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3,9

sur 5104 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai acheté ce livre totalement par hasard . Dès la première page , j 'ai été pris par l'intrigue qui ne laisse aucun répit au lecteur . Qui est le mystérieux patient « 488 » qui vient de mourir mystérieusement « suicidé » dans un hôpital psychiatrique ? Qui , dans les années 70 , a lancé un programme d'expérience sur des cobayes humains ? Quel en était l'objectif ? Qui est derrière tout ça ?
L'inspectrice norvégienne , Sarah Geringen , mène l'enquête qui va la conduire tout d'abord à Paris . Là , les événements vont lui faire rencontrer Christopher , un journaliste qui va l'accompagner dans une course folle et ô combien dangereuse . Ils doivent retrouver un laboratoire secret pour sauver un enfant et faire la lumière sur ces recherches scientifiques . Aucun temps mort dans cette histoire ; les amateurs de Jacques Saussey , de Preston et Child ne devraient pas être dépaysés par l'univers de Nicolas Beuglet .Malgré l'aspect scientifique un peu fumeux (qui m'a rappelé « Le premier miracle » de Gilles Legardinier ), l'intrigue est palpitante , sans aucun temps mort . Un sujet d'étonnement quand même : le téléphone de Christopher , pourtant beaucoup utilisé , n'a jamais besoin d'être rechargé ... la chance ! Et malgré leurs nombreuses blessures , les 2 héros continuent leur enquête ( avec bagarres ) comme si de rien n'était !
J'ai relevé quelques fautes de français ( malheureusement , ce n'est pas rare de nos jours …) : « savourer la saveur » du thé ( « savourer le thé » aurait suffi ) , débuter un match ( on ne débute rien, le verbe débuter étant intransitif … c'est le match qui débute ) . C'est étonnant que la maison d'édition n'ait pas fait son office de relecture et de correction !
En résumé , une lecture agréable malgré une intrigue un peu "tirée par les cheveux" ...
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Un polar nordique (enfin presque, l'auteur est Français, mais l'histoire se passe près d'Oslo, donc on ne va chipoter sur les mots!), une inspectrice à la vie personnelle pas évidente et qui se plonge à fond dans son boulot, un patient mystérieux (il n'a pas de nom, juste identifié par le chiffre 488) d'un hôpital psychiatrique qui meurt (pas l'hôpital, hein, le patient) dans des circonstances assez louches... et qui poussait un "Cri" tous les jours...
Sarah Geringën, notre inspectrice, va user de tout son talent et de son intuition pour mener son enquête. Car si certains pensent que le patient "488" s'est suicidé, cela ne lui semble pas probable.
Au cours de con enquête elle va croiser la route de Christopher, un charmant journaliste Français qui ne la laissera pas insensible, et à eux deux ils vont plonger dans les méandres de l'histoire. Je devrais même dire de l'Histoire, avec un "H" majuscule, car on va être amenés à replonger dans certains aspects peu reluisants de notre passé historique. Je ne vais pas plus m'étaler sur le sujet car je préfère laisser la découverte aux futurs lecteurs.
J'ai bien aimé cet aspect, certes romancé, mais on sent vraiment l'effort de recherches fait par l'auteur, et cela peut même nous donner envie de se documenter un peu plus sur le sujet après coup.
J'émettrais cependant un petit bémol sur l'intrigue des personnages, car parfois on a un peu tendance à se dire que l'auteur va un peu loin, et que l'action est un peu invraisemblable, que "ça ne se passerait pas comme ça dans la vraie vie". On va pardonner cela, car après tout on est dans un roman, et c'est le droit de l'auteur de prendre certaines libertés!
Passé cela, mon plaisir n'a pas tellement été gâché, car si on aime l'action, on va être servi! Quand c'est parti, ça n'arrête pas! Il y a des rebondissements (plus ou moins gros), des intrigues, des personnages un peu caricaturaux mais intéressants, et même de l'amour!
En tous cas, je pense que je lirai les autres romans mettant en scène Sarah Geringën. L'été approchant, je pense que ça me fera de bonnes lectures distrayantes pour les vacances!
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Sara est au plus bas, elle est meurtrie, elle vient de rompre avec l'homme avec lequel elle voulait finir sa vie. C'est dans cet état d'esprit qu'elle est dépêché dans un hôpital psychiatrique où un accident a eu lieu, accident maquillé, il se révèle être plus compliqué que ca. Que se cache t il dans cet hôpital? Pourquoi cet homme faisait-il l'objet d'un traitement spécial?
Cette enquête va l'emmener en France puis aux USA. Sara va voyager mais elle va aussi faire des découvertes qui vont changer sa vie.

C'est un roman policier construit comme un film. J'avoue avoir souvent pensé à Dan Brown et son Da Vinci Code ou encore au The Patriot de Gorgün.
Tout est rapide, une action en entraîne une autre, un peu comme si une caméra se déplaçait au fil des pages.

Je suis peut être dure mais j'ai aimé à moitié. L'intrigue était pour moi trop ésotérique, j'avais l'impression de m'y perdre, c'est certes un page turner mais pas un très très bon page turner.
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Si j'ai trouvé beaucoup de défauts au roman « le Cri« , j'ai pourtant lu ce roman comme on dévore un bonbon. La plume et l'intrigue étaient agréables à lire. Les personnages sont plutôt sympathiques, et je lirai avec plaisir la suite ! Si le début du récit m'a beaucoup plu et totalement happé, la fin m'a déçue, surtout quand autant de gens m'ont dit avoir adoré ce tome 1 de la saga de Sarah Gerigen.
Lien : https://mellecupofteabouquin..
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J'ai découvert l'auteur avec le dernier message et le Passager sans visage. Et je n'ai pas pu lire la suite de cette trilogie, car au dernier tome, Grace Campbell rejoint l'enquêtrice de la première trilogie. J'ai donc décidé de reprendre par la trilogie avec Sarah Geringën pour avoir toutes les clés.

Nous sommes ici sur un beau bébé de 558 pages et comme vous le savez peut être, j'ai un peu de mal à me lancer quand on a de si gros bébés. J'ai trouvé quelques longueurs qui ont entaché un peu mon plaisir de découvrir cette enquêtrice un brin tête brûlée. J'adore quand les thrillers traitent de recherches scientifiques, mais jaurai bien enelve une centaine de pages.

Nous débutons donc ce thriller dans un hôpital psychiatrique, qui pose directement l'ambiance sombre et pesante que j'adore. La mort d'un patient qui porte sur son front le chiffre 488 gravé ne fait que renforcer l'ambiance.

L'écriture est fluide et agréable et on s'attache très vite à Sarah qui commence ce thriller par une rupture amoureuse. L'enquête est addictive, on veut d'avoir ce qui peut bien se tramer avec ces recherches. Sans trop en dévoiler, la partie scientifique est très accessible. Tout est très bien expliqué pour ne pas nous perdre. Néanmoins, l'histoire est un peu tirée par les cheveux. Tout se passe très (trop ) vite et on a une vision très manichéenne.

Il me tarde tout de même de découvrir le second tome et de suivre une nouvelle enquête de Sarah Geringën, de savoir aussi comment elle va évoluer sur le plan personnel.
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Dès la lecture des premières pages, le lecteur est happé, entrainé dans un tourbillon d'aventures, d'actions et c'est bon de ne pouvoir résister à l'envie irrépressible d'en savoir plus, à ce besoin viscéral de tourner la page…

Mais à la moitié du livre, ça se gâte. ; C'est TOO MUCH…trop d'actions, de courses poursuites, de bagarres, de suspense et aussi des invraisemblances, des incohérences, des évènements cousus de fil blanc, un zeste de mièvrerie, des caractères psychologiques caricaturaux voire grotesques, le tout couronné par un style parfois plat et malhabile.
Malgré tout, toujours, enfiévrée par le désir de savoir jusqu'où l'auteur va nous emmener, on tourne les pages, moins enthousiaste qu'au début, mais toujours curieux, pour voir les héros devenir des super héros super efficaces, des méchants très méchants se faire avoir bêtement.
Et à la fin : tout ça pour ça, pourrait-on dire…
Les ficelles sont trop nombreuses et trop grosses (à mon goût) , trop d'action, pas assez de cohérence, un style limite, des considérations amoureuses que l'on pourrait trouver chez Lévy ou Musso….
Néanmoins, cette addiction, cette envie de découvrir ce qu'il va se passer dans la première partie du livre est vraiment intéressante…
Au final, pour moi, une lecture intrigante à défaut d'être une très bonne lecture .
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Si beaucoup ont eu un immense coup de coeur, je reste très mitigée, et suis plutôt déçue du dénouement de cette intrigue... Je vous explique pourquoi.

Il est certain que l'intrigue mise en place au début du roman est prenante : un patient meurt mystérieusement dans sa cellule... et tout laisse à penser qu'il serait mort DE PEUR ! Plutôt dingue. L'histoire est lancée, et aux côtés de Sarah et Christopher, on enchaîne les découvertes.

Et puis, à un certain moment du livre, j'ai décroché . Déjà, j'avoue n'avoir aimé que moyennement le personnage de Sarah (alors que celui de Christopher est plutôt attachant !). Ensuite, j'ai parfois trouvé que certaines énigmes étaient résolues TROP facilement... Ce qui décrédibilise un peu l'histoire, pour moi. Surtout que, vers la fin du roman, la course aux informations par la torture retire tout suspens...

Enfin, et ce ne sont ici que mes goûts personnels, je n'ai vraiment pas aimé le thème du roman. J'avoue avoir beaucoup de mal avec les thrillers qui mélangent secrets d'état, religion et science...

J'attendais beaucoup de ce roman, sans doute trop, après avoir lu tous vos retours positifs ! Mais malheureusement, on est loin d'un coup de coeur pour moi, et j'hésite même à lire la suite...
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Un suicide au sein d'un hôpital psychiatrique qui, au final, n'en est pas vraiment un, une enquête de routine qui dérape complètement, une inspectrice au profil singulier et un journaliste qui se retrouvent au coeur d'un complot qui les dépasse totalement, s'appuyant sur de sombres faits historiques, Nicolas Beuglet construit un thriller aussi intense que spectaculaire. Un récit pour le moins effrayant à l'ambiance glauque et débridée ponctué de recherches sur le cerveau, de mystique religieuse, d'espionnage et d'expériences secrètes sous l'égide de la CIA. de révélations en révélations, l'histoire évolue sans temps mort, entraînant les protagonistes toujours plus loin dans l'effarement et le idésarroi. Paradoxalement, malgré un postulat de base recherché et des plus instructif autour d'un projet réel sur la peur et la manipulation mentale, cette surabondance d'action et de rebondissements est le principal défaut de ce roman. Si le travail de fond et de recherche de Nicolas Beuglet est remarquable, il pêche par trop d'excès et d'extravagances dans la mise en forme. L'intrigue générale est certes passionnante mais, entre les nombreuses et violentes confrontations avec des tueurs chevronnés, les découvertes invraisemblable et leurs irréalistes périples aux quatre coins du globe, Christopher, qui pourtant fait preuve d'une naïveté qui frôle souvent la bêtise, et Sarah se sortent sans encombres de toutes les situations. de ce fait, la crédibilité du récit se révèle, en dépit de sa trame assez originale, des plus discutable et l'aventure en partant dans tous les sens perd une large part de son intérêt initial. La conclusion empreinte d'ésotérisme et clairement versé dans le romantique n'apporte rien de plus à l'histoire si ce n'est un ultime imbroglio et une certaine perplexité au vu du thème invoqué.
Un roman distrayant dont la lecture n'est pas désagréable mais qui en dépit de bonnes idées ne suscite pas un réel intérêt tant l'auteur s'est égaré dans des domaines aussi nombreux que disparates et improbables.
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Perplexe beaucoup trop de trop à mon goût. Trop de détails, trop de courses poursuites, trop de tentative de meurtres, trop d'indices qui mènent à un encore autre indice, ... je me suis souvent retrouvée essoufflé comme les protagonistes de cette surenchère poussée à l'extrême à mon goût. Pour le coup, c'est très rare que ça m'arrive, je me suis fait la réflexion que ce livre adapté en film de 2h30 ce serait très bien, un bon film d'action mais une écriture qui va trop vite pour moi. Sans spoiler le dénouement, l'auteur m'a totalement perdue avec l'aspect surnaturel qui entre en jeu. Je pense que je suis trop atomistique pour en comprendre la complexité malheureusement.
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Un meutre déguisé en suicide dans un hôpital psychiatrique en Norvège.

Le moins qu'on puisse dire c'est que l'intrigue nous fait voyager : Norvège, France, les îles, les USA en passant à chaque fois beaucoup de temps dans des avions.

Quelques scènes "drôles" notamment lorsque les éternels tueurs professionnels, surentrainés, sur-tout sont mis en déroute par nos deux héros. Ou encore les fameuses ampoules qui fonctionnent encore depuis 40 ans dans une base désaffectée ( c'est pas de la fiction, c'est de la physique, apparemment), une imprimante qui fonctionne aussi encore très bien après 40 ans sans avoir servi.

Christopher m est apparu comme très pénible à cause du compte à rebours constant.

Et le fond de l intrigue ne m a pas spécialement intéressée, je n'ai peut-être pas tout compris avec exactitude.

Bref, je ne peux pas dire que ça soit mauvais mais c'est plat. Un thriller quelconque en somme.
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