Elle souhaita une bonne journée à tous et leur recommanda d’être prudents, leur rappela que l’époque était exceptionnelle, que bien des citoyens étaient plus nerveux, plus impatients, plus portés à réagir avec agressivité dans certaines situations.
— La COVID a fragilisé tout le monde, nous y compris. Mais on doit garder notre calme. (Druide, p117)
… il se demandait ce qu’allaient devenir les enfants des victimes de ces féminicides.
— Ils n’ont plus de mères et les pères partent en prison. Ils n’ont plus de maison. S’il n’y a personne dans leur entourage pour les recueillir, ils se retrouvent en centre ou en famille d’accueil…
— Et avant, ils ont été témoins de toutes sortes de violence…
(Druide, p.44)