Nouvelle pornographique de 100 pages,
La Femme du notaire aurait gagné en charme et érotisme à voir son action transposée dans les années 30 ou 50. Cela aurait renforcé le thème de l'épouse insatisfaite d'un notable de province.
Pour son histoire, la page de Babelio résume tout ou presque.
Un des aspects les plus originaux (sans être rare dans le genre) est la bisexualité masculine présente dans plusieurs chapitres.
Comme dans la plupart des textes pornos, il y a les inévitables paragraphes traitant de fantasmes qui ne plairont pas à tout le monde (il suffit de les sauter) et ceux qui ont été écrits à la va-vite.
Dans l'ensemble c'est pas si mal, mais l'auteur a raté le coche de l'époque de son récit. Si vous avez ce livre sous la main, je ne vous en déconseille pas la lecture (100 pages), mais on trouve désormais mieux chez des auteurs auto-édités.