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Citations sur T'en souviens-tu, mon Anaïs ? (63)

Il y a des milieux où cela séduit, la sincérité, la simplicité, davantage que le fric.
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Internet me fait l'effet d'un puits de connaissances sans fond au-dessus duquel on se penche pour étancher son inculture.
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Mon Dieu, comment imaginer faire disparaître un enfant de Ruy ? Un bébé qui porterait les gènes de son talent et de sa beauté. Ruy, je ne l’avais pas encore compris, était gentil, fin, sensible, mais… comment le dire sans être méchante ? Velléitaire, quelque chose comme cela. Il a lu le bonheur dans mes yeux et il n’a pas voulu le gâcher. Pour lui, le fils unique d’un couple uni, la famille devait représenter une sorte de cercle sacré.
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Bref, toutes ces années estudiantines où la fac sert de garderie pour jeunes adultes, de fabrique d’espoir, de souvenirs et d’amis pour ensuite, comme une réserve qu’on se garde pour le grand hiver. Le reste de la vie ! Le problème, c’est qu’on ne le comprend qu’après.
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Les garçons me tournaient autour à l’époque. Pas seulement à cause de mon talent pour le dessin, de mon imagination à peindre sur n’importe quel support, y compris sur les plinthes des apparts des copains. Petits tags domestiques, ma spécialité. J’attirais surtout les garçons avec mon petit air de fille nature, du genre à croquer la vie, sans chichis, sans artifices. Il y a des milieux où cela séduit, la sincérité, la simplicité, davantage que le fric. Cela aussi, je veux le croire.
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Dans un coin repose ce sentiment que je me suis comportée comme une gamine capricieuse, complètement dépassée par les événements, et que je ne m’en sortirai pas. Mais dans un autre, je découvre cette sensation d’être à ma place, enfin. De tenir mon destin entre mes mains, pour la première fois de ma vie.
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Suis-je aussi folle que cette Anaïs Aubert ? C’est étrange quand j’y pense, le destin de cette actrice il y a près de deux cents ans, si proche du mien : tout quitter, fuir Paris, pour échouer ici.
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Je dois d’abord reprendre ce journal depuis le début, depuis le jour de mon arrivée. Le relire. Faire le point. Comprendre. Remonter le cours de ces quelques jours où j’ai joué ma vie.À pile ou face.
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Tous ces étranges petits grains de sable, ces mystères auxquels je n’avais pas prêté attention. Pas vraiment. Cette impression d’être suivie par exemple, dans cette maison, jour et nuit, même lorsque je suis seule, même lorsque Martineau a rangé ses outils et est reparti chez lui. Ces étranges poèmes d’Anaïs, beaux, trop beaux pour avoir été composés par une fillette de trois ans. Cette photographie du banquet offert par Victor Hugo aux petits enfants de Veules, en 1882, que tout le monde semble vouloir me cacher.
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Anaïs. Pas mon Anaïs, bien entendu, pas ma petite chérie qui dort à l’étage dans son lit de poupée malgré les cris et les coups de masse de Martineau. Une lettre à Anaïs Aubert, la comédienne, la fameuse…La fondatrice…
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