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3,92

sur 2101 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Lu en une journée, jamais déçue avec cet homme !

À peine le temps de respirer entre les scènes, les actions.

Une histoire de nouveau basée sur des faits réels, sur une science méconnue, passionnante et terrifiante.

Je tiens simplement à dire que son héroïne adorée a, je pense, assez subi non ? Laissons la un peu tranquille !
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J'ai eu peur en réalisant que j'entamais le troisième tome des aventures de Sarah Geringën, alors que je n'avais pas lu le second, mais peu importe, puisque les grandes lignes du roman précédent sont rappelée pour le confort du lecteur.


Un troisième tome qui démarre rapidement par la mort du père de l'inspectrice, assassiné sauvagement et dont l'auteur semble avoir laissé quelques indices aussi intéressants que surprenants.


Un récit qui démarre sur les chapeaux de roue, ce qui m'a amenée à penser que tout y était trop facile : des indices qui amènent rapidement aux bons endroits, des pièces à conviction trop aisément trouvées dès le début, pas de frein à l'enquête, Sarah se voir attribuer un gentil co-équipier, débutant dans le métier, consciencieux, perspicace, dévoué...


Et puis... Une deuxième moitié de roman prenante, pleine de suspens, de ces situations dont on se demande comment l'héroïne va s'en sortir, cernée d'une équipe commandée par un psychopathe qui a tout orchestré, bien loin de chez elle, là où personne ne pourra venir à son aide.


Et puis il y a Sarah, Sarah et ses démons, Sarah et le couple formé avec Christopher, Sarah et les démons de son père qui permettront d'introduire des notions d'épigénétique passionnantes et invitant à se documenter, d'autant plus que l'auteur propose des titres d'ouvrages sur la question de même qu'il cite ses sources concernant cette « île du diable », dont le vrai nom est l'île de Nazino, exploitée de façon macabre par le régime communiste en 1933 et portée à la connaissance du public en 2002.


Un livre audio très bien lu, des musiques bien choisies pour augmenter l'inquiétude et le suspens, des voix naturelles, le lecteur se contentant parfois d'essayer d'aggraver sa voix pour simuler un changement d'identité, ce qui n'est pas le cas dans l'île du diable.


Un roman policier qui ne manque pas d'intérêt et en donnant en sa fin, la quasi-certitude d'un quatrième tome.




Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Depuis quelques années, le monde du thriller français accueille de nouveaux membres. Comme je suis un fan de ce genre que j'aime intercaler dans mes lectures, j'essaye de me tenir à jour. Et comme les nouveaux arrivés se transforment assez souvent en de belles surprises, ma wish-list et ma bibliothèque ne cessent de croître. Nicolas Beuglet en est un parfait exemple.

« L'île du diable » est la troisième aventure de Sarah Geringën mais l'auteur parsème le texte d'allusions aux précédents épisodes afin de ne pas trop perdre le nouveau lecteur. Pour cette nouvelle affaire assez personnelle, l'héroïne est baladée de lieu en lieu au fil des indices qu'elle trouve. L'enquête qui paraît basique au départ, part très vite sur les sentiers de l'Histoire et de la science. On apprend aux détours des investigations, des vérités sur un passé assez sordide et sur des expériences scientifiques assez troublantes.

Sur la forme, les chapitres très courts se succèdent à un rythme élevé. La narration ne souffre d'aucun temps mort et le roman est un vrai page-turner. Une fois commencé, on ne s'arrête plus. Nicolas Beuglet semble vouloir créer des polars aussi palpitants qu'instructifs.

Je peux dire que j'ai aimé ce premier contact avec l'auteur. Je regrette juste la brièveté du livre qui entraîne un manque de profondeur sur les théories abordées. En effet, les sujets sont intéressants et auraient mérités un traitement plus poussé. J'ai aussi souffert d'un manque de connaissances, donc d'empathie envers Sarah. Mais pour cela, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même. J'aurais dû lire les deux premiers tomes (plus denses) pour étoffer le personnage. Par conséquent, je vais tenter de corriger ces lacunes en inscrivant ces lectures dans mon planning de lecture.

Avec cette aventure efficace et surprenante, Nicolas Beuglet fait son entrée sur mon étagère Thriller !
Lien : http://leslivresdek79.com/20..
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Où l'on retrouve Sarah Guerigën, la coriace inspectrice du Cri et de Complot, mal en point. Un an après Complot, elle termine une peine de prison dont elle ne sort que pour apprendre le décès de son père. Cette mort va la sortir de cette léthargie et l'entrainer sur les pas d'un passé douloureux. Et nous avec : l'île du diable s'appuie sur une réalité historique méconnue, . Peu à peu, remontant le fil de son histoire, accompagnée d'un robuste enquêteur, Sarah s'enfonce dans une noirceur où l'histoire familiale rejoint une tragédie dont les résonnances subsistent jusqu'au présent. Encore une fois, une intrigue marquante, dont le dénouement haletant est un peu trop spectaculaire à mon goût.
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Un secret de famille et d'Histoire !

Une nouvelle enquête de l'inspectrice Sarah Geringën.

Juste le jour de sa sortie de prison, après avoir été innocentée dans l'assassinat du pape (à la fin du tome précédent "Complot), elle est appelée sur la scène d'un nouveau crime étrange.

Sarah ne peut masquer son émotion : il s'agit celui de son père !

De Norvège en Sibérie, Sarah enquête et va découvrir bien des secrets familiaux, tandis que Christopher, son ancien compagnon, va tout faire pour réaliser une étude parallèle afin d'innocenter Sarah !

Nicolas Beuglet a toujours un style fluide, descriptif et inventif : on sent qu'il a rédigé des scénarios !

Les personnages évoluent sous nos yeux et sont sympathiques… ou non !

Encore un mystère historique bien caché, car profondément atroce…

Par contre, j'ai regretté la rapidité de certains passages et la brièveté du récit (300 pages) par rapport aux deux précédents tomes.

Nicolas Beuglet revient sur l'épigénétique (comme lors de son premier tome) de façon rapide.

Une très bonne lecture comme toujours avec cet auteur.
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Une fois ouvert, ce roman a du mal à être reposé, en effet. L'île du diable est un endroit que le lecteur découvrira en même temps que les protagonistes de cette histoire.
Sarah apprend dès le début du roman l'assassinat de son père, homme secret et taiseux dont elle va comprendre l'histoire au fil des pages.
c'est un bon thriller, qui fait frémir et monter l'angoisse petit à petit , dans lequel les personnages se révèlent tour à tour, avec beaucoup de surprises .
Belle analyse psychologique et en même temps page d'histoire puisque les faits révélés s'appuient sur des faits réels, glaçants.
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Il s'agit de la suite et de la fin de la trilogie des aventures de l'inspectrice norvégienne Sarah Geringën. Ce roman débute un an après l'ensemble des événements au Vatican. Son père vient d'être assassiné selon un rite bien particulier. Une enquête hors normes débute alors et mène Sarah aux confins de la Sibérie afin de comprendre les raisons de la mort de son père. Et ce qu'elle va découvrir va bien au-delà de tout ce qu'elle avait pu imaginer…

Ce roman clôture l'histoire de cette inspectrice, et je pense que cela est salvateur malgré la fin qui est assez incroyable. En effet, le premier roman a été une véritable révélation pour moi avec un suspense et une histoire qui m'ont accroché du début à la fin. J'ai apprécié les deux derniers romans mais avec moins d'enthousiasme sans m'empêcher de faire défiler les pages. L'écriture de Nicolas Beuglet est fluide et captivante, ce qui permet de conserver l'attention sur ses enquêtes de bout en bout. Je recommande donc cette dernière aventure norvégienne et attend avec impatience de lire « le dernier message ».
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Voilà un livre que j'ai lu très rapidement. On retrouve notre inspectrice qui sort tout juste de prison et qui est déjà sur une enquête, plus personnelle cette fois-ci.
L'intrigue tourne autour de faits historiques russes terribles : on en a froid dans le dos. Quelle horreur !
Comme pour les autres livres, on se laisse entraîner à la suite de Sarah. On aimerait demander à l'auteur de la laisser un peu tranquille.... D'ailleurs, cela manque parfois d'un peu de crédibilité.
J'aurais aimé que le thème scientifique sur l'épigénétique soir un peu plus développé. de par ce fait, j'ai trouvé la deuxième partie du livre un peu bâclée.
Mais cela reste un très bon livre.
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Dans ce dernier volet, Sarah apprend que son père a été assassiné et met tout en oeuvre pour en découvrir la raison. Accompagnée par Adrian Koll, un jeune officier prometteur, elle va remonter la piste de ses origines paternelles, persuadée que la cause du mal-être de son père est enfouie dans ce passé tourmenté. Mais, ce qu'elle va apprendre va bousculer toutes ses convictions.
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Comme les précédents, ce roman est dynamique, incroyablement bien mené et addictif. La pauvre Sarah en prend décidément pour son grade. Personnage tourmenté, elle a souvent la malchance de se retrouver dans des enquêtes ou des situations toutes plus surprenantes les unes que les autres. Mais, ce qui est plus inquiétant, c'est que derrière la couche fictive des romans de Nicolas Beuglet se cache souvent un fait réel, qui sert de source d'inspiration. Et celui-ci est glaçant.
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Dans cette enquête, rien n'est laissé au hasard, et chaque indice semé par l'auteur a son importance. Il est vrai qu'aujourd'hui, j'arrive facilement à savoir vers qui tourner mes soupçons, trop de lecture de thrillers a tendance à me faciliter la tâche je suppose, mais croyez-moi, ce qui est passionnant dans les romans de cet auteur, c'est le mobile, l'origine de tout cet acharnement. Et là, rien ne sert de se torturer l'esprit, il faut se laisser prendre par l'histoire, et savourer chaque chapitre pour apprécier toute la splendeur du final.
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Nicolas Beuglet est pour moi une valeur sûre dans la littérature policière française. Avec L'île du Diable, n'espérez pas un thriller reposant, mais attendez-vous plutôt à de l'action, du suspense et des rebondissements !
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Ma chronique complète est sur le blog.
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Sarah Geringën est de retour en mode warrior.

À peine sortie de prison où elle était détenue alors qu'innocente, notre inspectrice pas tout à fait réintégrée dans la police doit enquêter sur un meurtre horriblement dégueulasse, le tout en stoemelings (prononcer stoumelinnks), comme on dit à Bruxelles (en cachette).

Pas le temps de s'arrêter pour boire un café, lorsqu'on plonge dans ce roman mettant en scène notre inspectrice toujours aussi pressée et qui voudrait avoir les résultats avant de les demander, qui ne laisse pas toujours les autre s'exprimer, qui est têtue comme une mule et qui commençait à me courir sur le haricot avec son sentiment de culpabilité dont elle n'avait aucun souvenir.

Le problème avec les romans qui pulsent et qui ne font que 300 pages, c'est qu'ils laissent peu de place pour le développement des nouveaux personnages introduits dans ce dernier opus de la trilogie.

De plus, après un an d'emprisonnement, Sarah Geringën n'a aucun souci à revenir dans la vie civile, comme si cette peine de prison, alors qu'elle était innocente, ne lui a pas porté préjudice. Soit elle est très forte, soit elle cache toujours bien son jeu, comme elle le fait souvent.

Après une enquête menée à toute vitesse, sans temps mort, après toutes les baffes que l'on se prend dans la gueule, l'auteur revient à du plus calme sur la fin, afin de reposer son lecteur, le mettre en confiance, juste avant de lui refoutre une claque magistrale.

Dans ce roman, des claques, j'en ai prise quelques-unes ! Je vais porter plainte, tiens, parce que je me suis encore faite avoir et que j'ai rien vu. J'en ai pris aussi dans les références à la fin du roman : moi qui pensais avoir pris des claques avec de la fiction et bien non, les claques étaient véridiques.

Si le précédent opus, Complot, développait des thématiques très fortes, celui-ci s'en éloigne sans toutefois se contenter d'un crime banal ou de thématiques sans forces. Ce qui est soulevé dans ce roman est costaud, à la limite de la nausée et le pire, c'est que c'est vrai et que nous n'en savions rien.

Par contre, si le final est un peu plus calme, il me reste toujours des questions sans réponses, notamment sur le financement de la base, sur l'engagement du personnel et sur ce qu'il advient de cette base perdue après tout ça : elle est toujours là, ou pas ? Bref, quelques pages d'explications en plus n'auraient pas été du luxe.

Malgré mes quelques petits bémols, ce thriller reste addictif et il est difficile de le lâcher tant l'auteur réussi à captiver son lecteur dès les premières lignes. Dans ce thriller, il y a des émotions, de la profondeur, de la nausée pour certains faits Historiques, de la science sans conscience, de la folie humaine, le tout mis en scène d'une manière précise, le tout taillé au scalpel pour éviter le superflu.

Un peu de superflu aurait été intéressant afin d'étoffer un peu certains portraits, certaines situations, certaines théories et avoir le fin mot de l'histoire.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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