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sur 2766 notes
MAGNIFIQUE !✨️ Coup de ❤️

À la pointe de la Nouvelle-Zélande, au plus près du pôle Sud vivent Autumn et sa fille Milly. Elles gèrent un camping, au bout du monde, au coeur d'une nature sauvage et préservée. Un duo inséparable et une routine bien huilée jusqu'à l'arrivée de Flore, une jeune parisienne en quête d'un nouveau départ. Peu à peu, les trois femmes vont s'apprivoiser...

Entre violentes bourrasques et sublimes couchers de soleil, Mélissa Da Costa nous offre un sixième roman magistral et d'une beauté infinie. Une nouvelle fois, elle parvient à se renouveler en nous livrant un roman plus contemplatif que ses précedents, mais toujours aussi enivrant et émouvant. Les femmes du bout du monde, m'ont embarquées, m'ont fait découvrir leur foyer qui surplombe une baie où nagent des dauphins, caché au coeur de roseaux sauvages. Elles m'ont fait goûter à une certaine liberté. Loin de tout. Où la vue est infinie et la nature occupe la plus grande des places.

Peu à peu, on va en découvrir de plus en plus sur ces femmes, et inévitablement, s'y attacher profondément. Flore, les raisons qui l'ont poussées à partir le plus loin possible, Milly, ses fêlures, les rêves qu'elle voudrait réaliser, Autumn, les blessures qu'elle doit panser.

Un nouveau roman absolument magistral, une vraie ôde à la liberté portée par une plume poétique. Une histoire de femmes, de chemins de vies qui étaient faits pour se croiser. Un cheminement vers le pardon, la reconstruction de soi qui est parfois sinueux. Un roman qui donne envie de partir à l'autre bout du monde, pour découvrir de nouveaux horizons, et surtout, se retrouver.

C'est indéniable, le talent de conteuse d'histoires de l'autrice est immense et j'ai déjà hâte de retrouver cette plume magique.
Je recommande, évidemment ! ❤️✨️

J'espère que vous êtes tenté.e.s? 😇
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Ouvrir un Melissa Da Costa, c'est pour moi la garantie d'un moment de lecture merveilleux. Jusqu'à présent, je n'ai jamais été déçue. le plus surprenant dans tout ça c'est que chaque livres se suivent mais ne se ressemblent pas. L'autrice oscille entre les genres et les thèmes pourtant, sa plume poétique, mélancolique et sincère est sa signature. Celle que je reconnaitrais parmi tant d'autres. Les femmes du bout du monde est un roman magnifique qui m'a bouleversée. J'ai eu le coeur qui s'est serré parfois, me rendant presque mélancolique à mon tour. Les personnages, ce trio de femmes touchant m'a conquise dès les premières pages. Toutes trois si différentes et pourtant, on peut se projeter dans chacune d'elles. Des personnalités intrigantes, travaillées, crédibles et sans fioriture. du vrai.

Que dire du décor choisi ? La Nouvelle-Zélande… le bout du monde. Nombreuses ont été les fois où j'ai eu envie de regarder quel était le prix d'un aller simple pour y aller et finalement me rendre compte que moi, contrairement à Flore, je n'ai rien à fuir. Seulement voilà, moi aussi j'ai eu envie de voir de mes yeux l'heure bleue, les manchots, les dauphins et les baleines. Moi aussi j'ai eu envie de regarder la mer en me disant que de l'autre côté c'est le pôle sud. Tout ça semble tellement inaccessible et pourtant, grâce à Melissa Da Costa, j'ai pu vivre par procuration 1001 émotions.

L'histoire est lente, il y a des longueurs. Je sais que celles-ci peuvent déranger certains lecteurs et certaines lectrices mais pour ma part, elles m'ont apportées ce sentiment de plénitude, c'est contemplatif, magique cette envie de me plonger corps et âme dans ma lecture sans en sortir. Parce que c'est bien ça le problème avec cette autrice : on attend, on attend son livre (et encore nous sommes chanceux car l'attente est raisonnable) et dès qu'on l'a dans les mains, on l'avale en quelques heures. Sensation étrange de se sentir démunie à la fin, un peu vide. Je n'aime pas ça et j'adore ça. Paradoxal oui, mais c'est représentatif de tout ce que je peux ressentir en lisant du Da Costa. Je suis heureuse, perdue, triste… Tout un tas d'émotions qu'elle seule arrive à me faire ressentir.

A travers Les femmes du bout du monde, j'ai vécu plein de choses. J'ai adoré le côté féministe de l'histoire : 3 femmes indépendantes, puissantes qui vont s'apprivoiser avec le temps. Comment faire pour se reconstruire mais surtout pour se retrouver. Comment réussir à appréhender l'avenir plus sereinement. Comment réussir à vivre sa vie sans abimer celle des autres et comment réussir à se libérer de ses démons, ceux qui peuvent pourrir toute une vie… J'ai tout autant aimé l'aspect écologique. Vous n'y verrez aucune paroles moralisatrices, elles ne sont pas nécessaires. Juste des faits, juste des actes, juste la beauté de la nature qu'il faut préserver. Les mythes et légendes maoris racontaient au coin d'un feu, tant d'éléments et d'informations que j'ignorais et qui m'ont enrichies encore et encore. Ici, ce sont les saisons qui donnent le rythme, au fil de chacune, on observe l'évolution des trois femmes, parfois de manière subtile parfois de manière brutale. Je me suis laissée porter, guider. J'ai eu l'impression d'avoir ma place auprès d'elles, j'ai entendu Automn ronchonner parce que je marchais en baskets blanches, j'ai vu Milly m'observer l'oeil humide quand moi-même je me suis vue nager auprès des dauphins, les voir s'approcher de moi et pour finir, j'ai vu Flore sourire lorsque je lui ai tenu la main dans ses moments les plus sombres.

En bref :
Evidemment qu'à mes yeux ce roman est une vraie réussite. J'ai passé un tel moment d'émotions qu'il m'est encore difficile de l'expliquer aujourd'hui. Cette force à travers des personnages aussi vrais, cette nature, ces paysages si revigorants ! Je ne peux rester de marbre face à tout ça. Je ne peux que me laisser envahir, moi qui suis de nature (très) sensible par toute cette douleur qui se transforme en beauté. Mon seul regret : l'avoir déjà terminé et être obligé de dire aurevoir à ces trois femmes du bout du monde.

Foncez, ça fait tellement de bien.
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Flore, jeune femme parisienne, arrive après un très long voyage, dans un camping des Catlins en Nouvelle Zélande en face de l'océan Austral.
Le camping est géré par Autumn et sa fille Milly qui acceptent la jeune dame comme aide aux travaux journaliers. Leur quotidien est difficile sous un climat assez rude. Elles vivent dans des conditions assez spartiates.
Dans un état pitoyable après un mariage raté, Flore est là pour arriver à se reconstruire.
Non loin, habitent Anaru et son fils Kai, tous deux Maoris.
Ils ont accepté les deux dames installées là-bas depuis très longtemps mais attention pas question de mariage entre les Maoris et les Blancs appelés Kiwis.
Petit à petit, Flore s'intègre à ce petit monde.
La nature avec les phoques, les otaries, les manchots aux yeux jaunes qui ont tant de difficultés à se reproduire, les dauphins d'Hector que les touristes doivent absolument respecter, les traditions maories racontées sont intéressantes à connaître, à lire mais c'est toutefois long car une trame de roman existe et a besoin d'évoluer plus vite.
Ce n'est qu'à la page 294, que les faits précis qui ont amené Flore à partir si loin sont connus.
Le noeud de ce mariage raté se démêle enfin. Il avait pourtant si bien commencé.
Dommage que ça arrive si tard et d'un coup, à la page 294, alors que le roman en compte 379.
On peut comprendre que Flore devait prendre la distance nécessaire pour voir clair dans cette histoire.
Néanmoins, malgré la beauté des tableaux de nature, de la vie au camping, le récit a entraîné des longueurs qui m'ont ennuyée à certains moments.
Petite déception pour moi.

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J'ai encore une fois été absorbée par la plume de Mélissa Da Costa. Cette fois, elle nous a embarqués avec elle en Nouvelle-Zélande. J'avais clairement la sensation d'y être, elle nous décrit les paysages, la flore et la faune locale. J'ai découvert des animaux dont je n'avais jamais entendu parler, mais aussi des arbres et des endroits vraiment atypiques de la région des Catlins.

Mais surtout, Mélissa nous dresse le portrait de trois femmes toutes plus attachantes les unes que les autres. Elles ont leurs qualités, leurs failles, elles sont incroyablement réalistes et très bien construites.

J'ai eu un coup de coeur pour Flore, cette Française qui a tout plaqué pour venir au bout du monde, pour oublier, pour survivre. Un petit bout de femme chétive arrivé au camping un hiver avec les affaires qui lui restent : un sac à dos. Parce que Flore a beaucoup de démons, un passé emplit de culpabilité, de tristesse et de colère. Sans rentrer dans les détails que vous découvrirez tout au long de l'histoire, son histoire m'a bouleversée.

J'ai aimé sa sensibilité, mais surtout, son évolution. Elle va tout donner pour le camping, le meilleur moyen pour elle d'oublier. Elle va apprendre aux côtés de Milly et Autumn, que ce soit l'entretien intérieur ou extérieur du camping. Mais surtout, elle va découvrir la beauté de la nature, s'émerveiller de la faune et de la flore de la baie. Une vraie connexion va s'établir, elle va enfin se sentir chez elle, pouvoir penser à l'avenir.

J'ai aussi aimé Milly, la fille de la mer, celle qui est presque née dans la baie. Je l'ai trouvé vraiment touchante, au début effacé, elle va devenir une femme aux côtés de Flore. Sa présence va lui permettre de s'exprimer, de s'épanouir, mais surtout de s'émanciper de sa maman.

Autumn fait tout pour sa fille, elle ne vit que pour elle, a toujours peur qu'elle se décide à quitter la baie, à la laisser toute seule. Elle a beaucoup de mal à se remettre de la disparition de son mari, le père de Milly. Elle continue d'entretenir le camping, un peu comme une routine, elle est devenue grognon avec le temps. Mais l'arrivée de Flore va, elle aussi, la bouleverser dans ses habitudes, l'ouvrir à autre chose.

Ces trois femmes du bout du monde m'ont beaucoup touchées, elles s'apportent beaucoup mutuellement. Sans s'en rendre compte, elles se complètent, se soutiennent, s'entraident. L'auteure nous transmet parfaitement leurs émotions, qu'elles soient belles, tristes ou plus sombres.

Au-delà des magnifiques émotions que ce livre m'a fait ressentir, j'ai aussi aimé découvrir la Nouvelle-Zélande et surtout les légendes et traditions maoris. Je ne m'attendais pas à ça, quelle belle surprise.

Mélissa Da Costa nous parle beaucoup de la vie des maoris, qui sont nombreux sur l'île. Elle nous parle de leurs traditions, de leurs expressions, mais surtout, elle nous parle des légendes Maori. J'ai été captivé par ses légendes racontées parfois par Milly, parfois par Anaru.

Mais cette histoire, c'est avant tout l'histoire de femmes, de ces trois femmes exceptionnelles. Ces trois femmes qui telles des guerrières, font face aux difficultés de la vie, à la dureté du climat de la baie. C'est leur solidarité qui leur permet d'affronter tout ça.

C'est encore une fois un voyage incroyable que nous propose Mélissa Da Costa. Un voyage au bout du monde, en Nouvelle-Zélande, une terre riche en faune, en flore et en légendes maoris toutes plus belles les unes que les autres. Mais c'est surtout un voyage au coeur des émotions de trois femmes exceptionnelles qui vous toucheront en plein coeur.


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Quel bonheur de retrouver Melissa Da Costa !
De tous ses livres, c'est celui-là que je préfère.
Elle s'améliore de livres en livres.
Trois femmes. Autumn la mère de Milly, Flore et Milly.
Flore est cabossée par la vie ; un mariage raté, un divorce, son addiction au sexe sale, dégoûtant, glauque, ignoble. Rassurez-vous, point de descriptions malsaines chez Da Costa, pas besoin.
Flore arrive au Sud de la Nouvelle-Zélande, au bout du monde car après, c'est le pôle Sud.
C'est un camping et elle vient y travailler avec Milly et sa mère à qui appartient le camping.
On apprend de magnifiques légendes maöri,.
On nage avec les dauphins, on voit des éléphants de mer, des otaries, des manchots....
Mais pas que.
Nous sentons les amours de ces trois femmes, réfugiées au bout du monde car trop de chagrins.
L'histoire est belle, de cette beauté insondable, inaltérable, sublime et envoûtante.
C est cela, c'est une lecture ensorcelante.
Dès le début, j'ai voulu savoir pourquoi Flore avait vécu ses étreintes malsaines. On nous l'explique vers la fin. Elle se fait du mal Flore, elle se déteste. Elle se salit....Il lui fallait le bout du monde pour sa rédemption.
Durant toute la lecture, nous sommes entraînés sans temps morts vers ces trois femmes, qui sont courageuses et de belles personnes.
C'est un livre magnifique, sur l'amour déçu, le deuil difficile, mais aussi l'amour entre deux femmes, moments magiques de lecture, tout est dit avec une pudeur et une délicatesse incroyables. Une pureté. Une pépite, un ravissement à chaque instant de la lecture.
Encore une fois, tout le talent de Mme Da Costa m'a bouleversée, chamboulée, mise à terre. Pour mon plus grand plaisir.
Je l'ai terminé et ces femmes me manquent déjà.
À quand le prochain ?.....


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J'ai lu d'autres romans de cette autrice. Elle a une belle plume et je pense que ses livres sont assez faciles à lire, mais malheureusement j'ai terminé le livre avec un avis mitigé. Dans ce récit on suit l'histoire de trois femmes au bout du monde avec leurs problèmes et qui vont devoir s'apprivoiser et apprendre à se connaitre. L'histoire était peut-être géniale, mais il me manquait quelque chose pour me tenir en haleine. J'ai trouvé très difficile de m'attacher au personnage de Flore et à son histoire personnelle et trop de longueurs ont fait que je me suis ennuyée par moment. Ce que j'aime le plus dans ce livre sont les descriptions des paysages merveilleux qui donnent envie de découvrir la Nouvelle Zélande.
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Ce dernier livre de Mélissa Da Costa est un bijou empreint de poésie et de légendes. A travers toutes les pages, c'est une ode à la nature, un voyage vers la résilience et un hymne à l'Amour mêlés à des épisodes de légendes maories.

Je retrouve dans ces lignes toute la sensibilité de l'auteure qui m'avait tant ému dans son premier livre : Tout le bleu du ciel.

Je ne peux que vous engager à partir en voyage avec Flore même si, dans un premier temps, celui-ci pourrait ressembler à une fuite face à ses responsabilités.
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Le bout du monde existe. Il est la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région des Catlins.
C'est là que se réfugie une jeune française appelée Flore. Elle fuit...
Elle fuit la France, elle fuit Paris mais surtout, elle fuit son ancienne vie passée aux côtés de son mari Paul.

Elle débarque chez Autumn et sa fille Milly qui gèrent le camping "Mutunga o te ao", C'est du maori et cela veut dire le bout du monde.

C'est une très belle histoire que nous offre Mélissa Da Costa.
On y retrouve bien sa patte.
Ce besoin de partir, de fuir sa vie d'avant comme dans Tout le bleu du ciel à la rencontre de paysages somptueux, de personnes étonnantes et attachantes mais aussi à la recherche d'une vie plus simple et plus saine.
Le personnage de Flore, tourmenté, fragile, en proie à un comportement décadent, comme dans La doublure.

Mais, c'est aussi, un roman qui dépayse et qui rapproche de la nature sauvage et merveilleuse. Plus d'une fois, j'ai cherché des photos des Catlins sur Internet pour me sentir en pleine immersion sur le territoire côtier des otaries, des manchots, des dauphins..

Sans en dire trop, j'ai également beaucoup aimé l'évolution pleine de délicatesse des relations entre ces trois femmes du bout du monde.

"Si tu te demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C'est ce que font les femmes du bout du monde."
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Bonjour amis lecteurs,
Aujourd'hui je vous propose « Les femmes du bout du monde » de Mélissa Da Costa, déjà auteure de « La Doublure » qui fut pour moi une belle découverte. Encore un énorme coup de coeur pour ce roman magistral qui m'a totalement envoûtée. L'auteure nous entraîne dans un sublime voyage en Nouvelle Zélande dans un camping isolé où trois femmes pansent leurs blessures du corps et de l'âme. Les personnages sont terriblement attachants, émouvants, leur psychologie finement analysée et disséquée et le lecteur est invité à découvrir au fil des pages leur passé tourmenté. le récit se révèle poignant, mené d'une main de maître par la plume poétique, délicate, sensible et enivrante de l'auteure. Dans l'océan, vous côtoierez les dauphins, vous entrerez en osmose avec des paysages de rêves et une faune captivante. Attendez-vous à une véritable ode à la nature, à la résilience, à la reconstruction, à la liberté, à l'écologie et à la protection des animaux. Voici une belle découverte sur les Maoris et leurs légendes, un magnifique et passionnant roman à découvrir en urgence !
Je
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Les romans de Mélissa Da Costa se suivent et ne se ressemblent pas. Quelle chance pour nous !

Jamais l'auteure ne nous avait emmenés aussi loin. le titre nous l'annonce. Nous voici en Nouvelle Zélande, à 19167 kilomètres de Paris.

C'est dans le camping, tenu par Autumn et sa fille, Milly, que Flore débarque en provenance de Paris. On n'est pas seulement loin de Paris par la distance kilométrique, mais aussi par le mode de vie. Les conditions de vie sont rudes, le logement rudimentaire. Mais Flore donne l'impression de vouloir expier... Elle apprend vite et ne lésine pas sur les efforts qu'elle doit consentir.

Sans doute s'abrutit-elle à la tâche.

Mais la nature montre elle aussi son pouvoir immense. La nature est préservée. Les dauphins Hector reviennent à chaque belle saison. Les otaries et les phoques font des haltes tout près des abris occupés par Flore, Autumn et Milly. Les manchots vivent en importante colonie.

Cela contribue au sentiment d'apaisement de Flore. Et chez le lecteur aussi !

La défense de la nature, notamment par des ONG comme Sea Shepherd, mobilise la jeune Milly.

Au-delà de cette plongée dans les océans, c'est aussi la culture néo-zélandaise qui est mise en avant. Avec une cohabitation entre les Maoris et les Blancs d'origine britannique qui ont colonisé le territoire au 19ème siècle.

Ce roman est un nouveau coup de coeur pour moi. J'en ressors avec un sentiment de grande sérénité.





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