On nous apprend à compter les secondes, les minutes, les heures, les jours, les années... mais personne ne nous explique la valeur d'un instant.
De toutes façons le malheur des autres ne nous intéresse que quand il nous renvoie au nôtre.
On apprend à compter les secondes, les minutes, les heures, les jours, les années... Mais personne ne nous explique la valeur d'un instant.
On nous apprend à compter les secondes, les minutes, les heures, les jours, les années… mais personne ne nous explique la valeur d’un instant.
Dans cette vie, il y a plus de diables qu’en enfer.
Dans les livres, on pouvait être n’importe qui. Ce qui revenait à n’être personne.
"Les livres étaient un excellent antidote au silence parce qu'ils remplissaient son esprit des mots nécessaires pour combler le vide laissé par les victimes. Surtout , ils représentaient un échappatoire. Sa façon de disparaître .Elle se plongeait dans la lecture et tout le reste- y compris elle même- cessait d'exister .Dans les livres, elle pouvait être "n'importe qui". Ce qui revenait à n'être personne .....Quand elle rentrait chez elle, seuls "les Livres" l'accueillaient ....."
On nous apprend à compter les secondes, les minutes, les heures, les jours, les années ... mais personne ne nous explique la valeur d'un instant.
Et puis, les livres étaient un excellent antidote au silence parce qu'ils remplissaient son esprit des mots nécessaires pour combler le vide laissé par les victimes. Surtout, ils représentaient une échappatoire. Sa façon de disparaître. Elle se plongeait dans la lecture et tout le reste — y compris elle-même — cessait d'exister. Dans les livres, elle pouvait être n'importe qui. Ce qui revenait à n'être personne.
Je n'ai été marié qu’une fois, et pour moi c’était la fois de trop.