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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Quel plaisir de découvrir un nouveau roman de la collection Scrineo Mythologie ! Et d'autant plus que cette fois-ci ce sont les femmes qui sont mises à l'honneur. Ce que nous allons découvrir ne sera sûrement pas plaisant comme la collection qui donnait la parole aux "monstres" mais au moins, elles auront droit à la parole.

Ici, nous rencontrons Pandore, malheureusement célèbre pour avoir relâché tous les maux de l'humanité en ouvrant la jarre que Zeus lui avait confié. Je ne connaissais pas grand chose du mythe, mis à part ce qu'était La boite de Pandore, et j'avoue que j'avais hâte d'en découvrir plus.

Si le début du roman a quelque chose de grisant, la suite l'est beaucoup moins. J'entends par là que nous découvrons Pandore, la première femme créée par les Dieux de l'Olympe. Sa naissance est magique, tout comme tout ce qu'elle découvre petit à petit. J'ai aussi aimé sa façon de voir les Dieux. Elle se rend compte rapidement qu'ils ne sont bourrés de défauts et qu'elle ne comprend pas le fait qu'ils se sentent supérieurs. Bien qu'elle soit leur création, il y a un détachement entre elle et eux. Et vu comment ils se comportent avec elle... c'est une très bonne chose.

Et puis, comme nous pouvons nous en douter, les choses se compliquent. Les Dieux offrent des "présents" à Pandore qui ne sont au final que des cadeaux empoisonnés. Non seulement, ils se jouent d'elle, n'ayant aucune mansuétude, mais en plus, ils la privent de son libre abrite. Difficile donc de ne pas être en colère rapidement. On voit également dans ce que subit Pandore beaucoup de choses que les femmes subissent. Et c'est comme avoir ses frissons très désagréables sur la peau. Elle s'en accommode car elle ne connait rien d'autres.

Et c'est là tout le paradoxe. Jusqu'à ce qu'elle ouvre la jarre, Pandore est heureuse malgré sa condition. Et puis tout bascule. Elle n'est que l'objet d'une vengeance puérile. Mais elle est aussi, en un sens, l'incarnation de tous les défauts caricaturaux d'une femme. Une existence qui renvoie une image très complexe. Je n'arrive d'ailleurs pas à savoir ce que j'ai ressenti face à cette lecture. Je la trouve très intéressante à de nombreux niveaux, mais elle me fait aussi ressentir de la colère. Là encore, une bonne chose dans le sens où j'arrive à voir ce qui ne va pas, si je puis dire et que cela me fait quelque chose, je ne reste pas de marbre.

Et puis, enfin découvrir le mythe dans sa globalité était une très bonne chose. J'ai même envie d'en apprendre plus, notamment sur la fille de Pandore et son mari. Donc ma curiosité est piquée.

Un premier tome d'une collection que j'espère très fournie pour l'avenir. Clairement le genre de récit qui ne sera pas facile à lire mais nécessaire, je n'en doute pas. Et puis, en apprendre plus sur les femmes de la mythologie sera une excellente chose, c'est certain, surtout si elles ont leur mot à dire !
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Ayant déjà vu passer cette collection, j'ai voulu essayer d'en découvrir un volume, et mon dévolu s'est jeté sur Pandore. Pourquoi ? Parce qu'elle est justement une de ces figures féminines de la mythologie particulièrement décriée et rendue négative par son rôle même au sein de cette même mythologie.

Pandore, c'est la première femme créée par les Dieux, c'est celle qui amène le Malheur sur le monde en ne respectant pas le souhait de Zeus de ne pas ouvrir une boîte mystérieuse qu'il lui a confiée, et qui le contient, justement, sous diverses formes.

Dans le récit que nous propose Sylvie Baussier de l'histoire de Pandore, celle-ci devient enfin ce qu'elle est censée être, c'est-à-dire la première femme : elle est de fait humanisée, narratrice de sa propre vie et de la fatalité de son destin forgé par les Dieux afin de se venger des hommes, plus précisément de Prométhée. Elle nous raconte, précisément, simplement, avec émotion, toutes les étapes qui la mèneront, tragiquement, à l'ouverture de la boîte.

En guise de conclusion intéressante, des explications plus précises sur certains points de l'histoire, et des jeux qui permettent d'en vérifier sa compréhension pour les plus jeunes.

Un récit que j'ai apprécié lire, que je compte me procurer pour le lire avec mon fils, et que je compte compléter avec le reste de la collection. Je remercie les éditions ScriNeo et NetGalley de m'en avoir permis la découverte.
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La malédiction
Je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Scrineo pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une opération Masse Critique Privilégiée.
Quelle bonne idée de faire découvrir à un jeune lectorat la mythologie grecque du point de vue des femmes !
Dans cet ouvrage, l'auteure nous présente la première femme, Pandore, née du caprice de Zeus. C'est Héphaïstos le dieu du feu et des forges qui la crée, avec de la terre et de l'eau, mais c'est Athéna qui lui donne vie. Aphrodite, Héra et Hermès se chargeront de lui octroyer la beauté, la séduction, la curiosité… Quant à Zeus, il lui remet une jarre en lui enjoignant de ne jamais chercher à l'ouvrir. Pandore est « lâchée » dans le monde des humains : elle a une mission mais elle ignore laquelle. Elle rencontre deux frères, Prométhée et Epiméthée qu'elle épousera. Tous ignorent qu'ils sont les jouets de Zeus… et l'histoire finira mal.
Tout le monde connaît la boite de Pandore, en l'occurrence une jarre, qui contient tous les maux de la terre (peine, douleur, fatigue, maladie, famine, malheur...) et qui auraient pu y rester à tout jamais… Pourtant, c'est l'espoir qui reste coincé dans la jarre.
Très accessible (de courts chapitres, une écriture fluide) , ce livre explique le point de vue de Pandore et sa malédiction.
C'est très bien fait, au début du livre l'auteure présente les personnages et chaque chapitre débute par une petite illustration (ici la jarre). A la fin, le mythe de Pandore est expliqué pour approfondir le texte (plutôt destiné aux parents) et un petit cahier de jeux permet aux enfants de tester leurs connaissances tout en s'amusant.
Je recommande vivement cet ouvrage (à partir de 10 ans).
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Que savons-nous de Pandore, sinon que nous devons à sa curiosité tous les maux de l'humanité ? Ce mythe ne méritait-il pas une relecture ?
Grâce à Sylvie Baussier, c'est désormais chose faite et les jeunes lecteurs pourront découvrir une histoire plus complexe tout en restant très accessible. Pandore, la première femme, créée par Héphaïstos à la demande de Zeus, prend ainsi sa place dans la généalogie de l'humanité. A travers ce personnage, se repose l'éternelle question de la liberté des humains face à la toute puissance des dieux, et c'est aussi ce qui fait la beauté d'un mythe que de pouvoir sans cesse être réinterprété et réactualisé.
Les annexes sont très claires et enrichissent le récit avec des sources, des illustrations et des jeux.
Merci aux éditions Scrinéo pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une opération masse critique, j'aime vraiment beaucoup cette collection, et je ne suis pas la seule, j'ai dû attendre que mes enfants aient lu le livre et me le rendent avant de pouvoir m'y plonger !
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Quelle bonne idée : la mythologie, vue du côté des femmes !!
Sylvie Baussier, déjà autrice de nombreux romans jeunesse de mythologie (couvertures bleues) nous entraîne dans une nouvelle série racontée au féminin.
Deux titres paraissent en même temps, Pandore, et Pénélope.
Un texte simple, clair, assez court pour ne pas décourager les petits lecteurs, assez long pour qu'on entre vraiment dans l'histoire et qu'on s'attache aux personnages.
Au début, il y a justement une bonne présentation des cinq personnages principaux, une page chacun avec une illustration. C'est appréciable.
À la fin, un dossier entre 12 et 15 pages, présentant des explications sur le mythe.
Puis un cahier de jeux, qui permet de "réviser" ludiquement ce qu'on a retenu.

Nous découvrons donc Pandore, qui nait dans un monde où n'existent que des hommes, en plus des déesses et des dieux. Jolie et naïve, elle a tout à découvrir, le monde comme les mots, les objets comme les sentiments.
Créée sur l'ordre de Zeus, qui a prévu de s'en servir comme instrument de vengeance, elle n'aura pas tout à fait le choix. On lui offre en cadeau une jarre, sans autorisation de l'ouvrir. Mais aussi la curiosité et le mensonge.
Et ce monde qui était idyllique (paradisiaque ?) va basculer dans la guerre et les désastres. Est-ce vraiment sa faute ?
Je connaissais le terme "boîte de Pandore" mais pas grand chose de plus à son sujet. Mais le texte est très clair, même pour ceux qui, comme moi, sont nuls en mythologie !
Il plaira aussi à ceux qui dévorent tout sur le sujet, car il me semble que Pandore n'est pas une figure dont on parle très souvent.
Bref, une jolie réussite que ce premier volume, et on n'oubliera plus Pandore je pense.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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Après la légende de Pénélope, j'ai plongé dans l'histoire de Pandore, la première femme, créée par Héphaïstos sur ordre de Zeus pour être "offerte" aux hommes.

De Pandore, on a surtout retenu l'expression de la boîte de Pandore, tous ces maux qui se répandent sur Terre "à cause de" la curiosité d'une femme. Ce qu'on oublie, c'est que cette curiosité lui a été octroyée par Athéna, sur ordre de son père Zeus, qui voulait punir les hommes. Pandore est ici un outil, celui d'une vengeance. Elle est utilisée comme un vulgaire objet, et c'est proprement révoltant.

On le ressent bien à la lecture de ce court roman, qui met bien en avant l'impuissance de la jeune héroïne, et ce, dès sa "naissance". Elle est assez rapidement consciente d'être utilisée, elle porte un regard très perspicace sur les dieux de l'Olympe et leurs défauts.

Si je connaissais plutôt bien l'histoire de Pandore, d'Epimethée et de Prométhée, j'ai été ravie d'en apprendre plus sur leurs enfants, et la suite de cette légende !

Mention spéciale pour le dossier très intéressant fourni en fin d'ouvrage, qui nous recontextualise l'histoire de Pandore dans la mythologie.

Une très chouette lecture, qui permet de découvrir la mythologie grecque via une femme. Un ouvrage pédagogique et ludique à partager !

Merci à Babelio et à Scrineo pour cet envoi !
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Moi Pandore, la première femme” est le petit dernier de la collection “la mythologie vue par les monstres” aux éditions Scrineo. Connaissez-vous ? A chaque titre Sylvie Baussier nous fait découvrir un épisode mythologique du point de vue d'un monstre. C'est au tour de Pandore de nous raconter son histoire. Et cette fois, de son point de vue à elle !

J'aime beaucoup cette collection qui permet d'avoir un autre angle d'un épisode mythologique célèbre. Ils sont toujours racontés du point de vue de l'homme et du héros. Il était temps de redonner la parole aux autres protagonistes. Surtout que Sylvie Baussier ne change pas l'histoire pour transformer le monstre en héros, elle donne sa version des faits. Ainsi elle montre une autre manière de voir les choses. Je trouve ce procédé très intéressant. Et “Pandore” se prête bien à cet exercice.

Pandore est-elle responsable des maux de l'humanité ?
C'est ce qu'on dit d'elle et des femmes en général. Pandore est responsable des maux de l'humanité. Avant qu'elle ne fasse sa curieuse les hommes étaient heureux et ne connaissaient pas la mort ni la maladie. Et puis elle a ouvert cette amphore alors qu'elle avait bien reçu la consigne de ne pas le faire. Eh oui, c'est bien connu, les femmes (car Pandore représente l'ensemble des femmes) ne sont pas fiables.
Cette histoire rappelle le début de cette histoire. Nous assistons à sa création et aux dons offerts par les dieux. Sur demande de Zeus lui-même elle reçoit la curiosité. Cet élément est intéressant car il montre que c'est Zeus qui a voulu qu'elle soit curieuse et qu'elle ouvre. Sinon pourquoi lui donner ce défaut et l'amphore avec une consigne qui attire son attention dessus ? Bref, Pandore l'explique mieux que moi.

Un outil aux mains des dieux
Comme beaucoup de monstres de la mythologie, Pandore est finalement un simple outil entre les mains des dieux et de Zeus tout particulièrement. A aucun moment elle n'a vraiment eu son libre arbitre. Pourtant, elle est restée dans l'histoire comme étant la responsable de tout ça. A travers elle ce sont les femmes qui sont victimes de cette histoire. C'est Estelle Faye dans “la dernière amazone” qui en parle le mieux (ou du moins j'ai aimé sa manière de l'aborder.)
Avec cette histoire la collection commence à ne plus parler uniquement des monstres mais aussi des autres personnages (vous retrouverez par exemple un titre dédié à Pénélope.)

Le conseil de la bibliothécaire : La collection peut être lue par un enfant dès 8 ans. Elle est très bien adaptée au jeune public, même celui qui ne connait pas encore la mythologie et cette histoire. Comme à chaque fois l'enfant découvrira un dossier pédagogique à la fin du livre avec des jeux, des quizz et autres informations. Et si vous aimez bien ce concept, je vous invite à découvrir les autres titres de cette collection. Ou pourquoi pas découvrir la collection d'Isabelle Pandazopoulos qui donne une voix aux femmes !
Lien : https://journaldunebibliothe..
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📚 SERVICE PRESSE - Masse Critique Privilégiée 💭 Merci à @babelio_

« Celle qui a les dons de tous les dieux. »

Un livre très original que celui-ci, donnant la parole à un célèbre personnage de la mythologie grecque. Un format plutôt court, destiné à un public jeunesse mais pas que, puisque j'ai vraiment apprécié me replonger dans ce mythe grec de manière plus simplifiée.

C'est un ouvrage parfaitement réalisé, dans un premier temps nous avons une présentation des personnages rencontrés durant le récit, ensuite vient l'histoire à travers les yeux de Pandore, puis un dossier documentaire ainsi qu'un cahier de jeux pour rendre la lecture plus ludique.

Sur ordre de Zeus, Héphaïstos va façonner la première femme sur Terre, à base d'argile et d'eau. Puis, va lui venir en aide, les autres dieux et déesses qui vont apporter à cette création, différents cadeaux tels que la parole, la séduction ou encore la curiosité, mais surtout un prénom, celui de Pandore.

Zeus satisfait de cette création, remet à Pandore une jarre avec une seule consigne : celle de ne jamais l'ouvrir. À travers ce cadeau, il espère ainsi mettre à exécution sa vengeance vis-à-vis des hommes. Bien qu'elle reçoive de nombreuses mises en garde de ne pas y toucher, et dotée d'une curiosité accrue et constante, s'en suit une issue connue de tous.

Pandore nous embarque dans sa quête de la vie, où elle va y découvrir la beauté de la nature dans un univers incroyablement riche. Évoluant aux côtés des hommes, elle va comprendre le sens de l'amour sous toutes ses formes, jusqu'à l'inévitable.

« J'ai créé un corps de la même taille que celui des hommes, mais qui ressemble à celui des déesses. »
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Un livre jeunesse très agréable et complet, pour découvrir et faire découvrir non seulement le mythe de la boîte de Pandore (la jarre dans le livre et initialement dans la mythologie grecque), mais aussi Pandore, la femme.

À l'image de circé de Madeline Miller, l'autrice fait de Pandore la narratrice de son histoire. Tout commence avec la naissance de Pandore très détaillée, on la retrouve au milieu des divinités mythiques, qui sont en plein travail de création (de Pandore).

Hermès lui donne la curiosité, ce qui mènera Pandore et les hommes à leur perte, puisque c'est la curiosité qui donnera l'obsession d'ouvrir la jarre que Zeus lui a offerte, à Pandore.

Mais si la morale du mythe est que la curiosité est un vilain défaut, la voix de Pandore est jusqu'au bout une voix féministe. Pandore est la première femme sur Terre, et elle aimerait finalement ne pas l'être, ne pas être l'objet de convoitise de tous les hommes, qui ne connaissent que leur genre ou les divinités. Pandore veut avoir une fille plutôt qu'un garçon, et pense que si Héra avait été à la place de Zeus, les choses auraient pu tourner différemment. Que les femmes peuvent changer les choses, changer le monde.

Un beau message, un livre très ludique pour les plus jeunes qui découvriront cette histoire et pourront en apprendre également sur la mythologie grecque et les divinités (détaillés en fin de livre), et s'amuser grâce aux petits quizz prévus après la lecture.

Merci aux éditions Scrineo, à l'autrice Sylvie Bahssier ainsi qu'à Babelio pour cette belle découverte.
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Après la mythologie du point de vue des monstres, Sylvie Baussier se lance dans la mythologie racontée par les femmes. A commencer par la toute première d'entre elles selon les Grecs: Pandore, que l'on connaît pour la fameuse expression, "ouvrir la boîte de Pandore".
Tout débute avec l'étrange "naissance" de Pandore, créée à base d'eau et d'argile par Héphaïstos à la demande de Zeus. Dieux et déesses se succèdent ensuite pour doter la jeune femme de diverses qualités ("Je me sens si petite parmi les divinités, si neuve aussi, comme un jouet entre leurs mains, comme un objet sur lequel elles appliquent leurs pouvoirs"), ainsi que d'une mystérieuse jarre étrangement légère, à ne surtout pas ouvrir ("Pourquoi avoir glissé la curiosité en moi si on m'interdit de la satisfaire?").

En réalité, Pandore est "l'instrument de punition des hommes" imaginé par Zeus. Une vengeance en lien avec l'histoire de Prométhée, fils de Titan et cousin de Zeus, qui a osé défendre les hommes face au roi des dieux (notamment en leur rendant le feu).
Comme on le devine, la jeune femme est obsédée par le contenu de la jarre et, un jour de désoeuvrement ("Mon temps libre s'étend"), finit par en soulever le couvercle ("Je n'ai jamais voulu de tels malheurs!")...

En donnant vie aux personnages, le récit aide à mémoriser leur histoire. Celle de Pandore fait aussi réaliser qu'à l'origine, la mythologie grecque n'était peuplée que d'hommes... et que la religion chrétienne a repris cette image négative de la femme comme objet de convoitise et cause de perte (à cause de sa curiosité). "C'est injuste pour eux. C'est injuste pour moi.", car Pandore a été manipulée, et que c'est malgré tout celle grâce à qui l'humanité, à travers sa fille Pyrrha "la rousse", a finalement pu se développer.
Lien : https://www.takalirsa.fr/moi..
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