Le cri

Mélangez une portion 007 et une portion de Dan Brown, un zeste de géographie et de science, mélangez le tout et vous obtenez ce livre.
Il se lit facilement, le jeu de piste est bien mené, et on oublie facilement les invraisemblances et les grosses ficelles.
Un livre sans prétentions à lire sur la plage

Ce livre débute bien, une histoire convaincante, une femme policier, une histoire d'amour en morceaux, une énigme, un asile, un homme mort prisonnier de sa peur, un professeur, un enfant ... ensuite tout devient assez "fade", des longueurs, des rebondissements pour certains peu crédibles, une fin à la limite d'une forme de prosélytisme

Sarah, inspectrice norvégienne, doit résoudre le mystère de la mort d'un homme dans un hôpital psychiatrique.

Ce roman étiqueté comme un thriller démarre sur les chapeaux de roue, un véritable page Turner. Les actions s'enchaînent et il est difficile de lever le nez..
Et puis au milieu, d'autres personnages arrivent et l'intrigue part un peu dans tous les sens, les côtés mystiques et scientifiques s'entremêlent pour une révélation qui ne m'a que moyennement convaincue.
Et puis l'hôpital psychiatrique n'est au final que peu présent.
Un livre que j'attendais comme un coup de coeur au vu de toutes les bonnes critiques, mais qui aura été pour ma part une bonne lecture sans plus.

Bref, je suis mitigée !

Dans un hôpital psychiatrique en périphérie d'Olso, le suicide du patient 488, surnommé ainsi en raison du nombre tatoué sur son front va entraîner l'inspectrice Sarah Geringën sur une enquête aux nombreuses ramifications. S'ensuit une course contre la montre plus ou moins vraisemblable pour déjouer le chantage exercé sur Christopher, journaliste, qui se trouve mêler à cette enquête bien malgré lui.

Tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce roman de Nicolas Beuglet un thriller réussi. Beaucoup de suspens, des énigmes à résoudre en un temps record, de la violence, un brin de sentiments…
J'ai été séduite par l'idée principale : tenter de comprendre ce cri de peur primale qui mène à la mort. L'enquête amène quelques autres idées intéressantes, où la psychologie, la religion et l'espionnage font de ce Cri une lecture aisée à l'intrigue addictive. Hélas, comme beaucoup d'autres dans le genre, la surenchère de situations invraisemblables, de drame et de jeu de piste à rallonge, finit par lasser et laisse un arrière-goût de déjà lu.

Je referme à l'instant et finalement je ne suis pas certaine d'avoir un avis tranché sur ce livre.
Je m'explique. Je trouve l'écriture fluide , agréable , des descriptions détaillées mais pas trop longues , des personnages attachants . Par contre l'intrigue ... que dire ? J'ai adoré le début qui semblait des plus prometteurs . C'est l'histoire de Sarah qui enquête sur une mort qui semble criminelle dans un hôpital psychiatrique à Oslo et qui se retrouve à Paris pour résoudre le mystère. On part à la rencontre de Christopher et de Simon qui ont vécus un drame familial. Les deux histoires sont elles liées ? Que se cache t il derrière ce patient numéroté 488 ?
Je suis très partagée , c'est bien ficelé mais je suis déçue que la fin ne soit pas à la hauteur du début.

Un thriller dont il faut saluer le suspense particulièrement bien mené, mais qui pêche à d'autres niveaux: la psychologie des personnages m'a semblé déséquilibrée et m'a empêché de me plonger totalement dans l'histoire; au début, l'auteur appuie sur le personnage de Sarah, puis il la "lâche" pour mettre en avant celui de Christopher, nous laissant sur notre faim. de plus, ce qui arrive à l'entourage de Christopher est vraiment tiré par les cheveux et tellement mal amené que cela m'a fait complètement sortir de l'intrigue. C'est dommage, car l'idée de départ était intéressante.
D'autre part, je n'ai pas été séduite par la plume de cet écrivain que je découvrais: j'ai malheureusement besoin de me sentir portée par l'écriture pour adhérer totalement à un roman. Bref, une lecture que j'ai eu du mal à terminer, mais que j'ai tout de même menée à son terme. Un bilan moyen, quoi...

Ce n'est pas un mauvais livre. Nicolas Beuglet écrit comme il faut pour plaire au grand public. Aucun style littéraire appuyé (très facile à lire), des chapitres assez courts avec des cliffhangers qui en font un pageturner efficace.
Le sujet est assez osé, et pourrait facilement tomber dans le ridicule. Mais Beuglet évite la catastrophe. Ca passe.
Le problème est que ce genre, ce style, cette forme n'a rien d'original, rien qui fait sortir du lot énorme des publications similaires.

Alors d'habitude de temps en temps j'adore lire des thrillers, mais la j'avoues une déception, une histoire qui débute dans un hôpital psychiatrique par le suicide d'un patient avec visage terrifiant.
C'est a partir de la que l'inspecteur Sarah va débuter, le début partait pourtant bien puis c'est partie en eau de sucette.
Entre les courses, les informations scientifiques et médical je me suis perdue.
C'est bien dommage ca partait pourtant bien.
Si vous aimer les thrillers psycho ce livre est pour vous sinon passé votre chemin.
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un roman dont j'attendais beaucoup et qui m'a donné de bonnes espérances au début.
Aspect froid comme l'enquêtrice et lieu parfait pour apporter son lot de malaise et de noirceur mais j'ai déchanté assez vite pour me retrouver dans un roman policier certe bon mais classique, reste le thème intéressant mais mal exploité surtout dans la dernière révélation qui a trop vouloir en raconter gâche le mystère et l'imaginaire.
Reste que c'est bien écrit, ça se lit tout seul mais le potentiel est gâché par certaines facilités et une enquêtrice qui perd son potentiel a cause d'une relation inintéressante.
Je retenterai sûrement cet auteur car j'ai l'impression que le potentiel est présent.

Une enquête prenante, sans temps mort, dont le rythme effréné m'a fait penser aux déchainements d'effets spéciaux et de rebondissements dans un film d'action.
Ce n'est pas le genre d'enquête que je préfère, mais les thèmes de la manipulation mentale et des expériences port-mortem sont intéressants, même si le récit comporte des invraisemblances.
Et le personnage de Sarah donne envie de la suivre dans de futures aventures, alors j'attends le prochain titre !