Virus

Un peu vieillot, ce thriller de 1987 dans le monde scientifique ! Je me suis beaucoup ennuyé avec ce roman qui m'a présenté des personnage fades et prévisibles avec une intrigue avec peu de surprises. L'écriture est très formatée et surannée. La deuxième moitié du livre a passé plus vite mais l'enchaînement des actions est resté redondant et peu crédible. Lecture sans intérêt.

Virus /Robin Cook

Los Angeles année 1986. Dans un centre médical, huit personnes meurent : le directeur et sept patients, sont emportés par un virus inconnu. le C.D.S. (Center for Disease Control), organisme ultra " sophistiqué ", spécialisé dans le combat contre les maladies contagieuses, confie l'enquête à l'un de ses médecins, Marissa, qui, très vite, va se retrouver en plein cauchemar.

le virus s'avère extrêmement dangereux et hors du commun, une véritable peste noire venue d'Afrique, plus terrible que celle du Moyen âge. Inexplicablement, il ne sévit que dans les centres médicaux, mais, en plus, et au fur et à mesure que Marissa progresse dans son enquête, une hypothèse finit par s'imposer à son esprit.......et elle est effrayante !

Marissa, en première ligne, affrontera tous les dangers et devra user de toutes ses armes pour faire connaître la vérité.
J'ai beaucoup aimé ce thriller médical avec le personnage attachant de Marissa, qui passée de la pédiatrie à l'épidémiologie va découvrir peu à peu une réalité qui défie l'entendement. Chaque confrère et chaque ami au fil des pages deviennent des suspects dans leur façon de faire face à la maladie. Connaître la vérité, rien que la vérité sur l'origine des mêmes épidémies qui apparaissent ça et là aux États-Unis: c'est la seule préoccupation de Marissa qui suspecte le virus d'être devenu une arme de crime. Mais pour qui, pour quoi ? Un complot ? Pourquoi pas !
L'auteur, médecin lui-même, nous fait découvrir dans ce roman un monde que l'on ne connaît que peu, celui des laboratoires qui côtoient quotidiennement des virus qui peuvent anéantir en un rien de temps l'humanité entière. Beaucoup de détails techniques qui permettent au lecteur de bien comprendre l'histoire.
En résumé, un bon roman qui se laisse lire sans problème et qui nous rappelle en cette période de pandémie (2020/2021) que les virus peuvent bouleverser l'équilibre d'un pays et du monde. Bien que publié en 1987, ce roman conserve une résonnance très actuelle et n'a pas pris une ride.

Un roman de Robin Cook de temps en temps c'est vraiment idéal pour des vacances. L'histoire est souvent très stéréotypée. Une femme jeune, jolie, se bat seule contre le méchant médecin et gagne à la fin.

Une fois qu'on admet ce scénario, ce tome était vraiment chouette, avec un virus qui crée des épidémies mortelles et un secret à découvrir. L'héroïne est vraiment seule, et suivre sa trace précédant ceux qui lui veulent du mal amusante à suivre.

Un bon polar d'été, qui a vieilli, mais qui m'a détendu.

J'ai décidé de me remettre à Robin Cook et je ne le regrette pas. Ce livre est un excellent divertissement. Thriller médical de qualité reposant sur une épidémie d'Ebola dans plusieurs villes américaines, ce roman est très instructif sur le CDC et l'histoire de l'Ebola. Il a aussi un caractère d'avertissement sur la facilité relative à manipuler des virus mortels et sur les dérives d'une médecine attirée par l'argent.

Depuis un an, je me replonge dans les roman, lus plus jeune, j'ai adoré Robin Cook, dont j'ai presque tout lu par le passé, j'ai eu envie de le relire ; sans être déçue.
Après cela reste des "policiers/medicaux" facile à lire que l'on oublie vite.

Un thriller médical dans lequel Robin Cook, comme dans plusieurs autres de ses romans, critique les conglomérats de médecins, motivés par les gains faramineux qu'ils peuvent obtenir, les grands laboratoires et les mutuelles. le virus ebola, extrêmement mortel est le sujet principal à identifier et à combattre dans la première moitié du roman. Puis c'est un vrai roman policier avec de l'action, des tueurs, des poursuites dans plusieurs grandes villes des USA. Une jeune médecin, attrayante et source de convoitise amoureuse est le personnage principal que l'on suit avec un intérêt grandissant tout au long des péripéties.

J'ai moyennement apprécié ce thriller sur le thème d'une contagion sur le territoire des Etats-Unis, par une souche du virus Ebola.

Il s'agit pour moi d'une incursion par curiosité dans un genre que je ne lis que rarement, le thriller, avec une dominante médicale qui m'a toutefois intéressée, d'autant plus qu'il s'agissait du travail des épidémiologistes du CDC, l'agence américaine.

J'ai suivi avec suffisamment d'intérêt les péripéties du personnage, Marissa, jeune femme attachante, qui est passée de la pédiatrie, où elle s'ennuyait, à l'épidémiologie, et a commencé à travailler au CDC d'Atlanta. Elle se relève difficilement d'une rupture amoureuse, vit avec son petit chien Taffy, est plus ou moins courtisée par deux médecins qui ne l'attirent pas, un jeune collègue du CDC et un autre spécialiste en pédiatrie. Elle les tient à distance, les maintenant dans un rôle d'amis, mais elle joue un peu avec eux, elle aime à se faire offrir de bons repas au restaurant, ou à utiliser les relations et prérogatives de l'un ou de l'autre pour sa propre enquête. Je trouve que c'est un peu des conceptions d'un autre âge - il est vrai que le roman date de 1988.
Elle a toutefois une grande qualité : servir la vérité à tout prix, quitte à se mettre en danger, et de ce fait, le courage et la détermination.

La stupéfaction et l'inquiétude la gagnent, elle et son équipe, alors qu'une mystérieuse épidémie se déclare successivement dans plusieurs villes des Etats-Unis, avec un très fort taux de mortalité. Nous entrons rapidement dans l'histoire, alors que Marissa est envoyée par son supérieur, Cyrill Dubchek, bel homme avec qui elle va malheureusement se brouiller sévèrement pour différence d'opinion.

Elle commence à comprendre que des éléments dérangeants sont liés à la nature du virus et surtout à son système de propagation. On apprend de quelle manière le CDC organise la quarantaine dans un hôpital (ça ne rigole pas) en cas d'épidémie mortelle, ainsi que le fonctionnement d'un laboratoire d'isolation maximale (où Marissa n'a pas encore le droit d'entrer mais se débrouille à le faire). Elle comprend assez rapidement (et le lecteur sans doute plus vite qu'elle) que ses interrogations la mettent en danger, d'autant plus lorsqu'elle perd le soutien de sa hiérarchie.

Au fil du livre, Marissa voyage beaucoup aux Etats-Unis, rencontre des acteurs liés à la propagation de ce virus, et nous en apprenons pas mal sur le milieu médical, c'est intéressant et bien documenté. Cette partie purement médicale et spécialisée est plutôt réussie, l'enquête tient debout (auteurs, mobile, jusqu'à l'arme du crime, sont bien trouvés), mais le développement des personnages m'a paru assez bâclé et conventionnel. Robin Cook s'essaie à l'intrigue sentimentale, sans qu'on y croie jamais vraiment, et le personnage de Marissa m'a vite paru assez déplaisant de par son caractère manipulateur qui se renforce au fur et à mesure de ses difficultés. Et puis, le côté "seule contre tous face à un complot diabolique", eh bien j'ai ma dose en ce moment !

Je ne veux pas être sévère sur ce thriller, dans la mesure où je ne suis sans doute pas bon juge, de plus il m'a suffisamment intéressée pour que je le lise avec plaisir, même si j'ai un peu peiné sur la durée.

Aaahhh Robin Cook, un des auteurs que je préférais étant adolescente, cela doit bien faire 20 ans que je n'ai plus lu l'un de ses livres.
Celui-ci traite du virus Ebola, et on en apprend beaucoup à ce sujet, c'est très intéressant surtout que cette épidémie peut être toujours d'actualité.
Notre protagoniste principale, jeune docteur au sein du CDC, se montre remarquable dans son enquête pour découvrir l'origine de cette épidémie. Malgré les reproches, les rabaissements de son patron et l'immense complot qu'elle est sur le point de découvrir on admire sa ténacité et son dévouement pour son travail.
Ce fut une lecture à la fois stressante, enrichissante et énervante, malgré quelque saut de ligne lors de détails que je trouvais insignifiant, l'action est très présente, et l'histoire prenante.

On est plongé dans l'intrigue du début jusqu'à la fin du livre...

Je me suis tout de suite attaché au personnage de l'héroïne, Marissa, petit bout de femme, médecin au CDC d'Atlanta, en charge du suivi des virus et autres microbes qui nous mènent la vie dure. Elle se trouve plongée au coeur d'un complot mené par des médecins véreux qui provoquent sciemment des épidémies de virus Ebola dans un but que je ne dévoilerai pas ici. A elle seule, au péril de sa vie (et un peu de chance, merci à l'auteur), elle va arriver à les démasquer (c'est un peu gros mais c'est une histoire imaginaire !). J'ai apprécié le luxe de détails sur les laboratoires qu'elle fréquente (ce qui donne une impression de réalisme), sur les effets du virus et sur le monde médical en général. La fin ne se laisse pas vraiment deviner, ce qui est encore un plus.