L'île du diable

Troisième enquête de Sarah Geringën. Son compagnon, Christopher, mènera quant à lui sa propre enquête sur le passé de Sarah. le père de Sarah est assassiné la veille de la sortie de prison de l'inspectrice. Hasard ou pas ? Comme toujours, le roman se base sur des faits réels et ainsi me fait découvrir des évènements ou des faits de société. Et pour cela un grand merci à Nicolas Beuglet. Malheureusement, je trouve que l'intrigue est trop tarabiscotée, trop dans l'excès. Comme si il fallait absolument trouver une raison absolument incroyable à l'assassinat ainsi qu'à la vie de Sarah. du coup, l'histoire ne devient absolument plus crédible. Dommage

Ce roman clôt les aventures de l'inspectrice Sarah Gerigen. Cette enquête se révèle très personnel car elle enquête sur le meurtre de son propre père. Elle fouille alors dans son passé familial et essaie de se relever après les péripéties dans et .

J'ai trouvé ce roman moins bien ficelé que les deux premiers mais il reste un bon roman. On y comprend mieux la psychologie et le passé de Sarah. le personnage évolue beaucoup et fait face à ses angoisses. J'ai regretté que Christopher ne soit pas plus présent mais d'un autre côté, c'est tout aussi bien que Sarah s'en sorte seule. La fin est une fin ouverte ce qui ne pas gêne : chacun se fait sa propre idée de ce qu'advient Sarah. Pour ma part, je clos ce roman en lui disant au revoir et en espérant le meilleur pour cette femme acharnée et battante.

Terrible ! un policier prenant, mais qui ne me laissera sans doute pas de souvenir impérissable. Les astuces sont bonnes, mais les personnages pas si attachants, et certaines parties ne m'ont pas convaincues. La partie historique (zut comment préciser sans spoiler ?) est vraiment intéressante !

Ah...

Quand j'ai vu l'épaisseur de ce tome clôturant les enquêtes de Sarah, j'ai pensé que cela allait être un peu léger. Quand j'ai lu la quatrième de couverture et découvert que l'enquête allait porter sur le père de Sarah et ses secrets, je me suis dit que là, cela risquait de coincé étant donné que nous n'avions pas rencontré ce personnage dans les autres tomes, et qu'en plus, découvrir des secrets sur le père de l'enquêtrice c'était un peu facile... Quand j'ai finit ma lecture je me suis dit : Ah...

Ah, parce que les révélations obtenu dans Complot et révélé à la face du monde n'ont pas l'air de changer quoi que ce soit dans le présent et que ce n'est absolument pas cohérent.

Ah, parce que retrouver Sarah un an après le dernier tome, c'est passé sous silence tout ce qu'elle à pu vivre pendant cette période et qui aurait pu marquer une belle évolution pour ce personnage.

Ah, parce que découvrir qu'une fois encore on bafoue toutes les règles de la police pour permettre à Sarah d'enquêter sur la mort de son père, alors même qu'elle en prise avec deux scandales, c'est un peu gros.

Ah, parce que l'enquête suit exactement la même trame que d'habitude, on saute dans un avion on réfléchie après...

Ah, parce que le protagoniste sort de son chapeau, et c'est à n'y rien comprendre de comment il a pu aller jusque là sans que personne n'intervienne. (il n'y pas d'autre méthode que d'envoyer Sarah à l'abattoir ? Vraiment ?)

Ah, parce qu'on utilise les troubles psychiatrique mais juste comme ressort de l'intrigue et pas en les incluant de manière bienveillante et positive dans le récit.

Heureusement il y a quand même eu des a...mens !

Amen, enfin le fait de sauter dans un avion et réfléchir après porte préjudice à notre personnage et c'est pas plus mal !

Amen, enfin on nous parle de quelque chose d'un peu plus terre à terre que de génétique et de mysticisme ! (même si il y en a...)

Amen, on ne fait pas le tour du monde en 48h en passant plus de temps dans les aéroports qu'à enquêter.

Amen, on découvre un peu plus des personnages comme Tobias qui permettent d'humaniser ce récit.

Amen, Sarah va devoir affronter un choix difficile qu'elle n'aurait pas eu à faire si elle avait respecter les règles d'enquête !

Amen, on clôture cette trilogie... Parce qu'au final je crois que Sarah on en avait fait le tour.

Je ne dirais pas que ce roman est mauvais, c'est faux, il y a de bonnes choses, mais je reste clairement sur ma faim. Je n'aime pas que les auteurs aient le même schémas, cela m'ennui et Nicolas Beuglet semble vouloir se reposer sur ce schéma d'écriture qui lui a réussit. C'est frustrant parce qu'a coté de cela je respecte énormément le travail de recherche de l'imagination de cet auteur. Pourtant je ne suis pas certaine que je lirait d'autre tomans de Nicolas Beuglet de peur que ce schéma récurent n'entache ma lecture.

Belles lectures à tous.

L'île du diable, le troisième opus de la série Sarah Geringën de Nicolas Beuglet, est loin d'être le meilleur ! le début du roman est prometteur, mais, au bout d'un moment, on tombe dans une histoire surréaliste, difficilement crédible. On finit même dans le rocambolesque, où l'auteur en rajoute inutilement (la mort mystérieuse d'un enfant attribué à Sarah, sa grossesse...) Malgré cela, deux aspects sont positifs : la première moitié du roman, où l'héroïne plonge dans l'histoire intime de son père et le rapport à l'histoire, la vraie, avec la tragédie des déportations staliniennes.
Lien : http://www.polardesglaces.com

Un peu déçu par ce thriller, j'ai trouvé que l'auteur avait pris son temps pour installer l'histoire mais que la deuxième partie s'accélérait trop vite pour finir l'histoire, que cela manquait de profondeur et de développement . J'ai préféré largement "le complot" .

❄️ Après le Cri et Complot, le tant attendu L'île du diable !

Après un an d'attente, nous retrouvons Sarah Geringën, qui nous avait laissé sur un très gros cliffhanger à la fin de Complot. Christopher, quant à lui, n'y fera que quelques apparitions.
❄️

Le pitch ? Sarah sort de prison, et se retrouve directement embarquée dans une enquête qui la concerne personnellement, parce que c'est son père qui est retrouvé. Il semble avoir été l'objet d'un rite, et personne ne semble en trouver l'origine. Elle se lance donc dans une enquête en duo avec un jeune officier, d'abord en Norvège, puis suivant une piste qui les emmèneront jusqu'en Sibérie. C'est le livre qui sonne la fin, la boucle est bouclée. ❄️

Mon avis ?
Je suis complètement mitigée quant à cette lecture. J'en attendais énormément et avoir des attentes trop élevées apporte parfois des déceptions.
Les + : on retrouve le dynamisme et l'adrénaline des premiers ! Nicolas Beuglet frappe fort avec une enquête impressionnante, des secrets d'état, des sociétés secrètes. Bref, tout ce que j'aime ! C'est d'ailleurs ce que j'avais adoré dans les premiers, c'était travaillé et recherché. Il y a beaucoup d'action et nous n'avons pas le temps de nous ennuyer !
MAIS, il y a des - : j'ai trouvé cette enquête survolée. C'était trop rapide, trop facile et pas assez profond. J'ai eu l'impression de lire une nouvelle (car le livre est assez court, il faut l'avouer) pour clôturer les 2 premiers livres. J'ai le sentiment que ce n'est pas abouti et qu'il manque quelque chose. le niveau des premiers n'y est malheureusement pas. ❄️

Ce n'est bien sûr que mon avis, je n'ai vu que des critiques élogieuses à propos de L'île du Diable et je ne vais garder que le positif pour bien terminer cette trilogie ! ❄️

À peine sortie de prison, l''ex-inspentrice norvégienne, Sarah Geringën, découvre son père assassiné. La scène paraît irréelle.
Abasourdie, Sarah revoit les images de son enfance, ce père taciturne, souvent absent pour raisons professionnelles.
La voici endossant son rôle de policier, couverte par son supérieur, puisqu'elle n'a pas le droit d'enquêter. En outre, pour parer toute difficulté administrative, elle obtient l'aide d'un jeune officier de police. Zélé et admiratif, il lui apporte son grand professiolisme.
Leurs recherches avancent plutôt bien, néanmoins de nouvelles zones d'incompréhension pointent à l'horizon, vers la Sibérie.
Troisième volet des enquêtes de Sarah Geringën, ce thriller happe le lecteur ; alors que le dénouement semble un brin facile, les dernières lignes mettent Sarah face à une grave question.

Troisième et dernier volet de la trilogie de nicolas Beuglet et le plus court : L'île du diable, 302 pages, où je retrouve mon inspectrice préférée Sarah Geringën pour une nouvelle enquête qui la touche directement puisque l'histoire commence avec le meurtre de son père. S'en suit une enquête où la progression est un peu laborieuse entre manipulation et vérité, découverte du passé de son père et de son histoire familiale pas très gaie !
Ça partait bien et c'est vrai que tout au long de ma lecture, j'avais toujours envie de connaître le fin mot de l'histoire, l'élucidation de ce meurtre. Mais j'ai eu une sensation d'enquête inachevée Je trouve ça dommage de ne pas savoir ce que devient le fameux Adrian (personnage important de ce livre). Et au final, les retrouvailles avec Christopher sont assez ambigus (oui parce que dans Complot, Sarah avait pris ses distances, n'acceptant plus de faire prendre des risques à ses proches ; ce qui est raté dans ce thriller puisque sa famille est au coeur de l'histoire).
Donc l'histoire reste irrésolue pour moi, même si notre heroine s'en sort (et heureusement) mais je ressens comme un petit goût de bâclé. Peut-être qu'il y'a aura une suite…
en conclusion, j'ai lu en suivant le cri, Complot, L'île du diable, la trilogie de nicolas Beuglet et j'y ai pris beaucoup de plaisir, difficile de lâcher ses livres.

Assez déçu par ce roman. Autant j'avais adoré « le cri »,trouvé plutôt sympa « le complot », mais là je trouve ce roman bâclé .
Les ficelles sont trop grosses, et la fin trop vite expédiée. J'espère dans le prochain roman que l'auteur partira sur un nouveau cycle pour nous montrer de quoi il est capable, en laissant un peu au repos son héroïne.