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3,86

sur 450 notes
Prenez une grande inspiration. Gonflez vos poumons à fond. Bloquez !

Et plongez en apnée dans ce thriller d'Ingrid Desjours.

Car voilà typiquement le genre de lecture qui se traverse d'une traite, sans reprendre son souffle et qui va instiller son venin au fur et à mesure des mots. Une lecture bouche bée (ce qui est un comble, quand on est en apnée), mais yeux grands ouverts.

L'auteure va loin, très loin. Loin dans la violence, loin dans la crudité. Mais également (et surtout) loin dans l'analyse psychologique et loin dans la maîtrise de sa plume.

Oui c'est une lecture éprouvante et sordide, certaines scènes sont même à la limite du soutenable. Mais bien que cette violence puisse choquer, elle n'est pas gratuite et sert à nous plonger dans les méandres de l'âme tourmentée des protagonistes.

« Plonger » est le mot qui m'a accompagné sans cesse durant cette lecture, tant Ingrid Desjours s'insinue très profond dans la tête de ses personnages aux comportements déviants, excessifs, comme si (au début) personne ne trouvait grâce aux yeux de l'auteure. Et pourtant…

On pourrait effectivement croire qu'un récit d'une telle violence rase tout sur son passage, ne laissant que terre brûlée. Il n'en est rien. L'auteure arrive (étonnamment) à faire passer des sentiments dans son histoire et à les exacerber à travers toute cette noirceur.

L'écriture est à la fois directe et imagée, incroyablement expressive, capable de nous ébranler d'un trait de plume ou de nous emporter dans des envolées exaltées.

Un récit enflammé, doté de personnages malades des douleurs de leurs passés et brisés de l'intérieur. Un récit aux confins de la folie, qui vous bringuebale par vagues successives sans qu'il vous soit possible de trouver de l'air.

Et même si on peut se douter du fin mot de l'histoire, l'important n'est pas là. Il est dans l'immersion totale dans le psychisme de personnages dévoyés par leurs souffrances.

Page 327, fin de la plongée, vous pouvez reprendre votre souffle (si vous y arrivez).
Lien : http://gruznamur.wordpress.c..
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Barbara, 6 ans: papa vient dans mon lit parce qu'il m'aime, moi, ça me plait pas trop mais il me donne des belles poupées
Barbara 8 ans:maman nous a vu , papa est parti. Maman dit que je lui ai volé son mari; elle me tape sans arret et ne fait jamais de calins, mais c'est pas grave j'ai plein de poupées avec qui parler

Barbara 24 ans: ça y est! J'ai mon diplome d'esthéticienne et je commence à travailler demain, j'ai fété ça avec des copines , je suis allé faire un agrandissement d'une photo de mon papa et me suis offerte une nouvelle poupée"sweet dorianne", mais je suis trés en retard, maman va encore se facher et me taper, j'ai un peu peur mais je vais passer par le square ,c'est un bon raccourci

Barbara se fait violer. Pendant que le monstre la pilonnait, la poupée lui montre une superbe femme blonde et lui dit que, si elle l'écoute , ce sera elle bientôt . Elle arrive enfin chez elle, ne comprend pas pourquoi pourtquoi elle saigne ni d'où vienne ses traces d'herbe et de terre. Elle s'occupe de sa maman qui est devenu aveugle.
Le lendemain, au salon, sa patronne décide de l'appeler Barbie

Barbara va essayer de fonder un foyer mais barbie se prostitue et n'offre pas que du plaisir aux hommes !

Magistrale démonstration des possibles conséquences d'une enfance sans amour, mise en place d'une schizophrénie bien analysée, la psychopathie est plus confuse mais se comprend fort bien

Le flic , lui est caricatural; Clint Eastwood "dirty harry" avec une jambe en moins (suite à un accident de voiture où sa femme a péri).il enquete sur des hommes que l'on retrouve énuclées

Drôle de bouquin: l'impression que cela donne est que l'auteure s'est intéréssee uniquement à la dégradation mentale de son héroine
le reste n'a pour elle pas beaucoup d'intéret: style plat, dialogue "neu neu" et intrigue et suspens quasi inexistant

Pourtant Desjours réussit son pari : cette folie partout présente dérange le lecteur, elle est crédible et fait partie de notre réalité

Je n'ai pu m'empecher, en lisant ce livre de penser au jeune copilote allemand qui se suicide en amenant dans la mort 350 personnes,
ni au directeur d'école qui organise la semaine du gout pour se faire sucer par des gamins de 6 ans

Je n'ai pas donc pas aimé ce livre mais l'auteure a réussi son pari: son histoire m'a troublé et j'ai trés mal dormi
Ainsi, je m'incline: 3 étoiles



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Barbara jeune fille de vingt-quatre ans aux vêtements gris et à la mine grise vient de recevoir son diplôme d'esthéticienne. Elle vient de trouver un travail dans un centre de beauté .Accompagnée de deux autres esthéticiennes, Barbara fait plutôt les massages .Les clients aiment son sérieux et son professionnalisme .Un soir elle se dépêche de finir son travail ,elle doit aller chercher sa poupée en porcelaine avant que le magasin ne ferme .Oui notre Barbara adore ses poupée au doux visage de cire .En rentrant chez elle ce soir là ,pour gagner du temps elle passe par le parc ,c'est un raccourci. Tout en marchant elle sent une présence dans son dos et voulant se retourner, hélas trop tard , notre Barbara se fait violer et maltraiter. Pour supporter ses horribles douleurs ,elle fixe cette jolie poupée et commence à parler avec elle . Notre Barbara vient de tomber dans une double personnalité. Elle rentre chez elle mais ne dira rien à sa mère qui vit avec elle et qui est aveugle, mais très méchante vis-à-vis de Barbara, sa mère lui reproche de lui avoir volé son mari (père de Barbara), elle était tombée sur son mari en trains de violer Barbara qui n'avait que neuf ans. Elle mit son mari sur le champ dehors et dès lors tous les reproches vont vers sa fille qui elle n'avait rien fait, mais subissait la violence de son père. MAIS LA VENGEANCE ARRIVE. Notre Barbara a maintenant deux personnalités, la première douce et docile, la deuxième sexy bien habillée qui courtise pas mal d'hommes. Elle se fait appeler Barbie .Mais Barbie est monstrueuse, elle entraîne les hommes pour l'acte sexuel, mais tout en faisant des gâteries elle leur crèvent les yeux puis s'en va sans un mot pour les malheureux qui ne savaient pas à qui ils avaient à faire. le capitaine Marc Percolés qui est chargé de l'enquête, trouve cette fille si belle, si douce, si innocente que lui aussi en tombe amoureux .Tout ça avant de découvrir le vrai carnage qu'elle a fait. Un vrai monstre psychopathe d'une violence pas possible.
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Deux grands blessés : Marc et Barbara. Son traumatisme à lui est tout neuf, une jambe en moins depuis un accident de voiture qui a coûté la vie à sa femme, des cicatrices partout, et une haine phénoménale contre tout et contre tous - contre les femmes en particulier. Son traumatisme à elle est plus ancien, elle a refoulé quelques trucs, mais se souvient que son père la regardait trop et ne se contentait pas de la regarder, d'ailleurs. Elle avait huit ans lorsque sa mère s'en est aperçu, a chassé le père, a jugé sa fille responsable et reporté sa colère sur elle...
Puisqu'on est dans un polar, que Marc est flic aux moeurs et que Barbara fait commerce de ses charmes, on se doute que leurs chemins vont se croiser.

Histoire terrible d'une jeune femme qui ne peut « pas vivre sans bourreau parce qu'elle n'a jamais connu que ça », qui se laisse piétiner jusqu'à ce que... Thriller éprouvant sur les séquelles des maltraitances physiques et morales sur les enfants, sur l'importance du regard et de la confiance des autres pour se construire et s'estimer - ceci sur fond de huis clos délétère mère-fille. Les dialogues sonnent parfois creux, l'intrigue peut sembler excessive et invraisemblable, mais ces petits défauts permettent une mise à distance bienvenue à l'égard de cette affaire aussi sordide que prenante.
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Sa vie dans les yeux d'une poupée est le troisième roman d'Ingrid Desjours que je lis.
J'avais beaucoup aimé les deux premiers, donc j'attendais avec impatience le moment de lire celui-ci.
L'écriture d'Ingrid Desjours est une écriture directe, incisive, dont on ne sort pas indemne au vu du déroulement de cette histoire.
Pas de véritable surprise quand au dénouement de cette histoire, mais ce n'est pas ce qui importe vraiment car l'auteure a vraiment le don de nous emmener très loin dans la tête de ses personnages....et c'est vraiment cela qui donne de la force à ce roman .
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Le roman commence fort, avec une scène à faire mal à tous les coeurs de femmes !!! Barbara, jeune fille, plutôt introvertie, qui décide d'emprunter un raccourci pour arriver plus tôt chez elle et ne pas se faire gronder par sa mère, aveugle... Ruelle sombre, homme dégueulasse, moustachu, qui scellera le destin de Barbara. Viol. Dissociation. Barbara ne sera plus jamais la même... Et puis, il y a ce capitaine de police, Marc, qui joue à la roulette russe, après avoir perdu sa femme et sa jambe dans un terrible accident d'auto. Ils se croiseront. Deux écorchés de la vie. Une enquête sur des scènes sordides : Barbie, prostituée, crève les yeux de ses clients... Et si Barbie était Barbara... Marc se lance de toute son âme dans la recherche de vérité... Pour découvrir une histoire de vie troublante, folle... le sujet de la folie est très bien traité par Desjours. J'ai adoré les dernières pages... où toute la lumière se fait sur une vie si sombre... Une très bonne lecture !
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Un thriller psychologique dans lequel les chapitres parlent en parfaite alternance de « deux bras cassés » par la vie.
Barbara qui, violée sur le chemin de retour pour rentrer chez sa mère autoritaire, va faire naître, par le choc subi, son double maléfique et... le Capitaine Percolès qui a perdu sa femme et un grand part de lui-même dans un accident de voiture...
Un livre qui décrit la folie psychotique, une enfance brisée, l'étouffement au sein de la famille, la soif d'amour et de reconnaissance, l'avilissement de l'image de soi... et qui font passer Barbara du mauvais côté de la barrière.
Mais ce sont presque les mêmes éléments qui sont à l'origine des pulsions autodestructrices du flic qui joue, chaque semaine, sa vie a la roulette russe.

Or, dans cette histoire basée sur la psychologie (trop) poussée, j'avais l'impression que l'intrigue était parfois oublié ou relégué à l'arrière-plan. Je m'en suis finalement lassée. La fin, qui était effectivement celle à laquelle je m'attendais, était donc également sans surprise. Je reste sur une lecture en demi-teinte.
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C'est avec grande surprise et appréhension que je débute ma lecture. Ni une ni deux, je me dis "mais qu'est ce que c'est que cette histoire ?" face à une scène très crue, difficile à digérer au premier abord. Et là j'ai compris que j'allais en avoir pour mon compte sur cette crudité à la limite du supportable.
Effectivement tout du long j'ai tout pris en pleine figure, splash ! On n'a même pas le temps de lever les yeux du récit qu'on a envie de se replonger dedans ! Et ça c'est toute la force du style de l'auteur qui sait comment nous tenir en haleine. Comme une corde attaché autour de notre cou qu'elle tire au fil de l'histoire jusqu'à la fin. Et là on se dit que sans ce "tranchant" , ce "glauque" et ce mordant", l'impact n'aurait pas été le même sur le lecteur et l'impression qu'elle voulait au final faire dégager de ce livre.

Ces deux écorchés de la vie en pleine souffrance que sont les protagonistes, nous confrontent à la pire déchéance humaine, aux pires aspects de la folie !
Toute la profondeur du néant dans lequel ils plongent nous entraînent aux confins de l'abîme !
On ne ressort pas indemne de cette lecture, elle nous marque à jamais !
Ce premier bouquin de cet auteur restera gravé !
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J'ai découvert Ingrid Des jours après aroir lu Kaleb. En effet, cette trilogie m'a tellement plus que j'ai cherché à tout prix à savoir qui se cachait derrière Myra Eljundir.
Finalement, le secret a été récemment levé et je me suis précipitée sur le premier roman d'Ingrid Desjours qui n'est tombé sous la main : sa vie dans les yeux d'une poupée.
Le style est cru, assez surprenant venant d'une femme (quoi ? un apriori !) mais très entrainant. L'auteur maitrise parfaitement la technique du thriller et nous entraine irrémédiablement dans sa ronde macabre.
Les personnages sont attachants et, malgré les horreurs perpétrées par Barbara, je n'ai jamais pu la détester.
Ce que je peux reprocher à ce roman, c'est son côté parfois trop prévisible. Cela ne m'empêchera pas de lire au moins un de ses autres lives dans l'espoir d'être aussi étonnée, voire déroutée, que dans Kaleb
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Définition de l'expression "Madame Michu" "commère, ménagère, femme grossière, du peuple."







le soleil brille, j'ai repris mes balades en vélo, la forme revient peu à peu, et, comment dire ça tout en restant polie: il vaut mieux ne pas me chercher en ce moment, car mes neurones réagissent au quart de tour. Je suis une fille gentille, mais je défends une certaine idée de la littérature, autant dans mon activité bloguesque que dans ma pratique professionnelle.

J'ai hésité sur la rubrique dans laquelle classer cet article: j'ai pensé en créer une nouvelle, "coups de pieds au c... qui se perdent", mais finalement, non, je vais choisir "littérature", puisque l'auteure en question prétend en écrire.

Je ne donnerai pas son nom, cela lui ferait trop de publicité, quand tant d'excellents écrivains ne bénéficient malheureusement pas des méthodes marketing véreuses d'une maison d'édition qui ne mérite pas davantage d'être citée. Ceux qui suivaient mon ancien blogue la reconnaîtront sans doute , les autres s'en feront donc une idée totalement objective, à l'aune des déclarations de la dame sur les lecteurs qui lui font l'affront de ne pas apprécier sa prose (médiocre, mais ce n'est que mon avis Michudien)

Mais là n'est pas la question,car, pour être juste, certains blogueurs apprécient son "oeuvre". Ma foi, chacun ses goûts. Je respecte ses lecteurs, et le plaisir ou la joie qu'ils prennent à leur lecture. Mon beau-frère adore Marc Lévy, j'adore mon beau-frère, et je ne l'ai jamais traité de Monsieur Ducon. le problème, justement, c'est que l'auteure elle-même ne reconnaît pas aux lecteurs la légitimité de leur goûts, comme elle vient de le prouver, dans une entrevue récemment publiée (sur un site non officiel, car depuis sa sortie son livre est totalement ignoré de la critique professionnelle, allez savoir pourquoi...)

Voilà donc la question qui lui est posée, et sa réponse:




Lorsqu'on vous lit, on découvre un auteur assez cash, qui n'as pas peur des mots crus ou des situations très gore. Vous n'avez jamais eu peur de restreindre votre lectorat en faisant ce choix. Car tout le monde ne peux pas forcément supporter des scènes parfois vraiment très dures psychologiquement.


Et si ces scènes un peu dures ne sont le fruit d'aucune démarche (je ne cherche pas à intellectualiser mon écriture, je partage un ressenti, tout simplement) je refuse encore plus d'avoir celle de me censurer, d'arrondir les angles et de mettre trop de vernis pour ne pas déplaire à la majorité, voire lui plaire. Je ne suis pas une "faiseuse" et je pense que les concessions, quand il s'agit de créer, c'est ni plus ni moins de la compromission. Et ça, je ne peux pas. Peut-être ai-je un ego démesuré, mais je refuse de baisser ma culotte et de rogner mes mots, de renier ce que je pense. Vous savez, écrire c'est jouir d'une liberté formidable, on peut en effet aller très loin, plus que dans un film où l'image peut être un frein. Alors je n'ai pas envie de renoncer à cette liberté, ça me donnerait d'ailleurs l'impression de trahir mes lecteurs, de les prendre pour des cons si d'un coup je me mettais à écrire de façon plus sucrée. Et puis, si je ne plais pas à Mme Michu parce que je la choque trop eh bien tant pis pour elle et même tant mieux pour moi !



Passons sur le fait que certains seraient "choqués" par son roman, qui n'a absolument rien de choquant , et qui fait même sourire tant les situations sont naïves et caricaturales. Une mi-vierge mi-pute (Barbara Barbie, oui, c'est hilarant), un flic manchot (si si) mais pas si macho (ben tiens!), une mère abusive (fallait y penser), un jules maquereau qui s'appelle Raoul(ben...oui.), une poupée qui parle (euh...si) des discours pseudo sociologiques dignes d'un devoir de philo de terminale, et, pour couronner le tout, un incipit et un exipit si racoleurs qu'on se croirait dans un 50 nuances de grey version "bouh, je vais vous faire peur!!". Peut-être une gamine de dix ans pourrait se trouver incommodée, et encore...

Passons encore sur le langage soit-disant "cru"... Là encore, rien de cru (lisez le dernier roman de del Amo, Pornographia, que j'ai adoré, et vous comprendrez ce qu'est une littérature "crue et choquante" ) Ce n'est pas parce qu'on écrit "putain de merde" à chaque coin de page qu'on choque le bon peuple. Et ce n'est pas parce qu'on écrit du thriller qu'on doit se dispenser de savoir écrire...tout court.

Alors, quand cette auteure, qui , au bout de trois romans déjà, ne jouit d'aucune reconnaissance, ni officielle, ni populaire (son livre se vend mal malgré une campagne de pub digne d'un Marc Lévy en jupons, et également malgré des amis dans certaines sphères médiatico-télévisuelles qui considèrent la littérature comme un produit, et non comme un art, et qui font des "chroniques littéraires" comme d'autres déroulent du PQ), quand cette auteure, donc, qui, en d'autres circonstances, avait déjà fait preuve d'un manque total d'humilité, traite avec autant de morgue et de mépris les lecteurs qui osent ne pas apprécier son roman, moi, Madame Michu, au nom de toutes les Michu de ce bas-monde, je dis, dans le plus grand calme, et dans la plus grande sérénité, que le respect vis-à-vis du lecteur, c'est un peu comme le sourire du commerçant: obligatoire, et la moindre des choses.

Quelle que soit la valeur de l'oeuvre, cette déclaration, hautaine, profondément méprisante, et bête comme la pluie, ne peut que desservir la littérature et ceux qui, comme moi, l'aiment et la défendent.





Pour conclure, restons dans l'élégance et la finesse (pour se faire comprendre de l'autochtone, il faut bien employer son langage):





"Tu sais ce qu'elle te dit, Madame Michu?"





à bon entendeur...







nb: depuis la publication de l'article, je reçois des courriels regrettant que je ne cite pas l'auteure... Je le ferai sans problème, mais en privé. Merci de votre compréhension.

nb2: suite à un mail insultant de trop, dont l'origine ne fait pas de doute, voici les références: Ingrid Desjours, Sa vie dans les yeux d'une poupée.








Lien : http://culturelles.eklablog...
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