Hamish Macbeth, tome 8 : Les flèches de Cupidon

Pas très convaincue par ce huitième tome.
J'osais espérer qu'avec ce " Cupidon" , les choses allaient avancer entre Hamish et Priscilla, mais avec M.C Beaton, je devrais avoir compris, depuis le temps, que si on avance d'une case, on reculera forcément de deux dans le tome suivant ...
Ce qui était amusant dans les premiers tomes ne l'est plus dans ces derniers. C'est que l'autrice écrit à la truelle ! Au niveau , psychologie des personnages, tout est surjoué, exagéré, too much : un personnages de "méchante" grotesque, boulimique, vulgaire, sans-gêne, stupide , complètement caricatural, elle ne fait pas vraiment dans la dentelle, et elle remet ça à chaque fois, même pas peur, même pas honte.
Allez, je suis dure, ça avance un peu du côté d' Hamish qui n' est plus le "Pinot, simple flic", que son supérieur méprise, qui trouve tout mais n'est pas reconnu.
il reste les lochs , mais si peu... Il reste les excursions touristiques de ce petit groupe de clients du chateau-hôtel des parents de Priscilla, mais si peu. Et si gâchées par la présence de cette femme vulgaire, associée de la directrice de l'agence matrimoniale à laquelle ces touristes se sont inscrits dans l'espoir de trouver l'âme soeur. Ils ne la trouveront pas ( ou si peu...) , mais la méchante-grosse-dame-vulgaire, elle, elle trouvera la mort. Ça tombe bien, c'est un (gentil) roman policier et Hamish , un flic de terrain plutôt dégourdi. Méfiez-vous de son flegme , il est trompeur.
Huitième tome ; à mon humble avis, l'autrice aurait pu boucler ça en moins de tomes, vu ce qu'il s'y passe...
Méfiez vous des lectrices, quand on fait durer histoire de faire durer, certaines sont un peu désabusées...

C'était le dernier tome de la série disponible à la médiathèque, et je ne pense pas que je lirai les suivants (il me semble que les tome 9 et 10 viennent de sortir en français) car je commence à sérieusement me lasser. L'auteur suit toujours le même schéma, avec une victime très antipathique, un groupe de suspects à peine moins désagréables, un inspecteur Blair incompétent et Hamish Macbeth qui démasque brillamment le coupable (même si comme pour le précédent tome, le dénouement de l'enquête m'a laissée perplexe tellement l'explication semble surgir de nulle part...).

Les personnages sont très caricaturaux, à commencer par la victime qui est décrite comme une insatiable goinfre au point de provoquer le dégoût autour d'elle. C'est si peu réaliste que cela fait une base bien fragile pour construire une intrique.

En plus, la "relation" entre Hamish et Priscilla piétine toujours et au bout de huit tomes à faire du surplace cela devient franchement monotone...

Enfin bref, ce huitième tome ne m'a pas convaincue...

Une fois n'est pas coutume, chaleur et soleil sur les Highlands. Ainsi commence ce tome dont la couverture aux jolies couleurs pastel et au titre évocateur d'amour, Les flèches de Cupidon, laisse enfin plus que jamais des espoirs entre notre nonchalant Hamish Macbeth et la hautaine Priscilla.

A nouveau le village de Lochdubh accueille un groupe de britanniques en séjour exceptionnel. Cette fois, huit personnalités riches en quête d'amour. L'une des organisatrices est vite présentée comme la personne à abattre.
Et oh ! Elle est retrouvée morte.
Franchement même si c'est toujours le même schéma jusque là c'est chouette. C'est rythmé , plutôt comique. Hamish est vraiment un personnage pétillant, attachant. Son flegme et son caractère en font un personnage original.

Mais alors la résolution de l'enquête. Stop ! C'est sur ce coup, vraiment au petit bonheur la chance et capilotracté. Alors j'adore Hamish Macbeth mais là va falloir se lever du transat et vraiment chercher des preuves.
Et sinon je ne peux plus rien reprocher à madame Beaton, mais là on en est au tome 8 il faut qu'il se passe enfin un truc entre Hamish et Priscilla. Ça avait bien évolué, il s'était pris en main précédemment et là il stagne.

Message à Albin Michel serait-il possible d'accélérer la traduction et la publication parce qu'il reste quand même plus de 25 tomes.
Vivement fin juin les tomes 9 & 10.

J'aime beaucoup cette série. Je trouve les intrigues intéressantes et je passe toujours un agréable moment de lecture. Je trouve que les couvertures de ces romans sont très belle. J'attends la suite avec impatience.

Huitième livre des aventures d'Hamish Macbeth
Huitième trame quasiment identique : la beauté de l'Ecosse, un personnage exécrable (enfin encore plus que les autres) (c'est une vraie compet'de misanthropie cette série), paf l'être honni, Hamish se pointe pour démêler ce crime myst-oh ! Bonjour Priscilla!!
C'est un peu du foutage de gueule. L'enrobage a beau être différent, c'est toujours le même chocolat à l'intérieur.
Sauf que c'est pas mal si tu veux poser ton cerveau.
Délectable en entre deux livres, une entracte entre deux univers, idéal si tu as des problèmes de mémoire ou si tu as l'esprit ailleurs (et si tu les empruntes par brouettées, je les aurais acheté j'aurais été sans doute plus critique). Et puis, c'est bon le chocolat.

Je le dis chaque fois, c'est un bonheur que d'ouvrir une nouvelle aventure d'Hamish et de se retrouver dans l'ambiance des Highlands. Cette fois, l'enquête se déroulera essentiellement dans l'hôtel de la famille de Priscilla. Ils ont accueillis un groupe de célibataires venus pour une semaine. L'agence matrimoniale dirigée par Mary garanti des candidats de choix et de prestige. C'est donc 4 éventuels couples qui se retrouvent dans cet environnement. Mary le sent bien. Mais voilà que sa grossière associée, supposée être en Hongrie, se joint au groupe. Malheur. Une femme détestable, avec des manières peut ragoutantes. Tellement, que tous et chacun souhaite sa mort. Leur voeux sera exhaussé : elle sera retrouvée morte, étouffée avec une pomme. Il n'en faut pas plus pour Hamish qui se lancera dans l'enquête, et déterrera quelques secrets. C'est savoureux !!! Plein de bonhommie, avec des petites pointes d'humour et d'auto-dérision. Ça se lit tout seul, et lorsque la dernière page est tournée, nous n'avons qu'une hâte… tourner la première page du prochain tome.

Un peu déçue par cette huitième aventure de notre policier écossais, c'est pourquoi je serais courte.
Une aventure avec peu de goût, et un schéma très répétitif. Une victime caricaturale au possible, comme pour justifier son assassinat et notre héros qui sort la solution de son chapeau ou plutôt de son képi comme le ferait un magicien. On sait que les personnages de l'autrice sont caricaturaux mais elle utilise trop de répétition dans ses intrigues. Et puis remettre encore une fois sur le tapis l'amourette entre Hamish et Prescillia...
Ça sent le réchauffer. J'espère que le prochaine tome sera plus prometteur...

Je ferai cour : cette fois-ci, entre Hamish et moi, c'est fini. Je poursuivrai la lecture des Agatha Raisin, il ne m'en reste que six à découvrir à ce jour, mais je laisse définitivement en plan ce cher Hamish et ses Highlands, même s'ils constituent un très beau décor.
Qu'est-ce qui ne passe pas ? Je crois que c'est le fait qu'aucune progression ne soit à noter entre les différentes intrigues. Nous avons toujours un groupe de personnages qui ne vient pas du village et qui investit les lieux pour une raison ou pour une autre. Parmi ceux-ci, nous avons un personnage qui sera extrêmement désagréable, pour une raison ou pour une autre, toujours, au point que tous les autres ont des pulsions meurtrières à son égard. Cette présentation de l'intrigue se développe en général sur une centaine de pages. Puis vient le meurtre proprement dit, que le médecin légiste classe toujours en mort accidentelle ou naturelle. Il faut toujours qu'Hamish et son intuition se présentent pour espérer que cette mort reçoive l'étiquette correcte, à savoir qu'il s'agit bel et bien d'un meurtre. L'inspecteur Blair vient ensuite fourrer son nez dans les affaires, et en tirer toute la gloire, même si c'est Hamish qui a trouvé l'identité du coupable et même si Blair était censé être loin, très loin des Highlands. Il faut croire qu'il possède un radar lui permettant de savoir quand un meurtre surviendra.
Les différences entre les tomes ? Elles sont minces. La relation entre Priscilla et Hamish a évolué vers l'indifférence pour lui, la tentation pour elle. Les relations entre Priscilla et son père aussi ont changé, elle ne veut plus être celle qui fait tout le travail alors que lui se la coule douce.
J'ai peine à trouver de l'originalité dans ce huitième tome, et sa lecture ne me distrait même plus. J'ai du mal, aussi, quand je vois tous ces personnages de jeune fille « faible », qui obéissent à leur mère et n'attendent du secours que dans le mariage – approuvé par maman, forcément. le mariage, ou la seule solution pour sortir de sa condition. Reprendre ses études pour avoir un meilleur travail comme le suggère Hamish ? Pas sûre que les « bonnes résolutions » soient tenues. L'agence matrimoniale que nous découvrons dans ce volume fonctionne sur ce précepte : unissons des personnes qui ont des points communs, mais aussi des personnes qui sont issus du même milieu, ou qui attendent du mariage une amélioration sociale. Déprimant ? oui, un peu.
Je quitte donc Hamish sur ses mots, avant de revenir vers les oeuvres de MC Beaton pour la sortie du prochain Agatha Raisin.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..

Nouveau tome d'Hamish McBeth, encore une lecture détente pour moi. Il est vrai que l'intrigue suit toujours peu ou prou le même schéma, mais finalement est-ce vraiment pour cela que je lis les Hamish? Je ris beaucoup en lisant ces livres, les personnages de M.C. Beaton sont tellement caricaturaux que s'en est jouissif. Et puis malgré tout, j'ai envie de savoir ce qu'il va advenir de notre policier roux et dégingandé et des autres personnages au fil des différents tomes. Dans celui-ci, l'amour est au centre des préoccupations, et notre héros semble très hésitant sur ce qu'il ressent face à Priscilla. Et l'arrivée inopinée d'un subordonné ne va pas faciliter leurs relations.

Nouvelle enquête de l'agent Macbeth autour cette fois d'une agence de rencontre venue passer un séjour dans l'hôtel de sa belle. L'idée de départ est plutôt pas mal et permet d'introduire toute une galerie de nouveaux personnages tout en explorant le mystère de l'amour. Dans cette enquête, de l'amour il y en a peu et l'image de la femme aux manières de table répugnantes tourne un peu trop en boucle. Au final, la trame est assez classique et ce n'est pas un chez d'oeuvre de la littérature policière. Cela permet de passer et bon moment, mais ce livre s'oublie vite.