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EAN : 9782824615509
160 pages
City Editions (04/09/2019)
3.5/5   14 notes
Résumé :
Un jour, James, qui est sans domicile fixe, rencontre un chat roux mal en point et blessé. Il décide de le recueillir, de le soigner et c’est le début d’une magnifique histoire d’amitié qui va changer leurs vies à tous les deux.

Grâce à son merveilleux chat et à sa sagesse toute féline, James réussit à se réadapter au monde et à reprendre goût à la vie. Chaque jour, Bob lui offre des moments d'intelligence, d'humour et d'amitié.

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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
James Bowen est un ancien SDF et toxicomane qui, lorsqu'il était encore à la rue, a adopté un chat abandonné. Il est roux et a été baptisé Bob. Ce livre clôt plus ou moins une trilogie : James Bowen explique les enseignements qu'il a tirés du comportement de son chat et parfois aussi des comportements humains. Il dit qu'il faut relativiser, savoir passer à autre chose, positiver en gros. Il compare beaucoup la psychologie des chats à celle des humains sauf que la nôtre est un peu plus complexe car notre cerveau est doté de capacités d'analyse différentes de celles des chats.

Je n'ai pas trouvé le livre exceptionnel, je pense clairement que c'est son éditeur qui l'a poussé à écrire cela, c'est moins intéressant que les 2 premiers tomes. Mais les petites illustrations de chats restent sympas, ça se lit (très) vite et je pense sincèrement que James Bowen est une belle personne.
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Un critique à " chaud " sur ce petit roman: 141 pages, vite avalées en ce qui me concerne et... bof,bof,bof.
J'aime beaucoup les chats j'en ai toujours eu chez moi ,ainsi que des chiens.Et j'ai toujours eu de bons rapports avec les chats .Une bonne intuition en ce qui les concerne et là,,déçue car je m'attendais à ce que l'auteur nous raconte son histoire : étant SDF il s'en est sorti,grâce à la rencontre avec ce chat des rues qu'il a surnommé Bob.Mais ce ne sont que courts chapitres décrivant les différentes attitudes de son chat face à certaines situations et ce petit côté moralisateur ,à la fin de chaque chapitre,m'a énervée. Cela ne pas apporté plus que ce que je connaissais déjà des chats et écrit dans un style assez plat ne m'incite pas à vous le recommander.Je pense qu'il faut lire le 1er roman de cet auteur: Un chat des rues nommé Bob où il raconte sa rencontre .Car dans ce roman ,l'on sent un certain essoufflement d'où mon manque d'intérêt. ⭐⭐
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Un livre étonnant, qu'il faut lire dans de bonnes dispositions : si la mauvaise humeur est là, il a un petit côté donneur de leçons qui peut sembler pénible.
Si tout va, c'est amusant, bien trouvé et, ce qui est agaçant, plutôt vrai.
Finalement, un livre que l'on devrait lire par-ci par-là plutôt que d'une traite, suivant les thèmes, pour en savourer toute la richesse.
J'ai donc finalement beaucoup aimé.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Première PARTIE

En Bob nous croyons--leçons d'amitié

Les gens disent souvent que ce ne sont pas les humains qui adoptent les chats,mais les chats qui nous adoptent.
Je pense que c'est vrai.Ce sont des animaux extrêmement intelligents, après tout.Et en mon for intérieur, j'ai le sentiment qu'ils sont assez intelligents pour comprendre quelque chose que nous autres ,humains,négligeons trop souvent: la valeur essentielle de l'amitié. J'ai indubitablement appris à l'apprécier davantage --grâce à Bob.(Page 17).
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L'argent,la richesse,peu importe le nom que vous donniez à cela ,est quelque chose d'éphémère.Cela va et vient.Nous traversons tous des périodes fastes er des périodes de famine.Des périodes où nous nous sentons --du moins financièrement--riches et Pauvres.Mais ce n'est qu'un aspect de la situation.
L'argent ne nous apporte pas les choses les plus importantes de toutes la vie.Il ne peut assurément pas nous offrir l'amour.
Tansis que nous dînionscomme des rois dans notre suite à Tokyo,J'ai fait une petite caresse à Bob.Meme si je devais de nouveau me retrouver à la rue ,je resterais un homme riche.
Pourvu que Bob soit avec moi.(Page 140/141).
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Assis sur un banc ,à proximité, à regarder la scène se dérouler,je ne pouvais pas m'empêcher de sourire.Cela me rappelaitvun vieil adage: 《 Voyager plein d'espoir vaut mieux que d'arriver à destination.》
Nous accordons tant d'importance à la réalisation de nos objectifs ,l'atteinte de nos buts ,que nous en oublions bien souvent de profiter du périple.(Page 72).
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Nous devrions tous connaître - et accepter - nos propres limites.
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Video de James Bowen (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de James Bowen
James Bowen et Bob invités dans une émission TV anglaise, avril 2012
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