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3,52

sur 165 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Bienvenue à l'hôtel Savoy, tome 1 : le crime de la chambre 705 , signé par Prudence Emery et Ron Base, est publié aux éditions De La Martinière.
Un roman policier a rangé dans les cosy mystères, un roman qui se lit vite et bien , un roman qui fleure bon les sixties, un roman ma foi fort sympathique à découvrir, j'ai passé un agréable moment en compagnie de Priscilla Tempest attachée de presse de l'Hôtel Savoy à Londres.
Nous sommes en 1968, les jupes se font mini, la musique éclate, les moeurs semblent plus libérées, mais l'establishment règne en maitre et Buckingham veille sur ses ouailles...
Un mort dans la chambre 705, cela fait désordre mais un second n'en jetez plus la coupe est pleine surtout lorsqu'il s'agit d'un membre éminent des Tories... Et qui se trouve systématiquement aux premières loges? Priscilla bien sûr! Pas certain qu'elle conserve son job quand l'enquête sera résolue, en attendant elle survit vaille que vaille et mène son enquête.
Un roman où certes l'intrigue frise parfois l'invraisemblance, où les célébrités côtoient le petit peuple, où l'aristocratie fréquente des gens peu recommandables, où les malfrats, le KGB et autres odieux personnages semblent agir en toute impunité. Qu'importe, j'ai passé un très agréable moment , j'ai souvent éclaté de rire malgré les affres de la situation dans laquelle Priscilla se retrouve piégée. Une lecture cocooning qui fait du bien n'en déplaise à certains .
Un grand merci aux éditions De La Martinière via Netgalley pour ce partage
#BienvenueàlHôtelSavoy #NetGalleyFrance !



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Bienvenue dans les années soixante. il est des personnes, encore et toujours, pour nous parler du bon vieux temps, eh bien, dans ce roman, nous y sommes, et il n'était pas si bon que cela, surtout si l'on était une femme, une femme qui, comme Priscilla Tempest, veut mener sa vie comme elle l'entend, s'habiller comme elle veut, avoir un travail qui lui plait et mener sa vie sentimentale à sa manière. Ce n'est pas de chance pour elle, mais faut-il le rappeler ? Les années soixante n'étaient pas vraiment les plus épanouissantes pour les femmes.
Là où la vie de Priscilla se complique fortement, c'est qu'un cadavre est trouvé dans une chambre d'hôtel du Savoy, ce qui ne se fait pas (pas au Savoy !!!!) et qu'elle a passé la soirée avec la victime, avant que celui-ci ne devienne un cadavre. J'ai eu l'impression, en lisant cette enquête, que beaucoup de personnes avaient perdu la raison autour de Priscilla – impression qu'elle partage amplement – quand ils n'oublient pas ce que se comporter normalement signifie. En suivant Priscilla, y compris dans son travail, le lecteur n'est pas à l'abri d'un choc des cultures, voire d'un choc des civilisations, ancien monde contre nouveau monde – ou comment prendre soin de la belle-mère de son chef, fraîchement arrivée sur le vieux continent : celle-ci n'a pas vraiment l'intention de se comporter comme sa fille l'attend !
L'intrigue est bien plus compliqué qu'elle n'en a l'air, cachant ici et là des ramifications, liés à des enjeux qui dépassent le commun des mortels, même quand les protagonistes essaient, justement, de passer pour le commun des mortels. Les années soixante, ce n'est pas seulement le rock et les mini-jupes, c'est aussi la guerre froide – n'appelez pas James Bond, les espions sont déjà dans la place.
Je n'ai garde d'oublier que ce roman, et les mésaventures de Priscilla peuvent être très drôles. L'on a pu oublier le potentiel ravageur du couple Taylor/Burton, ou le parfum de scandale qui entourait la princesse Margareth.
La fin du roman m'a cependant rassurée : maintenant, j'attends la suite !!!!
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Priscilla Tempest est attachée de presse au Savoy. Alors qu'elle essaie de se remettre de son excès de champagne de la veille, un corps est découvert dans une suite. Problème, c'est l'homme avec lequel elle a passé la soirée. Alors entre les clients capricieux, la belle-mère du directeur de l'hôtel à gérer et les soupçons de la police à son encontre, Priscilla sent que ses ennuis ne font que commencer.
J'ai beaucoup apprécié ma lecture de ce cosy mystery. Avec son héroïne pas aussi idiote que les hommes qui l'entourent veulent bien le croire, l'intrigue enchaine les rebondissements et les morts sur un rythme soutenu. Dans les couloirs feutrés de l'hôtel, le nombre de ceux qui veulent étouffer l'affaire ne cesse d'augmenter et Priscilla se met un peu trop en travers de leur chemin. L'histoire est pétillante, pleine de légèreté et d'aventures et l'on y croise toute sorte de célébrités. Un vrai plaisir à lire.
J'espère croiser à nouveau Priscilla sirotant un Buck's fizz en compagnie de Noël Coward.
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Bienvenue à l'Hôtel Savoy le Crime de la Chambre 705, Death at the Savoy dans la version originale parue en 2013, a été publié par les éditions La Martinière en 2022. le style agréable est rehaussé par le ton léger, un tantinet dans la dérision: "On se doit toutefois de noter que, outre ses longues jambes et son délicieux visage de lutin qui lui conféraient bien davantage de libertés que ne l'aurait fait un physique banal, Priscilla était Canadienne, ce qui la rendait encore plus suspecte. Pensez donc: une étrangère au bureau de presse! Une étrangère absolument ravissante, certes. Mais tout de même." (Page 27)
Fil rouge: l'incapacité de Priscilla de résister à tout homme présentant une mâchoire remarquablement carrée et u sourire éblouissant!
Un humour subtil, parfois moqueur, parfois potache, émaille agréablement les pages de ce charmant cosy mystery: "Mais Percy se leva quand même, dépliant son mètre quatre-vingt dix de splendeur débraillée sous le regard songeur de Priscilla. On pouvait le trouver attirant, concéda-t-elle en son for intérieur. Eventuellement s'il était le dernier homme hétérosexuel sur Terre. Ou peut-être l'avant-dernier." (Page 56)..."-Ma pauvre petite. Les gens se trompent en disant que l'opéra n'est plus ce qu'il était. L'opéra est exactement ce qu'il a toujours été -c'est justement le problème. Cet Amir a dû regagner sa chambre désespéré par ce qu'il venait de voir, et il décidé de se suicider." (Page 82)

1968. Panique au Savoy, l'un des hôtels les plus prestigieux au monde, réservée à une élite très argentée. Alors que l'établissement attend l'arrivée du célèbre humoriste Bob Hope pour le lendemain, celle du premier ministre australien pour la fin de la semaine, ainsi que Louis Armstrong incessamment sous peu, et, cerise sur le gâteau, la reine mère pour le déjeuner, un cadavre est découvert dans la suite 705. Et pas n'importe quel cadavre! Celui d'un marchand d'armes. Pas très fréquentable, il faut bien l'avouer, mais richissime...
La situation est délicate. le moindre faux pas pourrait nuire à l'image du Savoy. La presse, cette bande de chacals assoiffés de sang, va aussitôt s'emparer de l'affaire. Et si l'information selon laquelle la princesse Margaret, ou une femme lui ressemblant étrangement, a été vue par une femme de chambre sortir en courant de la suite du mort, venait à fuiter, s'en est fait du Savoy. définitivement.
Priscilla, qui se trouvait la veille dans la suite fatale, en compagnie du cadavre, encore bien vivant, est aussitôt soupçonnée par la police. Et dans le collimateur du directeur de l'hôtel. Pour prouver son innocence, elle n'a d'autre choix que de collaborer avec l'agaçant mais séduisant Percy Hoskins, déjà au courant de tous les dessous de l'affaire. Vu que la jeune fille se trouvait sur le lieux chaque fois qu'une mort suspecte se produit, a-t-elle d'autre choix? Commence alors une course contre la montre aussi loufoque que périlleuse.

Un savoureux cosy mystery qui se déroule dans l'Angleterre des Swinging Sixties, où l'hôtel Savoy, institution nationale à son apogée, accueille les familles les plus fortunées, les personnalités les plus célèbres, les aristocrates les plus décadents dans son monde de perfection raffinée et, il faut bien le dire, un tantinet surannée.
Mettant en scène des personnages drôles et attachants, patibulaires et mystérieux: l'espion séduisant, la princesse rebelle, la belle-mère délurée, l'attachée de presse romanesque, le flic soupçonneux et le journaliste fouineur se croisent dans une sarabande effrénée pour notre plus grand bonheur. Ce premier tome est une telle réussite que nous attendons le second avec impatience.
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Direction Londres en plein coeur des années 60 avec ce charmant cosy mystery à la couverture colorée très attirante.

Un meurtre dans un hôtel de luxe, il n'en fallait pas plus pour me tenter et ça a matché, j'ai adoré ce roman.

L'intrigue est prenante et plutôt bien ficelée malgré l'apparition de certains indices tombés du ciel.

L'histoire est rythmée, rebondissements et complots à la pelle, le tout agrémenté d'une bonne dose d'humour so british.

Les personnages sont sympathiques, drôles et doté d'un fort caractère, notamment Priscilla qui dénote au Savoy.

Je suis ravie d'avoir lu le premier tome de cette nouvelle saga, j'ai hâte de découvrir la suite.
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je découvre ce nouveau cosy mystery que j'ai beaucoup aimé.
Priscillia Tempest est une protagoniste comme on les aime qui ne se laisse pas marcher sur les pieds malgré des hommes qui lui en font voir de toutes les couleurs.
Tout est là pour une très bonne enquête sachant que tout s'enchaine très vite.
Il se lit extrêmement rapidement et donne envie de connaitre la suite
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Bienvenue à l'hôtel Savoy !

Dans le décor des Swinging Sixties, c'est l'occasion de découvrir des personnages hauts en couleur, de profiter de coupes de champagnes, de batifoler. Malheureusement, ce décor va vite s'assombrir avec un crime dans la suite 705.

Qui a bien pu commettre un crime dans ce sublime hôtel ?

Avec une couverture qui attire directement l'oeil, le synopsis de ce cosy mystery a également éveillé ma curiosité. Écrit à deux mains, on plonge dans le quotidien de l'hôtel Savoy, chamboulé par un meurtre tout récent, mais sera-t'il le seul ou d'autres suivront ?

Priscilla Tempest, attachée de presse de l'hôtel se retrouve au coeur du tumulte présent à l'hôtel. Malheureusement, elle a le don pour ne prendre que les mauvaises décisions, ce qui fait qu'elle se retrouvent dans tous les ennuis possibles et imaginables. Ceci est ce qui va quand même la pousser à mener sa propre enquête quand à ce qu'il se passe à l'hôtel, ce qui ne va pas arranger sa capacité à s'attirer des ennuis.

C'est un livre captivant qui nous plonge dans l'univers mystérieux et glamour de l'hôtel Savoy, situé en plein coeur de Londres. L'histoire se déroule en 1956 et suit la vie de nombreux personnages tous aussi farfelu que les autres, de la direction de l'hôtel aux clients excentriques en passant par le personnel dévoué, tel que Priscilla.

Les auteurs, Prudence Emery et Ron Base, ont fait un travail remarquable pour dépeindre avec précision l'époque de l'après-guerre et l'atmosphère vibrante de l'hôtel Savoy. Entre tradition avec la réputation de l'hôtel et la modernité de certains de ses personnages, on découvre un univers épatant, qu'on ne connait pas réellement.

C'est un livre rempli d'humour, qui se lit très facilement et rapidement. Ce fut un vrai plaisir de suivre les aventures de Priscilla, de s'inquiéter pour elle, d'être heureuse de ses victoires avec elle. J'ai adoré le caractère et la façon d'être de ce personnage.

L'histoire est pleine de rebondissements, ce qui fait que le livre ne contient pas de longueurs. Tout est fluide, on ne s'ennuie pas, et c'est bien rempli, c'est un cosy mystery qui tient le lecteur en haleine jusqu'à la fin mais reste une lecture très agréable à lire tout en étant bien installé.

Dans l'ensemble, c'est un roman qui ravira tous les amateurs de romans historiques et de mystères. Un premier tome prometteur, et qui donne envie d'avoir le second pour retrouver cette chère Priscilla.

Merci à NetGalley et aux éditions La Martinière pour cette lecture !

#BienvenueàlHôtelSavoy #NetGalleyFrance
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Un roman policier très drôle sur fond d'espionnage et de mafias. On s'attache à Priscilla, cette jeune canadienne qui a atterri on ne sait pas trop comment dans cet hôtel, et que son directeur menace à tout moment de faire virer. Dans cet hôtel on va y croiser Liz Taylor, Richard Burton, la Princesse Margaret, un agent secret, une femmes de ménage suspecte, un barman autrichien un peu trop réactif et un acteur fourbe. Un livre idéal pour les vacances.
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Nous avons au début du livre un plan de l'hôtel et un descriptif des personnages avec une représentation d'eux sous forme de dessin. C'est assez drôle et ça nous permet de mieux visualiser l'hôtel qui sera le lieu principal de ce roman.

Priscilla est une attachée de presse dans un hôtel prestigieux de Londres : le Savoy.
Comment a-t-elle eu ce job ? Bonne question les auteurs ne nous l'ont pas dévoilé. J'ai adoré ses côtés fous et sûre d'elle, elle ne s'occupe pas de l'avis des autres et s'en porte bien. En revanche c'est une vraie catastrophe ambulante, elle a le don de prendre les mauvaises décisions et de se mettre dans de mauvaises situations. Ça la rend attachante et très marrante.

L'enquête est hyper prenante, riche en rebondissements. Les auteurs ont réussi à nous donner l'impression que tout va très vite, on ne s'ennuie pas une seule seconde et Priscilla n'a jamais le temps de souffler.
La lecture de ce fait est très rapide parce qu'on ne se rend pas compte du temps qu'on passe à lire.
J'ai passé un très bon moment, je ne me suis pas ennuyée un seul instant et j'ai hâte de me plonger dans le deuxième pour lire la suite des aventures de Miss Tempest.

↪️ En bref : Un début de série prometteur, j'ai envie de lire la suite pour voir si mon impression se confirme.
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Priscilla Tempest, l'attachée de presse du Savoy, a une réputation fragile. Elle aime beaucoup (trop) le champagne et encore plus les hommes, surtout ceux qu'il ne faudrait pas cotoyer.
Mêlée malgré elle à plusieurs meurtres au sein du Savoy, elle a l'art de se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment.
Et elle ne sait à qui faire confiance mais elle va devoir mener l'enquête pour se laver de tout soupçon tout en gérant l'impossible belle-mère du directeur.
C'est bien écrit,dynamique,souvent drôle. On croise des personnages fictifs et d'autres plus historiques.
Un livre que je recommande.
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