Les quatre saisons de l'été

Une idée de départ pas très originale, mais bon, pourquoi pas : croiser les aventures de 4 couples dans le même été. Mais je n'ai pas vu de délicatesse dans ces croisements, mais plutôt des grosses ficelles, des dénouements attendus, et des lourdeurs.
Dommage et tant pis pour moi ; j'avais aimé la liste de mes envies, et j'avais été ému par L'écrivain de la famille. Là, j'ai vu un livre de commande, expédié, sans la finesse des précédents.

Est-ce une erreur de planification ? Ce petit opus de Grégoire DELACOURT ne m'a guère plu en ce début de saison hivernale... le titre, la couleur de la couverture, la tenue de la plongeuse m'avaient laissé croire à un bouquet d'été, de chaleur qui pourrait me réchauffer. Hé non, c'est raté ! Je n'ai pas cru longtemps en ces personnages de quatre histoires qui s'étirent sur les âges de la vie. Trop convenues, sentant l'artifice littéraire, les connections entre ces récits sont aussi factices qu'elles apportent peu à la compréhension et au rêve de chacun d'eux.

Le livre se lit facilement, heureusement, mais il s'oubliera tout aussi vite, je le crains !

Vous me parliez de quoi encore, rappelez-moi, je ne situe plus très bien...

Autant j'avais été touchée par "La liste de mes envies" autant celui-là m'a peu ému.
Rienà dire quant à l'écriture soignée, fluide et tout en douceur pour conter ses histoires d'amour à différents âges de la vie.
Le parti pris des petites vies ordinnaires est finalement ce qui m'a tenu en haleine jusqu'au bout.

Ayant fortement apprécié " On ne voyait que le bonheur " je m' étais fait une joie de commencer " Les quatre saisons " qui me semblais tout aussi prometteur. Peut être que cet empressement à finalement augmenté ma déception. Lorsque je suis arrivée à la fin de la première histoire, celle où nous découvrons Louis, adolescent de 15 ans, j ai été étonné de la rapidité avec laquelle nous arrivons à la fin. Et quelle fin ! Je ne l ai pas trouvé réaliste. Cependant celle ci était plus réaliste que la réflexion que Louis a dans le roman lorsqu'il a 15 ans. J ai d autre part trouvé que la jeune fille qu il aime, Victoire, 13 ans, est hyper sexuée !
La seconde histoire est pour part tout aussi irréaliste de part les coïncidences qui font se retrouver les deux protagonistes. Mais ce qui est le plus frappant est la naïveté du personnage ! Cette jeune femme qui malgré son ex mari et sa vie passé n arrive pas à oublier son amour de vacances qu elle n a connue que quelques jours en vacances à treize ans, me pose problème. Un peu comme dans la première histoire !! Vision pour part très réductrice de l amour. Je n'ai pas encore fini les deux autres histoires, j espère être agréablement surprise.

Je n'avais pas trop aimé « la liste de mes envies »…mais je n'avais pas vraiment détesté non plus. Je me suis dit qu'il fallait laisser une seconde chance à Grégoire Delacourt.
J'ai eu tord.
Quel ennui…
Les quatre histoires me sont apparues comme une succession de platitudes où l'auteur accumule les clichés en y rajoutant une couche de culture générale.
Les liens entre les histoires sont vraiment simplistes, grossiers et sans aucun intérêt.
Les personnages sont inintéressants et les histoires sont prévisibles.
Bon, je vais tout de même admettre que la première histoire avait un certain intérêt. La seconde m'a simplement laissée indifférente mais les deux dernières m'ont juste laissé l'impression d'avoir perdu mon temps de lecture (qui n'est déjà pas assez long à mon goût).
Le style m'a semblé très moyen et sans relief. Avec un gout immodéré pour les phrases se résumant à un-deux-trois mots qui se succèdent pour créer une succession d'images. Certes, c'est un effet de style mais répété sans cesse, c'est juste lourd.
Non, décidément, ce n'est pas pour moi. Delacourt va aller rejoindre la colonne des auteurs dont je ne dois plus ouvrir un livre.

J'ai cru lire 4 nouvelles, avant de comprendre que les histoires avaient des points communs : les lieux Senghin et le Touquet, et la date le 14 juillet 1999
C'est écrit gros, ça se lit bien, mais je ne l'ai trouvé ni "bouleversant", ni "solaire"...
Lien : http://www.unebonnenouvellep..

Voilà un livre que je n'ai pas aimé.
Certes la plume est élégante, quelques images sont heureuses sans toutefois être inoubliables. Mais que de clichés ! On croirait que ce roman a été écrit à partir de la rubrique du courrier des lectrices d'un magazine un peu paresseux. Les personnages tiennent tous du stéréotype. Il y a l'adolescente mature à la recherche de la passion, la femme délaissée et fatalement aigrie, la quinquagénaire désireuse de revivre le grand amour une fois les enfants partis, le vieux couple uni. Leurs quatre histoires s'entrecroisent sur la plage et dans les rues du Touquet, où, au passage, l'auteur nous livre les adresses de boutiques, de restaurants et d'hôtel qui lui sont chères. Pas de surprise à espérer dans les chutes de ces nouvelles artificiellement liées pour bâtir un roman. A part peut-être dans le cas de la quinquagénaire – et encore, il suffit de parcourir les nouvelles circulant sur le net pour trouver des chutes similaires. Tout manque de souffle, d'intensité.
En résumé, « Les Quatre Saisons de l'été » est l'ouvrage d'un auteur certainement doué mais qui ne me semble pas s'être fatigué.

Quatre histoires qui se déroulent en juillet au Touquet, des destins croisés qui parfois s'entremêlent, sur le sable, sous le soleil, dans la joie et parfois la peine…

Ma lecture ne fut pas désagréable, c'est à peu près ce à quoi je m'attendais, ayant déjà lu un ou deux romans de Grégoire Delacourt. Cependant, je pense que le souvenir de ce roman ne va pas rester gravé dans ma mémoire.

Sur les quatre histoires, une seule m'a touchée, les autres m'ont laissée indifférente et l'une m'a même ennuyée puisque j'avais senti venir dès le début le « twist » final.

Déçue de l'histoire un peu naïve, j'ai eu du mal à m'accrocher jusqu'au bout.

Une lecture rapide entre deux thriller, je ne suis pas une grande fan des histoires d'amours alors mon avis ne sera pas objectif.
Aucune de ces quatre histoires de m'a ému ou touché. Je reconnais la jolie plume de l'auteur qui a mis beaucoup de poésie pour raconter le premier amour, mais c'est un peu trop mièvre pour moi.
J'ai trouvé les personnages plus agaçants et fade qu'attachants, la palme revient de la seconde histoire avec la mère célibataire, il y a de nombreux clichés dans les quatre histoires. le croisement entre les différents protagonistes des histoires et assez grossier et pas utile sauf pour l'histoire de Pierre et Rose.
Un petit roman vite lu et vite oublié, j'ai découvert ce roman grâce à une opération promotion de livre de poche, il était en livre offert et je ne pense pas relire un livre de cet auteur.