La constance du prédateur

EXCEPTIONNEL _ INCROYABLE _ CAPTIVANT _ GÉNIAL _ TORDU
Fantastiquement terrifiant et tellement prenant.
L'histoire avant tout est parfaite pour se faire peur.
J'ai adoré passé quelques heures plongé dans un cauchemar éveillé.
Maxime Chattam est un maître en la matière quand il s'agit de vous faire faire des crises d'angoisses.
Il faut dire que je me suis particulièrement retrouvé dans une des malheureuses victimes...

Le meilleur Chattam depuis La conjuration primitive ! Oui, je suis tellement contente que j'annonce la couleur tout de suite, au temps pour le suspens. Il faut dire que, ces dernières années, j'ai souvent eu du mal à adhérer tout à fait aux romans de l'auteur, y compris les thrillers. Il y avait toujours quelque chose qui me chiffonnait et j'étais invariablement un peu déçue. Pour une fois que ce n'est pas le cas, j'ai envie de le crier haut et fort, car j'ai vraiment eu l'impression de retrouver enfin l'un de mes auteurs préférés.

On retrouve Ludivine Vancker alors qu'elle s'apprête à changer de boulot. Enfin, pas complètement, elle est simplement mutée, à sa demande, au DSC, le département des sciences du comportement. Elle s'y trouve au moment où un véritable charnier est retrouvé au fond d'une mine dans l'Est de la France. Pas moins de dix-sept corps de femmes ! Bien sûr, ce qu'on attend d'elle, c'est qu'elle plonge au coeur de ses ténèbres personnelles pour aider à établir le profil du tueur, mais elle n'a jamais été si fragile. Après son enlèvement dans le tome précédent, elle est encore pour ainsi dire en rémission.

Dans La constance du prédateur, Maxime Chattam poursuit l'exploration d'un sujet qui lui tient à coeur : la naissance du Mal. On ne naît pas psychopathe, on le devient. Notre éducation et les événements de notre enfance sont parties prenantes du phénomène. Cela n'a jamais été aussi vrai que dans ce roman ! Je ne développerai pas pour ne pas vous spoiler, mais on atteint des sommets. Les scènes de crime sont décrites avec réalisme, comme d'habitude, et l'atmosphère pesante est encore décuplée par les lieux où se déroule le récit : des puits de mine, en principe fermés depuis des décennies.

L'intrigue est complexe et bien construite, pleine de surprises et de retournements de situation qui restent pourtant toujours crédibles. Si, par moments, j'ai fait ma maline en pensant avoir tout compris, ou au moins avoir trouvé une piste à laquelle les enquêteurs n'avaient pas pensé, je me suis pris les pieds dans le tapis, Maxime Chattam avait systématiquement un coup d'avance. Je n'ose imaginer par quels moments il est passé à l'écriture de ce livre, ça n'a pas dû être une partie de plaisir, même si cela en a été une de le lire, malgré certaines scènes difficiles.

J'ai dévoré ce roman, c'est bien simple. Je me suis complètement immergée dedans et j'avais de plus en plus de mal à le poser. J'ai lu le dernier tiers d'une seule traite et, si j'ai trouvé le final un poil rapide, j'ai vraiment passé un très bon moment. Avec l'indicible plaisir d'avoir retrouvé un ami perdu de vue depuis trop longtemps.
Lien : https://etemporel.blogspot.c..

❤️Mais quel plaisir de retrouver « le » Maxime Chattam dans sa version la plus aboutie à mon sens, celle qui nous raconte un pur polar bien ficelé, celle qui nous promet une descente aux enfers dans l'âme la plus noire de l'homme, celle d'un esprit torturé d'un tueur en série au summum de son art..

Il y a 20 ans Maxime nous offrait sa terrible Trilogie du mal..Il renoue avec ce qu'il fait de mieux, décortiquer les pensées noires, diaboliques, les plus perverses et abjectes d'un tueur en série!
Plus que jamais l'auteur se passionne pour l'essence du mal.
Pour traquer le monstre retour de Ludivine Vanckers qui travaille au Département des Sciences du Comportement. Une traque qui obsède, qui plonge dans l'impossible, qui bousille le psyché de nos enquêteurs tant l'horreur est innommable! Quand la version la plus obscure du mal sonne à votre porte et vous fait basculer dans la folie à l'abîme sans fond..

Maxime Chattam n'a pas ménagé ses efforts.
Plus d'un an de dur labeur pour nous « offrir » ce tueur en série, s'immiscer dans son esprit afin de créer un personnage au plus proche de la réalité.
Un exercice, malgré le défi intellectuel (Maxime en parle à la fin de son livre), qui n'est pas sans peine pour le psychisme de l'auteur..
Le récit sera à la hauteur de ses efforts; excellent, abouti, documenté et donc percutant! La plume est acide et acérée.

J'ai dévoré ce polar en l'espace de quelques heures.
Je me suis immergée dans l'enquête aux multiples rebondissements, le tout avec dans les oreilles les bandes sons conseillées par l'auteur. L'effet attendu était saisissant; j'y étais, je vibrais, mon coeur palpitait au rythme des mots et des images qui défilaient..Complètement immergée dans le récit, plus rien ne savait me détourner, j'ai adoré ces heures en apnée.
Petit conseil il faut absolument pour vivre l'expérience s'offrir le luxe de lire en un minimum de temps..

Bref mon âme de polardeuse fut comblée, d'autant plus que avec ce livre c'est le retour dans son art d'un maître du genre..pour les Chattamistes c'est du pain béni!!
Merci Maxime ! ❤️

Je me suis rendue compte que je commençait la série par le tome 4 après presque 100 pages de ce roman.

Et pour autant, j'ai dévoré ce livre en pratiquement une journée. Ce roman se lit tout aussi bien comme un one shot que comme le dernier tome d'une série ! Au contraire ! Je sais maintenant qu'il reste encore trois tomes (les premiers du coup) pour continuer à découvrir et parcourir cet univers, encore une fois, maîtrisé par Maxime Chattam.

Que ce soit la fantasy, le thriller historique, la science-fiction ou encore le thriller/policier, Maxime Chattam dévoile encore tout son talent dans ce roman où l'horreur contraste avec la force de l'écriture et une imagination hors norme.

Un vrai plaisir que j'ai dévoré d'un seul coup ! J'ai vraiment hâte de lire la suite (ou le début en l'occurence) de cette série, moi qui n'aime absolument pas les polars ou romans policiers/noirs !

 Un très bon Chattam, très efficace, qui remplit tous les cases du très bon thriller.
Souvent, et malheureusement, la réalité peut dépasser la fiction, tellement d'esprits malades peuplant le monde. Mais ici, Chattam va tellement loin avec son intrigue et la folie de certains de ses personnages est tellement poussée qu'on ne peut être que soulagé que cela ne soit que de la fiction et qu'il y ait peu de chance que Charon soit "surpassé".
Un très bon Chattam et j'espère retrouver Ludivine Vancker dans un 5ème roman de cette série.

Ludivine Vancker rejoint le Département des Sciences du Comportement. Dès son arrivée, elle est mise à contribution sur une affaire dans laquelle de nombreux cadavres ont été retrouvés au fond d'une mine abandonnée. La signature du tueur : une tête d'oiseau.

J'ai très vite été conquise par La constance du prédateur. La scène qui ouvre le prologue est excellente, et le premier chapitre met tout de suite dans l'ambiance. de plus, le roman, en plongeant le lecteur dans le travail des profileurs, apporte d'intéressants éléments sur la psychologie des tueurs en série. Certaines scènes sont très dures, sans ça Chattam ne serait pas Chattam, mais l'univers dans lequel évolue le tueur (les mines désaffectées) a quelque chose de fascinant. Comme toujours avec cet auteur, un roman très prenant et assez effrayant, pour le plus grand plaisir du lecteur.

Merci à Netgalley et aux éditions Pocket pour le service presse.
Laconstanceduprédateur #NetGalleyFrance

J'ai beaucoup aimé la Constance du prédateur de Maxime Chattam. Ce roman dont la trame générale paraît classique, peut-être même déjà lue ou vue, s'avère reussie par sa remarquable maîtrise du recit sans temps mort, un enchaînement graduel des découvertes macabres, jusqu'au dénouement, avec une montée croissante de la tension et du suspense. Il y a une épaisseur psychologique plutôt crédible, et l'art de berner le lecteur est parfaitement maîtrisé par l'auteur. le style est correct. Un thriller très abouti qui ne se moque pas du lecteur par des invraisemblances trop grotesques.

Un polar que j'ai adoré, dès le début l'auteur nous plonge directement dans l'horreur et met le lecteur dans l'ambiance.
Les scènes de crimes sont bien décrites et bien visuelles, il nous entraîne dans la noirceur de l'âme humaine.

C'est sombre, palpitant, prenant, la tension est présente jusqu'au bout et les multiples rebondissements ne nous laisse pas le temps de s'ennuyer un seul instant.
J'ai passé un très bon moment avec ce polar

Dans ce livre Maxime Chattam nous sert tout ce qu'il y a de plus noir dans l'âme humaine.
Âmes sensibles,s'abstenir…
L'horreur des crimes commis par Charon est insoutenable, on peut parfois se demander si Chattam ne va pas trop loin.
L'enquête est pour autant bien menée par Ludivine qui travaille au département des sciences du comportement, ses projections sont intéressantes et nous maintiennent en haleine. de plus les failles de son personnage ne la rende que d'autant plus intéressante.
En bref,un très bon thriller qu'on a du mal à lâcher

Voilà bien longtemps que je n'avais pas apprécié un Chattam. J'avoue que j'avais délaissé l'auteur après la lecture de la Trilogie du Mal. Ses ouvrages suivants me paraissaient insipides. le lecture de "La Constance du Mal" m'a littéralement happée, impossible de lâcher mon livre. D'une noirceur extrême, je me suis demandé à plusieurs reprise si j'avais bien fait d'entamer cette lecture. Mais c'était son compter sur le personnage de Ludivine ; c'est grâce à elle que j'ai pu tenir le coup. Une grande force de caractère et de persuasion.
Un Chattam à la hauteur.