Posons-nous la question, dans chacun de nos gestes quotidiens ou dans notre parcours professionnel, de l'impact que nous pouvons avoir. Reconnectons-nous à l'essentiel, à ce qui nous permet de vivre sur cette planète.
Dans certains pays d'Afrique, le braconnage permet à des hommes de se nourrir ou d'augmenter leur niveau de vi. Chez nous, il s'agit simplement de soigner l'ego blessé de quelques chasseurs.
Je veux laisser une empreinte sur cette planète, pas une cicatrice.
Je veux laisser une empreinte sur cette planète, pas une cicatrice.
Dans certains pays d'Afrique, le braconnage permet à des hommes de se nourrir ou d'augmenter leur niveau de vie. Chez nous, il s'agit simplement de soigner l'ego blessé de quelques chasseurs.
Dans certains pays d'Afrique, le braconnage permet à des hommes de se nourrir ou d'augmenter leur niveau de vie. Chez nous, il s'agit simplement de soigner l'égo blessé de quelques chasseurs.
Désolé, je suis émue, parce qu'on est là-dedans tous ensemble, poursuit-elle, la voix tremblante. Je sais que chez les jeunes, il y a désormais ce qu'on appelle l'éco-anxiété. J'ai bientôt soixante ans, et c'est difficile d'entendre cela, de savoir que nous laissons un monde où des adolescents ressentent du désespoir et de l'impuissance face à la situation climatique.
Depuis 1989, la France a vu mourir un tiers des oiseaux vivant en milieu agricole et les populations d'insectes européens ont chuté d'environ 80%.les choses vont si vite que nous pouvons les constater de nos propres yeux. Au terme d'un long trajet à travers le pays, le pare-brise de la voiture est souvent impeccable.
Nous savons qu'un tiers des hommes pourrait vivre d'ici 50 ans dans les zones aussi chaudes que le Sahara aujourd'hui. Nous savons que la Terre comptera au moins 250 millions de réfugiés climatiques en 2050.
(p. 10)
Certes, la victoire n’est pas certaine, mais l’engagement collectif peut nous y mener. Et quand je regarde mes filles me sourire, je suis sûr d’une chose : cette bataille vaut la peine d’être menée.