D'encre de verre et d'acier, tome 1

Au début l'histoire est captivante mais au milieu j'ai eu l'impression que ça manquait de panache comme si l'histoire s'essoufflait, perdait de sa contenance.
Je lirai pas la suite trop lassant.

Comme l'an passé, je continue sur ma lancée et me suis fixée comme objectif de lire les reliques de ma PAL. C'est donc sur D'encre, de verre et d'acier que votre choix s'est porté il y a quelques jours lorsque je vous ai posé la question en story. Je l'ai donc enfin découvert ! Mais comme on dit, mieux vaut tard, que jamais.

Avant de vous parler de mon ressenti, quelques mots sur l'histoire. Nous embarquons pour un univers dans lequel l'encre et le papier peuvent créer un monde. On appelle ces personnes, les scriptologue. La mère d'Elsa, Jumi, en est une. Et c'est la disparition de celle-ci qui va provoquer une avalanche d'événements en chaine et révélée de lourds secrets. Pour sauver sa mère, Elsa va devoir s'allier à des humains et autant dire que la chose ne sera pas aisée.

Lorsque j'ai commencé ma lecture j'étais assez enthousiaste à l'idée de découvrir cette univers. de l'encre, du papier et un nouveau monde à portée de main, franchement c'est intriguant. Et puis, cette couverture en met clairement plein les yeux. Toutefois, j'ai rapidement déchanté car l'entrée dans l'univers n'est pas sans difficulté, pourtant, nous sommes sur du Young Adult. A mes yeux, l'autrice nous plonge sans vraiment d'explications ni description. J'ai eu du mal à m'imaginer les décors, l'ambiance et surtout y trouver mon compte. J'avais la sensation de rester extérieure à l'histoire ce qui est franchement dommage comme entrée en matière. Et j'avoue que la plume de l'autrice, ou sa traduction, m'ont paru brouillonne. Cela manquait de fluidité et de rythme. J'avais l'impression de ne pas avancer.

Côté personnages, là aussi je suis restée assez mitigée. Elsa (tout du long je voyais la Reine des neiges...) est une héroine qui aurait pu me plaire si elle n'était pas si hautaine et une Madame-je-sais-tout. Alors oui, elle peut être qualifiée de génie, a de grandes capacités et est destinée à faire de grandes choses mais est-elle obligée de faire sentir à tout le monde qu'elle est supérieure et même aux gens qui sont aussi intelligents qu'elle ? Non parce que ces réponses et son comportement donnaient clairement envie de lui donner des baffes. Pète un coup, ça ira mieux mademoiselle. du coup, dans ces conditions il est difficile de se mettre véritablement dans l'histoire avec une héroïne aussi antipathique. Pourtant, elle était prometteuse et j'aime assez l'idée d'avoir une héroïne intelligente et avec ses talents. Mais je n'ai malheureusement pas réussi à m'attacher à elle.

A ses côtés, quelques personnages, et notamment de son âge qu'elle va rencontrer au sein de Casa, cette IA qui fait office de maison et refuge pour Elsa. On notera que l'intelligence artificielle était plutôt chouette et avec son humour bien à elle, ce qui apportait un peu de légèreté à l'histoire. Bref, ses compagnons de route étaient, sympa mais franchement, ils n'ont pas spécialement briller à mes yeux. Nous avons Portzia la bonne copine, Leo le love-interest assez mystérieux et Faraz qui... fait office de 5ème roue du carrosse ? Ca aurait pu être une belle équipe si ils n'étaient pas aussi immatures les uns que les autres. D'ailleurs, niveau comportement, je me suis demandée s'ils n'étaient pas plus jeunes que ce qu'on laisse penser. D'ailleurs, ils sont souvent qualifiés d'enfants au sein de Casa. Et on en parle de ces adultes responsables qui se reposent entièrement sur des ados ? On dépose Elsa dans un refuge, pour disparaitre ensuite et partir du principe quelle va rester sagement où elle est avant de lui faire passer un savon. Hum.

La romance, bien que pas tellement présente est assez prévisible. Dans le sens où, Elsa prend en grippe Leo. Clairement, j'avais envie de lui dire : sérieusement ? Tu en fais pas un peu trop ? Donc on pourrait penser qu'on part sur un bon Ennemies-to-lovers mais... franchement à ras des pâquerettes. Car ça souffle le chaud et le froid sans grande conviction et les sentiments débarquent un peu trop de façon abrupte, pour repartir aussi sec. Dommage car ça aurait pu sauver les meubles, mais cette histoire d'amour naissante n'a malheureusement pas réussi à me séduire.

Niveau suspense, rebondissements et action, c'était pas non plus ça. Franchement, plus j'avançais et moins j'aimais. Quoique, la révélation finale relevait un peu l'intrigue et donnait presque envie de poursuivre avec le second tome mais, pas suffisamment pour me faire oublier ce long passage dans le désert qu'à été cette lecture. Quel dommage pour un univers si prometteur... Mais cette histoire m'a paru trop brouillonne et manquait vraiment de descriptions pour me plaire.

En conclusion, je tiens ici ma première déception de l'année 2023. Je suis déçue, bien sur, j'aurais aimé accroché plus à l'histoire et aux personnages mais ça n'a pas fonctionné sur moi.
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C'est encore un genre dont je n'ai pas l'habitude. C'est entre l'uchronie et l'univers steampunk. le résumer est assez compliqué ! On suit Elsa qui fait parti d'un monde qui a été créé de A à Z avec de l'encre et du papier. Seulement, son monde va être totalement ébranlé quand sa mère va être kidnappé avec le livre source de ce monde. Elsa arrive dans l'Italie, la vrai en pleins conflit secrets avec ceux qui viennent de son monde. Elle va donc partir à la recherche de sa mère avec des alliés inespérés !
Mon avis est assez mitigé. J'ai eu du mal au début. N'étant pas habitué à ce style, j'étais perdue. Les personnages ne m'ont pas transcendé : je les ai bien aimé mais je n'avais pas ce coup de coeur qui me fait chavirer.
Mais au fur et à mesure, j'ai apprécié ce monde basé sur l'écriture. La recherche allait beaucoup plus loin qu'un jeu de piste avec des complots dans tous les sens.

L'aventure se déroule dans une Italie du XIXème siècle (ce qui n'est malheureusement pas écrit dans le résumé du livre et surprend à la lecture), non encore unifié. L'auteure, Gwendolyn Clare, a réécrit le passé pour y placer son histoire et son univers qui sont pourtant sympathiques. On va suivre Elsa, une jeune fille issue d'un monde créé de toute pièce, Veldana, mais conçu en étant vierge de population au départ par scriptologie. Jumi, la mère de cette demoiselle se fait kidnapper dès le début du livre, et la quête d'Elsa est donc de retrouver ses ravisseurs. Pour cela, elle doit rejoindre le monde réel, la Terre, et tenter de s'insérer dans un monde dont elle ne connaît pas les us et coutumes. Elle ira tout d'abord rejoindre le mentor de sa mère à Amsterdam, Alek de Vries, puis rejoindra un orphelinat en Italie, composé de jeunes gens comme elle, des aliénés atteint de folie : sous-entendu ici des personnes capables de maîtriser soit la scriptologie, l'alchimie ou la mécanique.

L'histoire est plutôt intrigante car on découvre au travers des yeux d'Elsa, l'Italie du XIXème siècle, en proie à une guerre gestante pour laquelle on dispose d'informations à la fin du livre dans la note de l'auteure. Au départ très égoïste et souhaitant se débrouiller seule pour retrouver sa mère, la Veldanienne va rapidement comprendre qu'avec de l'aide, sa tâche sera plus rapide et facile : Leo, Porzia et Faraz, chacun ayant comme discipline respective la mécanique, la scriptologie et l'alchimie. Tous les quatre, ils vont reconstituer le puzzle sur la raison de l'enlèvement de Jumi.

L'univers est intrigant car c'est une époque que je ne connais pas. L'auteure a réécrit certains éléments du passé pour y placer son histoire. Une Italie non unifiée et une politique relativement peu stable, détestant les aliénés.

Au début, Elsa da Veldana, le personnage principal, m'a horripilé, car elle avait une foi aveugle en sa mère, et ne jurait que par Veldana. Pour autant, au contact des autres personnages, elle s'aperçoit que les Terriens ne se considèrent pas tous supérieurs à elle car étant le fruit d'un univers scripté. Porzia, la scriptologue chargée de la gestion de l'orphelinat en l'absence de sa mère, est excessivement arrogante, ce qui évoluera par la suite, car elle devient rapidement l'amie d'Elsa. Leo et Faraz sont très proches, et alors que l'un est très nerveux, l'autre est l'image même du calme. J'ai trouvé les personnages très stéréotypés, mais le tout fonctionne plutôt bien.

J'ai trouvé les premières 200 pages très longues, surtout dans les tergiversations d'Elsa. Elle souhaite coûte que coûte retrouver sa mère, le plus rapidement possible mais sans l'aide de personne. Pour autant, elle préfère la solitude et avance à une lenteur d'escargot dans ses recherches, jusqu'à ce qu'elle se confie à Leo, Faraz et Porzia. Cela ne m'a pas empêché d'avoir l'impression de tourner en rond. Les liens qui se tissent entre les personnages s'effectuent trop rapidement à mon goût. de même, les univers que l'on visite sont extrêmement rares, ce que j'ai trouvé dommage. La fin du livre m'a surprise car elle n'était pas prévisible et présage une suite encore plus intéressante !

En bref
Un premier tome surprenant, un univers intéressant bien qu'un peu long à se mettre en place !
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Malgré une couverture et un résumé qui me faisaient rêver, je sors de cette lecture assez mitigée. J'ai eu du mal à accrocher à ce livre et je pense que je ne lirai malheureusement pas le tome 2. En effet, l'histoire m'a paru un peu fade, peu rythmée et avec des passages très longs. Les personnages sont trop ''parfaits'', j'ai trouvé qu'Elsa était lisse et sans goût. Léo a un peu plus de caractère mais ne redresse pas assez le niveau. C'est dommage car l'intrigue était intéressante et aurait pu donner beaucoup de choses sympas...

Je n'ai pas du tout aimé ce livre malgré une idée de base vraiment intéressante et originale. J'ai trouvé les personnages fades, le scénario cousu de fils blancs et tellement prévisible... Vraiment dommage

C'est un très beau livre, la couverture est magnifique, comme toujours quand on parle de Lumen !
Le résumé m'intriguait beaucoup, et j'ai vite voulu découvrir cet univers où l'on peut créer des mondes avec de l'encre et du papier.
J'ai néanmoins eu un peu de mal avec le début du roman, j'ai trouvé que l'intrigue prenait un peu trop son temps après que Elsa soit arrivée à l'orphelinat... mais ce n'était l'histoire que de quelques chapitres, car très vites, j'ai été happée par les événements et les personnages !
Elsa est un personnage très intéressant : elle ne connaît presque rien aux coutumes et aux habitudes terrestres, et elle remet en questions des choses qui nous paraissent normales, avec un détachement comique et prêtant à la réflexion. Je l'ai trouvé très humaine, entre son attachement profond à sa mère, ses sentiments refoulés, son autonomie. La romance qui est développée entre elle et un autre personnage (un peu évident dès le début !) est très bien faite : la relation prend son temps, n'est pas brusque et c'est adorable de les voir se disputer ou se confier.
Les autres personnages secondaires ont eu aussi leur propre caractère, façon de parler, et leur présence est un gros plus. J'aime beaucoup Porzia !
L'intrigue est aussi bien menée, même si dans la première moitié du roman, j'avais l'impression que ? Avançait à l'aveugle. Tout s'enchaîne très vite dans le dernier quart, entre révélations, bouleversements, et cette fin qui met sens dessus dessous les sentiments de notre héroïne.
En conclusion, c'était une très bonne lecture, même si ce n'est pas un coup de coeur !
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Une lecture mitigée...
D'abord attirée par cette magnifique couverture et les critique et même si le résumé me tentait énormément, j'avais un peu peur début de ma lecture car je ne suis pas très fan des romans qui détournent des personnages célèbres dans une oeuvre fictive...
Néanmoins, j'ai voulu tenter cette lecture. L'histoire s'est révélée longue à se mettre en place. Mais les événements s'enchaînent ensuite à un rythme effréné.
Une histoire assez originale, une uchronie intéressante; le système narratif est plutôt bien pensé : en effet, c'est un livre qui donne vie à des êtres humains et crée des mondes.
Quant aux personnages? J'ai trouvé l'héroïne bien trop têtue, ralentissant parfois le rythme de l'histoire. Mais son pouvoir est plus qu'intéressant. Mais je n'en dis pas plus car il se dévoile au fur et à mesure de ce premier tome.
Enfin, le final de ce premier roman accélère le rythme et nous donne vraiment envie de connaître la suite.

Livre passionnant je conseille fortement intrigue et personnage bien travailler.

J'étais très intriguée par ce roman. J'ai été très déçue par ma lecture. je me suis forcée à finir, car j'avais toujours espoir que cela s'améliore. Mais ça n'a pas marché pour moi.
Déjà, les personnages. Je les ai trouvé sans fond, sans réelle personnalité. Leurs comportements ne me semblaient pas vraiment naturels, comme s'ils étaient des robots. J'ai aussi eu du mal à déterminer leur âge. Je pense que les personnages principaux sont des adolescents, entre 16 et 18 ans je dirais. Pourtant, j'avais l'impression d'avoir à faire à des gamins de 12 ans, car les réactions étaient très immatures à mes yeux, tout comme leur façon de parler. Ce qui n'aidait donc pas non plus à prendre l'histoire au sérieux ! Les relations entre les personnages aussi me donnaient cette sensation de très jeune âge, et elles ne me semblaient pas naturelles, plutôt forcées, que ce soit les relations amoureuses, amicales, ou familiales.
Ensuite, j'ai trouvé l'intrigue plutôt ennuyeuse. Il n'y a pas tant de choses qui se passent je trouve, et au final les quelques challenges se résolvent très, voir trop, facilement. Il y a quelques petites surprises mais qui au final peuvent être prévues si l'on prend le temps d'y réfléchir. J'ai bien aimé être dans l'Europe de la fin du 19ème siècle, mais j'ai trouvé que les façons de parler et les objets et comportements n'étaient pas appropriés à cette époque-ci.
Je n'ai pas vraiment accroché à l'écriture. Je ne suis pas rentrée dans l'univers. Elle ne m'a pas fait ressentir quoi que ce soit. Et j'ai trouvé que certaines phrases ne faisaient pas sens, qu'il y avait des erreurs !
En bref, je n'ai pas spécialement apprécié ma lecture, que j'ai trouvé sans profondeur et molle. Je n'ai pas hais ma lecture non plus, mais je ne lirais pas la suite.