Le journal d'Adèle (1914-1918)

J'ai lu ce roman parce que ma fille qui est en troisième devait le lire pendant les vacances.
J'ai adoré m'immerger dans cette première guerre mondiale sous l'oeil de cette adolescente.

Un roman très agréable, qui se lit vite, et qui va a l'essentiel.
Les horreurs de la guerre sont décrites simplement, peut être un peu de trop d'ailleurs. Je ne suis pas sûre que notre jeunesse se rende bien compte de ce qu'était réellement cette guerre. Maïs l'auteure n'épargne rien, ni la joie d'une lettre, ni la peine du départ des soldats, ni la mort des êtres aimés.

J'ai apprécié l'innocence d'Adèle, qui grandit au fils des ans, des pages et qui se construit doucement et parfois douloureusement.

Néanmoins dans le cadre du travail de ma fille, son professeur de français lui demande une approche liée à l'autobiographie...je cherche encore ou est le lien, l'auteure étant née en 1951. Je finis par me demander si ce prof n'est pas un peu taquin. Enfin on verra. A moins que l'un d'entre vous ai la réponse.

Ce roman devrait être lu par nos jeunes, et mériterait a être plus connu.
J'avoue qu'à sans ce travail, je ne me serais jamais penchée sur ce roman.
Et j'ai franchement beaucoup aimé, même si il ne faut pas oublier que le public visé reste notre jeunesse.

j'ai cru au départ que ce Journal était un vrai journal.
avant de réaliser mon erreur.
écrit pour la littérature "jeunesse", il a le défaut de faire "comme si" c'était écrit par une enfant; et ça se voit. et c'est dommage.
je sais bien qu'à cette époque et dans ces conditions, les enfants étaient plus matures, mais quand même...
une fois accepté et dépassé ce défaut, le livre se lit avec intérêt pour pu qu'on s'intéresse encore au monde rural et au choc qu'il a subi en cet été 14.
comme je ne suis plus une adolescente depuis un nombre d'années certain, je connais à peu près tout ce qui est raconté dans ce roman. mais il y a une empathie dans le récit, une façon de raconter sans trop noircir le trait, sans trop l'alléger non plus, qui fait qu'on s'attache aux personnages.
l'an prochain, il n'y aura plus de centenaire de la guerre de 14/18, cette guerre tombera-t-elle dans l'oubli? elle constitue pourtant une fracture dans le quotidien et dans beaucoup de domaines, et les gens comme moi ont encore beaucoup à apprendre.

Adèle a treize et décide de tenir un journal. Mais voilà, au moment où elle décide d'écrire se profile au loin un autre évènement majeur: la guerre contre les allemands.

Ce court roman nous permet d'aborder autrement la guerre. On y voit surtout comment elle a été subi par les populations restées à l'arrière, celles qui ont envoyé leurs hommes en attendant sans cesse des nouvelles.
Adèle nous décrit la vie dans les campagnes sans les hommes, comment il a fallu faire face à tous les malheurs et les maux de la guerre. On comprend donc que même s'ils n'étaient pas soldats, la guerre les accablait autant tout en les épargnant des combats.

Adèle doit faire face à d'autres combats: pouvoir aller à l'école, supporter la mort de ses proches, travailler aux champs. le journal retrace les cinq années de guerre.

C'est un bon roman, qui est souvent lu en CM2 pour aborder la guerre 14-18. Un moyen de voir que la guerre est globale et impacte tout le monde et pas seulement les soldats.

Il peut être lu à partir de 10 ans en autonomie, et je le conseille aux enfants en CM2.

Adèle tient son journal avant que n'éclate la Grande Guerre de 14-18. L'adolescente nous fait vivre le quotidien de ces civils qui ont souffert de ce drame. Bien que destiné à la jeunesse, ce roman ne laisse pas de côté les horreurs de cette tragédie.

Je l'ai lue il y'a longtemps et j'avais adorais il me fait pensé un peu au journal d'anne franck je vous le conseille

C'est le début de la guerre à Crécy prés de Dijon en 1914 adèle a 13 ans 1/2.
Ses frères partent aux front ,ils s'appellent Eugène et Paul .
Elle est donc obligés d'aider à la maison car c'est la moisson
Donc elle ne peut pas aller à l'école !
Adèle aimerait devenir institutrice mais la guerre lui impose de participer aux moissons et de soutenir ses amies

AVIS: L'histoire est captivante car là-bas la vie est difficile .Elle raconte toute ça.Franchement ce livre est bien .
Son histoire m'a touché car la relation entre frère et soeur est très intéressante

Un journal qui donne une vision d'ensemble de la guerre, entre vie à l'arrière et nouvelles du front. Adèle, 14 ans au moment de la mobilisation, livre à son cahier les sentiments qu'elle ne peut exprimer à ses proches car "on ne peut parler de rien": "On vit dans l'anxiété et je n'ai personne à qui parler de la mienne", "Sous prétexte que c'est la guerre, on n'a plus le droit de rire!". Tout au long du conflit, son humeur naviguera entre détresse ("On est démoralisé") et espérance ("J'ai décidé de me secouer et de reprendre le dessus").

Dans ce petit village de campagne, la déclaration de guerre a surpris les hommes en pleine moisson, juste avant les vendanges : c'est désormais à ceux qui restent (les femmes, les anciens, les enfants) d'assumer les travaux des champs car dès 1915, "il n'y a plus d'hommes du tout". Charge qui s'ajoute à la gestion du quotidien telle que la préparation des repas, les soins aux animaux et la tenue de la maison, et rendue d'autant plus délicate que les animaux (chevaux, vaches, chiens) sont réquisitionnés, tout comme d'autres biens tels que les couvertures et le vin... "Que va-t-il nous rester?" On a désormais besoin de tous les bras dans les foyers alors l'école est jugée superficielle, au grand désespoir d'Adèle qui veut devenir institutrice.

Si les nouvelles de la guerre arrivent par bribes (bataille de la Marne en septembre 1914, "l'enfer de Verdun" en août 1916, etc.), les lettres des mobilisés se font rares et "on imagine le pire". Les convois de blessés voire de morts s'enchaînent, touchant toutes les familles... C'est le retour des premiers estropiés qui va en apprendre plus aux villageois sur "cette guerre atroce" : "Nous ne sommes que de la chair à canon" se révoltent les soldats, traumatisés. Dès lors, le 1er novembre prend un goût amer : c'est la fête des "morts pour la France"...

1917 marque l'entrée en guerre des Américains et des premières mutineries, des premières désertions. Adèle devient "marraine de guerre" d'un certain Lucien. La nourriture vient à manquer: "Les soldats n'en peuvent plus, les civils non plus.", "Tout le monde en a assez de la guerre."
Forcément celle-ci "nous change tous". Les familles sont détruites, les couples séparés, les relations évoluent, y compris l'amitié d'Adèle et d'Alette. Les points de vue se modifient, la mère de l'adolescente se montre plus attentionnée et plus émotive, tandis que son grand-père réalise l'intérêt qu'elle fasse ses études d'institutrice pour développer la réflexion et l'esprit critique des gens. Pour Adèle, le changement est aussi sentimental, avec les premiers émois qui aident à supporter 1918 et rendent son 18e anniversaire "différent de tous autres" !
Enfin "l'armistice est signé", "la guerre est finie!", et il reste à "s'accrocher à la vie puisqu'elle a continué" malgré les pertes et les souffrances...
Lien : https://www.takalirsa.fr/le-..

Critique de Lou-Anne :

Ce livre est paru en 1998 et a été écrit par Paule du Bouchet.

Adèle, une jeune fille de la campagne, vit avec ses 2 parents et ses 3 frères. Très bonne élève à l'école, elle aimerait devenir maitresse. Malheureusement la guerre arriva. Ses 2 frères furent convoqués et son chien et réquisitionné. Son père lui interdit de retourner à l'école pour l'aider à la ferme. La guerre est dure pour tous le monde et la seule personne à qui elle peut se confier est Alette. Quelques mois plus tard son père est convoqué. Eugène l'un des frères d'Adèle est mort d'une pneumonie dans un camp en Allemagne. Peu de temps après c' est le père d'Adèle qui meurt. L'autre frère d'Adèle à été amputé d'une jambes. Alette de son côté a rencontré l'amour, il s'appelle Etienne et ils se sont mariés avant qu'Etienne ne reparte pour la guerre. Alette à apprit qu'elle était enceinte, mais l'accouchement sans Etienne s'est mal passé, le bébé est mort et peu de temps après elle aussi. Quand Etienne est rentré et qu'il a apprit la nouvelle il est reparti sur le champ de bataille, et il est mort. Pendant ce temps, Adèle a eu son brevet et est acceptée par son école pour être maîtresse. Lucien, le filleul de guerre d'Adèle est arrivé chez sa nouvelle famille. Lucien et Adèle se sont fiancés et la guerre est terminée.

Ce livre est dans un style différent des autres parce qu'il est écrit comme un journal intime. Il me semble donc plus facile à lire et à comprendre. Cette fille est touchante par son histoire et son vécu. Même si c'était dure, à la fin elle est heureuse. Ce livre nous fait ressentir diverses émotions : comme celles d'Alette qui est heureuse d'avoir un fiancé et bientôt un enfant. Je recommande ce livre aux petits lecteurs. Je l'ai bien aimé pour son style et pour cette histoire qui parle du quotidien des civils pendant cette guerre.


Critique d'Yléane :

Le journal d'Adele est un roman publié en 1995 par Paule du Bouchet
J'ai bien aimé ce livre car il n'est pas comme les autres. Il est présenté sous forme de journal avec des dates et les jours. C'est un livre facile à lire. L'héroïne s‘appelle Adèle, elle raconte sa vie à l'arrière pendant la Première Guerre mondiale. Elle écrit dans ce journal qu'elle a eu à Noël et qu'elle garde secrètement dans sa chambre. Cette fille est très joyeuse au début du livre, elle va a l'école et elle adore ça car elle veut devenir institutrice mais quand la guerre est déclarée sont père lui interdit d'y retourner pour qu'elle puisse les aider au champs. Ces 2 frères partent à la guerre est c'est là qu'elle commence à écrire son journal intime. Plus tard il n'y en aura qu'un seul qui reviendra avec une jambe amputée. Son autre frère est mort dans une prison, capturé par les Allemands. Tout la famille est bouleversée est quand Paul revient du front il ne parle plus il est traumatisé il ne racontera son histoire que des semaines plus tard. Les histoires que racontait Paul étaient vraiment horribles est Adèle ne voulait plus les entendre. Elle en faisait des cauchemars elle décida donc d'aller voir sa meilleure amie Alette qui l'écouta est lui annonça qu'elle allait se marier avec Étienne, un garçon qu'elle a rencontré et elle est tomber amoureuse de lui. Mais après le mariage Étienne devait partir au front et Alette tomba dans une dépression. Elle apprit plus tard qu'elle était enceinte mais Alette mourut pendant l'accouchement avec son bébé. Quand Étienne l'apprit, il reparti au front et mourut là-bas. Pendant ce temps, Adèle rencontra son cousin de guerre. Au début, elle le considérait comme son ami mais elle tomba amoureuse de lui. Quand Lucien revient de sa permission il demanda Adèle en mariage Adèle qui accepta.
J'ai beaucoup aimer ce livre car c'est un format facile à lire. Je conseille ce livre au petit lecteur. Je trouve cette histoire très belle : il y a un début difficile mais à la fin tout va pour le mieux pour elle.


Critique de Maëlie :

Le journal d'Adèle a été écrit par Paule du Bouchet. Ce livre parle d'une jeune fille, Adèle, qui a reçu pour Noël, un carnet par ses tantes. Quand la guerre va éclater, elle nous décrira sa version jour après jour. Elle a trois frères, dont deux qui vont partir au champs de batailles, Eugène et Paul. Au fil de la guerre son père va aussi devoir partir. Pendant cette période, Adèle et sa famille vont être très inquiets pour Eugene et Paul et pour leur père qui est plus âgé. Heureusement elle a une meilleure amie, Alette, qui va rester avec Adèle mais va tomber amoureuse d'un homme et va tomber enceinte. Adèle sera alors avec le reste de sa famille dans les champs. Eugène va décédé à la guerre suivi de son père. Alette va aussi mourir avec son bébé et son mari qui va tout faire pour se tuer au front. Adèle est dans le deuil. Elle retrouve peu à peu le sourire grâce à Lucien , son parrain de guerre, il vient souvent à sa maison quand il en avait l'autorisation. Après la guerre ils se marieront, et vivront heureux.
J'ai apprécié ce livre, ce journal intime. Il est très facile à lire. Nous sommes vraiment immergés dans l'histoire, dans la vie de cette Adèle. On s'attache facilement aux personnages et on comprend leur émotions. Grâce à ce livre nous savons ce qu'il se passe au front sans pourtant être sur le champs de bataille. On le sait grâce aux lettres de Paul et aux passages de Lucien. Ce livre est très prenant et nous sentons à travers celui-ci les sentiments d'Adèle. Néanmoins je trouve que les morts s'enchaînent trop rapidement .


Critique de Flavy :

C‘est "Le journal d' Adèle" écrit par Paule du Bouchet. C'est l' histoire d'une fille, Adèle et de sa famille. Cette histoire se passe pendant la Première Guerre mondiale. On découvre vraiment l'arrière de la guerre. L'histoire est passionnante. Moi qui n'aime pas lire, j'ai été complètement envoûtée par cette histoire. L'histoire nous raconte qu'elle rêve d'aller à l'école, mais son père ne veut pas. Elle se livre donc à son journal tous les jours quand elle y pense : ça m'a beaucoup touché car à cause de la guerre, sa famille est détruite. Elle perd sa meilleure amie assez tragiquement ce qui la rend très triste. Elle était jeune, elle avait à peu près le même âge que moi, elle a enduré des choses très difficiles mais malgré ça elle gardait le sourire et elle aidait les autres. Elle était marraine à la guerre. Elle trouva le grand amour après ces années de mal–être. J'ai beaucoup aimé lire ce livre. Il y a des moments tragiques mais malgré ça on continue à être passionné par son histoire. Il n'y a pas beaucoup de texte. Je recommande ce livre, il en vaut la peine.


Critique de Gabin :

Ce livre m'a plu car il raconte le récit palpitant d'une jeune fille, Adèle, qui raconte la guerre en direct dans un carnet de note qu'elle a reçu pour Noël. Elle démarre le jeudi 30 juillet 1914 et se termine le 21 mars 1919 : donc elle a passé 5 années à écrire, puis à la fin, elle se marie avec son cousin du sud qu'elle ne connaissait pas au début de la guerre. Je m'attendais à la suite, c'est dommage qu'on n'ait pas la suite mais je recommande vivement ce livre, il est extraordinaire.

En pleine guerre mondial Adèle et sa famille vont vivre avec presque rien, elle qui veut être institutrice elle va tous faire pour y arriver en surmontant la mort de certains de ses proches. J'ai adoré se livre notamment l'histoire qui est juste fantastique.

C'est une belle découverte! Etant donné qu'il s'agit de littérature jeunesse, je ne m'attendais pas à tomber sur un récit si "vrai", "touchant"... de très beaux passages pour découvrir les émotions de ceux qui ont vécu la guerre de loin.