dès les premières pages, j'ai un peu de mal, pas par rapport à l'histoire mais à l'anglais ! En fait, c'est très vernaculaire. Vic Navarro parle juste comme une meuf de 18 ans des States, ce qui est cool d'ailleurs car ça rend le récit plus réaliste mais du coup, j'sais pas, il y avait quelques mots et tournures dont j'avais du mal à saisir le sens. Finalement, on s'y fait et j'ai rajouté pleins de mots à mon vocabulaire. Je cherche toujours ce que veut dire RASmatazz, en revanche. C'est quoi encore comme saveur, ça ?
On nous présente donc assez vite les BFFs de Vic aka la Cuddle Huddle team qui, ma foi, pour des meufs de 18 ans m'ont plutôt paru 13. Vic est quand même assez limitée. Miss Ann Thrope — une de ses professeurs et son ennemie juré — ne lui a pas validé la matière car apparemment, elle la déteste et déteste aussi toute sa famille. Donc, notre chère Vic s'est retrouvée recalée aux admissions de la business school qu'elle voulait intégrer mais ne s'est-elle juste pas dit qu'elle n'avait pas le niveau ? Elle est totalement immature. Et ses copines Fletch et Slick sont absolument tous sauf des meilleurs amies. de même, la façon dont Vic les enferme dans des cases est bizarre, elle n'est pas une bonne amie non plus. La relation qu'elle a avec Fletch est cheloue : pourquoi elle se rabaisse autant face à elle ? du reste, Fletch qui vient de la misère de l'Afrique et dont l'Afrique, je cite, est sa « birth nation » a eu le don de me faire lever les yeux au ciel. L'Afrique est un continent avec pleins de pays et donc pleins de nations. Les Américains ont vraiment un problème avec l'Afrique et sa représentation. Y'a pas que la zermi là-bas hein. Puis la matrix de vouloir s'y rendre pour sauver des petits Africains. Restez à New York, Dallas, Chicago, Boston, c'est mieux. Les p'tits africains n'ont pas besoin de vous, merci.
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