fait de devoir chasser et enfermer les sorcières ayant un trop grand pouvoir plutôt que de leur apprendre à s'en servir.

Les deux femmes fonctionnent en binôme, et sont assez efficaces et complémentaires au début du récit, mais leurs intérêts divergent de plus en plus à mesure qu'il avance. Leur relation est très intéressante à suivre, bien que son dénouement soit improbable.

Les dessins sont parfois très beaux, parfois moins, mais c'est subjectif : on aime ou on n'aime pas le style d'un illustrateur. L'avantage, c'est qu'il y en a assez dans cette bande dessinée pour en trouver (au moins) un qui nous plaise !

Les personnes ayant participé à ce livre : Isabelle Bauthian (Scénario) / Mathieu Bablet (Scénario, Dessin) / Claire Barbe (Scénario, Autres) / Daphné Collignon (Dessin) / Claire Fauvel (Dessin) / Thomas Rouzière (Dessin) / Sumi (Dessin) / Allanva (Dessin) / Quentin Rigaud (Dessin) / Titouan Beaulin (Dessin) / Prince Rours (Dessin) / Florent Maudoux (Storyboard) / Tanguy Mandias (Autres) / Cathy Fernandez (Couleurs)
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Huit artistes et Mathieu Bablet en chef d'orchestre d'un album collectif et ambitieux, voilà le menu de "The midnight order".

L'Ordre de Minuit cherche à maintenir l'ordre du monde. Johnson et Sheridan parcourent le monde pour combattre les sorcières incapables de gérer leurs propres pouvoirs. C'est un peu le côté obscur de la force que l'Ordre combat et la sanction est simple: on tranche les mains des sorcières qui provoquent le chaos.

Un très beau livre, encore , au label 619 que cet album de 272 pages, découpé en chapitres (avec des intermèdes aussi réussis) illustrés par différents artistes: Allanya, Isabelle Bauthian, Rours, Sumi, Thomas Rouzière, Claire Fauvel, Titouan Beaulin, Daphné Collignon, Quentin Rigaud et donc Mathieu Bablet.

J'avoue en avoir découvert beaucoup d'entre eux et si l'ambiance globale est bien unifiée, sombre et mystérieuse, j'ai adhéré plus facilement à certains univers graphiques qu'à d'autres.

Le récit est lui bien tenu et on s'attache à ces deux personnages que l'on va suivre face à leurs propres doutes, surtout quand l'une d'entre elles sera confrontée à sa propre soeur.

Le label 619 nous gâte... Après "A short story", "Hoka hey", voilà "The midnight order', un autre beau travail d'édition et un récit collectif à découvrir.
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Ce roman graphique me pose problème.
Je l'ai aimé sans vraiment l'aimer.

Je m'explique.
L'univers est fascinant : on découvre un ordre secret de sorcières qui forment et qui traquent. Avec une notion de ce qui est juste ou pas mise sur la table et un paradoxe avec la chasse menée contre les sorcières dans le passé. de plus, certains chapitres sont superbement illustrés et certains font un focus historique pertinent sur le mythe de la sorcière.

Pour autant, j'ai trouvé que l'histoire était mal ficelée. Les chapitres s'enchainent un peu maladroitement, on sait où on va, pas de suspense, certains styles graphiques m'ont moyennement plu.

Donc un avis mitigé, pour une lecture intrigante mais en demie teinte. C'était bien puis c'était bof, puis c'était bien. Assez déstabilisant.
Je jetterai sûrement un coup d'oeil aux "Midnight Tales" pour voir si c'est mieux fichu. Parce que l'univers est cool, je dois le reconnaître.
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Après un certain temps, j'ai réalisé que j'avais été vraiment déçu par cette lecture. Je m'attendais à beaucoup plus. J'ai d'abord été déçu par la forme physique de l'objet-livre et, surtout, par la forme narrative ainsi que le fond qui est complètement différent de la saison 1 de Midnight Tales

Le fait de se concentrer sur des personnages en particulier me dérangeait beaucoup et, à mon sens, s'éloignait de l'impulsion de base de la série Midnight Tales qui, pour moi, semblait très prometteuse : avoir pour fil rouge l'organisation de l'Ordre de Minuit et comment les sorcières vivaient l'espace public et l'espace privé au fil des temps à travers les pays, mais surtout à travers des personnages différents qui affrontaient une pluralité de destins et faisaient face à des problèmes inhérents à l'endroit où elles vivaient. Ici, on revenait à une structure narrative classique qui faisait écho à Vladimir Propp et Joseph Campbell.

Je pense que le projet n'avait pas eu assez de temps pour mûrir. Il me semble que la saison 2 de Midnight Tales devait se former comme la précédente, avec quatre tomes, ce qui aurait permis de faire évoluer l'univers et d'offrir plus d'informations. Comme c'est un one-shot et que l'on se concentre sur deux personnages et sur le background d'un seul en particulier, il y a beaucoup d'infodumping qui soit n'était pas nécessaire et ne servait que ce schéma narratif très connu (un membre de la famille du personnage principal devenait un ennemi et n'était qu'en fait la conséquence d'un problème soi-disant plus grand (qui d'ailleurs ce problème plus grand n'est pas du tout exploité et fini à la hâte : le roi des enfers était en réalité trop faible face aux sorcières, oui le récit se termine ainsi)) , soit n'était pas suffisamment exploité et avait pour seul but de créer un équilibre des forces pour une morale prévisible (je parle ici de la contre-organisation des Soeurs de Sélène qui aurait mérité un véritable approfondissement, comme fait pour l'Ordre de Minuit lors de la saison 1). le fait que Mathieu Bablet soit seul au scénario se ressent et je trouve que cela limite énormément le récit et ne permet pas autant de liberté de la part des illustrateurs et illustratrices. On perd vraiment en qualité pour servir un livre qui fonctionne bien sur le plan marketing.

De plus, l'objet-livre promeut également cette volonté de créer un livre qui se vend plutôt qu'une bonne série travaillée. Attention, je ne dis pas que l'objet n'est pas beau, il l'est, mais j'ai l'impression que l'identité de la série est quelque peu trahie : on passe de livres souples, faciles à transporter et à prêter, produits de la pop-culture qui est très importante dans l'identité du label 619, à un énorme livre que l'on a peur d'abîmer, qui n'était pas maniable et qui avait un certain coût. On dirait qu'il s'agit d'une édition collector de livres qui n'ont pas encore été publiés. À mon sens, cela s'adresse à un public différent, et permet de mieux faire passer la pilule par rapport à la baisse de qualité, mais aussi au fait que la série connaît une fin rapide et bâclée.
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Suite à la lecture (adorée) de Carbone et Silicium, j'ai eu envie de me pencher sur la nouvelle oeuvre de Mathieu Bablet (mais pas que). Cette BD est la suite et fin de la saga Midnight tales. Elle peut toutefois être lue indépendamment ! On y fait irruption dans un univers de sorcellerie à foison. 9 illustrateurs/trices aux styles très différents se répondent et alternent dans l'ouvrage, pour faire progresser l'intrigue. C'est souvent Mathieu Bablet au scénario. Tout au long du récit, on cherche à comprendre de quel côté est le bien, de quel côté est le mal. le récit est très riche, alternant d'apparentes petites histoires avec un fil conducteur suivant Sheridan et Johnson (quitte à parfois s'y perdre un peu).

The Midnight Order est une oeuvre unique, à l'écrin fabuleux, qui fait cohabiter fiction et histoire, texte et illustration, artistes talentueux. Un beau récit.
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De Mathieu Bablet, j'avais beaucoup apprécié sa précédente oeuvre, « Carbone & Silicium », beaucoup moins son « Shangri-La ». « Midnight Order » s'inscrit dans l'univers de sa série « Midnight Tales «  que je n'ai pas lu à ce jour.

De prime abord, l'objet en lui-même est magnifique. Un livre de qualité avec une superbe couverture. de quoi mettre l'eau à a bouche. C'est un ouvrage collectif dont les illustrateurs et les scénaristes changent en font des chapitres. Malgré ces changements de dessinateurs, les graphismes sont globalement réussis et beaux.

Nettement moins séduit par le scénario. L'univers est pourtant accrocheur à défaut d'être original. Mais les intrigues qui en découlent m'ont profondément ennuyé. Aucune inspiration de ce côté-ci. J'ai même trouvé l'histoire brouillonne avec des personnages aseptisés et peu intéressants. Je n'ai pas réussi à rentrer dedans et pris peu de plaisir à la lecture.

Doté d'un fort message féministe, cette bande dessinée propose aussi quelques pages documentaires bienvenues sur l'histoire des sorcières et de la magie.

Moyennement convaincu par cet ouvrage. de belle facture, il pourra toujours embellir les rayons de votre bibliothèque.
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