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Le décor idyllique, la saison estivale, la piscine...tout était pourtant au rendez-vous pour ficeler une intrigue pleine de rebondissements !

Cependant, je suis réellement déçue par ce roman, reflétant pourtant les qualités littéraires de l'auteure qui sont indéniables.
Néanmoins, il ne se passe rien de palpitant. On y croit, on s'attend à un élément qui ferait décoller l'histoire et malheureusement, cela ne vient jamais.
Dommage...
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Ce roman est court et vite lu: voilà pour le positif.
Sinon, il n'y a pas d'histoire, l'auteure n'ayant pas réussi à trancher entre suspense (ce que laissait présager la 4ème de couverture, mais en réalité inexistant), remise en question personnelle, crise de couple, ésotérisme (statues hindoues) , érotisme..... Même remarque en ce qui concerne le style qui oscille constamment entre platitude et grandiloquence.
J'ai l'impression que cette auteure se cherche encore.
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Il s'agit d'un petit livre qui permet de passer un agréable moment de détente, mais il m'a laissé sur ma faim. C'est un roman qui avance lentement, il n'y a pas d'action. L'auteur aborde la vie de couple, le rapport au travail. L'histoire est intéressante, mais elle reste superficielle. Les personnages manquent de profondeur.
[...]
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Lien : https://www.aupresdeslivres...
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La côte d'azur: ses villas de luxe, ses piscines bordées de dalles claires,ses pins parasols aux troncs fuselés, ses palmiers légendaires , ses pelouses impeccables, sa chaleur écrasante,........
Grégoire Delgado, conseiller bancaire à l'agence LCL de la rue d'Antibes et sa femme Melissa, ostéopathe, adepte des ouvrages de développement personnel, emménagent dans une villa somptueuse au sein d'une résidence privée qui domine le massif de l'Esterel .
Ils ont un petit garçon Clément , âgé de quatre ans .......
Mais un danger se tapit dans un air étouffant .......gorgé de brume de chaleur , Au milieu du parc, la piscine attendait . ........
Les anciens propriétaires ont vendu cette maison car leur petit garçon s'y est noyé l'an dernier .
Greg ne l'a pas dit à Mélissa .
Est- elle dupe ?
N'a - t- elle pas elle aussi certaines choses à cacher ?
Je n'en dirai pas plus .
L'ambiance est étrange, pesante ,exhale un malaise diffus , le rythme très lent , nonchalant comme si la chaleur ralentissait l'action ........
L'écriture est vraiment belle, douce, fluide, très colorée, pétrie d'images de lumière, de transparences .
Les contrastes bien choisis abondent : entre la chaleur intense de la côte d'azur, la nonchalance étudiée, magnifiée,le ciel liquide, les eaux éblouissantes comme nimbées de nacre des piscines transparentes , la délicate lumière dorée qui poudrait les rosiers et l'ombre obscure des cyprès , la fraîcheur que l'on cherche , le parfum du jasmin et les grands pins parasols .........
L'auteur excelle dans les descriptions poétiques , chacun cherche son plaisir ou son intérêt dans la chaleur caniculaire ........
J'ai été un peu déçue par les errances mentales de Melissa, le manque de profondeur et de matière des personnages (ils me semblent un peu stéréotypés ) , il n'y a pas de coup de théâtre , la fin est plate.
La lecture est tout de même très agréable !
Je ne connais pas l'auteur, on m'a prêté ce livre .
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La tension monte, page après page. Elle repose sur une ambiance particulière, dans la canicule de cet été cannois qui n'offrira en fin d'été qu'incendies et désolation, et sur les non-dits et les pseudos secrets qui minent les relations, les font basculer du côté du dépit et les rapprochent inexorablement de la rupture.
La narration restitue à merveille cette pesanteur de l'été, quand pas un brin d'air ne passe, quand l'orage couve et que les drames surviennent.
Parce que tout est drame dans ce roman qui parfois flirte avec le polar, instillant son climat crispé, étouffant. Un enfant mort dans une piscine, des idées d'adultère, de transgression, un brin de climat "mafieux" et des amours surgies du passé.
Tout est signe pour Mélissa, hyper sensible, tout peut devenir le catalyseur d'un malaise ou d'une angoisse : une statuette brisée, un baiser volé ou l'ombre d'une vieille femme puissante.
J'ai beaucoup aimé ce roman, pour son ambiance d'abord, de plus en plus délétère, pour la montée en tension, pour les portraits dessinés (j'y ai reconnu les traits de certaines personnes que j'ai pu côtoyer) et si je n'avais pas été si pressée de le lire, j'aurais sans doute plus apprécier de le lire au bord de la piscine cet été.
Je vais essayer de trouver Sangliers, le roman que Myriam Chirousse a publié en 2016. J'ai aimé l'écriture et le ton de l'auteur, et j'espère que ça me séduira autant !
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Un éditeur dont j'apprécie généralement les publications originales, le plus souvent et une auteure que je ne connaissais pas, cette Masse Critique m'a tout de suite séduit et la lecture de ce roman s'est fait facilement et la fluidité de ce récit m'a bien plu. L'acquisition d'une nouvelle maison avec piscine dans l'arrière pays est l'occasion pour Myriam Chirousse de dresser une galerie de portraits assez convaincante entre Greg, jeune employé de banque ambitieux mais sans les moyens de cette ambition, son épouse très sensible aux ambiances et à l'histoire des lieux; leur jeune fils et toute une petite société de co propriétaires plus ou moins fortunés constituant une communauté assez fermée autour du Clos des Collines, le nouveau lieu de résidence de Greg, Mélissa et de Clément leur jeune fils.  Tout cela pourrait constituer un petit ensemble de chroniques bucoliques sans prétention mais c'est sans compter le drame qui a marqué la maison achetée pour une bouchée de pain par le biais d'un agent immobilier peu scrupuleux (aux motivations peut-être un peu suspectes), par ailleurs familier du couple mais aussi ancien petit ami de Mélissa et que Clément veut taire.

Ce récit de 190 pages va donc nous permettre de mettre à jour les non-dits de ce couple, la relative hyprocrisie de cette communauté, les secrets ou histoires de nos deux protagonistes comme de leur passé et leur nouvelle vie. Un monde bâti sur une omission, des histoires personnelles intimes tûes peut-il y survivre ? Un bon moment de détente et un livre bien écrit.
Lien : http://passiondelecteur.over..
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Tout d'abord, merci à Babelio et aux éditions Buchet-Chastel pour cet envoi.

Je sors confuse et très mitigée de cette lecture, dès les premières pages, un climat étrange s'installe on ne sait pas où l'auteur souhaite nous emmener. Je pense être passée complètement à côté de l'histoire. Pourtant, elle se lit plutôt bien, on découvre un couple, Grégoire et Mélissa. Ils sont sur le point d'acquérir une maison où un drame s'est produit.

Le mari est au courant de l'événement tragique qui s'est déroulé dans la piscine, mais il décide de ne rien dire à sa compagne. Et, bizarrement elle sent qu'on lui cache quelque chose, il y a comme une ombre au tableau. Néanmoins, ils sont heureux et parents d'un petit Clément.

Mélissa, est une femme ayant deux visages, on a l'impression qu'elle vit dans un monde parallèle et en même temps elle est très forte. Elle ne va rien lâcher et grâce à son métier d'ostéopathe elle va faire plus ample connaissance avec les femmes du quartier, notamment Édith. Cette dernière est le pilier de ce quartier résidentiel. Cette maison est implantée dans un quartier qui semble être en vase clos et au fur et à mesure des pages on se rend compte que les apparences ne sont pas trompeuses...

J'attendais peut-être plus de ce roman, la lecture était peut-être un peu trop rapide. Et je n'ai pas compris le personnage de Mélissa. de plus, j'ai eu l' impression d'être dans un film de François Ozon, comme le film dans la maison, un scénario qui m'avait malheureusement mis mal à l'aise...
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Employé de banque, Greg Delgado qui rêve de se faire appeler Grégoire, question de standing, ne réfléchit pas longtemps à la proposition de son ami, un cador de l'immobilier : une magnifique villa à un prix dérisoire dans une résidence de luxe avec piscine. Une opportunité inespérée que la mort par noyade d'un enfant, dans cette même piscine, ne doit surtout pas ruiner ! Il omet donc de parler de ce « petit détail » à sa femme, Mélissa, lors de la visite de la maison et il ne lui en parle pas plus lors de son achat. Un mensonge qui va déclencher l'engrenage d'une machine infernale que Greg n'a pas conscience d'avoir amorcé.

Une ombre au tableau, c'est l'histoire d'un homme ambitieux qui, par peur de connaître les difficultés financières de son enfance, est prêt à beaucoup pour réussir, et même à fermer les yeux sur des vérités dérangeantes. C'est aussi l'histoire d'un couple qui s'en sort bien dans la vie, mais qui va faire son entrée dans la cour des grands, dans un monde où tout semble beau et luxueux, dans un monde où tout paraît couler de source et dans lequel il semble presque difficile de ne pas se noyer…

Pourtant, Mélissa résiste, à sa manière, mais elle résiste quand même. Devant la beauté du bleu profond de la piscine de la résidence, un malaise s'empare d'elle… La maison est belle, mais quelque chose ne va pas ! Elle ne saurait expliquer cette impression que tel un serpent, le danger se profile discrètement et menace son équilibre. Elle le ressent au fond d'elle-même, de ses tripes, et même ses conversations imaginaires avec des statues de divinités indiennes lui confirment ce qu'elle essaie pourtant de taire.

Mélissa n'est pas une illuminée, mais plus on apprend à la connaître à travers les réminiscences de son passé, plus on perçoit chez elle un sens aigu de l'observation, mais surtout de la perception. Ostéopathe de métier, le toucher est sa spécialité, mais elle lui donne une tout autre dimension par sa capacité à saisir au vol des informations qui ne seraient pas accessibles au commun des mortels. Alors, en plus de toucher les corps, elle est aussi capable de percevoir des fragments d'âme et d'effleurer du bout des doigts ces secrets qui s'échappent à leur insu des individus. Une capacité qui peut se révéler une malédiction quand elle essaie de briser les carapaces, à commencer par la sienne.

Depuis qu'elle habite dans cette résidence de luxe qui s'apparente de plus en plus à une cage dorée, Mélissa change. Cette femme que son mari décrivait comme positive et facile à vivre, commence à se fêler, à s'interroger sur sa vie actuelle et sur sa relation avec son mari, à faire défiler des bribes de sa vie passée… Et à accepter que finalement, tout ne va pas bien. Sa vie n'a pas pris la tournure que la jeune idéale qu'elle fut avait imaginée… Mère d'un petit Clément et épouse d'un mari employé de banque, sa vie s'est progressivement enracinée dans un quotidien que la chaleur étouffante de l'été rend presque palpable.

Une grande partie de l'intrigue est basée sur Mélissa, une femme intelligente qui semble parfois basculer dans l'irréel. Est-ce pour cette raison qu'il se dégage une telle poésie de la plume de Myriam Chirousse ? Amatrice de belles plumes, j'ai, en effet, été complètement subjuguée par la capacité de l'auteure à nous offrir, à travers un vocable riche et de nombreuses métaphores, de très belles images. Celles-ci prennent vie sous nos yeux nous permettant ainsi une immersion totale dans l'intrigue. L'auteure joue habilement avec les mots, les contrastes, les non-dits comme si elle soulignait que tout ce qui brille n'est pas d'or et que la beauté et le luxe peuvent cacher des choses beaucoup plus sombres. On oscille donc souvent entre ombre et lumière, entre euphorie et malaise, entre plénitude et vacuité… Je me permettrai d'ailleurs de citer un passage que vous trouverez en quatrième de couverture et qui illustre assez bien cette impression de dualité :

« Une obscurité nacrée baignait le parc, lui conférant un aspect inquiétant et mystérieux, plus authentique aussi, comme si la nuit avait le pouvoir de révéler le vrai visage des choses. La pelouse avait le bleu foncé des mers australes et tout le reste était noir, les grands pins, les bosquets, les haies. Noir aussi le prunier en fleurs du printemps, dont tous les fruits avaient été mangés par les oiseaux et les vers. Seule la margelle de la piscine traçait dans l'ombre un ovale lactescent, au milieu duquel l'eau étalait son vif-argent. »

De la plume de l'auteure, se dégage également une certaine sensualité que ce soit à travers la découverte des corps en maillots de bain, les séances de massage pour faire pénétrer l'huile de coco, les quelques ébats toujours suggérés jamais rendus vulgaires, la chaleur étouffante de l'été et des braises, les images parfois sensuelles que l'on ne peut s'empêcher d'imaginer à la lecture de certains passages… Cette sensualité finit par se confondre avec l'ambiance étouffante du roman. En plein été sur la Côté d'Azur, le soleil frappe aveuglément, mais ce n'est pas cet astre qui donne ce sentiment que plus on avance dans l'intrigue, plus l'ambiance devient étouffante et écrasante. Cela provient de la narration mise en place par l'autrice et qui, telle une pieuvre, déploie progressivement ses tentacules. Comme Mélissa, on finit par ressentir un certain malaise et on se demande de quel côté la foudre va finir par s'abattre. Et d'ailleurs, quelle forme prendra-t-elle ? Celle d'une épouse révoltée par le mensonge de son époux, celle d'une femme qui a fait le point sur sa vie et qui pourrait avoir envie de la remodeler, celle d'un homme qui s'est laissé entraîner par une décision qui le dépasse, celle d'un amant oublié qui ne l'est pas tant que ça ou celle d'une voisine omnisciente et omnipotente ?

Tout autant de questions qui vous pousseront à tourner les pages les unes après les autres avec ce sentiment d'anxiété mêlé d'urgence qui rend cette lecture complètement immersive et prenante.

Pour conclure, Une ombre au tableau est un roman qui joue sans complexe ni états d'âme avec la vérité et ses vaporeux contours. Derrière le tableau idyllique d'une famille s'installant dans une riche résidence, ce sont les doutes, les faux-semblants et tous ses arrangements (petits ou grands) avec la vérité et les désirs les plus profonds de ses personnages que l'auteure expose. Un roman à l'ambiance étouffante et à la poésie enchanteresse que vous ne pourrez que lire d'une traite en espérant que la foudre ne s'abatte pas à votre propre. Car finalement, Mélissa et Greg sont-ils les seuls à avoir dessiné eux-mêmes les contours de leur prison ?

Everything comes with a price…
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Au premier abord, ce roman rappelle le type d'atmosphère propre à Laura Kasiskhe.

Il est agréable de suivre l'installation de ce couple dans sa nouvelle vie. L'auteure a une très belle plume et nous plonge dans une ambiance particulière et marquante.

Toutefois je suis ressortie un peu déçue de ma lecture. J'ai eu un sentiment d'inachevé : les thèmes abordés sont nombreux mais ne me semblent pas réellement exploités : relations de couple, de voisinage, lieux habités, hypersensibilité, regrets de jeunesse, mafia…

Sur la forme, comptez sur des descriptions très (trop) fréquentes, des paysages et des ressentis de Mélissa. Myriam Chirousse a d'ailleurs un goût prononcé pour les comparaisons. Cette surenchère a fait que je me suis parfois perdue dans les errances mentales de Mélissa.

Finalement, il y a peu d'action et le rythme est plutôt lent. Mon imagination m'avait embarquée plus loin que ne l'a fait l'auteur, d'où une déception pour ma part.
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En deux pages, c'est plié : un soir d'été, sur les hauteurs de Cannes, alors que les invités à une garden-party dégustent une coupe de champagne en parlant de choses et d'autres, un gamin de trois ans tombe discrètement dans la piscine. Personne ne le voit ni ne l'entend. Les bulles de champagne continuent de claquer contre les palais, les petits fours fondent sur les langues tandis qu'un petit air frais adoucit délicatement l'atmosphère. Un vrai paradis… avant l'enfer.
Très vite la maison est mise en vente et en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, elle est vendue. La raison ? Un prix inférieur à celui du marché…
Grégoire Delgado, Greg pour les intimes, employé de banque, déjeune justement avec un client, Stéphane Ogier, agent immobilier. C'est lui qui lui propose la maison de ses rêves dans une résidence privée. Une affaire incroyable et qui va se vendre comme un p'tit pain sortant du four. Bien sûr, il y a l'histoire du môme noyé mais bon, et alors ? On ne va pas en faire tout un plat ! Pour Greg, pas de problème, il a une revanche sociale à prendre et la montre un peu chère qu'il arbore ostensiblement à son poignet, ce n'est pas suffisant.
Donc pour lui, cette histoire de noyade, c'est du passé, en revanche il ne faut pas que sa femme le sache. En effet, Melissa, ostéopathe, est plutôt du genre à sentir les choses, les ondes positives et négatives, si vous voyez ce que je veux dire. Les énergies qui circulent ou pas. Feng shui et compagnie... Elle a voyagé en Inde, est à l'écoute de son corps et de celui des autres, aime le yoga et la méditation. Alors lui avouer qu'un enfant s'est noyé dans la piscine revient tout bonnement à renoncer à ce projet. D'autant qu'un enfant, justement, ils en ont un et... il a précisément l'âge de celui qui s'est noyé…
Inutile de vous dire que vous n'êtes pas près de poser ce thriller psychologique dont l'atmosphère particulièrement étouffante vous saisira à la gorge. Car très vite, on sent, comme le dit un des personnages, qu'il y a un loup dans la bergerie. Melissa mesure chaque jour, tétanisée, son angoisse galopante et se sent vite prisonnière de sa jolie prison dorée. Mais le danger vient-il forcément d'où on l'attend ?
Entre l'installation dans la nouvelle maison, la découverte des nouveaux voisins, la chaleur de cet été caniculaire et les incendies qui font rage sur les hauteurs de Cannes, le couple Delgado n'est pas au bout de ses peines… Un monde nouveau s'offre à eux, un monde de champagne, de jacuzzi, de homards et… de piscine…
Le bonheur ?
Tout dépend de la façon dont on voit les choses… le soleil a ses zones d'ombre… Encore faut-il ne pas être trop aveuglé...
L'atmosphère pesante et malsaine de ce roman est particulièrement bien rendue par l'écriture ciselée de Myriam Chirousse. Sa construction, tel un trompe-l'oeil, égare, surprend et plonge dans le doute un lecteur qui finalement ne se trouvait pas si mal au bord de la piscine. Pas facile d'être jeté hors de sa zone de confort… Mais l'on y fait de belles découvertes et ce roman en est une, à n'en pas douter !
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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