Chronique de Diana :
C'est une très belle découverte que ce roman fantasy young-adult. L'univers fantastique n'est pas trop compliqué, il y a ce qu'il faut pour que le lecteur s'évade sans se sentir perdu.
Rozenn et ses soeurs vont se retrouver au milieu d'un conflit politique et racial. Elles sont l'instrument d'une possible paix perenne. Les djinns sont considérés comme inférieurs par les dagnirs. le père des princesses pensent qu'une alliance entre deux grandes familles pourraient éviter l'asservissement total de la population des Bulles.
Les djinns sont un peuple pacifique, doté de pouvoirs bridés par les dagnirs qui en tirent un profit personnel. le départ de Rozenn et ses soeurs mettra en évidence que les pourparlers sont biaisés et loin de leur être favorables.
Rozenn est une rebelle, elle remet en cause les règles, elle ne cache ses émotions, elle en est d'ailleurs incapable. Sa plus jeune soeur, Daire est la petite dernière, très coquette, très superficielle mais cache une part d'ombre assez importante. La plus âgée est Odeleen, la plus mature, celle qui croit en ce projet de réunification entre grandes familles de chaque peuple.
Leur arrivée chez les dagnirs ne sera pas simple, l'acclimatation et la rencontre avec les princes vont faire monter la tension sur bien des points. Il faudra aussi qu'elles composent avec le sultan et son épouse.
Ce premier tome est très prenant, on rentre tout de suite dans l'intrigue, on s'attache à Rozenn et son caractère affirmé. L'intrigue se met en place et monte crescendo pour se terminer au point de rupture avant l'assaut final qu'on découvrira je suppose dans le prochain roman.
Ces jeunes filles vont devoir faire des choix et s'impliquer pour changer leurs vies et celles de leur peuple. Laëtitia Danae a une sublime plume qui vous emporte, ses descriptions sont juste parfaites et permettent une immersion complète. On voyage, on rêve, on espère et on combat aux côtés de ses héros.
Une duologie qui saura vous séduire, c'est très bien écrit, juste, dosé à merveille.
Lien : https://followthereader2016...
C'est une très belle découverte que ce roman fantasy young-adult. L'univers fantastique n'est pas trop compliqué, il y a ce qu'il faut pour que le lecteur s'évade sans se sentir perdu.
Rozenn et ses soeurs vont se retrouver au milieu d'un conflit politique et racial. Elles sont l'instrument d'une possible paix perenne. Les djinns sont considérés comme inférieurs par les dagnirs. le père des princesses pensent qu'une alliance entre deux grandes familles pourraient éviter l'asservissement total de la population des Bulles.
Les djinns sont un peuple pacifique, doté de pouvoirs bridés par les dagnirs qui en tirent un profit personnel. le départ de Rozenn et ses soeurs mettra en évidence que les pourparlers sont biaisés et loin de leur être favorables.
Rozenn est une rebelle, elle remet en cause les règles, elle ne cache ses émotions, elle en est d'ailleurs incapable. Sa plus jeune soeur, Daire est la petite dernière, très coquette, très superficielle mais cache une part d'ombre assez importante. La plus âgée est Odeleen, la plus mature, celle qui croit en ce projet de réunification entre grandes familles de chaque peuple.
Leur arrivée chez les dagnirs ne sera pas simple, l'acclimatation et la rencontre avec les princes vont faire monter la tension sur bien des points. Il faudra aussi qu'elles composent avec le sultan et son épouse.
Ce premier tome est très prenant, on rentre tout de suite dans l'intrigue, on s'attache à Rozenn et son caractère affirmé. L'intrigue se met en place et monte crescendo pour se terminer au point de rupture avant l'assaut final qu'on découvrira je suppose dans le prochain roman.
Ces jeunes filles vont devoir faire des choix et s'impliquer pour changer leurs vies et celles de leur peuple. Laëtitia Danae a une sublime plume qui vous emporte, ses descriptions sont juste parfaites et permettent une immersion complète. On voyage, on rêve, on espère et on combat aux côtés de ses héros.
Une duologie qui saura vous séduire, c'est très bien écrit, juste, dosé à merveille.
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Rozenn est une djinn. Un être magique, obligée de vivre protégée des dagnirs, les humains, qui ont asservi son peuple durant des générations afin de pouvoir extraire leurs pouvoirs et se les approprier. Aujourd'hui, même si l'esclavage des djinns n'est plus pratiqué, ces derniers vivent malgré tout à l'écart des humains, dans une liberté assez relative.
Rozenn n'est pas une djinn comme les autres. Elle est, en effet, princesse de l'une des Castes les plus importantes de son peuple. Aussi, lorsqu'elle apprend que le sultan dagnir Maddy les invite, elle et ses soeurs, à séjourner dans son palais afin de faire connaissance avec ses propres fils, Rozenn ne peut s'empêcher de penser que ce dernier a en tête un projet beaucoup plus sombre…
Rozenn est une jeune fille pleine de fraicheur, intrépide et fougueuse. Avec son caractère affirmé et sa détermination, c'est typiquement le genre d'héroïne que l'on prend plaisir à suivre. J'ai tout simplement adoré son personnage.
Si la trame de l'intrigue, elle, reste assez basique, l'auteure la mène d'une main de maitre, sur un rythme soutenu qui ne laisse aucune place aux temps morts. Les personnages sont profonds et ont chacun leur personnalité propre, cachant de multiples secrets
Par contre, le gros, l'énorme point fort de cette histoire, c'est son univers. Quel régal ! Laetitia Danae revisite la mythologie des djinns de façon novatrice et enchanteresse. J‘ai adoré découvrir toutes les spécificités qu'elle met en place, mais aussi la façon dont elle intègre le mythe originel à sa propre revisite.
Le résultat est époustouflant et nous plonge dans un univers magique et trompeur, dans lequel chaque personnage à son rôle à jouer, mais également quelque chose à apporter. On sent qu'un complot se joue et, à l'instar de Rozenn, on essaie de le déjouer et de découvrir qui en tire les ficelles. Je me suis régalée, j'ai adoré l'intrigue, le décor, la fantasy mise en place par l'auteure. Tout est très bien amené, et j'ai déjà hâte de pouvoir me plonger dans la suite de cette série !
Lien : https://aliceneverland.com/2..
Rozenn n'est pas une djinn comme les autres. Elle est, en effet, princesse de l'une des Castes les plus importantes de son peuple. Aussi, lorsqu'elle apprend que le sultan dagnir Maddy les invite, elle et ses soeurs, à séjourner dans son palais afin de faire connaissance avec ses propres fils, Rozenn ne peut s'empêcher de penser que ce dernier a en tête un projet beaucoup plus sombre…
Rozenn est une jeune fille pleine de fraicheur, intrépide et fougueuse. Avec son caractère affirmé et sa détermination, c'est typiquement le genre d'héroïne que l'on prend plaisir à suivre. J'ai tout simplement adoré son personnage.
Si la trame de l'intrigue, elle, reste assez basique, l'auteure la mène d'une main de maitre, sur un rythme soutenu qui ne laisse aucune place aux temps morts. Les personnages sont profonds et ont chacun leur personnalité propre, cachant de multiples secrets
Par contre, le gros, l'énorme point fort de cette histoire, c'est son univers. Quel régal ! Laetitia Danae revisite la mythologie des djinns de façon novatrice et enchanteresse. J‘ai adoré découvrir toutes les spécificités qu'elle met en place, mais aussi la façon dont elle intègre le mythe originel à sa propre revisite.
Le résultat est époustouflant et nous plonge dans un univers magique et trompeur, dans lequel chaque personnage à son rôle à jouer, mais également quelque chose à apporter. On sent qu'un complot se joue et, à l'instar de Rozenn, on essaie de le déjouer et de découvrir qui en tire les ficelles. Je me suis régalée, j'ai adoré l'intrigue, le décor, la fantasy mise en place par l'auteure. Tout est très bien amené, et j'ai déjà hâte de pouvoir me plonger dans la suite de cette série !
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Bon alors, j'avoue que Rozenn trainait dans ma pal depuis sa sortie à vrai et ce qui est cocasse, c'est que j'ai rencontré à plusieurs reprises l'auteure de Rozenn, et le comble c'est qu'on a longuement parlé et puis plus de suite. Je l'ai rencontré à deux reprises à Mons Livres ... Petite parenthèse
J'ai adoré partir à l'aventure avec Rozenn, c'était rafraîchissant et puis rentrer dans le monde magique des djinns et des dagnires mais wha quoi, deja je connaisssais pas et puis le plan que l'auteure dresse au début pour pas qu'on se perde dans les personnages est vraiment super bien élaborés, il y a pas un moment d'essoufflements. On en apprend un peu plus sur toutes les castes au cours de la lecture, surtout sur la caste de Rozenn, les Kaplang ainsi que les autres castes.
J'ai bien aimé me plonger dans l'univers totalement magique de Rozenn, on a envie d'en savoir plus à chaque page tournée, je me suis sentie envoutée par la plume de Laetitia Danae, pour une première lecture c'est vraiment whoooa , je m'attendais pas à un tel engouement. J'ai adoré l'action, l'histoire et les détails que l'auteure nous donne avant chaque chapitre, j'ai tout adoré. Pas un seul moment, où c'est plat.
Par contre, il y a des personnages que je n'ai pas aimé mais du tout, alors il y a Daire la soeur cadette de Rozenn et Odeleen, je la trouvais vraiment immature et puis par moment vraiment vraiment agaçante. le Sultan Maddy mais comment je le hais du début à la fin du tome 1, ce mec c'est le pire, mais je vous en dis pas plus, je vous invite à découvrir.
La plume de Laetitia, j'ai adoré, elle nous met en scène des paysages et des univers tellement magique, j'ai été littéralement transporté par ce livre, merci infiniment à elle de m'avoir emmener dans son monde merveilleux des djinns avec une histoire tellement complexe mais tellement bien ficelée, que j'ai pas lâché une seule seconde le livre.
Lien : https://sockmybooks.wordpres..
J'ai adoré partir à l'aventure avec Rozenn, c'était rafraîchissant et puis rentrer dans le monde magique des djinns et des dagnires mais wha quoi, deja je connaisssais pas et puis le plan que l'auteure dresse au début pour pas qu'on se perde dans les personnages est vraiment super bien élaborés, il y a pas un moment d'essoufflements. On en apprend un peu plus sur toutes les castes au cours de la lecture, surtout sur la caste de Rozenn, les Kaplang ainsi que les autres castes.
J'ai bien aimé me plonger dans l'univers totalement magique de Rozenn, on a envie d'en savoir plus à chaque page tournée, je me suis sentie envoutée par la plume de Laetitia Danae, pour une première lecture c'est vraiment whoooa , je m'attendais pas à un tel engouement. J'ai adoré l'action, l'histoire et les détails que l'auteure nous donne avant chaque chapitre, j'ai tout adoré. Pas un seul moment, où c'est plat.
Par contre, il y a des personnages que je n'ai pas aimé mais du tout, alors il y a Daire la soeur cadette de Rozenn et Odeleen, je la trouvais vraiment immature et puis par moment vraiment vraiment agaçante. le Sultan Maddy mais comment je le hais du début à la fin du tome 1, ce mec c'est le pire, mais je vous en dis pas plus, je vous invite à découvrir.
La plume de Laetitia, j'ai adoré, elle nous met en scène des paysages et des univers tellement magique, j'ai été littéralement transporté par ce livre, merci infiniment à elle de m'avoir emmener dans son monde merveilleux des djinns avec une histoire tellement complexe mais tellement bien ficelée, que j'ai pas lâché une seule seconde le livre.
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Puisque j'aime la fantasy orientale, je louchais sur Rozenn depuis un bon moment. Et comme j'en entendais constamment du bien, je l'ai sorti de ma PAL.
Le monde de l'auteure est intéressant, les pouvoirs des Djinns et la domination des Dagnirs étaient bien expliqués, son écriture était plutôt fluide mais ses personnages manquaient de nuance. On aurait dit que chaque personnage est défini par un trait de personnalité précis et c'est tout.
Rozenn est l'impétueuse de feu, Odeleen la tempérance d'eau, et Daire est la quintessence de l'immaturité et de la futilité. Je ne supportais pas du tout Daire, car ce trait de caractère est celui qui colle le moins avec le mien et son comportement m'agaçait plus qu'autre chose. Même du côté des personnages masculins, on retrouve ce manque de subtilité dans les caractères : Callum est insolent et rustre (mais je l'ai apprécié), Cameron est tendre et aimant et Cayden est un juste milieu des deux.
C'est dommage. C'est principalement les personnages qui me font apprécier une histoire, et l'aspect cliché et rapide du speed-dating entre ces six personnages avec en prime un développement de romance très rapide, n'a pas joué en a faveur de mon appréciation.
Mis à part Rozenn dont j'ai aimé le caractère car elle était la mieux travaillée puisqu'elle se montre douce avec ses soeurs et a des faiblesses, les manigances du Sultan et de sa femme étaient trop gros pour que je prenne vraiment plaisir à l'aspect machination et suspense.
Et bien que le départ de l'histoire m'a laissé dubitative car au début elles sont déterminées à s'enfuir de la Bulle (le lieu où elle réside pour échapper aux fiançailles), puis quelques paragraphes plus tard, elles acceptent leur sort facilement, la suite concernant l'aspect politique et la souffrance du peuple rehaussait le tout.
Je pense lire le tome 2 par curiosité, pour surtout voir ce qu'il adviendra après la fin, mais ce ne sera pas une priorité.
Lien : https://letempodeslivres.wor..
Le monde de l'auteure est intéressant, les pouvoirs des Djinns et la domination des Dagnirs étaient bien expliqués, son écriture était plutôt fluide mais ses personnages manquaient de nuance. On aurait dit que chaque personnage est défini par un trait de personnalité précis et c'est tout.
Rozenn est l'impétueuse de feu, Odeleen la tempérance d'eau, et Daire est la quintessence de l'immaturité et de la futilité. Je ne supportais pas du tout Daire, car ce trait de caractère est celui qui colle le moins avec le mien et son comportement m'agaçait plus qu'autre chose. Même du côté des personnages masculins, on retrouve ce manque de subtilité dans les caractères : Callum est insolent et rustre (mais je l'ai apprécié), Cameron est tendre et aimant et Cayden est un juste milieu des deux.
C'est dommage. C'est principalement les personnages qui me font apprécier une histoire, et l'aspect cliché et rapide du speed-dating entre ces six personnages avec en prime un développement de romance très rapide, n'a pas joué en a faveur de mon appréciation.
Mis à part Rozenn dont j'ai aimé le caractère car elle était la mieux travaillée puisqu'elle se montre douce avec ses soeurs et a des faiblesses, les manigances du Sultan et de sa femme étaient trop gros pour que je prenne vraiment plaisir à l'aspect machination et suspense.
Et bien que le départ de l'histoire m'a laissé dubitative car au début elles sont déterminées à s'enfuir de la Bulle (le lieu où elle réside pour échapper aux fiançailles), puis quelques paragraphes plus tard, elles acceptent leur sort facilement, la suite concernant l'aspect politique et la souffrance du peuple rehaussait le tout.
Je pense lire le tome 2 par curiosité, pour surtout voir ce qu'il adviendra après la fin, mais ce ne sera pas une priorité.
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Un gros coup de coeur pour ce roman de Laeticia DANAE, publié aux éditions Plume Blanche, dont je découvre le travail avec émerveillement. Ce roman faisait notamment parti de la box Mille et Un livres de Juillet 2018 ;) .
Petit topo sur l'histoire : Rozzen est une jeune princesse djinn vivant paisiblement avec ses soeurs, Odeleen l'aînée et Daire la cadette, au sein de ce que leur peuple appelle la Bulle de Mydriav. Ce petit hameau de paix est un cocon protecteur pour les djinns pourchassés par les Sang Visage, ces hommes sans foi ni loi qui chassent le fluide magique de cette nation longtemps asservie par les djanirs, nation sans pouvoir et ennemis juré des djinns. La famille de Rozzen fait partie des Intouchables, c'est à dire que contrairement aux autres djinns, il est impossible de "ponctionner" leur sang (ou leur fluide) impunément, cependant elle porte malgré tout ce tatouage au poignet, cette entrave qui l'empêche de faire usage de son pouvoir. Au fil des pages, on découvre que l'insouciance des trois soeurs est chamboulée lorsque leur père, le Grand vizir de l'île de Mydriav, leur impose un départ pour la ville djanir de Prétamia, où elles seront données en mariage aux enfants du sultan Maddy, les frères Cayden, Cameron et Callum. Réticentes au départ, elles se plient non sans appréhensions à la décision de leur père qui y voit une alliance essentielle pour la préservation de la paix. C'est ainsi que nos trois princesses s'envolent à dos de Shadhahvars, pour cette ville inconnue qui renferme de lourds secrets. Entre intrigues, sentiments, lutte des classes et manigances, Rozzen va devoir user de stratégie pour démêler les vrais visages des faux, et faire face à la terrible vérité qui l'y attend.
J'ai tout simplement a-do-ré ce roman aux influences orientales. On note quelques rapprochements avec les saga Harry Potter, le Trône de Fer ou encore B.O.A de Mélanie Laurent. L'ambiance des palais orientaux est présente sans être suffocante, l'ensemble est décrit avec harmonie. En bref, une pure moment bonheur et de lecture.
Le personnage de Rozzen, qui est l'héroïne du roman, est tout en nuances, imprévisible, entier. Elle est dotée d'un instinct sans faille, qui la pousse a être insolente et sûre de ses convictions. Ses propos et sa franchise parfois abrupts lui valent quelques péripéties lors de son arrivée à Prétamia, principalement auprès de la Sultane qui ne la porte pas dans son coeur. Attachée à sa nation, Rozzen va tout faire pour découvrir la vérité sur ce que son peuple endure, sans jamais renier ses origines. Sa soeur Odeleen apporte de la douceur et s'avère être une sorte de pilier. Réfléchie, mature, elle s'avère être une oreille attentive. de son côté, Daire succombe à l'immaturité légitime de son âge (16 ans) et au faste que sa nouvelle vie à Prétamia lui propose. Vous l'aurez compris, trois personnages aux caractères bien différents qui vont vivre leur nouvelle vie forcée de façon totalement différente.
L'écriture de Laeticia Danae est d'une fluidité comme je crois n'avoir que très rarement lue, elle rend l'histoire addictive et sans jamais présenter de temps mort. Elle sait rendre ses personnages vivants tout comme le décor. La magie qui entoure l'histoire des djinns est décrite d'une façon à ce que tout soit naturel, comme si ce que l'on lisait était la réalité (qui sait d'ailleurs, peut-être l'est-ce ;) ). Les premières pages plantent le décor en évoquant les différents familles djinns et djanirs avec l'illustration de leur entrave, ce qui permet aux lecteurs de se situer avant même la lecture. Chaque chapitre est précédé d'un petit paragraphe précieux qui met la lumière sur certaines zone d'ombres. Des petits détails que j'ai beaucoup appréciés et qui rendent le récits encore plus précis, plus complet.
Petit mot également pour le livre en lui-même que je trouve particulièrement original. La police d'écriture respecte l'ambiance orientale et le roman est lui même divisé en quatre parties distinctes qui délimitent agréablement les intrigues. Des arabesques ornent les coins, ce qui ajoute un certain charme à la lecture et nous plonge dans cette histoire venue tout droit des milles et une Nuits.
En conclusion, je referme ce premier tome avec l'intime conviction que ce roman promet encore de très belles intrigues pour la suite. Je vous invite vivement à vous le procurer si vous aimez les héroïnes combatives, prêtent à tout pour faire cesser les injustices mais qui s'avèrent également tiraillées par leurs sentiments.
Petit topo sur l'histoire : Rozzen est une jeune princesse djinn vivant paisiblement avec ses soeurs, Odeleen l'aînée et Daire la cadette, au sein de ce que leur peuple appelle la Bulle de Mydriav. Ce petit hameau de paix est un cocon protecteur pour les djinns pourchassés par les Sang Visage, ces hommes sans foi ni loi qui chassent le fluide magique de cette nation longtemps asservie par les djanirs, nation sans pouvoir et ennemis juré des djinns. La famille de Rozzen fait partie des Intouchables, c'est à dire que contrairement aux autres djinns, il est impossible de "ponctionner" leur sang (ou leur fluide) impunément, cependant elle porte malgré tout ce tatouage au poignet, cette entrave qui l'empêche de faire usage de son pouvoir. Au fil des pages, on découvre que l'insouciance des trois soeurs est chamboulée lorsque leur père, le Grand vizir de l'île de Mydriav, leur impose un départ pour la ville djanir de Prétamia, où elles seront données en mariage aux enfants du sultan Maddy, les frères Cayden, Cameron et Callum. Réticentes au départ, elles se plient non sans appréhensions à la décision de leur père qui y voit une alliance essentielle pour la préservation de la paix. C'est ainsi que nos trois princesses s'envolent à dos de Shadhahvars, pour cette ville inconnue qui renferme de lourds secrets. Entre intrigues, sentiments, lutte des classes et manigances, Rozzen va devoir user de stratégie pour démêler les vrais visages des faux, et faire face à la terrible vérité qui l'y attend.
J'ai tout simplement a-do-ré ce roman aux influences orientales. On note quelques rapprochements avec les saga Harry Potter, le Trône de Fer ou encore B.O.A de Mélanie Laurent. L'ambiance des palais orientaux est présente sans être suffocante, l'ensemble est décrit avec harmonie. En bref, une pure moment bonheur et de lecture.
Le personnage de Rozzen, qui est l'héroïne du roman, est tout en nuances, imprévisible, entier. Elle est dotée d'un instinct sans faille, qui la pousse a être insolente et sûre de ses convictions. Ses propos et sa franchise parfois abrupts lui valent quelques péripéties lors de son arrivée à Prétamia, principalement auprès de la Sultane qui ne la porte pas dans son coeur. Attachée à sa nation, Rozzen va tout faire pour découvrir la vérité sur ce que son peuple endure, sans jamais renier ses origines. Sa soeur Odeleen apporte de la douceur et s'avère être une sorte de pilier. Réfléchie, mature, elle s'avère être une oreille attentive. de son côté, Daire succombe à l'immaturité légitime de son âge (16 ans) et au faste que sa nouvelle vie à Prétamia lui propose. Vous l'aurez compris, trois personnages aux caractères bien différents qui vont vivre leur nouvelle vie forcée de façon totalement différente.
L'écriture de Laeticia Danae est d'une fluidité comme je crois n'avoir que très rarement lue, elle rend l'histoire addictive et sans jamais présenter de temps mort. Elle sait rendre ses personnages vivants tout comme le décor. La magie qui entoure l'histoire des djinns est décrite d'une façon à ce que tout soit naturel, comme si ce que l'on lisait était la réalité (qui sait d'ailleurs, peut-être l'est-ce ;) ). Les premières pages plantent le décor en évoquant les différents familles djinns et djanirs avec l'illustration de leur entrave, ce qui permet aux lecteurs de se situer avant même la lecture. Chaque chapitre est précédé d'un petit paragraphe précieux qui met la lumière sur certaines zone d'ombres. Des petits détails que j'ai beaucoup appréciés et qui rendent le récits encore plus précis, plus complet.
Petit mot également pour le livre en lui-même que je trouve particulièrement original. La police d'écriture respecte l'ambiance orientale et le roman est lui même divisé en quatre parties distinctes qui délimitent agréablement les intrigues. Des arabesques ornent les coins, ce qui ajoute un certain charme à la lecture et nous plonge dans cette histoire venue tout droit des milles et une Nuits.
En conclusion, je referme ce premier tome avec l'intime conviction que ce roman promet encore de très belles intrigues pour la suite. Je vous invite vivement à vous le procurer si vous aimez les héroïnes combatives, prêtent à tout pour faire cesser les injustices mais qui s'avèrent également tiraillées par leurs sentiments.
L'univers de Rozenn est original et cela fait plaisir de découvrir un monde fantasy que l'on a pas l'habitude de côtoyer.
La personnage principale a un caractère bien trempé et les sujets soulevés (discrimination , corruption politique, jeux de pouvoir etc) sont très intéressants et bien menés.
Chaque personnage secondaire a un rôle à jouer et j'ai hâte de découvrir le second tome afin d'avancer dans l'intrigue et en découvrir d'avantage !
La personnage principale a un caractère bien trempé et les sujets soulevés (discrimination , corruption politique, jeux de pouvoir etc) sont très intéressants et bien menés.
Chaque personnage secondaire a un rôle à jouer et j'ai hâte de découvrir le second tome afin d'avancer dans l'intrigue et en découvrir d'avantage !
Je n'avais plus d'audiobook en cours et j'ai décidé de lire / écouter la duologie Rozenn de Laëtitia Danaé dans cette superbe édition Poche J'ai Lu. le 1er tome étant gratuit avec mon abonnement Audible, c'était le bon moment !
De l'autrice, je n'avais lu pour le moment que le 1er tome de Fleurs d'Oko dans sa 1ère édition puisqu'il était finaliste du Plib 2022. Sachez qu'une nouvelle édition revisitée de ce 1er tome par l'autrice vient de sortir chez Hachette qui publiera la suite. J'avais énormément apprécié la plume et l'imaginaire de Laëtita aussi j'étais curieuse de découvrir cette duologie de Fantasy d'inspiration orientale…
Rozenn Kaplang est une djinn. Durant de longues années, son peuple a souffert de la domination des dagnirs, mais si l'esclavage est officiellement aboli, la liberté, elle, garde un goût amer. Et si une union entre princes et princesses de ces différentes tribus permettait de tirer un trait sur un douloureux passé ?
J'ai passé un excellent moment avec cette duologie ! J'ai retrouvé la beauté, la fluidité et l'addictivité de la plume de l'autrice et l'audiobook est de très bonne qualité avec une lectrice qui sait nous emporter.
L'univers est vraiment riche et bien construit et les personnages sont très attachants. J'ai particulièrement aimé le personnage de Rozenn qui, malgré sa jeunesse, est mature et réfléchie. L'intrigue est vraiment prenante et les enjeux sont clairement présentés, ce qui n'est pas toujours le cas en Fantasy. Je ne suis pas une habituée des Fantasy orientales et j'ai aimé découvrir l'univers et les pouvoirs des Djinns que nous proposent ici l'autrice.
Une Fantasy Young Adult que je vous conseille donc et surtout qui n'a pas présenté les écueils du genre qui me font souvent les yeux au ciel !
Je relirai définitivement le 1er tome de Fleurs d'Oko dans sa réédition et je découvrirai avec plaisir la trilogie Lune Pourpre dont je possède le 1er tome !
De l'autrice, je n'avais lu pour le moment que le 1er tome de Fleurs d'Oko dans sa 1ère édition puisqu'il était finaliste du Plib 2022. Sachez qu'une nouvelle édition revisitée de ce 1er tome par l'autrice vient de sortir chez Hachette qui publiera la suite. J'avais énormément apprécié la plume et l'imaginaire de Laëtita aussi j'étais curieuse de découvrir cette duologie de Fantasy d'inspiration orientale…
Rozenn Kaplang est une djinn. Durant de longues années, son peuple a souffert de la domination des dagnirs, mais si l'esclavage est officiellement aboli, la liberté, elle, garde un goût amer. Et si une union entre princes et princesses de ces différentes tribus permettait de tirer un trait sur un douloureux passé ?
J'ai passé un excellent moment avec cette duologie ! J'ai retrouvé la beauté, la fluidité et l'addictivité de la plume de l'autrice et l'audiobook est de très bonne qualité avec une lectrice qui sait nous emporter.
L'univers est vraiment riche et bien construit et les personnages sont très attachants. J'ai particulièrement aimé le personnage de Rozenn qui, malgré sa jeunesse, est mature et réfléchie. L'intrigue est vraiment prenante et les enjeux sont clairement présentés, ce qui n'est pas toujours le cas en Fantasy. Je ne suis pas une habituée des Fantasy orientales et j'ai aimé découvrir l'univers et les pouvoirs des Djinns que nous proposent ici l'autrice.
Une Fantasy Young Adult que je vous conseille donc et surtout qui n'a pas présenté les écueils du genre qui me font souvent les yeux au ciel !
Je relirai définitivement le 1er tome de Fleurs d'Oko dans sa réédition et je découvrirai avec plaisir la trilogie Lune Pourpre dont je possède le 1er tome !
Petite lecture de circonstance avec cette chaleur caniculaire. J'ai adoré mon incursion au sein des merveilleux et séduisants paysages esquissés à l'image des plus beaux contes orientaux tel Mille et une nuits. de chatoyantes et chaleureuses contrées m'ont ouvert leurs portes et j'ai été bien plus que saisi par ce sentiment d'évasion qui n'a m'a pas quitté un seul instant.
On y retrouve 3 soeurs qui, pour assurer la paix, vont devoir rencontrer en vu d'un mariage 3 princes. Au-delà de l'aspect mariage, qui est mis en avant dans le résumé, c'est une machination de grande ampleur qui est à l'oeuvre dans Rozenn. On commence à le comprendre dans ce 1er tome, sans en avoir encore tous les éléments. Entre les complots et la séduction, chacun y trouve son compte.
Si Rozenn proclame dès le début du livre son refus de mariage arrangé en compagnie de ses soeurs, la suite va évidemment donner tort aux trois soeurs. Ainsi, nous allons forcément nous retrouver face à plusieurs romances, voire à des triangles amoureux. Loin d'être parfaite ou invincible, Rozeen est un personnage que j'adore, car elle reste elle-même et elle ne cache pas ce qu'elle pense. Elle est prête à faire tous les sacrifices possibles pour les causes qu'elle défend.
J'ai pris plaisir à découvrir les différents peuples des djinns et à arpenter le palais du Sultan avec Rozeen. Cependant, j'ai rencontré quelques difficultés avec le bestiaire utilisé.
Une fois cette difficulté surmontée, j'ai autant adoré découvrir les coulisses du fonctionnement de la capitale, que découvrir les enjeux politiques ainsi que les jeux de coeur et de cour.
La plume de @laetitiadanae est fluide. le récit ne souffre d'aucune lenteur. On a accès aux émotions directs des personnages, à leurs espoirs, leurs combats... Et avant que je m'en rende compte, je me suis retrouvée en plein désert, à Pretamia.
Ce livre permet également d'aborder certains sujets sensibles comme l'esclave, le mariage forcé, la tyranie, la dépendance à la drogue….etc Toutes ces thématiques s'imbriquent parfaitement dans ce tome, et agrémentent le récit.
Ce que j'en retiens:
Un magnifique premier tome, aussi bien du point de vue de l'histoire et des personnages que de l'objet livre lui-même ; Je dispose de l'intégral et ce livre est travaillé: par exemple des dessins sur les débuts de chapitre ou encore les illustrations des 2 tomes, ou différentes parties du livre.
À date de ce post, j'ai quasiment fini le livre 2.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
On y retrouve 3 soeurs qui, pour assurer la paix, vont devoir rencontrer en vu d'un mariage 3 princes. Au-delà de l'aspect mariage, qui est mis en avant dans le résumé, c'est une machination de grande ampleur qui est à l'oeuvre dans Rozenn. On commence à le comprendre dans ce 1er tome, sans en avoir encore tous les éléments. Entre les complots et la séduction, chacun y trouve son compte.
Si Rozenn proclame dès le début du livre son refus de mariage arrangé en compagnie de ses soeurs, la suite va évidemment donner tort aux trois soeurs. Ainsi, nous allons forcément nous retrouver face à plusieurs romances, voire à des triangles amoureux. Loin d'être parfaite ou invincible, Rozeen est un personnage que j'adore, car elle reste elle-même et elle ne cache pas ce qu'elle pense. Elle est prête à faire tous les sacrifices possibles pour les causes qu'elle défend.
J'ai pris plaisir à découvrir les différents peuples des djinns et à arpenter le palais du Sultan avec Rozeen. Cependant, j'ai rencontré quelques difficultés avec le bestiaire utilisé.
Une fois cette difficulté surmontée, j'ai autant adoré découvrir les coulisses du fonctionnement de la capitale, que découvrir les enjeux politiques ainsi que les jeux de coeur et de cour.
La plume de @laetitiadanae est fluide. le récit ne souffre d'aucune lenteur. On a accès aux émotions directs des personnages, à leurs espoirs, leurs combats... Et avant que je m'en rende compte, je me suis retrouvée en plein désert, à Pretamia.
Ce livre permet également d'aborder certains sujets sensibles comme l'esclave, le mariage forcé, la tyranie, la dépendance à la drogue….etc Toutes ces thématiques s'imbriquent parfaitement dans ce tome, et agrémentent le récit.
Ce que j'en retiens:
Un magnifique premier tome, aussi bien du point de vue de l'histoire et des personnages que de l'objet livre lui-même ; Je dispose de l'intégral et ce livre est travaillé: par exemple des dessins sur les débuts de chapitre ou encore les illustrations des 2 tomes, ou différentes parties du livre.
À date de ce post, j'ai quasiment fini le livre 2.
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Je n'ai pas été séduite par ce roman. Je n'avais pourtant lu et entendu que de bons commentaires. Peut-être que, du coup, j'en attendais trop ? Je trouve tout de même qu'il y a de sérieuses faiblesses dans cette histoire. Voici selon moi, les principales :
1. L'univers : l'histoire se déroule dans un univers inspiré du Moyen-Orient. J'étais HYPER emballée. J'avais déjà lu une saga de ce type que j'avais adorée. Problème : cet univers n'est pas suffisamment exploité et s'efface parfois au profit de descriptions qui correspondent plutôt à un cadre occidental. Exemples : la sultane prend le thé dans son boudoir, dans une tasse avec une soucoupe. Dans un univers oriental, je l'aurais plutôt imaginée dans un atrium, buvant son thé dans des petits verres transparents servis sur un grand plateau d'argent ; le palais de Pretamia est au milieu du désert et possède de beaux jardins dont la description fait plus penser à des jardins à la française qu'à une oasis… bref, ce manque de cohérence dans les descriptions nous sort régulièrement de son univers. Dommage. Et que dire des noms des personnages ? Si certains ont une consonance orientale (Ishmer, Iqbal, Rakshan (qui fait plus indien que arabe, mais soit), ce n'est vraiment pas le cas de la majorité : Cameron, Padmé, Odeleen, Daire, Maddy... (et j'en passe). Ça sonne oriental pour vous ? Je ne comprends vraiment pas ce choix.
2. le manque de cohérence des personnages : c'est probablement ce qui m'a le plus frappé quand j'ai commencé cette lecture. Les actions et réactions des personnages ne collent pas avec la description que l'autrice nous en fait. Exemples :
Il y a des centaines d'exemples de ce type dans le 1er tome… Encore quelques uns pour la route :
3. Rozenn est une vraie girouette : ses émotions vont dans tous les sens en permanence, si bien qu'on ne sait plus si elle est en colère, jalouse, mélancolique, indignée, excitée… ca change toutes les 2 lignes. Bon, ça peut se justifier, on peut dire que c'est son caractère qui est comme ça. Mais c'est pas évident à suivre, et ça rend la compréhension plus difficile.
4. le style d'écriture : insuffisant. C'est lourd, c'est rempli de phrases toute faites et surtout, certaines phrases sont approximatives, comme si l'autrice avait voulu les rendre plus compliquées que nécessaires. Exemple : “j'avais presque l'impression de pouvoir palper son mécontentement”. Outre la lourdeur de la phrase (“son mécontentement était palpable” aurait fait l'affaire), la place de “presque” ne vous choque pas ? Peut-on réellement avoir “presque l'impression” de quelque chose ? Vous vous dites peut-être que j'exagère mais, à nouveau, le livre est truffé d'approximations et de lourdeurs de ce type. Et ça rend le style global vraiment moyen.
5. « Show, don't tell » : ce principe est inexistant dans ce roman. Tout est expliqué, rien n'est montré.
6. Il ne se passe RIEN. Voici le résumé du 1er tome :
L'autrice a réussi l'exploit de donner l'impression que tout va trop vite sans qu'il ne se passe rien.
Bref, je ne suis pas encore sûre de me lancer dans le tome 2… Malgré la faiblesse de ce premier tome, l'autrice parvient quand même à le terminer sur un bon cliffhanger qui laisse présager un tome 2 avec plus d'enjeux et d'action. Donc potentiellement plus intéressant.
1. L'univers : l'histoire se déroule dans un univers inspiré du Moyen-Orient. J'étais HYPER emballée. J'avais déjà lu une saga de ce type que j'avais adorée. Problème : cet univers n'est pas suffisamment exploité et s'efface parfois au profit de descriptions qui correspondent plutôt à un cadre occidental. Exemples : la sultane prend le thé dans son boudoir, dans une tasse avec une soucoupe. Dans un univers oriental, je l'aurais plutôt imaginée dans un atrium, buvant son thé dans des petits verres transparents servis sur un grand plateau d'argent ; le palais de Pretamia est au milieu du désert et possède de beaux jardins dont la description fait plus penser à des jardins à la française qu'à une oasis… bref, ce manque de cohérence dans les descriptions nous sort régulièrement de son univers. Dommage. Et que dire des noms des personnages ? Si certains ont une consonance orientale (Ishmer, Iqbal, Rakshan (qui fait plus indien que arabe, mais soit), ce n'est vraiment pas le cas de la majorité : Cameron, Padmé, Odeleen, Daire, Maddy... (et j'en passe). Ça sonne oriental pour vous ? Je ne comprends vraiment pas ce choix.
2. le manque de cohérence des personnages : c'est probablement ce qui m'a le plus frappé quand j'ai commencé cette lecture. Les actions et réactions des personnages ne collent pas avec la description que l'autrice nous en fait. Exemples :
Il y a des centaines d'exemples de ce type dans le 1er tome… Encore quelques uns pour la route :
3. Rozenn est une vraie girouette : ses émotions vont dans tous les sens en permanence, si bien qu'on ne sait plus si elle est en colère, jalouse, mélancolique, indignée, excitée… ca change toutes les 2 lignes. Bon, ça peut se justifier, on peut dire que c'est son caractère qui est comme ça. Mais c'est pas évident à suivre, et ça rend la compréhension plus difficile.
4. le style d'écriture : insuffisant. C'est lourd, c'est rempli de phrases toute faites et surtout, certaines phrases sont approximatives, comme si l'autrice avait voulu les rendre plus compliquées que nécessaires. Exemple : “j'avais presque l'impression de pouvoir palper son mécontentement”. Outre la lourdeur de la phrase (“son mécontentement était palpable” aurait fait l'affaire), la place de “presque” ne vous choque pas ? Peut-on réellement avoir “presque l'impression” de quelque chose ? Vous vous dites peut-être que j'exagère mais, à nouveau, le livre est truffé d'approximations et de lourdeurs de ce type. Et ça rend le style global vraiment moyen.
5. « Show, don't tell » : ce principe est inexistant dans ce roman. Tout est expliqué, rien n'est montré.
6. Il ne se passe RIEN. Voici le résumé du 1er tome :
L'autrice a réussi l'exploit de donner l'impression que tout va trop vite sans qu'il ne se passe rien.
Bref, je ne suis pas encore sûre de me lancer dans le tome 2… Malgré la faiblesse de ce premier tome, l'autrice parvient quand même à le terminer sur un bon cliffhanger qui laisse présager un tome 2 avec plus d'enjeux et d'action. Donc potentiellement plus intéressant.
Alors, je n'ai pas vraiment « lu » Rozenn. Je l'ai écouté. Ce qui a créé de petites confusions dans le nom des différents protagonistes et il a fallu un petit moment pour que je me retrouve dans le qui est qui.
Mais une fois fait, l'histoire s'est déroulée toute seule, avec une fluidité remarquable, jusqu'au cliffhanger final qui m'a donné envie de me jeter sur la suite.
J'ai bien aimé Rozenn. Elle est pleine de conviction, elle veut protéger son peuple et elle est prête à faire n'importe quoi pour ça. Elle a tendance à partir au quart de tour, ce que tout le monde sait, même l'empereur, qui lui offre son petit animal de compagnie que j'imagine si mignon pour essayer de l'apprivoiser.
Elle bâtit des plans tirés par les cheveux pour essayer de démêler le faux du vrai et de gagner suffisamment d'influence pour changer la donne.
J'ai bien aimé les personnages secondaires aussi. Aucun ne se ressemble, aucun ne fonctionne pareil. Je me suis, étonnamment, particulièrement attachée à Callum, même si, comme Roz, je ne sais absolument pas sur quel pied danser avec lui. J'ai apprécié les autres princes, le plus gentil comme le plus mystérieux. J'ai pris en grippe la plus jeune de ses soeurs.
En fait, les émotions de Roz ont été les miennes toute au long de cette histoire. J'ai été en colère quand elle l'a été, triste en même temps qu'elle.
C'est ce qui fait la magie de cette lecture : je suis rentrée dans l'univers, qui est devenu mien et j'ai vécu avec Rozenn comme si j'étais elle.
Ca n'arrive plus si souvent qu'un(e) auteur(e) m'embarque à fond dans son aventure alors je suis toujours hyper ravie quand c'est le cas.
J'ai aimé m'imaginer ce monde d'inspiration orientale, du palais à l'arbre dans lequel vit Roz au début. J'ai aimé imaginer les djinns et leurs pouvoirs d'antan. Les descriptions sont belles et légères, juste ce qu'il faut pour bien se représenter l'univers.
Je peux affirmer sans mentir que j'ai aimé découvrir cette histoire et que j'ai désormais qu'une hâte (non, c'est faux. Si j'avais qu'une hâte, ça se saurait), c'est de découvrir la fin.
Mais une fois fait, l'histoire s'est déroulée toute seule, avec une fluidité remarquable, jusqu'au cliffhanger final qui m'a donné envie de me jeter sur la suite.
J'ai bien aimé Rozenn. Elle est pleine de conviction, elle veut protéger son peuple et elle est prête à faire n'importe quoi pour ça. Elle a tendance à partir au quart de tour, ce que tout le monde sait, même l'empereur, qui lui offre son petit animal de compagnie que j'imagine si mignon pour essayer de l'apprivoiser.
Elle bâtit des plans tirés par les cheveux pour essayer de démêler le faux du vrai et de gagner suffisamment d'influence pour changer la donne.
J'ai bien aimé les personnages secondaires aussi. Aucun ne se ressemble, aucun ne fonctionne pareil. Je me suis, étonnamment, particulièrement attachée à Callum, même si, comme Roz, je ne sais absolument pas sur quel pied danser avec lui. J'ai apprécié les autres princes, le plus gentil comme le plus mystérieux. J'ai pris en grippe la plus jeune de ses soeurs.
En fait, les émotions de Roz ont été les miennes toute au long de cette histoire. J'ai été en colère quand elle l'a été, triste en même temps qu'elle.
C'est ce qui fait la magie de cette lecture : je suis rentrée dans l'univers, qui est devenu mien et j'ai vécu avec Rozenn comme si j'étais elle.
Ca n'arrive plus si souvent qu'un(e) auteur(e) m'embarque à fond dans son aventure alors je suis toujours hyper ravie quand c'est le cas.
J'ai aimé m'imaginer ce monde d'inspiration orientale, du palais à l'arbre dans lequel vit Roz au début. J'ai aimé imaginer les djinns et leurs pouvoirs d'antan. Les descriptions sont belles et légères, juste ce qu'il faut pour bien se représenter l'univers.
Je peux affirmer sans mentir que j'ai aimé découvrir cette histoire et que j'ai désormais qu'une hâte (non, c'est faux. Si j'avais qu'une hâte, ça se saurait), c'est de découvrir la fin.
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