La Bicyclette bleue, tome 2 : 101, avenue Henri-Martin

Automne 1942. La guerre et l'occupation se sont imposées dans le quotidien de la bordelaise Léa Delmas, qui s'est engagée dans la Résistance. Son amoureux Laurent est marié, papa d'un petit garçon, et lutte constamment contre les Allemands. Quant à sa soeur aînée, Françoise, elle est enceinte de son amant allemand.

Deuxième tome de la saga de la Bicyclette bleue, 101, avenue Henri-Martin nous plonge dans la vie d'un pays abruti par la dureté de la Seconde Guerre mondiale. Dans ce contexte, l'héroïne, Léa, apparaît comme un feu follet, égoïste mais courageuse, de plus en plus adulte tout en gardant des réflexes d'adolescente. Elle forme un joli duo avec François Tavernier, héros mystérieux et ironique, dénué de clichés. Raphaël Mahl, ami de la jeune femme qui joue un rôle important de ce tome, se détache aussi par son ambiguïté.

Pour autant, Régine Deforges n'échappe pas aux facilités. Sa galerie de personnages ressemble malheureusement de plus en plus à un catalogue. Mais le tout est raconté de manière vive, en évitant de trop longs temps morts.

On passe donc un fort bon moment au 101, avenue Henri-Martin (même si dans le livre, ce n'est pas une adresse très recommandable).

Adolescente, j'ai suivi avec "ferveur" les aventures de ces personnages rocambolesques, tremblé et pleuré avec eux...

deuxième volet de la bicyclette bleue. plus sombre, que dire sur cette France de délatio

Ce deuxième tome "s'éloigne" un peu du premier, on y trouve moins le côté famille, amours… On y parle beaucoup plus de la guerre, de la résistance, peut-être même un peu trop, je trouve, ce qui fait, que j'ai trouvé cette lecture un peu plus longue que la première. Je suis tout de même contente, que la relation entre Léa Delmas et François Tavernier, commence à prendre un peu plus d'importance, en espérant que celle-ci, évolue un peu plus dans le tome trois "le Diable en rit encore"… !

45. La bicyclette bleue 2. 101 avenue Henri-marin - c'est l'occupation en France et Léa entre dans la résistance avec plusieurs personnes de sa famille. Nous verrons comment les français survivent à cette période difficile. Lea est beaucoup moins frivole. -

interessant de voir le point de vue de cet angle. Mais j'ai eu du mal avec les nombreux restaurants chics de paris.

Même si cela peut paraitre pour un remake d'Autant en emporte le vent,j'ai bien aimé le style de Régine Desforges et à ceux qui parlent de plagiat je dirais que les histoires d'amour finissent par se ressembler et comme pour la musique ,il n'y a que 7 notes et que des similitudes se retrouvent!