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sur 173 notes
René Goscinny?
Goscinny dort très peu, et ne cesse de travailler. Et il lui arrive d'arriver en retard:
"Ah, Osterlix a du mal à se lever. C'est qu'il est célèbre chez nous, le sommeil d'Osterlix!"


En 1955, c'est presque la scène du banquet dans Astérix, avec tous les grands noms de la BD belge et française, autour d'une table: Franquin, Charlier, Tibet, Morris, Jijé et... Goscinny avec Uderzo.


Dessinateur mais surtout scénariste, Goscinny a collaboré avec les grands noms de la BD, il a créé "Rails sur la prairie" pour Morris et son Lucky Luke. Il a inventé Rantanplan et les cousins des Dalton...


Mais, c'est avec Uderzo, que Goscinny donna naissance à Astérix.
"Ils sont fous ces dessinateurs!".


Et, c'est près de la rue d'Alésia, qu'Anne, la fille de Goscinny situe la naissance du petit Gaulois.


"Encore un pastis?" Demande Uderzo. Ils créent la potion magique et Panoramix, le druide. Les deux amis pensent à Laurel et Hardy, avec Astérix et Obélix, tandis qu'on leur demande de passer à table.
-A table! C'est prêt !
"Quand Astérix boit, certains trinquent"


Pas étonnant que les albums à venir finissent par un banquet. Bonnemine, la femme du chef Abracourcix, la jolie Falbala sont déjà là... Sans oublier les Romains! ("Août 1959, ça s'est passé dans l'appartement d'Uderzo, avant le bouclage du premier numéro de "Pilote"...)


"- Tu as un très très gros nez! (René, euh Obélix)
-Ce n'est pas drôle, Romain. Tu aurais pu dire, c'est un menhir, que dis-je? C'est un dolmen!"


C'est un bel hommage, en BD! Anne Goscinny et Catel, la dessinatrice redonne vie à René Goscinny.
"-Nous allons donner un grand festin.
-Ce n'est pas la peine! Partir, c'est nourrir un peu!"
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°°° Rentrée littéraire 2019 #22 °°°

Même si la vie de René Goscinny n'est pas un sujet qui me passionne a priori, j'ai pris du plaisir à me plonger dans ce roman graphique joyeux, généreux et tendre.

Ne connaissant de ce grand auteur que son oeuvre, j'ai découvert l'histoire de sa famille, des juifs polonais et ukrainiens ayant migré en Argentine, dont une partie restée en Europe a été assassinée à Auschwitz. Ces drames initiaux amène un autre regard ou du moins de la profondeur sur ce personnage qui s'est peu dévoilé et s'est fait connaitre à travers des créations emplies d'humour.

Mais ce que j'ai le plus apprécié, ce sont les nombreux extraits des carnets personnels de Goscinny qui émaillent le récit : on l'y voit chercher s'essayer à la caricature dès son adolescence en croquant Hitler ou Staline, chercher son style. Son génie du trait est d'emblée éclatant. C'est un véritable cadeau pour le lecteur que de découvrir ces inédits grâce à l'accès total de Catel aux archives des Goscinny.

Catel est une vraie conteuse qui emporte le lecteur, ça fourmille d'anecdotes, de rencontres ( Sempé, Uderzo, Morris and co ) , c'est incroyablement vivant. La narration est exemplaire, fluide et accrocheuse. C'est une excellente idée que de marquer les deux narrations parallèles d'une couleur : bleu pour les pages où René Goscinny se raconte ; jaune pour les discussions entre Catel et Anne Goscinny, sorte de making-of du roman graphique.

Les dessins de Catel ont le don de la simplicité, tout en rondeur, avec ses grand aplats de couleur qui barrent le noir & blanc. Les planches sont très belles et apportent beaucoup de douceur à ce double portrait intime : celui du père qui trouve sa voie et celui de la fille qui a perdu à neuf ans son père et cherche à le faire revivre par ce biais.

Reste que cette oeuvre manque tout de même d'aspérités, comme peut en manquer une oeuvre de commande, faite à la demande d'une famille pour rendre hommage avant tout. Tout se lit avec facilité et sympathie, mais rien ne m'a accroché vraiment non plus. En fait, les pages que j'ai trouvées les meilleures car les plus complexes sont les saynètes prologue et épilogue marquées de la couleur rose. Quelques pages seulement, mais loin de toute hagiographie. On y voit Anne, la fille donc, âgée de 18 ans, menacer de mort le médecin jugé responsable de la mort de son père en 1977 ( arrêt cardiaque chez son cardiologue suite à un test d'effort ). Là, on sort du registre joyeux et lisse pour un moment de bascule, hors des clous. J'aurais aimé plus de passages de cet ordre, plus de folie.

Lu dans le cadre du jury Grand Prix des Lectrices Elle 2020 ( n°8 )
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Que celui qui n'a jamais lu une bande-dessinée d'Asterix et Obélix ou même du Petit Nicolas lève la main? Non non, je ne vais pas vous blâmer mais René Goscinny fait définitivement partie des grands noms du neuvième art qu'est la bande-dessinée depuis de nombreuses années maintenant.

Mes chères collègues jurées du Grand Prix des Lectrices “Elle” ont choisi comme essai pour le mois de novembre ce roman graphique. L'autre livre dans la sélection « Essai/Document » non retenu était « Ordesa » de Manuel Vilas. Je ne suis pas une habituée des romans graphiques. Et donc, cela a été une découverte en quelque sorte pour moi et cette petite originalité m'a plu.

A grands renforts de publicité pour un bouquin de ce type, « le roman des Goscinny : Naissance d'un gaulois » a déjà connu un certain succès. Il retrace la vie de René Goscinny depuis sa naissance à Paris, son enfance en Argentine, son retour aux sources en France et ses multiples rencontres qui ont enrichi sa vie. En interlude de ces épisodes, la dessinatrice Catel, habituée aux biographies de femmes célèbres, y insère la genèse du livre, en compagnie d'une de ses amies, qui n'est autre que la fille de Goscinny, Anne Goscinny.

Bien que j'ai déjà lu de nombreux tomes, aussi bien d'Astérix que du Petit Nicolas, je ne connaissais rien de la vie de leur créateur. C'est ainsi que ce livre commence en levant le voile sur son enfance en Argentine après la fuite de sa famille juive d'Ukraine et de Pologne. En plus d'écrire des scénarios de bandes-dessinées, il ne faut pas oublier qu'il était un dessinateur de talent. Ne se prenant jamais au sérieux, René Goscinny était un homme pour qui amitié et famille comptaient énormément.

Ce livre enrichi de dessins tirés du trésor familial hérité par Anne Goscinny, Catel a décidé d'inclure dans ses dessins comment est née cette idée en compagnie d'Anne. de part le fait d'avoir choisi ce genre qu'est le roman graphique pour retracer les grands événements de la vie de son père, Anne et Catel ont dû faire des choix et j'ai trouvé que, parfois, ce n'était que survolé. Bien entendu, vu l'existence assez palpitante de Monsieur Goscinny, il n'aurait pas été possible de la compacter en un seul livre sans un trop grand nombre de pages.

La préface écrite par Anne Goscinny est particulièrement touchante. Ayant perdu subitement son papa très tôt (elle n'était âgée que de 9 ans), j'ai trouvé que ce livre constituait un émouvant hommage car comme elle le dit elle-même : « Qui a jamais eu la chance de voir ainsi naître son propre père? ».

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices Elle.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Au départ, j'ai été très sceptique face à ce livre… le risque, avec ce « genre », c'est d'être dans l'hagiographie un peu excessive, ou dans une espèce « d'entre-soi », qui laisse le lecteur de côté !

Et, dès les premières pages, je constate que je n'accroche pas du tout aux dessins et qu'ils vont freiner ma lecture. Mais… mais le talent de Catel et la vie passionnante de René Goscinny ont pris le dessus !!!

Comme beaucoup, je connaissais René Goscinny de nom, je savais qu'il était l'un des pères de la BD Astérix ou bien de Lucky Luke et du Petit Nicolas. Mais si je connaissais quelques-unes de ses oeuvres, je ne connaissais en revanche rien de sa vie…

Et quelle vie ! Une vie pleine de galères, finalement couronnée par un succès tardif… Je ne pensais pas que cet homme avait autant piétiné avant que son talent soit reconnu par tous ! Et c'est là un des intérêts de l'ouvrage de Catel que de donner, pour une fois, la parole au scénariste/dessinateur !

Impossible à lâcher, je l'ai lu d'une seule traite. On oscille entre moments de rire et d'émotion. C'est extrêmement bien fait ! Tout y est : la jeunesse du garçon juif qui, depuis tout petit, adore faire rire ceux qui l'entourent, l'exil à Buenos Aires, la naissance d'un artiste… et les galères qui ne laissent pas deviner qu'il deviendra finalement le maître à penser de bien des gens du monde de la BD.

Ce que j'ai le plus aimé c'est, sans nul doute, d'avoir la chance de pouvoir lire/voir comme est née cette brillante bio-graphique grâce aux nombreux rendez-vous de Catel et Anne Goscinny mais également de pouvoir découvrir des travaux inédits de René Goscinny !

Une immense documentation sur Goscinny & une écriture parfaite, qui permettent d'accéder à un parcours de vie hors du commun : c'est un livre qui mérite cinq étoiles et qui ne quittera pas les étagères de ma bibliothèque !
Lien : https://ogrimoire.com/2020/0..
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C'est avec le génial Petit Nicolas que j'ai appris à connaître et aimer le travail de René Goscinny - et donc celui de Sempé.
Je n'ai jamais réussi à m'intéresser aux BD 'de garçons' Lucky Luke et Astérix, pas plus que je n'adhérais à Picsou & Cie. Enfant, je me régalais des Pif, Placid & Muzo (éditions Vaillant) que nous donnaient gentiment des voisins, puis des Lagaffe chez l'orthodontiste. Nos parents nous achetaient des livres à volonté, mais seulement des 'vrais', jamais de BD.
Grâce à cet album, j'ai vu que je lisais aussi Goscinny sans le savoir : il était scénariste de la BD de Martial 'Sylvie', diffusée dans l'hebdo 'Bonne Soirée' (1922-1988) auquel était abonnée ma grand-mère. Comme chez Boule & Bill, il y avait un papa, une maman, le fils & un chien, mais c'était beaucoup moins mignon puisque l'humour était basé sur des querelles conjugales - pas vraiment destiné aux enfants, donc.
.
Comme toutes les biographies de Catel, cet album est très riche, retraçant la vie de René Goscinny de sa naissance à sa mort. Issu d'une famille juive exilée de Pologne, il a passé une grande partie de sa jeunesse à l'étranger, notamment en Argentine. Il a longtemps ramé, aux Etats Unis et en France, pour vivre de sa passion - la bande dessinée.
Le récit alterne entre les résultats des recherches de Catel et les témoignages (sous forme d'échanges en face à face) de la fille de l'artiste, Anne Goscinny.
C'est peut-être là que ça a fini par vraiment coincer, pour moi. La fin est digne d'une pub Ricoré entre amis friqués : on y voit Catel & Anne avec enfants et époux à table, ou dans la piscine, les chiens gambadant joyeusement autour - à la faveur de l'élaboration de cet album, les familles sont devenues proches. Et lorsque Catel félicite Anne d'avoir réussi à donner vie à une petite fille de fiction (série 'Lucrèce'), comme le firent son père & Sempé avec le Petit Nicolas, on peut se sentir floué(e)s, puisque c'est Catel qui illustre ces albums. Oh, le joli/vilain coup marketing ! 🤔
.
On peut donc zapper ces dernières pages.
Tout l'album est évidemment complaisant à l'égard des Goscinny (sauf le frère aîné de René, totalement odieux avec son cadet), puisque René est décrit comme un homme drôle et sympathique. Mais peu importe puisqu'on apprend beaucoup sur l'évolution de la BD à partir des années 1950 (notamment aux Etats-Unis et en Belgique), et que l'ouvrage est enrichi d'esquisses collector réjouissantes.
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Qui n'a pas un jour lu un album d'Astérix?
Le petit gaulois astucieux fait partie de notre patrimoine culturel collectif et ses auteurs sont associés en paire jumelle, au point de ne pas toujours savoir qui écrit et qui dessine.

La dessinatrice Catel signe une biographie d'un grand Monsieur de la bande dessinée, en s'appuyant sur les souvenirs familiaux de sa fille et sur une documentation d'archives de dessins et caricatures. Elle produit un portrait d'artiste très vivant, de son enfance passée en Argentine, de ses origines juives, et de ses premières années de galère comme jeune dessinateur entre la France et les États Unis.

La consécration viendra enfin avec la création du magazine Pilote, et l'idée géniale de mettre en bande dessinée nos ancêtres les gaulois.

Un beau roman graphique qui joue sur les variations de couleurs pour chaque chapitre en monochrome. Un hommage sincère et pertinent pour un personnage au parcours atypique, à la sensibilité attachante derrière l'esprit potache.
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Une fois n'est pas coutume, Catel s'attarde dans ce roman graphique sur une personnalité qui n'est pas une femme. en effet, sous la pression de Anne Goscinny, elle se penche sur un des plus célèbres scénaristes de la BD : le père de Astérix et du petit Nicolas.
C'est une BD très intéressante, destins croisés du père et de la fille à travers le trait tendre et sympathique de Catel.
On apprend beaucoup de choses, on revis de grands moments de l'histoire de la Franco-belge et on croise une foule de grandes figures.
C'est très documenté, avec des reproductions de documents anciens assez amusants.
Toutefois, on sent que Catel a voulu faire plaisir à son amie et donne une sorte d'hagiographie de Goscinny.
Je ne prétends pas que l'histoire est magnifiée, je n'en sais rien, mais j'ai trouvé que l'ensemble manquait de relief, d'aspérités.
Une chouette lecture mais sans plus.

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Je lis très peu de romans graphiques ou de BD, et il me semble que c'était la même chose dans mon enfance : quelques Asterix, Lucky Luke, les albums des Pieds Nickelés. Ensuite, les super héros Marvel. de temps en temps je fais une incursion, je me surprends à aimer un style, un univers mais pas au point de devenir vraiment amatrice. Néanmoins, après le roboratif essai d'Ivan Jablonka (Des hommes justes) et l'éprouvant récit de Samar Yazbek (19 femmes syriennes racontent...), je n'étais pas mécontente de voir arriver ce récit graphique dans la catégorie "Documents" du Grand Prix des Lectrices de ELLE.
D'après ce que je découvre, Catel n'en est pas à son coup d'essai mais s'attache en principe à des biographies ou portraits de femmes célèbres (Kiki de Montparnasse, Benoîte Groult, Olympe de Gouges...) ; il lui a donc fallu trouver un prisme pour répondre au voeu d'Anne Goscinny qui souhaitait lui voir réaliser la biographie dessinée de son père. Ainsi c'est Anne qui servira de trait d'union pour ce qui devient ainsi le roman non pas d'un mais des Goscinny. L'auteure s'immerge dans les immenses archives de l'oeuvre et de la vie de René Goscinny, dans l'étude d'une riche bibliographie et revue de presse pour nous livrer ce récit d'une bien agréable manière. Agréable et surtout très pertinente au regard du cheminement du monsieur. Entre chaque épisode s'intercale une discussion entre Catel et Anne Goscinny, sa fille unique, elle-même auteure de romans et... scénariste de BD.

J'ai appris des tas de choses, je ne connaissais pas du tout les origines de René Goscinny (famille juive polonaise), encore moins son parcours ni le détail exact de ses collaborations (par exemple, j'ignorais qu'il était associé à Morris pour Lucky Luke, pour moi,c'était Asterix, point). J'ignorais tout de son enfance en Argentine (son père y travaillait en tant qu'ingénieur) d'où lui parvenaient les bruits de la guerre dans les années 40 (drôle d'écho à la lecture du Ghetto intérieur) et les mauvaises nouvelles concernant sa famille vivant en France. Une famille d'imprimeurs qui n'échappe pas à l'aryanisation des biens et donc à la spoliation ; l'un des membres survivants récupérera l'imprimerie après la guerre. René dessine depuis son plus jeune âge, ce qui ne l'empêche pas d'être premier de la classe. Mais lorsque se profile la vie professionnelle, il doit jongler entre les contraintes (assurer un revenu pour sa mère et lui après la mort de son père) et son envie de trouver "un métier rigolo". Parcours compliqué, entre les Etats-Unis et l'Europe, fait de bohème, de rencontres et d'aventures éditoriales en tous genres y compris publicitaire, à l'image d'une époque de l'après-guerre puis des trente glorieuses où tout s'invente.
Si j'ai vraiment été captivée par le récit de la vie de René Goscinny, par sa vision du pouvoir d'un bon dessin ou d'une caricature jusqu'à l'invention des personnages d'Asterix lors d'un réjouissant brainstorming avec Uderzo, j'ai été moins à l'aise avec les épisodes mettant en scène les discussions entre Anne Goscinny et Catel. Les toutes premières sont intéressantes car elles ajoutent au récit par la voix d'Anne et ses souvenirs, mais en arrivant à la fin, la mise en scène devient un peu trop mièvre à mon goût.

Ceci dit, j'ai vraiment apprécié la richesse des reproductions d'archives avec des documents et des dessins passionnants qui permettent d'approcher de près le processus créatif et de comprendre ce qui animait ce célèbre scénariste. J'ai l'impression d'avoir rencontré un homme qui méritait d'habiter les cases qu'il a si souvent imaginées pour des héros fictifs, lui qui riait de se voir traiter de chauvin en tant que créateur des "irréductibles gaulois" compte tenu de ses origines et de son parcours. Un joli moment et un bel écrin pour un véritable hommage qui oublie heureusement de se prendre au sérieux.
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A la grâce d'une admiration pour les romans d'Anne Goscinny, Catel délaisse la biographie dessinée de femmes célèbres pour s'attaquer à un des maitres de la bande dessinée française. Elle met ainsi en lumière tout un pan mal connu de Goscinny : enfance en Amérique du Sud, années de galère à New York, les origines de son art pour le côté lumineux, la déportation et la disparition de sa famille dans les camps de concentration pour l'aspect le plus sombre. On lit aussi entre les lignes la douleur d'Anne, une fille qui a perdu son père bien trop tôt. Richement documenté et illustré par de nombreuses planches issues d'archives familiales, le récit s'arrête à la naissance d'Astérix.
Bien que de bonne facture, établi sur les codes narratifs et graphiques qui font la marque de Catel, ce roman graphique n'a pas su trouver mon attention. Peu d'intérêt pour le personnage central ? Une certaine lassitude pour une démarche routinière ? En tout cas, il ne m'a pas laissé de grands souvenirs malgré son épaisseur.
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Qui n'a jamais lu un Axtérix, Lucky Luke ou le petit Nicolas (pour ne citer que cela). Avec cette biographie graphique Catel rend hommage à un grand homme de la BD René Goscinny ainsi que de sa fille Anne. J'ai adoré découvrir la vie de cet homme. Je suis une fan des bd de cette auteure.
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