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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai tout aimé dans cette bande dessinée !

Déjà avant de l'ouvrir, il se dégage une forme de noblesse, d'élégance dans son format en parfaite adéquation avec l'univers holmésien tel que je me l'imagine. Ensuite, ce dessin de couverture en noir et blanc qui suggère plus qu'il ne montre. Enfin ce titre, direct, concis en lettres rouges, Holmes (1854 / 1891 ?) et ce sous-titre, L'Adieu à Baker Street.

Tout est parfait dans ce premier tome ! Cécil a fait un boulot formidable. le graphisme de l'ensemble, les visages des personnages, leurs costumes, les décors, l'époque très bien retranscrite, tout comme l'ambiance des romans de Conan Doyle. Un noir et blanc extrêmement soigné contribue à notre sensation de baigner dans l'époque des protagonistes.

Une réussite totale, on est immédiatement et irrémédiablement happé par l'intrigue de Brunschwig, bien construite, prenante et pleine de suspens. Pour preuve, une fois terminée, je suis aussitôt allée me procurer les deux autres tomes que j'ai aussitôt dévorés d'une traite.

Tout commence après la tragique disparition de Sherlock Holmes, dans les fameuses chutes du Reichenbach, dont ce cher Watson tente de faire le récit. Alors que le logement que Sherlock Holmes occupait chez sa logeuse Madame Hudson a été saccagé, Watson, accompagné de Wiggins, part à la recherche d'individus qui semblent s'intéresser de très près aux dossiers du célèbre détective du 221b Baker Street…

A suivre !

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Adorant le célèbre Sherlock Holmes, j'ai pris beaucoup de plaisir a lire cette BD. Elle débute avec la mort du détective qui nous est raconté par Watson. Il va rencontrer différents personnages qui ont tous une version différente de cette mort. Il n'y a eu aucun témoin, donc toutes les hypothèses sont possibles....

Cet album est en tout les cas un véritable bijou. Notamment pour les dessins, tous en noir et blanc mais avec de très beaux contrastes. Les visages, les tenues d'époque ainsi que les lieux sont vraiment très réussis.

L'intrigue est digne d'un très bon Conan Doyle et constitue une très bonne suite qui ne dénature en rien l'héritage laissé par l'auteur.

Les fans de Sherlock Holmes devrait se régaler et pour autres aussi. On ne peut reprocher qu'une chose a cette BD c'est qu'elle est bien trop courte!
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Wahou ! Quelle BD !

Pas une énième interprétation (en mode fanfiction) du mythe de Sherlock Holmes et de la fameuse chute du Reichenbach ! Un sacré coup de force !

Dès le premier tome, difficile de ne pas être pleinement embarqué(e) et époustoufflé(e) par la précision graphique quasi photographique des cases, avec des détails - souvent humoristiques - qui vont bien au-delà de ce que dit le texte.
On reconnait aussi dans le scénario la "marque" Luc Brunschwig avec plusieurs histoires imbriquées dans l'intrigue principale, avec un retour des années en arrière pour comprendre la situation actuelle. Certaines fausses pistes lancées à n'en pas douter, des scènes où souvenirs, hallucinations et réalité se mêlent : tous les éléments pour accrocher le lecteur sont là !
Je n'ai donc qu'une hâte : découvrir la suite !
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Une BD sur Sherlock Holmes mais sans lui, ou si peu.
Et c'est franchement bon.
Le scénario se tient et donne toujours envie d'en savoir plus.
Le dessin est très bon, traité dans un camaïeu de bleu-gris assez bien traité et donnant à l'ensemble un coté raffiné.
Sherlock nous apparait dans toute son humanité et dans toutes ses faiblesses.
C'est raffiné, c'est bien rythmé, c'est très élégant...c'est so british!
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Avis portant sur la série:
J'ai souvent aimé les oeuvres de Luc Brunschwig. En l'espèce, je vois qu'il est à l'apogée de son art avec une maîtrise scénaristique hors du commun. Cette oeuvre palpitante est d'une beauté extraordinaire. le graphisme en bichromie gris-bleuté de Cécil se marie à merveille avec ce récit. J'ai beaucoup aimé le ton donné aux couleurs selon les époques (la fameuse technique de la couleur directe). Et puis, ces jeux d'ombres sont utilisés à bon escient pour restituer l'ambiance d'une Angleterre victorienne. Bref, voilà une association d'auteurs qui fonctionne à merveille.
Elle part sur une idée originale : comment est donc mort le célèbre détective privée Sherlock Holmes ? L'intrigue débute donc après la mort de Holmes aux chutes suisses de Reichenbach en 1891. C'est son fidèle ami le Dr Watson qui enquête et qui va découvrir tout un passé qu'il ne soupçonnait même pas. On découvre que derrière la légende d'un homme se cachait un côté beaucoup plus obscur (moeurs légères et opium ?). Cette démarche scénaristique est pour le moins très intéressante même si elle n'est pas nouvelle. L'efficacité reste de mise pour un plaisir de lecture maximale.
Sherlock Homes est également l'un de mes héros littéraires préférés. On pourrait croire qu'il a réellement existé dans l'Angleterre victorienne de la fin du XIXème siècle. Sherlock Holmes est l'homme qui est capable de résoudre la plus insoluble des énigmes. C'est également un homme qui est à lui seul la plus grande des énigmes que son ami Watson n'a jamais croisée. L'Angleterre est en deuil car elle vient de perdre un homme d'exception, un homme qui comprenait le petit peuple de Londres, qui savait se mêler à lui car il en connaissait les codes et surtout il en comprenait l'âme.
Mes regrets sont de deux ordres: un rythme de parution plutôt lent ainsi qu'un tome comprenant moins de pages qu'à l'accoutumé.
Note Dessin: 4.5/5 - Note Scénario: 4.5/5 - Note Globale: 4.5/5
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Des planches superbes qui servent à merveille une aventure où le héros est paradoxalement absent. Une intrigue qui se joue des lecteurs en les mettant sur des fausses pistes, et en émettant de nouvelles hypothèses auxquelles il est très tentant de croire...Vivement la suite!
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De toutes les BD proposées lors des 48H BD, c'est celle-là qui me tentait le plus parce que j'adore Sherlock Holmes et que les critiques que j'avais lu étaient enthousiastes.

Elles avaient raison de l'être car HOLMES (1854 / 1891 ?) : L'ADIEU À BAKER STREET est une vraie réussite. Tout y est bon : la couverture énigmatique, l'intrigue forte, les dessins à tomber par terre et les multiples références au canon holmésien.

L'histoire débute juste après la mort de Sherlock dans les chutes du Reichenbach : Watson hésite encore à écrire un article sur la fin de son ami quand le 221 B Baker Street est cambriolé. Watson, aidé par Wiggins, va tenter de découvrir qui a mis à sac l'appartement et pourquoi. Ce qu'il va découvrir va le bouleverser.

Et va bouleverser le lecteur tant c'est inattendu et bien pensé. Les personnages ressemblent à ceux du canon donc on retrouve vraiment l'esprit des livres de Conan Doyle. Même physiquement c'est ressemblant mis à part que Watson est un peu trop âgé.

Il y a de nombreux rappels au canon ce qui m'a beaucoup plu car cela m'a permis de croire à l'histoire. Je l'ai lu d'une traite tant j'ai aimé le scénario et j'ai très envie de découvrir la suite parce que le suspense est insoutenable.

Je sais que tout le monde ne partage pas mon avis mais j'ai trouvé les dessins sublimissimes. Ils sont riches, détaillés et le monochrome de bleu est à tomber. J'aime décidément beaucoup le monochrome, je trouve cela très élégant et pour une histoire se déroulant à l'époque victorienne, c'est parfait. La teinte donne à la BD un aspect gothique du meilleur effet.

HOLMES (1854 / 1891 ?) : L'ADIEU À BAKER STREET est une des meilleurs BD que j'ai lu depuis longtemps et la plus belle découverte faite grâce aux 48H BD !
Lien : http://le-bric-a-brac-de-pot..
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Sherlock est mort en tuant Moriarty mais il a laissé une lettre à Watson et son appartement a été mis à sac. Il reste donc beaucoup de mystères à élucider.
Une magnifique BD très bien léchée, une histoire mystérieuse comme on les aime chez Conan Doyle et un dessin très précis et d'une beauté élégante.
Je me suis régalée.
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Un polar écrit par Luc Brunschwig (Vauriens, Les nouvelles Aventures de Mic Mac Adam, Makabi, le pouvoir des innocents, La mémoire dans les poches), dessiné par Cécil (Le réseau bombyce), édité par Futuropolis et ayant Sherlock Holmes pour sujet, peut-on rêver mieux ?

Brunschwig poursuit avec brio cette revisite du personnage de Sir Arthur Conan Doyle. Débutant l'intrigue après la mort de ce mythe de la littérature mondiale aux chutes de Reichenbach en 1891, c'est à travers le personnage du docteur Watson que l'auteur fait revivre le détective de légende. Au fil des pages de cette enquête post-mortem, Luc Brunschwig remet lentement tout en cause et part à la recherche du vrai visage de Holmes.

Ce second volet débute le 16 avril 1844 et revient sur la rencontre entre Siger Holmes et Violet Sherriford, les parents du célèbre détective. Il ne faudra cependant qu'une dizaine de pages pour que l'auteur revienne aux investigations de Wiggins et Watson, en 1891. Tout en livrant une enquête prenante, Brunschwig continue de soigner le développement psychologique des différents personnages. Après le docteur Watson, le professeur Moriarty et l'intrigant Mycroft, ce sont maintenant les parents de Holmes qui entrent en scène et le caractère bien trempé de Siger Holmes a d'ailleurs tout pour plaire. le fait de peaufiner la psychologie des parents de Holmes permet d'ailleurs de mieux cerner la personnalité de Holmes et d'en apprendre plus sur son passé.

Au niveau du graphisme, Cécil passe admirablement d'une colorisation en teintes ocre pour la période passée à des tons gris-bleuté pour l'intrigue au présent. Les jeux d'ombres sont à nouveau splendides et l'alignement de vignettes qui semblent issues d'un vieil album photo plonge le lecteur dans une ambiance rétro qui colle parfaitement à l'Angleterre Victorienne.

Une enquête se déroulant après la mort de Sherlock, pour une oeuvre qui fait revivre Holmes au détour de chaque case.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Holmes est mort, Mycroft son frère est persuadé qu'il s'agit d'un suicide lié à la folie de son frère. Watson n'y croit pas mais s'aperçoit qu'il ne connait quasi rien de la vie familiale de son ex locataire. Alors il va enquêter, rencontrer les parents, les amis, tout ceux qui l'ont entouré durant son enfance.
Roman plus psychologique et d'atmosphère que à suspens, c'est une BD d'un autre genre, un roman graphique sur un personnage célèbre pour ses marottes et son intelligence aigue mais si un auteur évoquait la cocaine pour la cause de tout, ici on se tourne vers l'enfance. C'est lent, les ambiances sont lourdes.
Un dessin somptueux, réaliste et précis, magnifié par le noir et blanc.
A lire.
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