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Les auteurs de cet ouvrage nous proposent une véritable immersion dans le monde des pirates.
Pourquoi et comment ont-ils rejoints la bannière noire ?
Quels étaient leurs us-et-coutumes ?
Et au risque d'en recevoir beaucoup, ce n'étaient pas des monstres assoiffés de sang, ils vivaient et respectaient un code,basé sur l'honneur et la liberté.

C'est donc de l'intérieur que nous allons partager les aventures du capitaine Sylla et de son équipage, ses combats, ses prises, mais aussi ses décisions.

Bien sûr, tout n'était pas toujours rose non plus, et des tensions, des rancoeurs, il y en avait, mais il y avait le code, les règles, soit les garants d'un équilibre parfois bien fragile.

Embarquez avec le capitaine Sylla, il vous promet de belles aventures, et si vous le méritez vraiment, un belle mort au combat, le sabre à la main, en homme libre !
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Encore une belle découverte !

J'ai été bluffée, par ce récit. le scénario est très intelligent.
J'y ai appris plein de choses, c'est un récit hyper documenté, comme j'aime. La bande dessinée est argumentée par quelques pages à la fin chargées d'Histoire que j'ai beaucoup apprécié.

Donc, cette histoire m'a plu pour plusieurs points : l'histoire des pirates, qui sont en fait, des esclaves qui se sont défaits de leur lien et qui choisissent une vie de liberté; l'histoire de la reine Maryam, largement inspirée d'une réelle reine (propos véritables développés à la fin de l'ouvrage) ; la démocratie qui émerge de tout cela, et les belles valeurs de vie, principalement.

De plus, c'est un très bel ouvrage, en un seul tome, qui est très agréable à lire. Graphiquement, les planches sont très belles, la couleur de l'eau, la forme des personnages, l'action bien transcrite et engagée, tout ceci est très réussi.

Une bande dessinée qui m'a agréablement surprise.

A recommander.
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Sylla et son quartier maitre Olivier de Vannes sont des pirates sillonnant sur un petit bateau dans la mer des Antilles. Adepte de l'engagement libre, ils ont pour habitude de proposer aux marins des bateaux capturés de s'intégrer à leur équipage. C'est ainsi qu'ils vont récupérer d'autres bateaux dont l'un sera confié à Olivier et l'autre à une reine africaine et à son équipage d'ex esclaves. Recherché par les anglais, ils vont décider de partir vers la lointaine Afrique. Rapidement les méthodes diamétralement différentes entre Sylla et Maryam vont les ammener à se heurter, subtilement pour commencer, ils ont besoin les uns des autres. Mais qu'arrivera t'il le jour où Maryam n'aura plus besoin des pirates?
Un dessin energique avec des grands aplats de couleur qui magnifie les décors sur la mer ou les bateaux. C'est un peu plus confus lors des scènes de bataille. Des personnages hauts en couleur comme Sylla et Olivier, deux idéalistes pragmatiques et fervents adeptes de la liberté, la mystérieuse Maryam, pas si mystérieuse que cela d'ailleurs, qui n'est pas du tout libertaire puisque son équipage est sien, que ses hommes lui sont asujetis et qu'elle tente (un peu) de rallier les autres marin. Il y a d'autres personnages qui font plus office de silhouettes même s'ils sont bien caractérisés. C'est une belle histoire qui prête à quelques personnages des ildées nobles de liberté. S'il est sans doute vrai que certains des pirates de l'époque pouvaient avoir ce type d'idée, cela n'était pas sans doute la majorité. Rapproché cela de certains mouvements politiques est sans doute légérement osé. Mais après tout, pourquoi pas, les auteurs ont tous les droits? Cela reste une belle histoire...
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Dessin net et précis, scénario virevoltant et riche, personnages hauts en couleurs et angle d'attaque de la piraterie direct !!
On passe un excellent moment en compagnie du quartier-maître puis capitaine de Vannes et de son ami Sylla.
On y apprend beaucoup sur les relations entre frères de la côte sur leurs navires.
Un très bel opus à lire chez les amateurs de Pirate où la fin malheureusement se finit sur les plages de sable blanc de la côte occidentale de l'Afrique, mais rougies par le sang des premiers libertaires de l'Histoire.
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Une utopie sympathique bourrée de bonnes et nobles intentions qui résonnent comme une hymne à la liberté et contre le joug des sociétés modernes. Richement documenté, bénéficiant d'une mise en page très dynamique et efficace, l'ouvrage se lit avec beaucoup de facilité, alternant habilement entre scènes de combat, récits nautiques et pensées plus sociologiques voir politiques. le savant cocktail n'évite pas certains clichés au niveau des personnages mais l'essentiel est sans doute ailleurs puisqu'il évite les écueils trop romantiques dont le genre peut être friand. On y parle beaucoup de la nature des hommes, de la machine qui nous entraine et nous enchaîne et le propos, bien qu'un peu caricatural parfois, reste toujours ambitieux, honnête et quelque part séduisant.
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Montez à bord du Neptune, à la rencontre du Capitaine Sylla. Plus leader que marin, il sait s'entourer d'un équipage qualifié. Son second, Olivier de Vannes, va devenir capitaine à son tour, suite à la prise d'un nouveau bâtiment anglais. Lors de son voyage, il va rencontrer la reine Maryam, une femme au lourd passé qui ne demande qu'une chose : la liberté pour elle et son peuple. Ainsi, Olivier va lui apprendre à naviguer pour pouvoir guider ses marins.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Ces marins vont devoir faire des choix, puisque qu'au large des Bahamas, les troupes anglaises veulent en venir à bout de la piraterie.

Si comme moi, vous voulez en savoir plus cet univers, cette histoire est clairement faite pour vous. Les auteurs nous embarquent dans un one-shot, rythmé, loin des stéréotypes de la piraterie.
Les pirates que l'on rencontre dans ces trois navires, sont avant tout des marins en quête de liberté. Un choix ultime va s'offrir à eux ; rester et naviguer autour des Bahamas pour combattre, ou fuir pour vivre. C'est grâce à la rencontre de tous ces « hommes » que va naître la « République du Crâne ». 


Si vous deviez choisir un scénario parmi ceux dont je vous ai parlé précédemment, lisez celui-ci pour ses recherches très poussées. A la fin de la BD, on retrouve ce que j'adore : un mini-reportage sur le sujet ! 
Visuellement, c'est tout ce que l'on attend de ce genre de lecture, un graphisme détaillé et expressif. le choix des onomatopées fonctionne vraiment bien et donne vraiment du dynamisme aux cases.
Lien : http://www.drawingsandthings..
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Voilà un coup de coeur que je n'avais pas vu venir… Certes cette couv était belle et attirante mais moi les histoires de pirates….

1718, on embarque avec le Capitaine Sylla au large des Bahamas, en quête de navires à aborder… En voilà un qui arbore drapeau portugais, ils y trouvent une reine et ses hommes, esclaves mutinés, une rencontre qui va changer leur quotidien….

J'ai été happé dés le début par Sylla et ses compères, des personnages charismatiques et consistants, happé par ces beaux bateaux, ces scènes de combat sanglantes et rageuses … J'ai été charmé par la reine Maryam, son regard envoutant et imposant….

Tout fonctionne : le scénario d'abord, on lit le carnet de bord d'un des pirates, Olivier de Vannes et on suit ainsi l'épopée des protagonistes du récit… Un récit qui démonte les idées reçues sur les pirates et offre à travers cette République du Crâne une brillante métaphore de notre société… le dessin ensuite, impressionnant de dynamisme, de très belles cases avec de beaux bateaux, des batailles et de très beaux personnages !

Au final, une très belle surprise que cet album qui m'a offert un très bon moment de lecture inattendu !
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N°1732 – Avril 2023

La République du Crâne – Vincent Bugeas (scénario) – Toulhoat (dessins)– Dragaud.

Tout au long de ma lecture, je n'ai cessé de penser à cette phrase attribuée à Socrate « Il y a les vivants, les morts et les marins ». C'est bien de la vie des marins dont il va être question dans cette BD, et pas n'importe quels marins puisqu'il s'agit de pirates qui ont souvent nourri et illuminé notre enfance et son imaginaire où se mélangeaient les termes « forbans », « flibustiers », « corsaires », « boucaniers » sans que nous sachions bien souvent faire la différence entre eux. En tout cas ils ont nourri et illuminé notre imaginaire avec la soif de liberté, le goût de l'inconnu, des voyages, de la violence, une vie courte qui souvent se terminait au bout d'une corde ou d'un coup de sabre, mais intense et libre … On connaissait déjà le « Capitaine Crochet », », l'ancêtre du capitaine Haddock dans « Le secret de la licorne », « Barbe rouge », « Long John Silver », les pirates étaient souvent présentés comme de pauvres bougres qui n'avaient que ce métier pour subsister, qui souvent avaient survécu aux différents combats maritimes et à la dure discipline du bord, se retrouvaient abandonnés dans les ports en attente d'un embarquement et vivaient d'expédients. Ils étaient analphabètes, violents, buveurs, sans foi ni loi ... Quant aux femmes, elles étaient dans ce domaine assez rares, même si la chanson « Les filles de la Rochelle » mentionne leur existence. Là c'est autre chose, c'est une version plus romantique, plus démocratique, plus humaniste et républicaine, peut-être aussi un peu utopique, qui nous est présentée, non dénuée pour autant d'abordages, de drapeau noir, de chasses au trésor, de tempêtes et de Caraïbes, mais peuplée d'« honnêtes hommes » et cela bouscule un peu leur image traditionnelle.
Nous suivons les aventures un peu mouvementées de cette frégate prise aux Anglais et dont le nouveau nom est inspiré de leur drapeau, celles de la belle et un peu mystérieuse reine Maryam avec sa « cour » d'anciens esclaves, celle de ses membres d'équipage partagés entre la fraternité et les rivalités, les assauts meurtriers, la traque des navires marchands, les rituels pirates, la survie dans le secret d'un repli de la côte, la propension bien humaine des chefs à devenir tyrans, à adopter pour leur compte les méthodes qui les ont jadis asservis et ainsi à trahir leur idéal, leurs engagements et satisfaire leurs ambitions, la tentation de rentrer dans le rang et d'obtenir le pardon en se mettant au service du roi, bref des attitudes parfaitement humaines...

J'ai bien aimé que ce récit, qui casse un peu le mythe traditionnel du capitaine barbu, souvent borgne avec une jambe de bois, nous soit narré sous la forme d'un authentique journal de bord, qui plus est rédigé avec précision par Olivier de Vannes, le second devenu capitaine qui en profite pour écrire à un correspondant fictif, le Commodore Jonas qui est un officier de marine anglais, ennemi définitivement héréditaire de la France, ce que l'Histoire ne démentira pas. L'épilogue sera à la mesure de cette aventure passionnée. le capitaine Sylla est imberbe et idéaliste, parle à l'occasion en alexandrins, est élu et respecté par ses hommes, participe à un jeu de rôle du procureur « maindeferettêtdebois » dans d' improbables procès. J'ai bien aimé que cette histoire remette à sa vrai place la réalité de la traite négrière qui était certes un commerce immoral d'être humains mais commençait, ce qu'on a un peu oublié, au sein même des tribus africaines. le récit m'a paru plausible quoique sûrement un peu imaginaire mais néanmoins bien documenté et qui n'exclut pas les doutes et les luttes internes à l'équipage. Il est servi par des couleurs et des dessins particulièrement précis et expressifs surtout en ce qui concerne la beauté des femmes.
Je ne suis pas très versé dans la bande dessinée, cette lecture ayant été surtout motivée par la participation hasardeuse à un jury, mais je dois dire que cet ouvrage m' a passionné et je ne regrette pas d'avoir été embarqué, moi aussi, l'espace d'un long moment, sur « la République du Crâne ».


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Mon premier coup de coeur 2022! Cette BD m'a permis de découvrir l'envers du décor de la piraterie, univers qui rejetait avant l'heure la logique du système capitaliste!

L'histoire nous est contée par le marin Olivier de Vannes, à travers le journal de bord qu'il tient de 1718 à 1721 et dans lequel il s'adresse avec ironie à un ennemi fictif, le Commodore Jonas.

1718, route des Bahamas. Lors de la prise d'un navire anglais, Sylla, charismatique capitaine du Neptune, nomme capitaine son second, Olivier de Vannes. Désormais à la tête du Fortune, Olivier et ses hommes croisent l'Esperanza, un navire portugais paraissant abandonné. Que nenni! Lors de l'abordage, ils se retrouvent piégés par la reine africaine Maryam et ses guerriers esclaves qui ont tué l'équipage du navire négrier. Un pacte tacite est conclu entre Maryam et les pirates. Progressivement se dessine le projet utopique de créer une nouvelle République à l'écart des injustices et.. de la Royal Navy.

Je n'ai pu lâcher cette excellente BD qu'une fois terminée. Ce récit-témoignage m'a émue du début à la fin et montre que les corrompus/barbares ne sont pas toujours ceux qu'on croit.

La préface très engagée donne de solides bases sur la piraterie du XVIIIème siècle tout comme le dossier documenté final. Après avoir servi de chairs à canon durant les guerres, les pirates furent exploités par la marine marchande.

On s'attache donc vite aux personnages, à ces "gueux de la mer" qui se sont rebellés afin de vivre en communauté à la fois libre et «en sursis» (trahison, représailles). On découvre aussi leurs traditions (baptiser un navire, faux procès...) et leurs aspirations (refus de toute domination).

Les rôles importants joués par les fascinantes Maryam et Abyeda attestent que les femmes n'étaient pas exclues de cet univers masculin.

Le dessin m'a beaucoup impressionnée. Costumes, navires et scènes de bataille au cadrage incroyable sont très détaillés: on a l'impression d'y être! La mise en couleur accentue les moments de tension de l'histoire notamment le magnifique rouge-orangé lors des combats.

Après avoir lu La république du crâne, vous ne regarderez plus les pirates de la même façon. Et tant mieux.
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La république du crane c'est une bande dessinée pour jeunes adultes qui parle de pirates et qui débute, un peu comme un documentaire historique. D'ailleurs au vu des planches, des dessins et du déroulé de l'histoire, je pense que c'est plus un film historique qu'une bande dessinée. Cela commence par une préface des deux auteurs qui nous raconte un peu l'histoire des pirates c'est instructif et nous prépare à la suite. Il faut vraiment lire cette préface pour rentrer et s'absorber de la vie de ces pirates.
La BD commence avec ce qui me semble être un 1er niveau de lecture. C'est le journal d'un des protagonistes. Il s'entretient tout au long du récit avec un commodore imaginaire, l'officier qui peut être, un jour, le pendra haut et court. Car ces pirates le savent très bien ils sont recherchés sur toutes les mers et à moins d'un peu de chance, ils finiront certainement pendu ou au fond d'une geôle.
Le deuxième niveau de lecture, c'est la bande dessinée qui nous raconte la vie de ces pirates. Et quelle vie, on embarque dans une épopée vertigineuse qui nous mène des Antilles en mer des caraïbes jusqu'aux côtes africaines.
C'est une fresque historique sur l'histoire et la vie des pirates. Je ne vais pas vous raconter l'histoire inutile de spoiler. Alors, bien sur, l'histoire est belle et romancée mais ce qui fait tout l'intérêt de cet album c'est le quotidien des pirates qui est ici expliqué, commenté et argumenté tout au long des différentes planches de dessin.
Les pirates étaient-ils vraiment ces hommes sans foi ni loi que l'on a pu nous montrer dans certains livres d'histoires ?
Ou étaient-ils, surtout des humains essayant de survivre dans un monde difficile, un monde dans lequel ils ne sont rien que des pauvres gueux tentant de rester libre dans un monde dominé par la société des riches de ce monde.
Ces navires dans lesquels ils vivent ce sont des communautés libres et égalitaires, tout au moins c'est ce que veut nous montrer l'auteur et il y arrive bien. Tout au long de l'histoire, il nous montre et nous explique ce pourquoi une vie d'oppression se libère par la violence. Ce peut être de pauvres soldats ayant tout perdu ou des esclaves se libérant de leurs chaines, les chaines des uns ne sont pas aussi violentes que celles des autres mais dans les deux cas, il y a des chaines qu'ils ont voulu briser et qu'ils n'ont pas reproduit.
C'est pour moi, un roman politique et historique qu'il faut absolument lire parce qu'il est beau et donne espoir en la force des pauvres qui s'unissent.
Les personnages sont généreux, captivant mais surtout attachant. Ils nous emportent avec enthousiasme et on les suit avec fascination jusqu'au bout de leurs aventures.
Concernant, le dessin. Quelle merveille que ces bateaux immenses, voir vertigineux, ils sont ici, représentés dans toutes leurs grandeurs. le dessinateur a su dans cette page au contours restrictifs nous faire aborder le pont d'un immense bateau au milieu d'un océan sans limite.
On s'y croirait à la barre ou au plus haut du mât à contempler l'horizon ou dans la tempête en fond de cale à subir les assauts de la mer.
Vraiment c'est très impressionnant de dynamisme et c'est en cela que j'aime à comparer cette BD à un film. Les cases se déclinent comme une diapositive dans l'action ou comme un tableau dans les moments de détente. C'est captivant d'agitation et puis d'un coup c'est la fin d'une action et enfin on souffle avec apaisement. Et les couleurs sont là pour nous accompagner tour à tour chaudes énergiques puis fraiches voir apaisantes. Ainsi au détour d'une page, le dessinateur enfreint les règles de la couleur du ciel et de la mer pour nous éveiller aux charnières de l'histoire. Et ça marche, inconsciemment ce détournement de couleurs nous amène dans un autre espace de pensée, on ne lit plus l'histoire, on est dans l'histoire et ça franchement c'est vraiment bien fait.
Bon, pour la fin parce que c'est vous je vous en dit le synopsis :
Cela se passe aux Bahamas, en 1718. le capitaine pirate Sylla, son quartier-maître Olivier de Vannes et ses hommes, prennent possession d'un vaisseau anglais. Et là, au lieu de massacrer les membres de l'équipage, nos pirates leur proposent de se joindre à eux. Et ce, au nom des principes qui sont les leurs : liberté, démocratie et fraternité.
Voilà, je vous propose d'aller vérifier à la lecture de cet album ce que sont les valeurs de liberté, démocratie et fraternité.

Lien : https://fdl.radio/podcast/la..
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