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4,04

sur 2758 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Impossible de terminer ce livre
Je comprends que Melissa Da Costa vende autant de livres
Elle coche toutes les cases que demande un éditeur
Un sujet actuel, une femme dont le couple bat de l'aile mais qui n'est pas exempte de tout reproche
Le désir impérieux de" refaire" sa vie le plus loin possible
Pour le choix du pays , la Nouvelle Zelande , très tendance depuis le Seigneur des Anneaux
Evidemment un endroit perdu au sud de l'île du Sud , juste avant l' Antarctique pour vous situer
Une rencontre avec deux femmes .Le changement de vie. le choc des civilisations , je dirais plutôt de cadre de vie car la Nouvelle Zelande est un pays du monde anglo saxon
J' oubliais la petite touche " couleur locale" avec les maoris et leurs coutumes quelquefois rigolotes
Tout cela est écrit dans un langue simple qui frôle le cliché touristique à bien des moments
La Nouvelle Zélande est bien plus belle que l'image que nous renvoie Melissa Da Costa dont l' écriture reste dénuée de poésie
L' histoire est classique et pas trop fatigante pour les neurones
Vous pourrez prendre ce livre sur la plage cet été
A ce rythme là, Mélissa Da Costa va truster les premières places dans les listes de vente pendant de nombreuses années
A titre plus personnel, je suis déçu car ce livre donne une image un peu fade de la Nouvelle Zélande , un pays que j'adore et qui mériterait mieux

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L'unanimité dans une oeuvre m'a toujours intrigué, souvent dérangé.
Du débat sortent des sentiments contradictoires, de la discussion des points de vue différents, des éclairages focalisant les aspects d'une oeuvre que l'on ne soupçonnait pas.”Les femmes du bout du monde” n'entre pas dans ce cadre.
Tout le monde l'aime, tout le monde l'a aimé, on y met cinq étoiles partout. Les lecteurs, surtout les lectrices, sont enthousiastes pour saluer une oeuvre majeure, qui les a émus, touchés, au point qu'ils attendent avec impatience l'ouvrage futur de Mélissa Da Costa, l'autrice qui vend le plus de livres en France ! Drôle de critère de qualité.
Après un passage timide (mais une invitation tout de même) chez Augustin Trappenard à la Grande Librairie, je m'y suis risqué. Il est trop facile de descendre en flammes, un livre, à grands coups d'adjectifs et de tournures de phrases acides et méchantes. Après tout, il y a du travail derrière, et il n'est pas correct de ne pas le reconnaître. D'habitude je ne me livre pas à cet exercice de style. Lorsque je n'aime pas, je le garde pour moi. À quoi bon! plutôt partager des livres qu'on aime, parfois méconnus, plutôt exposer son plaisir que de détruire celui des autres. Mais il est bon me semble t'il qu'un lecteur intrigué, puisse entendre plusieurs avis avant de commencer la première page. Et là, j'avoue que le fil m'a paru mince, à tout dire inexistant. Une jeune femme bourgeoise, récemment mariée, sous la coupe d'une belle mère perverse et uniquement attachée aux apparences et aux convenances, après voir rejeté son union par de multiples aventures libertines, s'exile au bout du monde , en Nouvelle Zélande, dans un camping, pour y refaire sa vie et tisser des liens avec une jeune femme de son âge, abandonnée par son futur mari maori, et qui gère le camping avec sa mère. On parle aujourd'hui de résilience, on fait le diagnostic « se reconstruire « . Pourquoi pas? Faut il quand même un peu de talent. de suspens il n'y a pas. de psychologie et d'étude de caractères il n'y a pas non plus. de style encore moins. Exemple: “ elle sait que l'amour est comme l'océan: il peut être parfois tempêtueux et passionné, parfois calme et ronronnant. “ ou encore “quand l'amour est doux et calme comme un océan d'été, pourquoi anticiper les tempêtes “ . Tout est à l'avenant. Écrit à l'encre lourde, cette histoire redondante n'en finit pas de s'étirer, au bout de l'ennui. Cent pages auraient pu, dû, être évitées, en faire une histoire un peu plus ramassée, lisible. Melissa Da Costa rejoint le club déjà embouteillé des Marc Levy, Guillaume Musso, Joël Dicker, ou autres Agnès Martin-Lugand. A lire une fois pour savoir ce que c'est. Des livres fabriqués à coup de guides de voyages et au mieux de bons sentiments. Livre et littérature ne sont pas synonymes. Que le lecteur en quête d'une oeuvre à même de le faire réfléchir, ou seulement éprouver du plaisir, ne se fasse pas arnaquer en tombant dans le piège de l'édition à succès , où le livre n'est qu'un objet marchand de plus pour faire de l'argent, tout en ratiboisant l'éveil à la bonne littérature. Désolé Mme Da Costa, tout le monde n'aime pas ce que vous essayez d'écrire, la route est pour vous encore longue. Mais après tout, et sans aucune agressivité, la prochaine fois, essayez de nous étonner!
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Deuxième livre de cette auteure... le voyage en Nouvelle Zélande est très chouette mais mon dieu que ce livre est fade voir insipide... abyssal !

Je ne lui donnerai pas une troisième chance malgré que les critiques soient bonnes voir très bonnes... qu'est ce que je rate ?
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Malheureusement j'ai vraiment eu du mal avec ce roman, je n'ai pas accroché..
Je pense que ça peut plaire à plusieurs personnes d'entre vous, mais moi je suis passé complètement à côté du roman..
J'ai vu beaucoup de chroniques positives sur ce livre que je vous invite à aller voir.
Mélissa Da Costa et une auteure que j'aime vraiment beaucoup, j'avais adoré « La doublure » et « tout le bleu du ciel » deux livres inoubliables, et je continuerai à découvrir ces prochains romans. ❤
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Plus un roman est mauvais plus il a de chances de remporter un prix, tel fut le cas pour celui-ci.
S'il est un domaine dans lequel Madame Da Costa semble avoir quelque difficulté d'écriture et de fluidité, il semble que ce soit celui de la littérature.
Un opus de plus, me direz-vous…
Rien d'étonnant à ce flot de productions chez elle, tant ses aficionados-das sont tellement éprises de cette prose BCBG qui peut faire penser aux histoires des magazines des années 60 tels que Nous Deux, mais à l'époque c'était plus intéressant et mieux écrit, par de simples amoureuses de la littérature qui d'ailleurs ne devaient avoir guère d'argent et ces publications leur permettaient ainsi de boucler leur fin de mois, pour une rétribution modeste.

Mais aujourd'hui il est coutumier d'avoir à lire « une littérature » écrite à la va vite et d'une indigence à ras de gazon, avec les éternels clichés que nous connaissons. Apologie des défavorisés, des malades, ou infirmes, défense et illustration des contrées lointaines voire inhospitalières, sublimation des différences, associations et réunifications des impossibles, à quoi s'ajoute moult développements sur tel ou tel animal incongru ou contrée du bout du monde - et j'en passe et des meilleures.

D'ailleurs ma critique se voit confirmée par le prix obtenu sur Babelio …Époque de bobos et de béni oui oui. Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil - Jean Yanne aurait bien ricané !!

Une fois de plus ennui éprouvé et désagréable impression voire migraine, mais à juste titre sur ce nouveau plat indigeste que nous a servi madame Da Costa. Bien fait pour moi, je l'aurai bien cherché.

N'ayant guère d'idée percutante l'auteur comble le vide par des digressions de toute nature pour nous faire patienter jusqu'à nous donner quelque explication et délier les noeuds. Que de temps perdu. Il est aisé d'écrire un livre, mais je constate que ses opus vont en déclinant, comme la plupart de ses consoeurs de ce siècle sonnant creux comme un estomac affamé de vide.
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Au vu du succès de Mélissa Da Costa j'ai souhaité lire son dernier livre, je n'ai pas du tout accroché. Je trouve ce livre caricatural: la méchante belle-mère et son pauvre fils, mérite-t-il vraiment que l'héroïne le fasse souffrir ? J'ai trouvé l'héroïne très égocentrée autour de son propre bonheur peu importe ce qu'elle peut faire aux autres avec cette rencontre de ces femmes qui vont se guérir par elles-mêmes enfin c'est très cliché, je n'addère pas du tout ce fut une lecture désagréable. Et cette façon de vouloir revenir à un endroit très nature pour se rendre compte que la terre est magnifique, enfin lever les yeux et observer juste autour de vous ça se voit quand même un peu... toujours très cliché avec les gentils maori et les méchants occidentaux, vraiment ce fut une lecture pénible.
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La Française, Flore, séparée de son mari Paul. Milly , veuve, et sa fille Milly, amoureuse d'un homme qui va se marier. Ces trois femmes vont se rencontrer dans une région isolée de Nouvelle Zélande. Leurs cultures, leurs langues, sont différentes; et pourtant … Elles vont s'entraider à aller de l'avant et à s'accepter…

Les lectrices de ma petite bibliothèque de village avaient été déçues par le précédent roman de l'autrice (« La Doublure »), mais fidèles à l'écriture de celle qui a écrit « Tout le Bleu du ciel » (et sa suite « Les douleurs fantômes »), elles avaient encouragé l'achat de son petit dernier. Je l'ai donc lu, parce que c'est important aussi d'en parler avec nos adhérents… Je ne suis pas une grande fan de M. Da Costa, mais je pense que ce livre plaira à ses lectrices qui retrouveront ses thèmes de prédilection (l'importance des échanges qui nous construisent ; grâce aux autres, on se retrouve, on pardonne, on se pardonne et on prend en main son destin…), mêlés à des thèmes « à la mode » (l'écologie, intégration et assimilation…), le tout dans une langue simple , loin d'une écriture véritablement travaillée.
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J'ai abandonné ma lecture. Pourquoi? Trop de longueur... pas assez d'action... pour moi. Ai-je abandonné trop rapidement? Je ne sais pas. Cependant, je peux tout de même mentionner que ce roman est très bien écrit, comme les précédents. Mon préféré est sans aucun doute : Je revenais des autres. Je vais tout de même poursuivre mon exploration des ouvrages de cette autrice.
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J'avais lu "Tout le bleu du ciel" d'une traite avec grand plaisir , j'étais mitigée avec "Je revenais des autres" et je n'ai pas été intéressée de lire la suite; du coup, j'attendais avec impatience ce nouvel opus mais non, je n'irai pas plus loin que le premier chapitre : c'est fade, ça ne prend pas.
Pas certaine de lire le suivant ni un autre,
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Ma critique va vraiment détonner des autres critiques mais je me lance... J'ai lu tous les livres de Mélissa da Costa et j'ai beaucoup aimé la doublure. J'étais pleine d'espoir avec ce nouvel opus mais j'en ressors déçue. J'ai sauté beaucoup de pages il faut bien que je l'avoue mais j'ai eu trop souvent l'impression de lire un guide touristique, avec ses description des animaux, de la vie au camping, les aller et venues des touristes, la description sans fin d'une journée de pique nique... Je n'ai pas accroché aux personnages, je me suis ennuyée. J'ai toutefois tourné les pages pour savoir ce qui s'est passé dans la vie du personnage principal pour qu'elle se retrouve là au bout du monde... et la réponse m'a vraiment laissée sur ma faim... J'ai même laissé échapper un : "tout ça pour ça!?" .
Habituée aux vrais drames que les personnages de ses autres romans vivent j'ai trouvé le sort de celle là un peu léger, non pas que je veuille me montrer sadique...
J'ai aussi trouvé bien malin de laisser la place à une suite pour la fin du roman... même si je ne la lirai pas désolée. Je ne suis pas fachée ni rancunière j'espère me réconcilier vite avec les romans de Mélissa da Costa.
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