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3,47

sur 112 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Entre SF et roman noir, Zoo City est un livre hybride. Comment concilier un genre qui fait la part belle au réalisme le plus cru et un autre qui le souligne en utilisant des artifices thématiques et temporels ?

Zoo City c'est un quartier de Johannesburg réservé aux animalés, criminels devant vivre avec un animal dont ils sont responsables. Si l'animal meurt, ils meurent. Zinzi, l'héroïne de ce roman, a donc un paresseux accroché à son dos mais aussi le don de retrouver les choses perdues. A fortiori, les personnes disparues. Elle part donc en quête de Song, jeune popstar qui ne donne plus signe de vie.

Paresseux et don surnaturel seront les seuls incursions du fantastique dans le roman. Pour le reste, c'est un panorama désenchanté de cette ville d'Afrique du Sud où la violence est partout, où la drogue règne règne maître. le ton est très juste, tout sonne vrai, jusqu'à l'héroïne qui n'est pas forcément très aimable de prime abord, mais qui au fil des pages devient très attachante, la mort de son frère planant au-dessus d'elle et sans cesse rappelée par l'animal qui s'accroche inlassablement.

Quelques bémols malgré tout. Encore une fois (et j'ai le sentiment que c'est le cas de bon nombre de mes lectures dernièrement), la construction n'est pas des plus fluides. Les insertions d'articles, les chapitres sous forme de mail, rien n'est fait pour fluidifier la lecture (suis-je une lectrice fainéante en vacances ? Peut-être bien.) Et si je déplore parfois les notes de bas de pages, la traduction des termes d'argots en fin d'ouvrage, n'a pas aidé ma lecture. Au point de ne plus m'y référer (et tant pis pour la compréhension fine du texte !).

En résumé, un roman noir qui était vraiment adapté au challenge #autricesdumonde puisqu'il permet une immersion dans la société sud-africaine que la toile de fond SF ne fait que souligner. Une lecture intéressante et originale.
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Une lecture comme je les aime, à bout de souffle. On tourne les pages entraîné dans cette course contre la montre, une course pour enfin connaître la vérité dans cette sombre affaire !

Ce roman se situe entre le policier et le fantastique. On apprécie la trame policière qui nous emmène dans une enquête bien singulière. Avec le fantastique, on nous apporte une touche mystique à cet univers entre drogue, dépravation et argent facile. On se retrouve plongé dans une vision cauchemardesque de Johannesburg. L'auteur nous sert un roman visionnaire, où les anciens détenus vivent avec le poids de leur culpabilité sous forme d'un animal qui leur est attribué. La particularité étant que si l'animal meurt, son propriétaire également. Cet animal à charge est donc un boulet, une punition, en quelques mots leur fardeau de tous les jours !

Dans les ghettos de cette ville effroyable, c'est Zinzi et son paresseux que l'on va suivre. Ce roman nous dresse une vision sombre d'un univers où la rédemption n'a pas sa place. A travers ce personnage on ressent la force de ce livre. On pressent que tout va aller vite, tout va aller mal. le roman est un boulet de canon, les événements se suivent et nous entraînent toujours plus loin dans ce monde dépravé. Tout au long des pages, on sent le drame se faire sentir et c'est jouissif.

Cette jeune femme haute en couleur se voit endoctrinée dans un complot monstrueux. Malmenée par des situations compliquées et des faux semblants qui ne cessent de la rendre coupable, notre anti-héroïne devra tout faire pour prouver son innocence. Compliqué quand personne ne vous croit, ne vous écoute ou simplement ne vous considère comme un être humain, juste parce que vous vous baladez avec un animal sur vous !

L'auteur a su entremêler à son récit des brochures de journal, des discussions de forum ou encore des mails. le roman est complet, riche et avec sa construction comme un feuilleton, vous serez surpris par la tournure des événements. Avec un ton très proche l'auteur nous fait apprécier cette proximité et cette intimité entre le lecteur et son héro. le texte est abrupt, tout y est mêlé, on y sent l'excitation, la force, la folie. Un univers où règne dépravation et mensonge, une écriture qui saigne, en gros voici une bonne découverte pour vous faire plaisir sur la plage. Un policier qui sera vous surprendre et vous amener dans un ailleurs particulier !
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Lorsque j'ai acheté Zoo City je m'attendais vraiment à une claque littéraire étant donné les avis que j'avais pu lire et le fait qu'il ait gagné un prix anglais (Les anglais sont fort en Science Fiction paraît-il). Je me suis donc lancée avec envie dans la lecture de ce roman.

L'histoire se passe en deux parties, la première suivant Zinzi December, une animalé, engagée par un producteur pour retrouver une de ses protégés: Songweza. Notons le fait important que Zinzi possède un sorte de pouvoir magique lui permettant de retrouver les objets perdus. L'enquête m'a semblé bien construite bien que parfois un peu longue. La deuxième partie est dans la continuité de l'histoire mais je ne m'attarderais pas sur son intrigue de peur de spoiler. le roman est centré sur Zinzi qui est aussi narratrice de l'histoire. Ce n'est d'ailleurs pas tant l'intrigue qui semble importante mais réellement la relation entre Zinzi et son quartier de Johannesburg: Zoo City. Car Zinzi est une zoo, elle possède un paresseux avec lequel elle semble partager une partie de son âme et seuls les criminels sont affublés de cette étrange faculté. L'un et l'autre ne peuvent pas se séparer sous peine de souffrances pour les deux parties. Si l'animal meurt, le "porteur" aussi. Zoo City ce n'est d'ailleurs pas un quartier tranquille comme les autres, il est le quartier de ceux qui sont au ban de la société, ceux qui vivent dans la misère et la pauvreté et de la plupart des criminels.

Je ne dirais pas que j'ai été déçue, Lauren Beukes à un style d'écriture plaisant et facile à lire mais parfois un peu vulgaire. Peut être trop. (Je n'aime pas trop les "putain" à chaque phrase ou les "viens on baise" à chaque chapitre je dois le dire.) Paradoxalement au style fluide de l'auteur, je ne me suis pas vraiment attachée au personnage de Zinzi qui est très distante bien que narratrice, et parfois presque désagréable pour le lecteur. Il est très difficile de la cerner et donc par la même occasion de s'intéresser à elle.

Je reproche également à ce livre un autre détail: trop de changements de noms des personnages, parfois Marabout est appelée Marabout, parfois Amira. Et elle n'est pas la seule, dans ce cas. Je me suis vite perdue dans les personnages à cause des surnoms que la narratrice donne à tout bout de champs. Sans compter les mots laissé en Sud Africain dans le texte qui s'avèrent être parfois redondants.

Finalement j'ai apprécié l'histoire mais elle ne m'a pas passionnée, l'idée était intéressante mais j'ai eu l'impression qu'elle était peut être mal exploitée. Certaines choses ne sont pas explicitées (comme le passé de Zinzi, ce qui a pu faire qu'elle est allée en prison et s'est retrouvé avec Paresseux).


Malgré toute ces déceptions, pour l'originalité de ce livre, et pour le fait que je n'ai eu aucune difficultés à le lire, je pense que Zoo City mérite une note correcte. C'est une lecture agréable et sans prétentions.

Lien : http://lespetitsmotsdesaefie..
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Dans un quartier d'une Johannesburg alternative, sobrement appelé Zoo City, vit Zinzi, ancienne journaliste, ex-taularde, qui a cette capacité de retrouver ce et ceux que les gens ont perdu(s). Elle gagne en partie sa vie en ramenant les objets perdus aux personnes respectives et fait des arnaques à la nigériane, ce même type d'arnaque qu'on connaît tous (le coup de la veuve d'un prince africain qui ne sait pas quoi faire des 50 milliards déposés sur le compte de feu son mari et qui vous envoie un mail pour vous demander si ça ne vous intéresse pas). Zinzi est animalée, c'est-à-dire qu'elle a un animal en permanence avec elle, en l'occurrence un paresseux, signe d'une vie pas franchement orthodoxe.
Zinzi va être commanditée par un producteur musical pour enquêter sur la disparition d'une poule aux yeux d'or dans l'une des villes les plus violentes et les plus corrompues qui soient.

Zoo City s'inscrit dans un genre littéraire que je n'ai pas abordé jusqu'à présent, soit la science-fantasy. Il s'agit tout simplement d'un savant dosage entre la SF et la fantasy, genre littéraire que je ne connais absolument pas en dehors du Seigneur des Anneaux et de The Legend of Zelda. Je sais qu'il a ses ramifications complexes, qu'il a ses préjugés et pourtant c'est un genre qui pose aussi beaucoup de questions sur notre réalité. Et quand je dis que je ne connais pas, j'entends par là que je n'en lis pas.
Dans cet univers alternatif, la magie existe sous formes diverses. Zinzi voit des auras lorsqu'elle regarde les gens, ainsi que des fils qui émanent d'eux, fils qui les relient aux objets ou personnes perdues. Et l'apparition d'animaux – symboles de la culpabilité – a quelque chose de déroutant, parce qu'on ne sait pas vraiment comment ça fonctionne, si ce n'est que quelqu'un ou quelque chose sait que vous n'avez pas fait que des bonnes choses. Par le biais de chapitres qui servent d'intermède on en apprend toujours un peu plus sur ce phénomène. Des prisonniers, des criminels, reçoivent en pleine nuit un animal qui s'attache à la personne de telle manière qu'une séparation peut être physiquement douloureuse, et que si l'animal meure, il en va de même pour la personne. Ces animaux semblent donner des pouvoirs à leur symbiote. de ce fait Zoo City pourrait s'inscrire dans le registre du (post)cyberpunk, avec cette idée d'humains « augmentés » non pas par une quelconque technologie mais par un animal.


Ces humains augmentés dont fait partie Zinzi, les « animalés », subissent un racisme non dissimulé de la part des autres individus qui s'estiment trop propres sur eux pour oser se mélanger à eux. Bien sûr, la réalité est bien plus complexe que ça et, si Zinzi n'est effectivement pas l'incarnation de l'innocence à l'état pur, son commanditaire qui l'a chargée de retrouver une ado popstar n'est pas tout net non plus. Je suis assez amusé de voir que Johannesburg est une ville qui revient de temps en temps dans le champ de la science-fiction ; dans le cas de Lauren Beukes, on peut aussi citer le cyberpunk Moxyland, mais on pourrait prendre l'exemple de District 9, réalisé par Neill Blomkamp et co-produit par Peter Jackson et Carolynne Cunningham, ou encore Chappie, du même réalisateur et produit par Simon Kinberg. A chaque fois, la ville paraît comme une dystopie ultra-violente, corrompue et raciste… Un peu comme elle l'est en réalité. le fait est que Lauren Beukes et Neill Blomkamp y vivent ou y ont vécu, et leurs oeuvres, sous couvert de la science-fiction, sont des satires assez marquées et marquantes de la ville.

Zoo City est un roman extraordinairement fabuleux. Zinzi est un personnage très poignant, qui marque les esprits, de part sa grande gueule et son insolence, elle est l'archétype du anti-héros hard-boiled. Tous les personnages semblent issus d'un monde mi-onirique, mi-cauchemardesque (et re-mi-onirique derrière). le plus important d'entre eux, la ville elle-même, est hallucinée, crade, violente, brutale, totalement dystopique. du propre aveu de Lauren Beukes, le personnage principal du roman est bien la ville de Johannesburg, et on sent son horrible haleine et sa respiration entre les lignes, d'un chapitre à l'autre.

Je déplore toutefois un manque de rythme. En effet, le roman va vite, sans jamais vraiment avoir de moments calmes. Et confondre rythme et vitesse n'est jamais une bonne chose. Quoi qu'il en soit, il faut vraiment être attentif à la lecture, ne pas faire comme je fais parfois, lire un peu en diagonale, car certaines ellipses passeront pour être obscures. Cela dit, la ligne directrice du roman est tellement claire que ça reste facile de comprendre le chemin parcouru par Zinzi, même pour qui lit un peu trop vite. Car oui, la structure du récit reste des plus classiques. Ouf.

J'ai lu des chroniques comparant Zoo City à La Croisée des Mondes, pour ce concept de familiers attachés aux humains. La comparaison s'arrête là. D'autres, comme le Coffee's Corner, lui reproche un manque de profondeur, de noirceur, de crasse, concluant que c'est un roman jeunesse (l'un n'empêche pas l'autre… Mais il s'avère que Zoo City ne relève pas de la littérature jeunesse, très loin de là). Non, ce n'est pas de la urban-fantasy brute, en dépit de la magie qui règne dans ces pages et ce monde alternatif. Ce n'est pas de la jeunesse non plus. C'est un roman adulte, science-fantasy, cyberpunk, polar, regard critique d'une ville dont le seul nom est un synonyme de violence.

J'ai l'impression de sortir d'un cauchemar poisseux, une fois le roman terminé, ce genre de cauchemar qui donne de la fièvre et l'envie de rester au lit, avec les pires images qui reviennent en boucle. le fait est que ce cauchemar-là, on en remangerait bien, masos que nous sommes. de la même autrice, tant qu'à faire. Genre… avec Moxyland.

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En m'aventurant dans ce roman, je m'attendais à passer à un très bon moment fantaisiste entouré d'animaux symbiotiques et attachants. Malheureusement, le contenu ne me semble pas à la hauteur de la couverture, ni de la quatrième de couverture. Effectivement, il y a un petit peu de fantasy avec ces animaux qui viennent se greffer à leurs humains, mais l'essentiel de l'intrigue vogue plutôt sur la vague du polars. Ce qui est décevant, parce qu'on ne s'attend pas à une telle ambiance. le résumé laisse à penser à une oeuvre digne d'un Philip Pullman alors qu'il n'en est rien.
Côté personnage, il est difficile de s'attacher à l'héroïne, Zinzi. C'est une femme très égoïste et très intéressée. Si bien qu'elle vit d'arnaques à la pauvreté africaine sans jamais se soucier des gens qu'elle arnaque. Seule sa petite personne compte ! Et, elle le prouve encore lorsqu'elle continue à se soûler et à se droguer alors qu'elle sait pertinemment que Paresseux en ressent les effets. Au-delà de ça, j'ai été incapable de m'imaginer cette femme comme étant une adulte. du début à la fin, elle a été à mes yeux, une adolescente. Pourquoi ? Peut-être parce que ses prises de paroles et ses réactions semblaient plutôt enfantines. Elle agissait souvent comme ces adolescents qui atteignent « l'âge bête ». de plus, c'est un personnage incohérent. Elle est une femme très égoïste, qui ne se soucie de personne … Pourquoi s'intéresse-t-elle tant au sort de ces jumeaux stars, dans ce cas ? Ça ne colle pas ! 
Benoît, quant à lui, est trop gentil. Il est lisse et donc sans grand intérêt. 
Les personnalités des « méchants » n'ont malheureusement pas été assez développées, ce qui nous fait passer complètement à côté. Ni on les aime, ni on les déteste … Ils sont là, donc on les prend comme ça. C'est un dessin qui semble inachevé.
Autre reproche, également, concernant les mots inconnus au dictionnaire français. Ça a souvent été compliqué car le roman est relativement chargé de termes africains qui nous sont inconnus. du coup, on coupe notre lecture pour aller chercher la signification de ces mots. Et, n'étant le roman le plus haletant qu'il existe, il est relativement difficile de s'y remettre d'autant plus qu'il n'existe pas de réelles connexions entre les insertions d'annexes et l'histoire elle-même. On a l'impression, parfois, de lire une succession d'idées juxtaposées. L'oeuvre en ressort un peu élitiste en excluants les lecteurs occidentaux qui ne pratiquent par cette langue.
Malgré une écriture un peu lourde, l'intrigue se lit. À la fin, ça devient intéressant et ça attise notre intérêt. Dommage, que ce ne soit le cas qu'à la fin. On oublie un peu le côté vulgaire de cette oeuvre, qui s'explique par le fait que Zinzi vit dans Zoo city : une sorte de banlieue où se rassemblent les zoos. On remercie l'auteur pour ne pas nous avoir noyé dans une romance à deux francs six sous entre Zinzi et Benoît. Leur relation restait légère et ne prenait pas beaucoup de place dans le cours de l'histoire, ce qui est très bien. Pour résumer, si vous cherchez une oeuvre de la poigne de Philip Pullman, passez votre chemin. Mais si vous voulez lire un petit polar « gentillé » avec une pointe de fantasy, lancez-vous. Mais restez accroché et gardez près de vous un accès Internet afin de faire des recherches à chaque phrase.
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Un roman étonnant, au style brut et direct à l'image de son héroïne.

L'idée d'un animal symbiote qui apparaît et ne vous lâche plus lorsque que vous avez commis un crime est originale, mais elle est à peine esquissée et aurait gagné à être un peu plus développée. L'intrigue policière est un peu trop simple pour tenir en haleine. En revanche, le fait que cela se passe à Johannesbourg dépayse un peu, et ça ne fait pas de mal !

Cette lecture a du potentiel mais bien trop sous-développé pour être mémorable.
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Zinzi est une "animalée" une délinquante qui a reçu un paresseux dont elle doit prendre soin pour expier ses fautes. Sa magie lui permet de retrouver les objets perdus. Elle en a fait son travail, elle recherche les objets perdus pour des clients qui la paient. le jour où on fait appel à elle pour retrouver deux ados, elle sait qu'elle ne devrait pas se lancer dans cette histoire. Mais comment refuser la somme qui lui est offerte ? Mais dans le monde du showbiz, les lois ne sont pas les même que dans son monde et Zinzi va devoir se mettre en danger pour les retrouver. Un récit original qui tient jusqu'au bout.
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𝓩𝓸𝓸 𝓒𝓲𝓽𝔂 ~ 𝓛𝓪𝓾𝓻𝓮𝓷 𝓑𝓮𝓾𝓴𝓮𝓼

Johannesburg, 2011.
Zinzi December survit tant bien que mal dans un monde en proie à la violence et aux moeurs particulières. Ici, lorsque l'on devient un criminel, on se retrouve avec un animal à charge. S'il meurt, son propriétaire suit le même chemin dans la foulée. Être vu avec son animal est très mal perçu alors les criminels se voient dans l'obligation de survivre grâce à de petits boulots souvent dans la plus complète illégalité.
Zinzi survit donc grâce à un don qu'elle a et qui est celui de pouvoir retrouver les choses perdues. Elle parcourt donc la ville afin de gagner plus ou moins sa vie.
Un jour elle accepte une mission qu'elle déteste pourtant et qui est celle de retrouver
personnes disparues. Malgré son appréhension et son mauvais pressentiment, elle se lance et laisse son don la guider afin de peut-être pouvoir quitter une bonne fois pour toutes Zoo City. Mais tout ne va pas se passer comme prévu et au lieu de s'en sortir, elle va s'enfoncer dans une affaire bien plus sombre et dangereuse qu'il n'y paraît.

𝓐𝓿𝓲𝓼
Une déception pour moi car je m'attendais à un roman tellement original et hors du commun. Ça aurait pu être le cas si je n'avais pas été « noyée » par tous les termes dans le dialecte africain qui nous renvoient au lexique en fin de roman. Dommage je n'ai pas été emporté et ce sera une lecture que je vais vite oublier malheureusement.
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