Dès les premières pages, on sent bien qu'on a affaire à un connard de la pire espèce avec une obsession pour le sexe sans amour. Il est clair qu'avec une telle dégaine et manière de penser, il ne peut pas plaire à la gente féminine. Bon, j'avoue que je déteste les moustaches et les barbes et que si j'étais une femme, cela me ferait fuir dans une espèce d'horreur mêlée à un cauchemar vivant. Rien que cela et ce n'est qu'un détail. Je ne sais pas si les auteurs ont fait exprès ce personnage détestable ou si c'est une autobiographie...
Au-delà de cet aspect rébarbatif, j'avoue que j'ai trouvé un quelque chose d'intéressant. Certes, l'humour est caustique. Cela montre également le poids de la solitude et de cette misère affective. Par contre, je n'ai pas eu de pitié ou de compassion pour ce looser. J'aurais plus d'indulgence pour cette oeuvre un peu mordante à l'image de ce plan de copulation des vaches qui restera dans les annales.
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Un album qui magnifie le célibat dans ce qu’il a de plus attachant, de plus comique et de plus sincère.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Un trait sans fioritures et des textes intelligents font de ce Début de siècle un album original et perturbant, qui va jusqu’au bout de son propos, en ne sacrifiant pas au happy end.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Ainsi, sous des dehors assez détendus, cet album aborde un sujet plus profond, qui rajoute de l'intensité au récit […], servi par un très beau dessin, suffisamment expressif et clair. Une belle découverte !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Je suis un célibataire optimiste, je me dis que mon lit est à moitié plein.