La carence affective est un cycle sans fin, peu importe l’homme, la maladie est la même, seul le nom change. Il faut se sortir de cette cage, prendre les choses en main, toucher de nouveau à la vie à d’autres endroits, tout aussi palpitants.
Tu ne supportes pas que les gens que tu aimes aient un jardin secret. Tu voudrais la vérité, et toute la vérité. Seulement, il n'est ni possible ni conseillé de tout révéler au grand jour. Il faut parfois simplement laisser à l'autre sa liberté.
C'est fou, cette capacité à afficher un grand sourire sur un écran tandis que l'on retient un soupir exaspéré...
Finalement, en entrant dans le monde de l'entreprise, je pensais faire mes premiers pas dans celui des adultes. Certes, grâce à leurs salaires, toutes ces personnes arborent des vêtements ou des accessoires plus coûteux, et ont appris à faire illusion au fil du temps, mais elles n'en restent pas moins guidées par les mêmes préoccupations qu'au lycée. Comment vais-je coucher avec Untel ou Unetelle ? Qui a couché avec qui ? Ce n'est plus la course après les notes, mais après les primes ou les promotions. On prend les mêmes, on change les appellations et on recommence !
Le passé est le seul pont qui nous relie. Un pont artificiel, que l'on n'ose pas démolir
-J'ai besoin d'être seule, je crois. De ne pas vivre avec quelqu'un pour être avec quelqu'un. De m'affranchir de la dépendance affective. Certains ont besoin d'être à deux pour former un tout. Mais il faudrait d'abord que je forme un tout avec moi-même...
Il n'y a rien de constant si ce n'est le changement
Cette sensation est à la fois enivrante et douloureuse. C'es la chute. La marche vers l'autre, inévitable. La peur de ce que l'on va trouver au carrefour, mais le besoin impérieux de s'y rendre.
On cherche peut-être le relationnel là où il n'a plus lieu d'être.
Il y a une méthode simple, lorsque l’on souhaite en dire le moins possible sur soi. Il faut poser des questions aux gens. Ravis de pouvoir monologuer sur leur personne, ils vous fichent la paix. Cela fonctionne à tous les coups.