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Doggybags tome 9 sur 17
EAN : 9782359108637
120 pages
Ankama Editions (19/02/2016)
3.79/5   17 notes
Résumé :
Plus brutal qu'un coup de fusil à pompe en pleine tête et plus vicieux qu'un arrachage de dent à la pince-monseigneur, DoggyBags est un hommage aux pulps et aux comics d'horreur des années 1950 qui ne fait pas dans la dentelle : les chromes rugissent, les calibres crachent et l'hémoglobine coule à flots dans la joie et la mauvaise humeur. Sortez vos p'tits sacs pour toutous, parce qu'il va y avoir de la viande en rab !
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Dans ce "Doggybags" dont j'attribue la note de quatre si le tome n'avait pas été sauvé par de super dessinateurs, je lui aurais attribué la note de trois.

Dans ce neuvième tome en trois actes, qui reprend une ancienne histoire d'un ancien "Doggybags", le tome 5 je crois, le premier acte nous plonge dans un parc d'attractions suite à une pandémie planétaire, une invasion de zombies pour changer tiens... on est plongé dans ce parc ou l'américain moyen vient se défouler à coups de calibre sur des zombies.
À la fin de cet acte où des investisseurs sont venus visiter le parc afin de peut-être y injecter des fonds pour une future extension du parc et une toute nouvelle attraction, les dirigeants du parc perdent le contrôle sur les zombies et le parc est submergé par ces derniers.

Pour le deuxième acte, une équipe de commandos est envoyé sur le parc à zombies pour y chercher quelques survivants et ramener les non infectés. Ils ont un peu plus de deux heures afin de mener leur mission à bien avant que l'état sous les ordres du président rase le parc une bonne fois pour toute.

Dans le troisième acte, on se retrouve à la Maison Blanche à une élocution du Président des États-Unis. Mais la Maison Blanche est prise d'assaut par une horde de zombies et le président est évacué dans un bunker dans les souterrains de la White House. Celà dit en passant le président à des faux airs de Clint Eastwood.
Le président selon le protocole appliqué, doit rester isolé pendant 90 jours dans cette forteresse souterraine.
Une fois ce délai écoulé, il décide de s'armer et de sortir de sont refuge. Mais une fois de retour dans le bureau ovale, il se rend compte que c'est un président mexicain qui est aux commandes du pays ainsi qu'avec l'armée mexicaine. Avant que ne sonne le glas pour le président américain, le nouveau président chicano lui explique que ironiquement le mur élevé à la frontière mexicaine par les américains a préservé le peuple mexicain de cette épidémie et de cette invasion.

Si les scénarios de cette histoire distillée en trois actes n'est pas si catastrophique que ça, j'ai trouvé ça un peu réchauffé surtout sur une base d'un scénario d'un ancien tome. Cependant l'aspect graphique et le parti pris artistique des différents artistes rattape bien l'ensemble. Les trois actes sont superbement inspirés au niveau du dessin et de la colo' un peu moins scénaristiquement parlant.
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Souvenez-vous : « Death of a Nation » est également le titre de la dernière histoire du cinquième tome de cette saga qui rend hommage au cinéma Grindhouse des années 60-70. Run et Aurélien Ducoudray y emmenaient le lecteur dans un parc d'attraction qui invite les visiteurs à revivre les grands moments de l'Histoire des États-Unis en compagnie de figurants assez spéciaux : des zombies. Et oui, depuis l'épidémie de zombies de 2018, la loi Romero retire en effet tous leurs droits aux morts-vivants, ce qui permet de remplacer les ennemis d'antan par des zombies que les visiteurs peuvent dégommer avec des armes réelles. Sympa non ?

Tellement sympa que les auteurs décident de consacrer un tome entier à ce parc d'attractions hors-norme dans lequel les morts-vivants sont uniquement sensés divertir les visiteurs. Mais bon, ça c'est la théorie… comme on a pu le découvrir lors du cinquième volet de cette série.

Ce neuvième tome de Doggybags livre trois nouvelles histoires courtes d'une trentaine de pages chacune, qui mêlent à nouveau barbarie, horreur et beaucoup d'hémoglobine, mais qui se focalisent surtout sur les zombies et sur le parc d'attractions le plus gore et macabre des États-Unis.

La première histoire (Patriot Act), signée Run et Philippe Auger, se déroule au début de l'incident qui libère les zombies dans le parc. le lecteur y suit Rupoch Murder, le richissime propriétaire du parc, qui organise une visite guidée dans les coulisses du complexe afin de convaincre un potentiel investisseur texan de mettre ses billes dans de nouvelles attractions. Un récit bien amusant qui dévoile le sort des zombies et qui ne met pas forcément les texans en valeur…

Le second récit (Opération Wonderland), signé Hasteda et Jebedaï, se déroule après le drame qui a frappé le parc d'attraction et suit l'intervention des soldats du S.T.R.E.S.S., visant à sauver les survivants et à mettre fin à la menace. Après les texans, ce sont donc les militaires américains qui sont mis en valeur par les auteurs… héhéhé…

Puis, lors du dernier chapitre, intitulé « The Last President », ce sont Aurélien Ducoudray et Run qui s'attaquent au chef suprême des États-Unis en suivant les Président des States cloîtré pendant 90 jours dans son bunker sous la Maison Blanche afin de survivre à l'invasion. Ce récit qui s'attaque au thème de l'immigration illégale réserve un petit twist final assez amusant et n'incitera pas forcément les gens à voter pour Donald Trump.

Pour le reste, l'ambiance est à nouveau soignée jusque dans les moindres détails, de la maquette du livre au style rétro et usé de l'ensemble, en passant par les fausses publicités, un poster détachable en fin d'ouvrage, les mini-coupons à découper ou ce vrai-faux courrier des lecteurs, qui sont insérés avec minutie dans l'album, rappelant le bon souvenir des vieux comics underground.

Bref, un neuvième épisode à nouveau très sympathique.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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« Doggybags, volume 9 » est un numéro à réserver aux fans purs et durs de la zombie-exploitation ce qui est très loin d'être mon cas.

Malgré une qualité graphique des plus correcte, ce sont surtout les scénaristes qui se font plaisir avec des scénarios basiques consistant à exploser un maximum de cranes de ses monstres consommables.

L'exercice tourne pour moi rapidement court et est à classer au rayon « sans aucun intérêt ».
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Encore du Doggybags... la prolifique série n'en fini plus de trouver des concepts, rendre hommage à un certain genre sanguinolant et même s'auto-prendre comme référence pour développer des idées, c'est donc le cas ici, une histoire de "Doggybags 5" amène un nouvel opus, on se demande bien quand tout ça va s'arrêter...
Lien : http://www.psychovision.net/..
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critiques presse (1)
Un vrai kif que ce nouvel opus de DoggyBags ! C’est brut, malsain et drôle ; et on prend toujours autant de plaisir à découvrir tous les petits à côtés, articles de journaux, fausses pubs et posters.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees

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Vidéo de Aurélien Ducoudray
Chine de nos jours, Yuan est un routier qui vit du commerce du charbon, seule source de revenus pour sa famille. Laissé pour mort par un usurier, il doit retrouver son véhicule et laver son honneur, coûte que coûte !
D'un important fonds documentaire, les auteurs, Fred Druart et Aurélien Ducoudray, proposent un récit de fiction tendant vers le polar, afin de décrire au mieux ce mécanisme de vente frauduleux qu'est l'exploitation des mines clandestines, et l'approvisionnement des petits commerçants des bords de route.
Feuilleter la BD : tinyurl.com/amesnoires
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