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4,08

sur 373 notes
Voici une belle découverte, un roman poignant reçu autour d'une rencontre Babelio.

Île de le Réunion, 1963 : Pauline et Clémence sont kidnappées… Pas par un fou dangereux, pas par un pervers mais par l'État Français. Un État qui cherche à repeupler les campagnes, un gouvernement qui pense faire le bien sans réfléchir au mal qu'il fait en déracinant des enfants.

Ariane Bois dénonce un scandale d'État et met en lumière un passage sombre de l'histoire de notre pays. Elle nous romance une histoire inspirée de faits réels pour que l'on ressente le drame qui a touché ces enfants et leurs familles. Nous suivons les deux soeurs dans cette vie qu'on leur impose, une vie sans racine bâtie sur un mensonge.

Le roman est construit sur une enquête minutieuse de l'auteure. On sent le grand travail de recherche qui a été effectué et l'implication de la romancière dans son récit. le style est fluide et l'histoire prenante : bref c'est une réussite.

Il a fallu plus d'une génération pour que ce scandale soit connu même s'il peine encore aujourd'hui à être reconnu par nos dirigeants. Plus d'une génération pour s'affranchir de la culpabilité ressentie à tort par les victimes, des personnes déracinées n'appartenant pas complètement à la métropole et n'étant pas toujours acceptées dans leur île d'origine.

Plus qu'un roman, un cri du coeur pour toute les personnes qui ont été touchées par ce drame. A lire sans hésitation.
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Dans les années soixante, deux soeurs enlevées à l'île de la Réunion sont envoyées dans une famille d'accueil de la Métropole en France comme plus de deux mille enfants. le but : désengorger l'île et repeupler les campagnes françaises. C'est cette réalité, ce scandale d'état qui a inspiré Ariane Bois.

C'est un roman magnifique, touchant, qui peut émouvoir jusqu'aux larmes. J'avoue cependant avoir préféré la deuxième partie, l'écriture y est moins journalistique, plus vibrante encore. Que deviendront Pauline et Clémence exilées de force ? Quels souvenirs garderont-elles de leur enfance ? Autant de questions qui nous assaillent et font de cette rencontre avec l'oeuvre un moment unique et troublant.
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J'avais été très impressionnée (favorablement) par ma lecture de Dakota song d'Ariane Bois en 2018. Si bien que, lors du salon du livre de Paris en 2019, j'avais acheté et fait dédicacer le titre que je vous présente aujourd'hui. Il m'attendait depuis tranquillement. Très rapidement, dès les premières pages, j'ai été extrêmement émue par ce récit… Pauline et Clémence sont soeurs et jouent tout le temps ensemble, notamment près de la rivière. Nous sommes sur l'île de la Réunion. Pauline est l'aînée et a à coeur de prendre soin de Clémence dont elle se sent responsable. La vie est parfois spartiate, surtout que la mère de Pauline est souvent malade, mais belle et remplie de parfums. On a dit aux petites filles de se méfier d'une camionnette rouge qui rode dans la région et enlève les enfants. Un jour, une main finit par les attraper et les jeter sans ménagement sur un siège arrière. Sans le savoir, les fillettes viennent de rentrer dans l'histoire tragique des exilés de la Creuse. En 1963, a en effet été décidé un transfert massif d'enfants venus de l'île de la Réunion pour repeupler des départements de la métropole. Ce qui est scandaleux est que ces enfants avaient des familles, que leur consentement a parfois été arraché, et que beaucoup ont été traumatisés et malheureux. Pauline et Clémence, dans ce roman, ont été rapidement séparées. Pauline a connu deux foyers, a du changer de prénom. C'est sa fille, de nombreuses années plus tard, qui fouillera le passé et permettra la résilience… Comme je vous le disais, j'ai été très touchée par ce roman qui ne cache rien des maltraitances qui ont pu avoir lieu sur ces enfants déracinés. Je reste estomaquée que des services sociaux aient pu collaborer, si récemment, à un tel processus complètement fou. Je suis toujours très bouleversée par les histoires de fratries que l'on sépare. J'ai ressenti, via l'écriture fluide d'Ariane Bois, chaque arrachement, chaque douleur. Pauline est un beau personnage. Et ce texte est à la fois fort et révoltant.
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À tous ceux qui vibrent, à tous ceux qui aiment l'histoire vraie, les romans, les romans d'amour, les romans historiques, je les mets au défi de lire cette aventure sans une larme; un autre défi est de s'arrêter au cours de ces 240 pages qui se déroulent au rythme créole. Ariane Bois que j'ai eu le privilège de rencontrer grâce à Babelio nous livre un documentaire journalistique exeptionnel, rempli des souffrances et des émotions d'une génération d'enfants sacrifiés à des fins politiques et économiques que l'on croirait d'un autre monde, mais qui sont si proches de nous ; bravo pour cette description de l'île de la réunion, merci pour tant d'émotions Madame Bois
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Je suis passée complètement à côté de cette lecture. le sujet était pourtant intéressant et met le doigt sur un fait historique méconnu. Ce que ces enfants subissaient n'était autre que de l'esclavage. Toutefois, je trouve que le récit manquait d'émotion. La plume de l'auteure a instauré, dès le début du récit, une distance entre moi et son histoire, je n'ai pas réussi à m'immerger dedans. J'avoue que j'ai préféré lire rapidement ce roman pour le finir mais je n'ai pas éprouvé de réelle plaisir de lecture. J'ai trouvé le style d'Ariane Bois assez impersonnel. de plus, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages même si je ressentais de la peine pour eux. Je pense que cela est dû à la manière dont est construit le récit. Je n'ai définitivement pas été séduite par la plume de l'auteure. le roman est court et on n'a pas le temps de s'attarder sur les protagonistes.

Un roman qui n'a pas su me séduire mais qui a déjà séduits d'autres lecteurs. Je trouvais que le tout manquait d'émotion malgré le fait que la réalité historique que le roman dépeint est tragique.
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Un bien beau roman que j ai lu pour un challenge
J apprecie les histoires d enfants et les livres sur fond historique
Et bien ce livre était fait pour moi
La déportation des enfants de l ile de la Reunion pour le département de la Creuse c est la trame de cette histoire
En quête de la recherche de ses descendants la fille de l heroine de la première partie du livre va aider sa mère à se reconstruire
Une page de l histoire de l ile de la reunion que je ne connaissais pas qu il faut découvrir
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Roman très intéressant et bien documenté qui parle du sort des enfants réunionnais qui ont été emmenés en Métropole , soi-disant pour repeupler les zones rurales, entre 1963 et 1982. L'auteure s'est appuyée sur des témoignages de personnes ayant subi cet exil forcé pour écrire son livre.
Je vous le recommande notamment pour son intérêt historique qui permet de découvrir cet aspect peu connu de l'histoire française.
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Roman qui a pour toile de fond une sorte d'esclavagisme moderne perpétré en France entre français, un scandale d'Etat révélé récemment et qui s'est déroulé sur une vingtaine d'année à partir de 1963. L'auteur, tout comme la Caroline du roman, est journaliste et elle va confier l'enquête sur le passé de sa mère à la jeune fille. C'est non seulement un livre document qui dénonce un crime d'Etat mais encore une magnifique relation humaine familiale.
Un roman qui met en avant les femmes. En effet les personnages clés sont des femmes. Pauline/Isabelle et Constance, les deux petites filles qui ont été arrachées à leur terre natale et Caroline, la fille de Pauline/Isabelle qui va etre le pont entre le passé et le présent mais pas que. Il y a aussi les familles d'accueil, les familles d'adoption. Toute la problématique de la discrimination raciale, de l'adoption, de la façon de communiquer entre parents et enfants et on verra comment le fait de ne pas révéler son histoire à une enfant adoptée peut créer des traumatismes importants, voire destructeurs.
Une fois encore je suis fascinée par l'importance des racines, les liens viscéraux qui relient à la terre de l'enfance et lient les êtres par-delà les océans. La transmission par le sang est incontestable et même si on fait tout pour l'occulter, elle est plus forte que tout. Les hommes sont peu présents dans le roman et pour la plupart ce sont des personnages secondaires.
C'est un livre sur les non-dits, sur la peur du passé, la peur de savoir, la peur du futur, la peur de ne pas savoir. C'est peut-être confortable de vivre en huis-clos en essayant de se préserver en restant cloitrée dans le petit microcosme qu'on a construit, mais ce dernier finira bien par voler en éclats et on se retrouvera au bord du gouffre. le passé finit par nous ronger et nous détruire et il affectera aussi ceux qui nous entourent.
Les personnages sont magnifiques. Alors laisser vous prendre par la main, vivez le drame des enfants volés et renaissez avec eux. Bien sûr la route est longue et semée d'embuches mais les fleurs et le soleil de la Réunion sont source de joies et d'amour.
Un roman très fort et très émouvant qui est un coup de coeur.
J'avais dejà lu un roman traitant du même sujet, dans le genre policier avec le drame des Réunionnais de la Creuse en toile de fond ; celui d'Elena Piacentini « Aux vents mauvais » (2017) ; je vous le recommande aussi.
Lien : https://www.cathjack.ch/word..
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J'avais découvert la plume d'Ariane Bois avec « le gardien de nos frères » roman pour lequel j'avais eu un énorme coup de coeur. Avec l'île aux enfants, l'autrice met à jour un pan d'histoire méconnu pour ma part. J'avais bien entendu quelques bribes, sans jamais véritablement m'y intéresser et c'est un récit glaçant et bouleversant qu'elle nous livre.

Pauline a six ans quand, un matin de novembre 63, elle est enlevée avec sa soeur cadette Clémence, sur l'île de la Réunion où elle habite avec ses parents. La famille n'est pas riche, la maman est blanchisseuse, quand elle le peut, parce qu'elle est de santé très fragile, le papa coupe la canne à sucre sur la totalité de l'île, il ne rentre que le Dimanche, c'est « gramoune », leur grand-mère, qui s'occupe d'elles la plupart du temps. La case est petite, il faut aller chercher l'eau à la rivière, il y a la saison des pluies, il y a les cyclones qui malmènent leur habitation, les repas ne sont pas variés mais la vie est belle, même si elle est dure.

Un matin tout bascule, les fillettes sont enlevées et embarquées dans un avion, avec d'autres enfants, direction la métropole. Emmenées du côté de Gueret, elles sont séparées et adoptées par des familles d'agriculteurs. Commence alors la vie à la ferme pour Pauline qui a peur, qui a froid, qui n'arrive pas à s'adapter et qui ne cesse de penser à sa soeur. le dépaysement est total, rien à voir avec son île qu'elle a quitté, ses parents lui manquent, pourquoi ont-ils accepté qu'elle soit emmenée en France avec sa petite soeur ?

Pauline ne sait pas que ses parents ont été dupés par le gouvernement de l'époque qui voulait repeupler des zones rurales désertées par les locaux et alléger la démographie galopante de l'île. Si certains enfants ont été sciemment abandonnés par leurs parents, d'autres n'ont pas compris et pensaient que leurs enfants étaient envoyés en métropole pour étudier afin d'obtenir une vie meilleure, c'est le cas des parents des fillettes mais Pauline finit bien vite par penser que ses parents les ont abandonnées.

A la ferme elle se lie d'amitié avec Gaetan qui vient lui aussi de la Réunion et qui est là depuis dix mois. Si Pauline a sa propre chambre et va à l'école, Gaetan vit dans d'horribles conditions, comme un animal. Il subit les coups, la privation de nourriture, le froid, dort dans une grange. Il n'a été adopté que pour travailler sans relâche, c'est une main d'oeuvre gratuite pour la famille d'agriculteurs qui ne semble pas en être à son premier coup d'essai. A la lecture des conditions de vie de Gaetan on est sous le choc, c'est inadmissible, révoltant et tellement triste !!!

Gaétan est le seul ami de Pauline, avec lui elle s'apaise un peu et retrouve son île, elle se sent moins seule, ensemble ils vont s'épauler, mais un matin Gaétan, à bout de forces tente de se suicider et Pauline est transférée en ville, dans une nouvelle famille.

Ariane Bois nous embarque dans la vie de la fillette avec ses nouveaux adoptants, ses questionnements, ses bribes de souvenirs et le racisme des autres enfants et aussi des adultes qu'elle doit affronter quotidiennement. Que reste-t-il de son ancienne vie ? il n'y a que sa couleur de peau qui puisse lui rappeler d'où elle vient, ils ont même changé son prénom en Isabelle et désormais elle s'appelle Gervais, comme eux.

Dans sa nouvelle famille elle tombe gravement malade, des pans entiers de sa mémoire se délitent, tout se mélange, Pauline est jeune, elle s'adapte à cette nouvelle vie mais on ne peut s'empêcher de s'interroger, que se passera t-il quand elle grandira ? ses parents adoptifs ne devraient-ils pas lui dire la vérité ? Pauline finira par se poser des questions, ses parents sont blancs, elle n'a pas la même couleur de peau, comment est-ce possible ?

Quand Pauline, adolescente, découvre, accidentellement la vérité, son univers bascule une nouvelle fois. La colère et l'incompréhension s'installent. Pauline se rend compte que toute sa vie est un mensonge, c'est très déroutant, elle est perdue et part en guerre contre ses parents. Elle se fait du mal aussi.

On oscille entre colère et tristesse, le lecteur est lui aussi très perturbé par cette vie morcelée, ce puzzle dont aucune pièce ne semble vouloir s'imbriquer. On se met à la place de Pauline comment peut-elle se construire et évoluer si sa vie est basé sur le mensonge. N'a t'elle pas besoin de connaître ses racines pour avancer dans la vie ?

Même si on en veut aux parents adoptifs de ne pas avoir tout dévoilé, on a de l'empathie pour eux, ils ont certainement peur de la réaction de Pauline, peur de perdre son amour, pour eux elle est leur fille et ils ont tout fait pour qu'elle le soit. Je suis choquée par le changement de son prénom. Si elle a pris le nom de sa famille adoptive, pourquoi lui avoir donné un nouveau prénom, Pauline était tout ce qu'il lui restait de sa vie d'avant. Quelque part on la coupe totalement de son passé et de ce prénom choisi par ses parents biologiques.

Je poursuis la lecture du roman c'est instructif, ça interpelle et chamboule. Pauline rencontre Marc avec qui elle a une petite fille, Caroline, elle semble avoir dompté ses démons, mais en apparence seulement. On pourrait penser que tout s'arrête là, mais c'est pourtant là que tout commence !

Un matin de 1998, alors que Caroline a déjà 21 ans, elle entend une information à la radio sur les enfants arrachés à l'île de la réunion entre 1963 et 1982. Elle fait tout de suite le rapprochement avec sa mère dont elle sait si peu de choses et, dans le cadre de ses études de journaliste, elle décide d'enquêter, malgré l'opposition farouche de Pauline qui de nouveau se renferme. Caroline a compris que sa mère est liée à cette histoire d'enfants enlevés, elle va tout faire pour trouver la vérité et pourquoi pas, retrouver la famille biologique de Pauline.

C'est une vie d'errance qui nous est racontée, une vie de mensonges, de secrets, de non-dits. Pauline avance comme sur un fil, occultant tout ce qui pourrait la ramener au passé qu'elle a, pour la plupart oublié. de ce qu'il lui reste d'avant, elle a tout enterré. Elle est Isabelle, mariée à Marc, Maman de Caroline, ses parents sont Martine et Jean-Paul Gervais, son frère s'appelle Aymeric et voilà ce qu'il faut retenir d'elle et ce qu'elle veut qu'on retienne. Quand Caroline décide d'enquêter et de remuer le passé c'est douloureux, il y a des souvenirs qui reviennent, il y a le déni, il y a la culpabilité alors que Pauline est une victime, il y a cette colère en elle parce qu'elle pense que ses parents l'ont abandonnée et il y a ce scandale d'Etat incroyable qui dépasse l'entendement.

C'est un beau roman qui est nécessaire pour comprendre la souffrance infligée à ces enfants et les séquelles qu'ils garderont à vie. Des vies qui ont été volées, des vie qui ont été brisées. Comment un gouvernement a-t-il pu faire ça ? C'est un roman bouleversant qui met en colère. Ce n'est pas une lecture d'été qu'on dévore près de la piscine. On a parfois besoin de lâcher le livre pour reprendre un peu d'air.

Ce n'était pas un moment de détente, mais c'est une histoire qu'il faut connaître. C'est un livre que j'ai apprécié. A noter qu'il a reçu le prix littéraire des jeunes Européens 2020.



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Sentiment mitigé. D'un part, il faut reconnaître l'importance de ce roman, d'écrire sur ce mensonge d'Etat, sur les souffrances de ces enfants et de leurs familles pour rappeler ce douloureux souvenir aux nouvelles générations. Une sorte de devoir de mémoire. Je ne connaissais rien à cette affaire choquante et pour ça Arianne Bois a écrit un livre nécessaire.
Mais d'un autre côté, je suis un peu restée dubitative face à la manière dont cela a été traité. le style est simple, facile à livre, ce sont les ressorts de l'intrigue qui m'ont surtout fait lever les yeux au ciel. le début du roman est bien, on est pris dans l'histoire (sauf l'invraisemblable crise de Pauline à la découverte du secret de ces parents) mais toute la partie concernant l'enquête de Caroline m'a semblé bien mièvre et très arrangeante. J'ai trouvé maladroit aussi d'insérer des morceaux du journal d'Isabelle pour nous partager ses émotions. J'aurais préféré qu'elles soient suggérées à travers les yeux de sa fille pour plus de pudeur et de beauté. Je voulais lire la quête d'identité d'Isabelle pas l'enquête de Caroline. de même, un problème sérieux est à peine évoqué : la colère et la peur de certains réunionnais du retour de ces enfants qui reviennent sur l'île. Aborder plus en profondeur la complexité des sentiments, montrer également la difficulté à renouer le lien, de nouer les héritages. Tout ce fait si facilement... Je ne sais pas, je n'ai pas été convaincue, pas plus que par le flirt entre Caroline avec Sully.
Au final, je lui reproche surtout la façon dont a été abordé un sujet grave ; un peu simple, incohérente souvent et sans personnage digne de ce nom. J'ai eu l'impression de lire un roman se prenant pour l'Art de perdre d'Alice Zeniter (dans le type d'intrigue, le scandale déguisé, l'héritage générationnel etc.) mais sans le souffle, la force et le rythme, c'est dommage.
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