AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,46

sur 87 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
« Désorientée » est un roman réaliste de littérature jeunesse de Marine Carteron, publié en 2019. Marine Carteron a passé son enfance entre la Bretagne, la Sarthe, la Corse et les Antilles, avant de faire des études d'histoire de l'Art et d'archéologie à l'université de Tours. A l'âge adulte « l'âge de raison » Marine Carteron commence sa vie active avec en tête un seul objectif : ne pas s'ennuyer. Tour à tour, galiériste d'art, barman, vendeuse en prêt à porter, responsable de boutique d'art de la table, enseignante, elle aima chacun de ces métiers mais se lassa de tout. C'est pour cela que quand son fils lui demande de lui écrire une histoire, elle se plonge sans hésiter et avec enthousiasme dans le monde de la littérature.

« Désorientée » est l'histoire de Louise, une jeune fille de 18 ans, bonne élève dans un prestigieux lycée parisien du 19e, qui comme des milliers de lycéens de terminale, se retrouvent confrontée à Parcoursup. Contrairement à plusieurs de ses camarades, elle est acceptée partout. Mais ne trouve sa place nul part… En effet, aucun de ses voeux d'affectation ne vient d'elle. Elle a laissé les adultes et plus précisément sa mère choisir pour elle. Elle, elle rêve de tout plaquer et de suivre une voie qui n'est pas sur Parcoursup, sa voie. Entre une mère dirigiste, un père absent, une meilleure amie égoïste, et un tas d'insouciants qui laissent un système défectueux décider de leur avenir, Louise se questionne sur sa future vie professionnelle, son orientation sexuelle, sa vie, sa famille... Mais cherche finalement la réponse à une seule question : Comment trouver la paix et le bonheur ?

Au début de ma lecture, je n'étais pas fan du personnage de Louise, à cause de sa manière de formuler les choses et des comparaisons hyperboliques et légèrement mal placées à mon goût dans son discours, notamment lorsqu'elle compare parcoursup à un viol : "Son portable vibre, elle le sort. Sur l'écran, sa mère la félicite : «Bravo ma chérie, tu es prise partout.» Elle sait déjà. Elle a dû fouiner, trouver ses mots de passe. Ne pas répondre. Se retenir de vomir. «Prise partout». On dirait un viol. Une tournante au fond d'une cave."
Mais au fur et à mesure des chapitres, on apprend à connaître le personnage et à l'aimer comme il est. Plus on lit et plus on a l'impression que Louise écrit au fil de ses pensées. Elle peut être très cache et peu fine par moment, puis écrire un poème sous une forme géométrique un autre. C'est comme si on lisait son journal intime. Cet effet rend plus simple et plus agréable la lecture et nous fait nous identifier et s'attacher à Louise. Donc, au final, même si, au début, le livre ne m'a pas plu, je suis contente de m'être accrochée car je garde un très bon souvenir de cette lecture.

Je recommande ce roman à tous les lycéens qui ne savent pas trop quoi faire plus tard qui ont du mal à trouver leur place. Ce livre leur permettra de se sentir peut-être moins seuls, compris, normaux. Et aux parents de lycéens, ce roman leur permettra de comprendre un peu plus le stress causé par l'orientation et la vie au lycée, afin de pouvoir aider au mieux leurs enfants.
Commenter  J’apprécie          00
C'est la première fois que je suis un peu déçue par un livre de ce Marine Carteron. Son écriture reste belle et poétique mais je n'ai pas été touché par le personnage de Louise. le roman traite avant tout du choix, celui des études supérieur qui conditionne pas mal l'avenir mais aussi celui de qui l'on veut être. Il y a peu d'action ou d'évènements marquant (surtout dans la première moitié). juste la longue introspection d'une jeune fille qui remet en cause le système, la société , son modèle familiale et même ses amitiés et ses désirs. On sent bien que derrière la cristallisation autour de Parcoursup et des implications Louise est engluée dans un profond mal-être. Pourtant cela donne plutôt le sentiment d'être face à un gros caprice d'enfant gâtée. C'est plus facile de tout rejeter quand on a des bonnes notes, des parents aimants près à financer n'importe quelles études et un compte en banque bien garni alimenté par papa. Au final j'ai trouvé cette jeune fille égoïste ingrate et méprisante et un certain malaise c'est insinué dans ma lecture que j'avais hâte de terminer. Un twist d'humour aurait été le bienvenue pour dissiper tout ça. Ce n'est pas un mauvais roman loin de là, la psychologie du personnage est très fouillé... mais en tant que maman d'adolescentes il m'a franchement laissé un gout amer.
Commenter  J’apprécie          00
Parcoursup, un logiciel révélateur de personnalité.

La très discrète mais non moins talentueuse Marine CARTERON, plus connue sous les noms de ses personnages Césarine ou Kassandre ("Les autodafeurs"), m'a une nouvelle fois étonnée quant au thème de sa récente création : "Désorientée". Ce roman est bien loin de son univers habituel, et dès la première page on sent que cette lecture ne sera pas comme les autres.

Louise, 18 ans, a l'avenir devant elle. Son dossier a été accepté dans toutes les grandes écoles auxquelles elle a postulé, il ne lui reste plus qu'à choisir. Choisir, en voilà un grand mot. Louise ne sait pas. Qui est elle, ce qu'elle veut. Elle a toujours été dans l'ombre, les autres choisissant pour elle, et voilà qu'aujourd'hui on lui demande de se prononcer sur un choix qui fera basculer sa vie entière. Cette attention soudaine va déclencher en elle une crise existentielle, qui va la pousser à se questionner sur qui elle est vraiment. Et si pour une fois, elle cessait d'être irréprochable ?

Ce livre semblait en apparence simple à comprendre. Pourtant, au fil de ma lecture, comme Louise, je me suis sentie "Désorientée". Peut-être est-ce une volonté de l'écrivaine ? En l'occurence, cette errance dans le livre ne m'a pas du tout plu.
Je m'explique. En premier lieu, la compréhension du récit n'est pas facilitée par la narration à la troisième personne. On a l'impression de ressentir les émotions de Louise d'un point de vue extérieur, et ce n'est pas ce à quoi on s'attend en commençant le livre. de plus, je suis restée littéralement sur ma faim. L'auteur, bien que n'ayant pas apprécié le livre, m'a tenue en haleine grâce aux états-d 'âme changeants de Louise, et je m'attendais à une fin bien plus spectaculaire que celle proposée.
Malgré tout, ce livre procure des émotions diverses, et on sent la volonté de l'auteur de critiquer la pression mise aux jeunes quant à leur avenir, c'est pourquoi je conseille ce roman aux lecteurs avares de psychologie et de découvertes.
Emma :)
Commenter  J’apprécie          32
Ce livre parle d'un sujet qui fait vraiment réfléchir et qui est actuel.

C'est l'histoire de Louise, elle est en terminale et le bac approche. C'est le moment de faire les voeux d'orientation pour ses études. Mais Louise ne veut pas suivre cette route, elle ne veut pas faire comme tout le monde, suivre une route bien tracée toute sa vie. Elle veut sortir de ce système , pourtant bonne élève elle est prête à ruiner son avenir pour suivre sa voie, celle qu'elle choisit.

J'ai bien aimé ce livre car il parle d'un sujet actuel et très intéressant. Ce livre m'a fait réfléchir sur l'avenir. Dans ce livre on ressent bien la pression et la solitude que peut ressentir le personnage par moment.
Marin N
Commenter  J’apprécie          21
Quand l'orientation post-bac déclenche une crise existentielle.
C'est avec des mots aigris, meurtris, que Louise explique son blocage face à Parcoursup, cet algorithme qui oblige à faire des choix, à "rentrer dans une case" à un âge où l'on envisage encore difficilement "son avenir". Louise voudrait "casser les codes" mais n'ose pas. Il faut dire que rien dans l'éducation qu'elle a reçue ne va dans ce sens. Sa mère est le cliché de la bourgeoise engoncée dans ses principes ("Il s'est passé quoi pour qu'elle se fane comme ça?") et son père, si discret, si docile, semble regretter d'être rentré dans le rang. Si "obéir est plus simple que tout remettre en question", Louise étouffe dans son rôle de "bonne élève, fierté de sa classe, de son lycée, de ses parents. La future brillante élue" et rêve "d'aller voir ailleurs, sortir de la route, se choisir une autre voie, un autre parcours".

Plus le roman avance et plus le texte prend des libertés graphiques, se fait poétique, innovant, personnalisé, à l'image de ce que recherche la jeune fille. Celle-ci est fascinée par son amie Manon, si insouciante et égoïste, qui ne pense qu'à profiter de la vie (et des garçons), loin des tracas du bac. Qui s'imagine déjà dans l'après alors que Louise ne veut pas de la vie toute tracée (par sa mère) qui l'attend. Mais Louise "n'a pas été formée pour l'imprévu" et elle a peur. Au bout d'un moment, le discours se met à tourner en rond, le récit semble long, le mal être de l'héroïne pesant. Et puis tout est un peu faussé par son origine sociale: c'est une "gosse de riche" qui peut se permettre de jouer avec son avenir parce qu'elle a de l'argent pour voir venir, une villa familiale pour s'isoler, un voilier pour s'échapper. Louise ne sait pas ce qu'elle veut ni qui elle est vraiment ("se connaître, déjà") et c'est à la fois un brin agaçant tout en ouvrant un éventail de possibilités.

On ne connaîtra pas sa décision finale mais son histoire encourage à se poser et à (s')observer afin que chaque décision prise, quel que soit l'âge de sa vie, soit conforme à son ressenti intérieur.
Lien : https://www.takalirsa.fr/d%C..
Commenter  J’apprécie          72
Louise, excellente élève, obtient son bac avec mention très bien. parcours sup tous ces voeux sont retenus. Mai la pression est forte, elle se perd ! Elle ne supporte plus l'influence de sa mère, le regard des autres, les quand dira t-on, le pression sociale !
Commenter  J’apprécie          10
Louise est en terminale. Elle est douée, brillante même. de grandes écoles, des études prestigieuses l'attendent... C'est en tous cas ce que souhaite sa mère, figure rigide et inflexible. Elle mène la vie de sa fille d'une main de maître. C'est elle qui décide des voeux sur le sacro-saint Parcours Sup...

Mais Louise pressent qu'elle pourrait vivre autre chose. La vie ça ne serait que ça ? Cocher des cases qu'on lui a fournies à l'avance ? Ne pas avoir d'autre choix ?

Dans ce roman, Louise se cherche, elle voudrait que sa vie soit différente, mais comment ? Elle explore son désir aussi, est-elle vraiment amoureuse de sa meilleure amie ? Ou du fiancé de celle-ci ?

Les errances, les questionnements, les angoisses liés à cette année cruciale, qui détermine une vie, une carrière, Marine Carteron les retranscris sans fard et avec justesse...
Commenter  J’apprécie          31
Parcoursup ça vous dit quelque chose ? Si vous êtes lycéen ( élève de terminale notamment ), parent d'un enfant au lycée ou même enseignant, le mot ne doit pas vous êtes étranger. Pour les autres il s'agit de l'application mise en place depuis 2018 pour permettre aux lycéens de faire leur choix d'orientation. Elle fut ( et est encore ) source de nombreuses polémiques pour ses multiples dysfonctionnements, son opacité et les angoisses qu'elle génère pour les élèves sans affectation… Parcoursup, c'est donc le fil conducteur de Désorientée, même si le roman de Marine Carteron pose plus largement la question des choix d'orientation et de toute une vie que les lycéens sont amenés à faire alors qu'ils ne se sentent pas complètement près pour prendre de telles décisions.

Quand on connaît les romans de Marine Carteron ( Les Autodafeurs, Dix, Génération K…) , on peut être un peu surpris par le sujet très contemporain et réaliste de Désorientée. On est assez loin des romans fantastiques et des thrillers sombres auxquelles l'autrice nous avait habitués. Mais c'est aussi le pari de la collection Ici et Maintenant, dirigée par Vincent Villeminot, aux éditions Casterman : permettre aux auteurs de s'exprimer dans un genre qu'ils n'avaient jusqu'ici jamais exploré. Dans Désorientée, Marine Carteron propose un récit introspectif et intimiste sur la fin d'adolescence et l'entrée dans le monde adulte.

Le personnage central de Désorientée c'est Louise. Louise est en terminale, elle va bientôt passer son bac et a fait ses choix sur Parcoursup, mais elle est de plus envahie par le sentiment que sa vie est en train de lui échapper, ne lui ressemble pas et que c'est les autres qui guident ses choix, son orientation et plus généralement ses envies, et la fille qu'elle devrait être. Elle s'écarte et rejette peu à peu ses parents, sa meilleure amie Manon, ses anciennes convictions. Elle est en crise. Pas vraiment une crise d'ado, plus une crise existentielle qui cristallise autour de l'application Parcoursup. Elle aimerait savoir simplement qui elle est , qui elle aime et ce qu'elle veut devenir .

A travers Louise c'est le portrait d'une génération qui a du mal à se construire et à savoir ce qu'elle veut que Marine Carteron dépeint. Une génération qui s'est laissée porter année après année, sans trop s'interroger, guidée par les parents, les profs, les amis mais qui un jour se réveille en ayant le sentiment de n'avoir pas été maître de son destin. Un sentiment qui devient irrespirable, insupportable pour certains comme Louise.

Ce qui m'a plu dans Désorientée c'est le questionnement qui traverse Louise, sa réflexion, sa maturité. Si l'époque du lycée est derrière moi, j'ai quand même retrouvé dans les interrogations et le regard de Louise les mêmes questions que je me posais à son âge. Je crois qu'à 18 ans, je me serai identifiée à Louise pour une partie.

Mais d'un autre côté j'ai eu du mal à apprécier ce roman. En effet Désorientée offre un côté très pessimiste et sombre. J'ai trouvé le livre déprimant, inconfortable. Peut-être parce qu'il m'a replongée sans que j'en ai très envie dans cette époque où on ne sait plus trop pour quelle raison on choisit telles ou telles études ou pourquoi on travaille à l'école.
Je n'ai pas non plus aimé le personnage de Louise car je l'ai trouvé un peu trop pourrie-gâtée. Elle peut se permettre crise, son choix final et prendre le temps de…parce qu'elle est issue d'un milieu très favorisé. D'autres, si ce n'est la majorité, ne pourront pas avoir sa liberté.

Du côté du style, je l'ai trouvé un peu froid, détaché. Louise est déjà un personnage auquel je n'accrochais pas mais l'écriture à la troisième personne m'a encore plus détachée d'elle. Je n'ai pas trop compris non plus l'incursion de poèmes dans le texte, un effet de style qui m'a laissée septique et que je n'ai pas réussi à rattacher à une logique.
Lien : http://www.lirado.fr/desorie..
Commenter  J’apprécie          52
Louise a 18 ans, le bel âge, celui de tous les possibles. Pourtant, elle a l'impression de n'avoir aucune prise sur sa vie et son avenir. Comme tous les élèves de terminale, elle a émis des voeux sur Parcoursup et elle est admise presque partout. Mais ces choix ne sont pas les siens, ils lui été dictés par sa mère. Les questions se bousculent dans sa tête. Doit-elle laisser un algorithme décider pour elle du reste de sa vie ? Pourquoi ne se réjouit-elle pas alors que certains de ses camarades n'ont pas sa chance et sont recalés partout ? Et si pour une fois elle cessait d'être la fille raisonnable et obéissante que tout le monde connaît ?

Un roman résolument moderne qui parlera sans doute à tous les lycéens qu'on oblige à faire des choix de vie alors qu'ils sont encore très jeunes et pas toujours conscients de l'impact qu'aura sur leur vie une case cochée sur Parcoursup.
On y fait la connaissance de Louise, une élève brillante et discrète, affublée d'une mère dirigiste, d'un père absent et d'une meilleure amie frivole et égoïste. Quand d'autres sont insouciants ou inquiets, Louise est en plein questionnement, sur sa vie, sa famille, son avenir, son orientation sexuelle. Des doutes, des hésitations, une légère angoisse assez symptomatiques de la jeunesse actuelle, même si son cadre de vie, son aisance matérielle ne sont pas représentatifs de la majorité des lycéens. D'ailleurs on a du mal à s'attacher à cette gamine gâtée par la vie et ses problèmes de riche. Il est évidemment plus facile de se rebeller quand on réussit avec facilité et que les parents sont là pour financer son petit pas de côté.
Cela dit, le roman se lit bien et l'auteure aime jouer avec les différents styles d'écriture, rendant son livre attractif et facile à lire. Rien de révolutionnaire mais pour un ado qui prépare son bac, pourquoi pas ?

Un grand merci à Babelio et aux éditions Casterman pour cette masse critique privilégiée.
Commenter  J’apprécie          400
Livre reçu dans le cadre d'une masse critique spéciale. Je remercie Babelio et l'éditeur pour cet envoi. Je ne suis pas une habituée de ce genre littéraire mais le résumé m'a intrigué. Comment cette jeune fille allait pouvoir s'en sortir avec un parcours déjà tracé pour elle ? Je ne connais pas du tout cette auteur, ça sera donc mon premier d'elle.

Les chapitres sont courts, le style est incisif pour un personnage qui semble sans aspérités. Par contre, le texte est écrit un peu gros pour de la littérature jeunesse. Fallait-il tenir un certain nombre de pages ? Ça se lit vite même si Louise est trop lisse et que je me demande quand elle va prendre le taureau par les cornes et envoyer tout bouler pour reprendre le cours de sa vie en main. Elle me fait penser à ces milliers de jeunes qui choisissent une voie juste parce que c'est le plus facile sans chercher à savoir ce qu'ils veulent vraiment faire de leur vie. Je n'ai jamais été comme ça, j'ai toujours eu plusieurs idées en tête pour mon avenir et une fois que j'avais trouvé, j'ai tout fait pour l'obtenir même si ça ne correspondait pas à la norme pour une femme, à l'époque. L'auteur a quand même un style particulier, voire bizarre. Elle s'amuse avec les mots et les phrases, nous fait des poèmes quand l'envie la prend. Elle a même demandé à l'éditeur d'écrire certains poèmes avec des écritures différentes du texte normal ou sous forme d'ellipse. Il y en a pour tous les goûts et j'ai souvent l'impression de lire un journal intime. le livre se lit vite, avec pour ma part une moyenne de 60p/h. Par contre, je n'en garderais pas un souvenir impérissable. Pourquoi ? Je ne sais pas vraiment. Tout ce que je sais, c'est que je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire ni à cette fin qui n'en est pas une. Je ne sais pas si cette histoire pourrai aider un adolescent ou jeune adulte à se trouver, c'est trop abstrait et en même temps, trop intime.

Comme vous l'aurez compris, ce roman a été une bonne lecture mais sans plus, il m'aura au moins permis de découvrir une nouvelle auteur. Il semblerait que cela soit le premier livre de ce genre pour celle-ci. Son style est néanmoins agréable et se lit assez vite, je testerais donc ces autres créations dans le fantastique. Si vous êtes amateurs de ce genre littéraire, je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          340




Lecteurs (185) Voir plus



Quiz Voir plus

les autodafeurs

Comment s'appelle la petite sœur d'Auguste Mars ?

Césarine
Jeanne
Isabelle
Sara

10 questions
67 lecteurs ont répondu
Thème : Les autodafeurs, tome 2 : Ma soeur est une artiste de guerre de Marine CarteronCréer un quiz sur ce livre

{* *}