Arthur Bernard/5
1 notes
Résumé :
"Je m'appelle Rochelle Mortimer, mon père était de Dublin ma mère de l'Ile de Ré"
Son nom me plaisait, j'avais toujours été sensible aux patronymes des jeunes filles, mademoiselle Mars, Jeanne Avril, qui connaissait une Marie Mai une June Juin Juliette Juillet la petite Septembre Laure Décembre?
toute l'année y passait. Elle se laissait aller contre le canapé abaissant ses paupières les nuits blanches finissent par fermer même les yeux de chats, je la ... >Voir plus
Son nom me plaisait, j'avais toujours été sensible aux patronymes des jeunes filles, mademoiselle Mars, Jeanne Avril, qui connaissait une Marie Mai une June Juin Juliette Juillet la petite Septembre Laure Décembre?
toute l'année y passait. Elle se laissait aller contre le canapé abaissant ses paupières les nuits blanches finissent par fermer même les yeux de chats, je la ... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après la petite vitesseVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1)
Ajouter une critique
Voici un court roman, un peu plus de cent pages comme a l'air de l'exiger l'éditeur Cent Pages, imprimé à Aubenas, Ardèche en 1993.
L'histoire d'un "nègre", qui écrit au kilomètre les mémoires d'un espion Lybien ou l'histoire du boucher de Sobibor.
Il laisse la femme à Paris, loue une maison en Bourgogne, prend le train à Migennes, mange au café du Siècle, rencontre Rochelle qui a besoin de changer la roue de sa Coccinelle, se fait voler son courrier et lit Quentin Durward, tout ça entre la Toussaint et Pâques.
Un style enlevé, sans trop de virgules, ça décoiffe un peu, on ne sais trop quand reprendre son souffle,
Ce livre est une vraie petite récréation!
L'histoire d'un "nègre", qui écrit au kilomètre les mémoires d'un espion Lybien ou l'histoire du boucher de Sobibor.
Il laisse la femme à Paris, loue une maison en Bourgogne, prend le train à Migennes, mange au café du Siècle, rencontre Rochelle qui a besoin de changer la roue de sa Coccinelle, se fait voler son courrier et lit Quentin Durward, tout ça entre la Toussaint et Pâques.
Un style enlevé, sans trop de virgules, ça décoiffe un peu, on ne sais trop quand reprendre son souffle,
Ce livre est une vraie petite récréation!
Citations et extraits (2)
Ajouter une citation
Elle ne tarda pas portant les tasses sur un plateau._Je ne voulais pas déranger fit-elle avec les cils. Après le café le silence, on avait pris congé, on savait bien qu'on se reverrait. Dans l'entrée Marylin me refit le coup du sourire gorge approfondie dans le V du pull, je reluquai ses genoux un rond livide sous le nylon noir elle avait reculé son siège,-Il était pas trop froid l'expresso?- La prochaine fois lissez-le au bain-marie Marylin.
Je n'avais qu'à continuer, faire le nègre était devenu un métier, trop tard à mon âge pour essayer d'avoir une main la boulange par exemple, d'ailleurs les boulangers ne mettaient plus la main à la pâte. Il fallait poursuivre, ajouter une pincée de sel que les gens puissent goûter se dégoûter, toi héros moi héros, toi salaud moi pas salaud, faire le nègre avait une utilité. - Vous avez le sens du pathétique pour un black mon petit Pluvinel congratulait l'éditeur, chaque fois on dirait que vous y étiez. La Passerelle du Bismarck on s'y voit, le Commandant er le Porteur d'ordres beau titre! dommage qu'on ne publie pas c'est trop antique, ça fait aussi pédé.
Les plus populaires : Littérature française
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Arthur Bernard (15)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (2 - littérature francophone )
Françoise Sagan : "Le miroir ***"
brisé
fendu
égaré
perdu
20 questions
3664 lecteurs ont répondu
Thèmes :
littérature
, littérature française
, littérature francophoneCréer un quiz sur ce livre3664 lecteurs ont répondu