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3,76

sur 160 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ah, les Rocheuses, le grand Ouest sauvage, celui d'avant, où il y avait encore tout un tas d'animaux sauvages, à poils, à plumes, à écailles… Puis, l'Homme est arrivé et a tout pris, tout pillé.

Malgré tout, j'aime ces récits d'aventures de trappeurs, ces hommes rudes qui vivaient à la dure, qui écorchaient des peaux après avoir trappé leurs propriétaires.

Les chevauchées dans les bois, les récits autour d'un feu de camp, la bouteille d'alcool passant de main en main, le visage pas rasé, le corps puant, tel un fennec (ou un chacal) mort, le tout avec une haleine de poney. Non, ce n'est pas glamour, mais dans un récit, c'est génial.

Shannon Burke m'avait déjà happé une fois, avec des ambulanciers dans un quartier difficile de New-York et là, il m'a emporté avec un récit d'aventures, celle avec un grand A, celle de mecs qui sont prêts à tout pour vivre de grands frissons, s'enrichir et vivre en petite communauté.

La première partie de ce récit est assez sauvage, avec une chasse aux bisons. Nous avons fait connaissance avec le jeune William Wyeth, notre personnage principal, notre narrateur. Il vient de comprendre que dans un groupe de trappeurs, s'il n'y a pas de solidarité, tout partira en couilles. Là, il vient d'éprouver la solidarité qui règne entre les trappeurs et il a aimé dormir sur des peaux de bêtes.

La seconde partie est un peu plus calme, puisque notre William est en convalescence et en mode drague, pour la belle Alene (de poney ?), une jolie femme qu'il aimerait épouser. Dans cette partie, quelques aventures (pas conjugales) fortes, mais le souffle épique était un peu retombé et j'avais peur de ne plus le retrouver, comme dans la première partie.

Arrivé à la troisième partie (moitié du roman), le grand souffle épique est revenu, tel Mathilde et c'était reparti pour un tour dans les Rocheuses, avec la même équipe, plus un autre personnage, détestable au possible, celui-là : Henry Layton. Un fils de riche, trop gâté par sa mère, pas assez aimé par son père et qui sait passer, en un instant, de charmeur et charmant à détestable, limite esclavagiste, puisqu'il n'en fout pas une, mais donne des ordres aux autres.

Pour moi, cette partie est la meilleure, la plus intéressante, car les personnages vont se révéler sous leur vrai jour, mais aussi évoluer, changer, devenir plus intéressant, moins imbu de sa personne. William et son ami Ferris ne changeront pas vraiment, mais leurs personnages étaient déjà des plus intéressants et sympathiques (et ils ont évolués avant).

Et puis, dans cette Amérique, plusieurs nations règnent en maître : américains, anglais et espagnols, ce qui rend les choses bien plus complexes. Ajoutons à cela les tribus Blackfeet et Crow, et vous obtiendrez une idée du fabuleux récit d'aventure que nous propose l'auteur, inspiré des carnets de souvenirs de W. A. Ferris, dont il a donné le nom à un personnage de l'expédition.

Un récit d'aventure où le danger est partout, où l'amitié et la solidarité sont importants, la confiance aussi.

Un récit d'apprentissage, dans l'ouest sauvage, dans les montagnes giboyeuses, les rivières poissonneuses, où les trappeurs étaient nombreux à piéger des animaux pour leurs fourrures et où américains, anglais et espagnols se regardaient en chiens de faïence, persuadés qu'ils étaient tout, de devenir les futurs propriétaires de ce nouveau continent.

Un roman d'aventure comme je les aime.

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Malgré quelques redondances sur le personnage d'Henry Layton, j'ai bien aimé l'histoire du jeune William Wyeth engagé auprès d'une Compagnie de Trappeurs en 1820 aux USA. Distrayant et facile à lire, c'est un agréable western avec indiens, trappeurs, animaux sauvages et paysages grandioses. J'ai passé un bon moment, notamment avec la seconde partie du livre. Un bon roman d'aventures.
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DERNIÈRE SAISON DANS LES ROCHEUSES de SHANNON BURKE
Début du 19ème siècle dans les Rocheuses tout semble encore possible dans les grands espaces. La vie de trappeur pour Wiethest sa seule perspective pour faire fortune rapidement et gagner le coeur d'Alene. C'est un grand roman d'aventures au milieu de la multitude de tribus indiennes et de la guerre que se livrent anglais et américains. Accords et trahisons c'est une épopée grandiose à laquelle nous sommes conviés. J'avais découvert Burke dans 911 description apocalyptique de la vie des ambulanciers dans Harlem. Un bel auteur.
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Fin des années 1820, en pleine rivalité entre les Anglais et les Américains qui se disputent les territoires de l'Ouest de ce pays qui deviendra l'Amérique, le jeune William Wyeth, après une brève expérience de chasseur, s'engage dans une brigade de trappeurs pour y acquérir de l'expérience mais aussi la gloire et la fortune. Il laisse Alene, une jeune veuve qu'il compte épouser à son retour, une fois sa fortune faite. La brigade est organisée et dirigée par Henry Layton, un affairiste qu'Alene connait bien puisqu'il a enrôlé son mari et a conduit à sa perte...L'homme est intelligent roublard mais avec un entregent qui lui permet de s'adjoindre un second très respecté et convoité Jedediah Smith. La soixantaine de trappeurs et le double de mules s'engagent bientôt dans un périple qui va durer plusieurs années.

Dernière saison dans les Rocheuses est un roman d'aventures qui s'inspire des carnets de souvenirs de W. A. Ferris, que Shannon Burke remet à l'honneur en donnant son nom à l'un des trappeurs, un équipier d'abord considéré comme intellectuel sans expérience et qui s'avérera bientôt tireur d'élite d'exception. le récit se fait par le regard du jeune William, qui se fait le témoin de ces grandes expéditions pour chasser et vendre les peaux de castors, de ragondins dans les territoires indiens de l'Ouest. C'est également l'occasion d'en connaître un peu plus sur les alliances entre les indiens et les Anglais et les Américains avec les Blackfoot alliés des premiers quand les Crows font alliance avec les Américains. C'est un récit qui évoque les dangers de la trappe mais qui fait aussi la part belle à l'amitié, la solidarité entre les trappeurs, l'évolution et la révélation des caractères face aux dangers, illustrant certains épisodes épiques comme une chasse aux bisons ou des combats avec un ours ou un taureau.
Dernière saison dans les Rocheuses est une roman d'aventures et d'apprentissage, qui s'est avéré un bon moment de lecture.
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Dernière saison dans les Rocheuses.
Shannon BURKE

Dans les années 1820 en Amérique le meilleur moyen de se faire de l'argent c'est d'être trappeur pour revendre de belles fourrures de castors ou de bisons.
Bon c'est aussi le meilleur moyen de se faire tuer…
Mais William Wyeth est un jeune homme qui décide de tenter sa chance et rejoint l'équipe d'Henry Layton à la réputation sulfureuse.
Blessé dès le début de cette périlleuse entreprise Wyeth va découvrir ce qui fait le sel d'une telle aventure : la camaraderie, la solidarité mais aussi la trahison et la manipulation.
Le froid et la faim à certains moments.
Le courage face à un ours menaçant.
La stratégie et la cohésion de groupe lorsque les indiens attaquent.
Et la peur aussi.
D'autant plus qu'il a promis à sa belle d'être revenu au printemps suivant sans quoi elle considérera leurs fiançailles rompues.
C'est un pari qu'il décide de tenir car son envie d'aventure surpasse tout le reste.

Un incroyable roman de nature writing avec des hommes courageux mais aussi barbares à leurs heures.
J'ai beaucoup beaucoup aimé ce roman sous forme des mémoires de William.
Le fait que ce soit un journal nous inclut vraiment dans la vie de ce jeune homme, on vit cette incroyable aventure par procuration…
Et je trouve la couverture magnifique !
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On entre immédiatement au coeur de l'histoire. Les protagonistes principaux sont vite en place et même s'il va y avoir des périodes de séparation on va les retrouver à différentes étapes de leur vie. Certains vivront plus longtemps que d'autres.
Le narrateur est William Wyeth, c'est donc à travers ses yeux que l'on va découvrir les différents modes de vie et les paysages très variés.
On pourrait classer ce roman dans les romans d'aventure, voir de la nature writting mais dans tous les cas c'est un roman de formation.
La couverture nous renvoi à des paysages clames et isolés. Pour ce qui est isolé ça l'est mais calme non. Trop d'enjeux différents et de brassage de populations aux besoins et aux moeurs différentes. On est dans une période de violence et de prise de pouvoir entre anglais, américains et indiens. Forces inégales. La violence c'est aussi ce qui régit le monde des trappeurs. Pourtant ils forment une force lorsqu'il faut s'entraider. On le voit notamment lorsque William est gravement blessé. Il va être soigné et porté vers un lieu ou on peut s'occuper de lui.
On découvre le fameux rêve américain, celui de tous les possibles. Où les hommes sont capables du meilleur ou du pire. Nouvelles opportunités pour essayer de faire fortune à la seule force de son courage.
Et quand est-il de l'amour ? là aussi tout est possible. Je ne vais pas vous en dire plus.
J'ai été transporté dans une autre époque et un autre monde deux cent ans en arrière.
Une bonne lecture pour voyageur immobile.
Lien : https://latelierderamettes.w..
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Un roman d'aventures, ça fait du bien, surtout après avoir terminé un Houellebecq qui m'avait laissé un goût amer. Et quand ça se passe dans le grand ouest américain au début du XIX° siècle, en compagnie des trappeurs, des castors, des bisons, des chevaux, des indiens avec en bonus une histoire d'amour, tous les ingrédients sont présents pour vous dépayser.
Ajoutons à cela un peu d'histoire et de géographie, une grande variété de sentiments comme la jalousie, la cupidité, la trahison, l'amitié, l'honneur et l'amour qui attend plusieurs années que son trappeur revienne. ça sent le feu de bois, la viande grillée, la sueur, le whisky, ça vous donne envie d'aller vous perdre dans la nature sauvage et de dormir à la belle étoile au risque de rencontrer un grizzly.
A mi chemin entre western et nature writing, ce beau roman m'a fait penser à Edward Abbey dans désert solitaire ou à Pete Fromm dans Indian Creek. Et puis au hasard de mes lectures, j'ai retrouvé Yellowstone et la Snake River, parcourus dans une autre vie. Nostalgie, quand tu nous tiens !
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Attiré par un titre évocateur assorti à une couverture soignée, il ne me manquait plus que la toque de castor pour lire avec alacrité les aventures de chasseurs de fourrure.

Evidemment, j'ai beaucoup trop d'affection pour nos copains les animaux pour oser porter la fourrure d'un rongeur, c'est donc avec une calvitie naissante que j'ai attaqué ce roman.

C'est donc sur une bagarre sur les quais qui sert d'introduction plutôt croustillante que s'ouvre ce roman, j'aurais bien mis un ticket de 20 balles sur un des deux types mais la flicaille arrive avant la fin du combat et c'est donc dépité que je reprends la lecture, n'ayant pu rembourser l'achat de ce joli bouquin.

On fait la connaissance du héros jeune, assoiffé d'aventures et motivé à accumuler des peaux d'animaux morts pour assurer ses vieux jours,
et on découvre aussi d'autres gonzes aux caractères bien trempés qui repointeront le bout de leur toque plus tard dans l'histoire.

L'écriture est précise et pragmatique, et maintient un rythme soutenu dans le déroulement des nombreuses péripéties et actions dont regorge l'histoire. Peut être est-elle un poil -de fourrure- trop polie et concise certaines fois mais j'ai certainement pris des goûts de luxe avec Larry MacMurtry et l'incomparable Lonesome Dove ou le temps est pris de décrire l'action de manière soignée et croustillante.

Ayant récemment joué à Red Dead Redemption 2 qui se situe dans la même époque de conquête de ces grands espaces vierges gorgés de ressources par des cow-boys un peu crassous et archi demerdars , je n'ai eu aucun mal à m'imaginer les paysages et personnages dépeints.

Mis à part le défilement rapide des nombreuses actions qui ne laisse pas assez de temps pour la digestion de celles-ci, ou alors c'est le pigeon unijambiste parisien qui ne passe pas ?! J'ai beaucoup savouré les dialogues et adoré la fin particulièrement bien sentie et émouvante . Les personnages sont également bien travaillés il faut le souligner. La plupart sont très attachants et l'esprit de camaraderie indispensables dans ces contrées reculées ne peut que nous inviter à les apprécier.

L'aspect historique y est aussi abordé par de subtiles petites touches qui m'ont fait surmonter ma flemme de trappeur de centre commercial, afin de me documenter sur quelques éléments. Rassurez vous les flemmards, on vit aussi très bien le bouquin en esquivant les recherches :)

Bon je vous laisse mes marshmallows sont entrain de cramer sur mon briqu- mon feu de camp et je retourne m'allonger sur mon plaid en synthétique.. ma peau d'ours pardon.




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1826. le jeune William Wyeth, rêvant d'aventures et supportant de moins en moins l'atmosphère étouffante de Saint-Louis, cette ville de nantis en toque d'astrakan, s'engage dans la compagnie de trappeurs la plus téméraire de l'Etat.
Mais le jeune homme, gravement blessé au cours d'une chasse au bison, est transporté à la colonie de Fort Burnham par ses compagnons afin de faire soigner ses blessures par le docteur Meeks. Contre toute, attente, il y retrouve Alene, veuve sans le sou criblée de dettes, pour laquelle il en pince depuis longtemps. Aussitôt, des rêveries fumeuses s'emparent de son esprit de jeune homme naïf, bien vite ramené sur terre par l'arrivée de Layton, officiellement pour le commerce de peaux, officieusement pour la belle Alene...
Une fois rétabli, William, qui a toujours soif d'aventures et de grands espaces, s'engage dans la compagnie de Layton qui lui a promis monts et merveilles. Malgré les innombrables dangers, ils partent pour le grand Ouest, dans ce qui sera la dernière campagne fructueuse avant le déclin du commerce de peaux: "je préfère conter la glorieuse odyssée des trappeurs qui, un temps, enflamma les paysages sublimes de l'Ouest, et décrire comment, par chance, nous avons joué un petit rôle dans le grand tourbillon de l'histoire américaine." (Pages 39-40).
William découvre un univers masculin fait de chasses au bison, de nuits à la belle étoile, de confrontations aux forces de la nature, de rencontres parfois musclées avec les tribus indiennes, d'inconfort et de vie spartiate, qu'il n'oubliera jamais et pour lequel il gardera dans son coeur une certaine nostalgie.
Contexte: le roman restitue avec clarté l'équilibre fragile qui existait entre les différents groupes d'Indiens, les Américains et les Anglais, ces derniers rivalisant afin de s'approprier le plus de territoires possible, situation complexe que mettaient à profit les trappeurs pour s'enrichir en s'alliant, si besoin était, avec les Indiens: "Long Hair...se doute que des hordes d'Anglais et d'Américains vont envahir les Rocheuses. Son seul atout, ce sont ces terres restées vierges. Il a intérêt à les protéger. Il souhaite troquer des peaux contre des fusils et des munitions, afin de protéger les villages." (Pages 128-129)..."De multiples accrochages s'étaient produits entre Américains et Britanniques, et la course à la première place ne faisait que s'accélérer entre brigades à mesure de la raréfaction progressive des animaux à fourrure. Les enjeux de la renégociation de la convention de 1818 étaient clairement liés au nombre de peaux récoltées par les trappeurs." (Page 168).
Dernière saison dans les Rocheuses relate un épisode de l'histoire américaine peu ou mal connu sur lequel Shannon Burke nous apprend beaucoup, tout en nous divertissant: les rivalités entre Américains et Britanniques à la conquête du Grand Ouest, les Indiens tentant d'en profiter pour protéger et sauvegarder leurs terres et leur mode de vie ancestral; la vie rude des trappeurs, les antagonismes entre les brigades, mais aussi la solidarité et les forts liens d'amitié unissant les hommes =>Découverte d'un monde à jamais disparu et pourtant si proche, palpitant au tréfonds de chaque être épris d'aventure et de liberté admirablement restitué par l'auteur.
Le +: Shannon Burke nous livre un récit passionnant aux scènes d'action vivantes, comme la scène où William et Ferris sont pris dans le blizzard, aux descriptions tellement saisissantes qu'on se croirait assis dans un fauteuil d'une salle de cinéma de quartier à regarder sur grand écran un western culte. le souffle épique qui se dégage de ces pages nous transporte loin dans les plaines de l'Ouest américain, confortablement assis sur la selle de notre monture, la main en visière, contemplant les ondulations des graminées doucement soulevées par une chaude brise estivale...
Lien : https://legereimaginarepereg..
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Magnifique roman que « Dernière saison dans les rocheuses », Shannon Burke éveille en nous tout l'imaginaire de l'Ouest sauvage, celui de la découverte des grands espaces, par des hommes au caractère entier et complexe, dont la soif d'aventure, de richesse, et de liberté, ne peut être assouvie qu'au milieu d'une nature sauvage, à laquelle ils sont prêts à arracher tous ses trésors -en l'espèce les fourrures, que les hommes de la Prairie, les trappeurs des premiers temps de l'Amérique, ont quêté, sinon pillé, sans discontinuer.

Tout sonne juste dans ce roman, de la personnalité et la psychologie des acteurs de l'histoire aux décors mirifiques, tout nous paraît s'inscrire dans l'esprit de ce temps de la découverte, l'esprit de la Prairie.

La pertinence des descriptions, que ce soit les scènes de chasse ou de combat, nous conforte dans l'idée que l'auteur ne s'est pas limité à laisser vaquer son imagination dans les confins du Grand Ouest, non, on pressent qu'il a construit son histoire en s'appuyant sur une documentation, des témoignages, des conseils, qui crédibilisent grandement ce beau roman, qui s'inscrit sans rougir dans la lignée des écrits épiques, tissée par Fenimore Cooper, et qui peut sans rougir être mis à la suite des Pionniers, de la Prairie et autres Dernier des Mohicans.

Un très beau livre d'aventure, qui nous plonge à la découverte des racines du mythe américain.
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