Aie, aîe, aîe, ouille, c'est terrible, si on m'avait dit que je devais écrire une chronique sur un tel livre, je serais illico presto partie me faire bonne soeur, horticultrice, bref j'aime les deux mais là je crie pitié....
Pourquoi alors ai-je commencé cette lecture et mieux, pourquoi, et comment ce livre m'a été mis dans les mains. Et, bien, je ne sais pas. Un cadeau, deux acheté le troisième offert ? sans doute.
Donc j'ai fait ma bonne élève, mais franchement, non. Alors j'ai posé gentiment le bouquin sur ma table de chevet, me disant que j'étais pas d'humeur, que cela irait mieux plus tard... Et puis, lisant des romans assez durs, notamment le Prisonnier de Hwang, j'avais envie d'un petit repos lecture, un gentil livre qui ne mange pas de pain comme on dit chez moi. Donc je retrouve ce
Magiques Remèdes.
Ah Ah, dès la deuxième page, je ressens un grand agacement, proche de la crise d'urticaire.
Je donne quelques arguments : la quarantaine des personnages (même pas, c'est l'anniversaire de ses 35 ans, à l'héroïne, et même ça elle n'assume pas, hi hi, et oh l'argument pour en faire un livre), les descriptions en longueur des vêtures, des chevelures, etc...
Quant aux préoccupations des personnages, il y a de quoi rire ou pleurer, mais ce qui est sûr c'est d'une superficialité telle que, je n'ai ni ri ni pleurer, j'ai refermé le pauvre livre, désolé pour toi.