Alégracia, tome 1 : Alégracia et le serpent d'argent

C'est vraiment pas ma semaine en fantasy jeunesse, il y a peine quatre jours je terminais le livre de Laura Garcia: Chroniques de la Tour: La vallée des loups. Si je compares les deux romans, dans les deux, on retrouve une jeune adolescente qui découvre c'est pouvoir et ceux-ci sont spectaculaire. Autant, dans le livre de Laura Garcia : Dana a étudiée un peu pour se perfectionné tout le contraire de celle de Dominic Bellavance qui prône le talent naturel. Là, rien de nouveau au soleil, c'est plutôt dans le rythme qui diffère. Dans les deux cas, leurs couvertures sont belles de quoi tentée des jeunes adolescentes. Et comme au cinéma, il ne faut jamais ce fier à une couverture invitante. Ce qui m'a le plus chagriner c'est le manque flagrant d'action et même de la profondeur au niveau des personnages principaux autant Alégracia (moi je pensais Alegria du Cirque du Soleil) ou Sintara (là Sinatra). J'ai trouvé l'intrigue très très mince avec aucun moment marquant, en ne parlant pas de scène mais de situations ou de péripéties. Pour l'ensemble, la plume est belle mais tout le reste ressemble un peu à d'autres romans Québécois jeunesse tel que: Luc Saint-Hilaire: Les princes de Santerre et Louise Poulin: le château Maléfique. Dernier point, pourquoi le père est toujours manquant dans les romans de notre belle Province ?

L'auteur a une très belle plume. Ses descriptions nous plongent dans son univers et ses personnages sont bien définis.
J'aurais cependant préféré plus d'action. Je suis restée sur l'impression qu'il s'agissait d'une introduction pour les prochains tomes.