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D'abord je remercie Babelio et les Éditions du Seuil pour cette lecture offerte.
Difficile pour moi de rédiger un billet, je suis partagée, car souvent déroutée par la structure de ce roman.
L'écriture est fluide mais pas transcendante, il se lit vite. L'alternance des chapitres entre le présent et le passé m'a parfois pesé, en particulier ceux de la jeunesse de Line au cours de danse. Ils sont certes censés montrer l'évolution de Line et le point de chute de son adolescence....
Je trouve la personnalité des protagonistes trop peu approfondie, un mari fade au caractère très lisse. Et Line, difficile à cerner vu ce qu'elle vient de traverser. L'ensemble porte sur son introspection, victime d'un séisme dont elle ressort vivante. Donc en quête de reconstruction mais la fin du livre ne nous en apprendra pas plus.
Une lecture mitigée mais pas déplaisante, bien que le thème central est tragique même si elle survit à ce tremblement de terre à Tokyo. Au demeurant très peu décrit d'ailleurs.

Par contre, j'ai apprécié de découvrir un avant dernier chapitre tout à fait intéressant, sur le double sens d'Insula qui m'a trotté dans la tête tout au long du livre, car c'est bien de cela dont il est question finalement : le siège de nos émotions.
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Je découvre avec ce livre la plume sensible et délicate de Caroline Caugant.
Un récit à la fois aérien, léger comme un pétale de fleur de cerisier, délicat mais tout aussi puissant, qui parle de ce qui nous ancre (de terre, de racines, d'origines) mais aussi de ce qui s'élève, le léger, le flottant, l'effacé, la fuite.
Line est une fille de l'air, ancienne danseuse clouée au sol à cause d'une blessure, à présent hôtesse sur des vols longs courriers et en couple avec Thomas. Alors qu'elle n'aurait pas dû se trouver là, la voilà à Tokyo, lors du Big One. (Ce gigantesque et destructeur séisme attendu par le Japon depuis des années et que l'autrice imagine se produire au printemps 2024). La terre l'englouti 8 jours durant, la fait disparaitre pour la libérer enfin, dans un retour à la vie difficile. le noir puis la lumière, des souvenirs qui s'effacent, la résurgence d'autres, le choc post-traumatique, la quête de soi-même, de l'autre qui s'est volatilisée.
Le Japon, monde flottant, comme un fil rouge dans cette histoire, pays des jōhetsu, les évaporés, disparus volontaires.
C'est sur une île de l'Atlantique que Line va réapprendre à vivre, chasser les fantômes du passé, se réveiller, respirer, s'alléger. Une renaissance qui passe par le corps, les sensations. Il en est beaucoup questions dans ce livre : les bruits, les odeurs, les vibrations, les perceptions.
J'ai beaucoup aimé cette histoire , la fluidité de sa construction, les références au Japon, pays où j'ai vécu et dans lequel j'ai de nombreux souvenirs.
J'ai été très sensible à l'idée que les lieux peuvent panser les plaies , effacer les cicatrices et soigner les fêlures des personnages .
Merci à Babelio pour cet envoi lors d'une masse critique privilégiée. J'ai très envie de découvrir l'autre roman écrit par l'autrice : "Les heures solaires".
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Au coeur de l'éphémère et de l'espoir infini.

« Un naufragé garde l'horreur des flots, même tranquilles » Ovide, Les Pontiques. (Citation en exergue)

Même si elle est rescapée du tremblement de terre qui a touché Tokyo en ce printemps 2024, Line ne cesse de vivre ses tempêtes intérieures. On la sent toujours en partance, telles ces oies sauvages…
Elle est en lutte avec ses souffrances, et surnage entre résilience, affrontement, cheminement, engloutissement.

Victime d'un violent séisme survenu au moment des cerisiers en fleurs à Tokyo, Line est une survivante, elle a frôlé la mort de très près… Allait-elle s'en sortir et parviendra-t-elle un jour à s'en remettre ? le désastre suscitant un vacillement incessant semble l'accompagner désormais, et révéler des douleurs profondes.

Au choc post-traumatique, à son état nébuleux et douloureux, des réminiscences de l'enfance s'invitent dans sa mémoire, souvenirs enfouis et blessures ressurgissent.
Les évènements racontés renvoient à la fragilité de l'existence, à la dualité des êtres, aux failles présentes en chacun de nous.
Comment se reconstruire après une telle expérience où tous les fondements intérieurs se sont écroulés ?
*
J'ai aimé le sujet du choc post-traumatique et du chemin de la reconstruction, réveillant le passé, impactant le présent, remettant l'avenir en perspectives nouvelles.
De même, les expériences des rescapés et des personnes qui ont frôlé la mort, sont enrichissantes à lire, elles démontrent outre l'intensité du traumatisme, l'urgence de vivre.
J'ai donc trouvé ce roman intéressant car il questionne – comment aurais-je réagi en pareil cas ? Aurais-je choisi l'évitement, l'affrontement, comment survivre à une catastrophe dont on sort vivant mais pas indemne ?

J'ai trouvé certaines transitions plus abruptes dans la deuxième partie du roman, plus fouillée dans les pensées intériorisées du personnage, j'ai ressenti de la confusion.
Agréable à lire, l'histoire m'a semblé assez sophistiquée.
J'ai aimé la signification forte de l'île, cernée par l'océan – l'eau, la vie – dans lequel plonger, disparaître, s'y laissé engloutir ou surnager, revenir - peut-être, d'un tel voyage…

Je ressors de cette lecture avec un avis mitigé.
*
Merci à Babelio et aux éditions du Seuil pour cette intéressante et originale découverte.
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Récit d'un séisme et des ondes de choc qu'il répercute, "Insula" révèle les failles des êtres et leur dualité, tout en dépeignant une existence animée par le désir violent de renaître.

Caroline Caugant est née à Paris en 1975. Après des études de littérature à la Sorbonne, elle travaille comme graphiste et se consacre en parallèle à l'écriture. "Insula" est son deuxième roman, après "Les Heures solaires".

Printemps 2024. Line, hôtesse de l'air, se trouve à Tokyo au moment où le Japon célèbre les cerisiers en fleurs. Cette nuit-là survient le Big One, séisme majeur que tous redoutaient. La terre avale la jeune femme. Puis la recrache des jours plus tard.

Miraculée, elle rentre à Paris, vacillante. de ce qu'elle a vécu, elle ne garde aucun souvenir. Commence alors le délicat travail de la reconstruction et de la mémoire. Comment revenir d'un tel voyage ?

Flashs et réminiscences la mèneront vers une île de l'Atlantique, soumise aux assauts du vent et de l'océan, à la recherche de ce qui la hante...

Je remercie les @EditionsduSeuil et @NetGalleyFrance de ma'voir permis de découvrir ce roman dépaysant très agréable à lire.

La structure narrative du récit est divisée en trois parties intitulées : Line, la miraculée ; l'ïle de Saki ; Revenir. L'intrigue de ce roman choral à trois voix nous est dévoilée selon le point de vue de Line, la rescapée, mais aussi au travers des yeux de son conjoint, Thomas, témoin du trauma psychologique subi par Line.

Dans la première partie, ces deux personnages nous racontent, à tour de rôle, la déliquescence de leur relation suite à cet évènement qui a bouleversé leur vie. le personnage de Saki, amie de Line, n'est évoqué qu'à partir de la deuxième partie, ce qui permet de préserver le suspense de manière efficace. Dans la troisième partie, le titre prend tout son sens et la vérité est enfin révélée.

J'ai beaucoup aimé la prose poétique de l'autrice qui m'a fait voyagé de Paris à Tokyo et de Tokyo à l'île mystérieuse de Gwadar grâce à de nombreux flashbacks. J'ai découvert la légende japonaise de Namazu, ce poisson-chat géant vivant dans les profondeurs de la Terre qui serait responsable des séismes. le Japon redoute ses réveils car il repose sur son échine et d'un mouvement brusque, Namazu peu ébranler tout l'archipel. Dans la légende, les séismes naissent de sa colère et je trouve cette légende pleine de poésie.

La plume sensible, délicate et le style fluide de l'autrice rendent la lecture très agréable. Son récit est léger, éthéré, et délicat, comme un pétale de cerisier. Ce monde flottant que représente le Japon, entre Terre et Mer, est le pays des disparus, des évaporés, comme le père de Saki, ou comme Saki, elle-même.

Line est toujours en vie, mais elle est comme vidée de l'intérieur : elle souffre de la culpabilité des survivants et n'arrive pas à se libérer des fantômes du passé. le dénouement, riche en émotions, est plein d'espoir car Line semble enfin sur la voie de le résilience.
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Grâce à Babelio et aux Editions Seuil, dans le cadre d'une masse critique, j'ai découvert « Insula » de Caroline Caugant . J'avoue avoir accroché tout de suite à l'écriture de cette auteure dont le texte, très structuré, nous entraîne d'une phrase à l'autre et d'un chapitre à l'autre sans que l'on souhaite faire une pause. Par contre, il est difficile d'avoir une approche de l'histoire sans trop la dévoiler, mais on peut tout de même dire que la principale protagoniste, Line, est atteinte du syndrome de Lazare après avoir été enterrée vivante lors d'un tremblement de terre à Tokyo. Être une miraculée est un tel traumatisme que tout son vécu antérieur et futur va être remis en question. le thème est passionnant et peu commun. Une lecture coup de coeur que je vous conseille vraiment.
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A la lecture de la 4ème de couverture je me doutais bien que j'allais apprécier cette lecture. Cela s'est confirmé quand j'ai découvert les premières pages et suis complètement tombé sous le charme de l'écriture.

L'histoire est celle de Line, une hôtesse rescapée d'un séisme, comme il y en a peu dans l'histoire, survenu à Tokyo alors qu'elle y était en escale. Pendant 8 jours elle restera sous terre avant d'être enfin secourue...
Vous vous imaginez aisément qu'un tel évènement laisse des traces et ma seule peur était que ce roman soit trop "lourd" surtout au vue de l'actualité (le séisme qui a encore secoué le Japon le 1er janvier). J'ai donc apprécié la construction qui alterne entre passé (enfance) et présent, j'ai trouvé que cela nous laissait le temps de reprendre notre souffle.

J'ai trouvé l'écriture très belle, très touchante, l'auteure a su transmettre les émotions. J'ai perçu les ondes de chocs qui secouaient Line à son retour sur Paris et j'ai souffert avec elle avant de l'accompagner sur le chemin de sa renaissance.
Je ne vous dis pas tout, même s'il y aurait tant à dire, car cette histoire qui n'est pas seulement celle de cet évènement et de ses répercutions, se dévoile petit à petit...

Un très beau roman sur la résilience des hommes. A lire.
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Reçu dans le cadre d'une masse critique Babelio, Insula était un roman qui attisait ma curiosité et je suis loin d'être déçue de ma lecture. Caroline Caugant propose un court roman plutôt audacieux où le grondement de la terre se fait entendre et ressentir, comme si elle prévenait qu'elle reprenait ses droits. C'est à travers le personnage de Line, hôtesse de l'air et en couple avec Thomas que l'autrice nous raconte les griffes dans les façades, le bruit d'une terre qui tremble sous les pieds de Line à la sortie d'un temple à Tokyo. 2024, il avait été prévu. Un big one soudain qui va ensevelir Line dans la noirceur des décombres pendant huit longs jours. Miraculée, elle est rapatriée, mais les souvenirs reviennent comme des vagues déferlantes. le stress, la peur, les souvenirs qui la font basculer la pousse dans une détresse psychologique. Puis un jour, elle part. Elle a ce besoin viscéral de solitude pour se reconstruire parmi les vivants. Insula sera l'île d'une certaine résurrection. Insula, c'est le lieu d'enfance de Saki, une amie des décombres, de l'enfer. Alors que des séismes ont eu lieu récemment, le roman de Caroline Caugant est une superbe découverte. Écrit entre passé et présent et de différents points de vue, Insula à un côté sombre et lumineux. le chemin que mène Line sur la guérison est très bien décrit. Nos questionnements trouvent réponse petit à petit et laisse une jolie trace lorsque se referme le livre grâce à une plume sobre et élégante. 

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C'est l'histoire d'une miraculée, ou d'une nouvelle naissance. C'est aussi un étrange écho avec l'actualité alors que défilent depuis quelques jours les images des dégâts du séisme survenu au Japon en début d'année. Caroline Caugant situe son histoire au printemps 2024, légère anticipation qui en devient presque anachronique. Au Japon, la menace est permanente, la crainte du Big One est dans tous les esprits. Et c'est dans ce drame que l'autrice plonge son héroïne, Line, hôtesse de l'air en escale à Tokyo lorsque survient la catastrophe tant redoutée. Mais Line s'en sort, ramenée à l'air libre après une semaine sous terre à boire de l'eau de pluie. Affaiblie, éprouvée mais vivante. Au grand soulagement de Thomas qui attendait des nouvelles, impuissant depuis Paris. Rapatriée, soignée, dorlotée. Mais quelque chose a changé dans la nature même de ses émotions, Line est incapable de reprendre le cours de sa vie. Comment faire comprendre à ceux qui ne l'ont pas vécu ce qu'elle ressent tandis qu'elle peine elle-même à l'expliquer. Cette histoire devient alors celle d'une escapade, d'une île, du besoin de se reconnecter à soi et à l'essentiel, d'affronter ses démons enfouis et de se confronter à ses fantômes pour mieux renaître.

J'ai été totalement emportée par le parcours de Line et tout le mérite en revient à la plume délicate, précise, harmonieuse de Caroline Caugant. Loin de la simple introspection, le récit englobe les nombreux instants qui jalonnent une vie, les douleurs enfouies sous une fausse assurance, les fissures que l'on ignore et cet énorme besoin de consolation. le rythme intense de la première partie avec ses incursions pointues dans l'enfance et l'adolescence de Line s'apaise soudain pour laisser place au temps plus lent de la réflexion et de la reconstruction, dans le décor superbe d'une île de l'Atlantique battue par les vents. Dans ce récit se mêlent les influences issues de l'expérience de Line pendant cette parenthèse sous terre dont je ne révèlerai rien ici pour ne pas gâcher le plaisir des futurs lecteurs. Tout est dualité, inscrit au plus profond des chairs. L'autrice réussit à faire ressentir la fusion des corps et des éléments avec une rare perspicacité. Tout ceci est d'une délicatesse extrême qui laisse surgir une émotion douce, sensuelle et naturelle. Un roman très réussi.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Pour ma part,

Non sans rapport avec l'actualité au Japon en ce triste début d'année, c'est avec un vif intérêt que je me suis plongée dans ce récit qui explore les conséquences psychologiques d'un stress post-traumatique, appelé syndrome de Lazare, vécu par une hôtesse de l'air, Line, lors d'un très grave séisme à Tokyo.

"À son retour de Tokyo, la Compagnie l'avait déclarée inapte et l'avait suspendue des plannings de vol. Elle était en arrêt maladie pour le moment. Ensuite, pour une période non déterminée, elle travaillerait au sol. Avant de reprendre les vols, elle serait examinée par le médecin du travail."

Rescapée des entrailles de la terre, du chaos et de la mort, Line doit affronter ses démons et accepter son destin pour réapprendre à vivre.

"Je n'ai pas compris tout de suite l'impact que cet événement aurait sur ma vie. C'était un miracle, c'est ce que tout le monde répétait, alors j'ai fini par y croire. le reste est venu plus tard. Être une survivante se paye. D'une manière ou d'une autre, on le paye. "

La narration à la troisième personne oscille entre le passé, le présent et le point de vue des personnages clés : Line, Thomas et Saki.

Ce procédé est un style littéraire pour marquer la dichotomie entre la douleur et l'instinct de survie, le chaos d'une existence dépourvue de sens et l'espoir... Là dessus je ne vous en dis pas plus vous le découvrirez en lisant le roman.

À mon sens, en dépassant le récit d'aventure initiatique à proprement parler, Insula est un exutoire, c'est-à-dire un recueil de souvenirs et de sensations, de celles qui furent gravées dans la chair, l'âme et les sens enfin portés par écrit, comme une délivrance, un accomplissement. Dans le but de les surmonter, de les exorciser et enfin renaitre.

Le chemin vers la paix intérieure est ardu et les images du récit sont tantôt oppressantes, tantôt oniriques avec quelques éclaircies versifiées pour enfin revenir au présent et à la réalité :

"Noir total
Absolu
Comme le blanc le plus pur

Nuit infinie Nul écho
Nulle trace

Noir vorace
Comme les gouffres
Où meurent les étoiles"

J'aime les récits psychologiques en général et j'ai adoré celui-ci en particulier car, connaissant plus ou moins le milieu des PNC, j'ai eu beaucoup d'empathie pour le personnage de Line.

Je recommande chaleureusement.

Youtube : https://youtu.be/7sqZX1XjW08?si=2LXuQ7usUe54xZdH

Blog: https://www.aikadeliredelire.com/2024/01/insula-netgalleyfrance-lu-approuve.html?m=1
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Livre offert par les Editions du Seuil,
Critique réalisée dans le cadre de la masse critique du mois de décembre 2023 (merci à Nathan ;))

Un livre plaisant qui m'a beaucoup touchée.
Le récit est à la fois introspectif et initiatique.
L'auteur a su créer, avec le personnage de Line, une figure féminine complexe, attachante et en souffrance que le lecteur a envie de suivre tout au long de son travail de quête et de reconstruction, et pour lequel j'ai éprouvé beaucoup d'empathie et d'attachement.

Le séisme survenu à Tokyo, et l'enfermement qui s'en est suivi pour Line pendant 8 longues nuits et 8 longues journées ne sert que de prétexte à réveiller la blessure intérieure de Line, son propre Namazu; un évènement survenu alors qu'elle était encore adolescente et qui a bouleversé sa vie.
Cette blessure se raconte sur son corps, à l'image des tatouages qui ornent son dos, sa nuque, sa cuisse.

J'ai ressenti beaucoup de sensibilité dans l'histoire écrite par Caroline CAUGANT.
Une histoire rythmée par le passage des saisons. La notion de cycle et de temps qui passe pour aider à la reconstruction est abordée avec beaucoup de subtilité.
La place laissée à la nature est intéressante : les fleurs, les arbres, l'océan, les oiseaux, tout cela est joliment mis en scène, sur fond de légendes japonaises.
Une jolie découverte.
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