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4,2

sur 4706 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
que dire sur ce roman sans le descendre... car j'aime pas descendre les livres et leurs auteurs...

si vous êtes nostalgique d'Harry Quebert, lisez ce livre,
si vous adorez les flashbacks en veux-tu en voilà, lisez ce livre
si vous aimez les style qui ne sont pas du tout mais alors pas du tout prise de tête lisez ce livre
si vous voulez un roman où tous les personnages ont leurs petits secrets et où comme le disait Dr House "tout le monde ment", lisez ce livre
si vous aimez les métalectures ( le romancien qui parle de lui à travers son livre) lisez ce livre
si vous aimez les romans qui mettent plus de 120 pages à faire décoller leur intrigue, lisez ce livre
si vous aimez les héros mais que les personnages secondaires vous importent peu, lisez ce livre.
si vous voulez dire que vous avez lu le dernier Dicker, lisez ce livre,
si vous voulez soutenir un auteur qui s'autoédite ou a créé sa maison pour, lisez ce livre ( bon sinon je peux vous conseiller de vrais bons auteurs autoédités).

pour résumer je suis allée au bout de ma lecture car je le lisais pour le travail et car je l'ai survolé, en ne m'arrêtant que sur les passages qui faisaient avancer l'intrigue - bon du coup il se lit très vite comme ça et l'intrigue est presque intéressante.


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Joël, Joël, Joël... Va falloir se quitter. Ton dernier roman a eu raison de mon reste d'empathie et de patience. Notre rencontre il y a plusieurs années fut prometteuse mais faut croire que le train-train d'une écriture et donc lecture sans entrain(train) a eu raison de nous. Je ne me retournerai pas sur le quai de ma PAL.
Adieu et prends soin de toi! (et de tes comptes en banque?)

Je n'ai pas vraiment envie de tirer sur l'ambulance mais... bordel!!! Que d'incohérences dans ce roman. Y'a quand même une accumulation de baltringues parmi les flics, les témoins, et les morts en cours et à venir! Alors bien sûr les excuses à la noix pour ne pas avoir dit telle ou telle chose à l'époque, d'avoir menti, d'avoir oublié, d'avoir bâclé l'enquête (et j'en passe!) l'auteur en a plein sa musette. Ca fait beaucoup trop de couleuvres à avaler sans finir par avoir la nausée.

Le plus décevant pour moi étant de jouer sur la nostalgie du roman La Vérité sur Harry Quebert (et dans une moindre mesure sur le livre des Baltimore) pour tenter d'amadouer le chaland. du drama dans du drama au point de rendre pathétique cette tentative d'"acheter" le lecteur en voulant surfer sur le succès de ces deux précédents romans. Succès, qui par ailleurs est largement mérité, il faut le reconnaitre et je vous encourage d'ailleurs à les lire si ce n'était pas fait. Mais c'est pas la peine d'en faire des caisses! Les chevilles ne doivent plus rentrer dans les Lacoste, ni les Rolex autour des poignets.
Depuis ces deux romans l'auteur s'endort sur ses billets et tombe dans une écriture fouillie pour faire des romans de six cents pages qui seraient bien plus attractifs s'il se concentrait sur l'essentiel en évitant les digressions et l'auto-flatterie.

L'Affaire Alaska Sanders est le roman goutte d'eau qui a fait déborder mon vase.
On signe où les papiers du divorce Monsieur Dicker?
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Bof, on fait du neuf avec du vieux...en rappelant qu'on n'est pas n'importe qui. le tout dans un style qui reste au niveau du roman de gare, qui a son public, mais je n'en fais pas partie. le style simplet qu'on avait pardonné dans la première histoire Québert ne passe plus maintenant. Les prix reçus y sont pour beaucoup car tout à coup, comme par miracle, on voudrait que la plume de Dicker (qui semble si charmant sur les photos) soit au niveau des grands. Et on se rend compte que c'est impossible bien sûr. D'où ma déception. Pas tout lu.
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Les romans de Joël Dicker sont de plus en plus décevants...

Déjà, l'énigme de la chambre 622 avait été une plaie à terminer...

Celui-ci malheureusement n'échappe pas à la règle...

Des rebondissements et une fin que je ne dévoilerai pas invraisemblables...

Dommage pour un auteur qui s'avérait si prometteur...





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Cet auteur est un mystère. Un premier (en fait le deuxième) roman prometteur (La vérité sur l'affaire Harry Quebert), le suivant qui se tenait encore (le livre des Baltimore), puis une vertigineuse descente aux enfers jusqu'à toucher le fond avec « l'énigme de la chambre 622 », intrigue aussi invraisemblable que plombée et sans intérêt.

« L'affaire Alaska Sanders » relève légèrement le niveau, mais on a la triste impression que la flamme est éteinte. Une (re)mise en scène pénible et inutile de quelques personnages de « l'affaire Harry Quebert », comme si l'auteur ne s'était pas encore remis de ce succès et qu'il en avait la nostalgie, pour développer une énigme autour d'un assassinat qui s'avérera être un cold case appelant à une révision des faits 11 ans plus tard. Etrange nombrilisme de la part de l'auteur qui donne l'impression de se croire au centre du monde, et pas seulement du monde littéraire ! Fidèle à sa méthode, Dicker enchaîne les rebondissements, plus ou moins vraisemblables, mais ceux-ci finissent par laisser le lecteur incrédule et le lasser. Dans le monde Dicker, tout le monde ment, la vérité n'étant souvent que relative et transitoire, d'où les rebondissements ainsi orchestrés. Les ficelles sont trop grosses et trop apparentes, les sinuosités artificielles donnant l'impression d'une entreprise de tirage à la ligne. Sans ces artifices, l'intrigue des romans de Dicker se résumerait en cinq lignes et se révèlerait d'une grand pauvreté. le style est médiocre (une véritable édition de l'ouvrage aurait été indispensable), ce qui était (peut-être) le cas dès les premiers romans, sans que l'on y prête à ce moment attention, trop pris que l'on était par l'intrigue. Les caractères des personnages sont peu fouillés et très superficiels. En bref, une véritable déception, pour moi la dernière avec cet auteur.
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le premier tiers est addictif puis ça retombe on lit encore un peu en espérant que ça reparte et puis tout se ramolli tant et si bien qu'on laisse tomber ça comme un cake mal cuit. voilà. très déçue car j'avais adoré l'affaire Harry keber. je laisse tomber cet auteur. tant pis
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pfff.
Que ce fut long.
Il y a déjà la première partie du livre, sur les peines de coeur de Marcus. Déjà que je ne trouvais pas ça passionnant, mais une fois arrivée à la fin de l'écoute je me suis demandée ce que cela venait faire dans l'histoire.
Ensuite, il y a ces allers et retour en permanence dans toutes les époques et avec tous les personnages.... je trouve ça usant.
Et aussi les références permanentes à deux autres histoires que j'ai totalement oublié tellement elles étaient aussi passionnantes que celle ci ! Donc ça m'a un peu agacée de ne pas (plus) savoir ce qui était arrivé aux fameux cousins. Mais en même temps, c'est absolument sans intérêt pour suivre ce roman. Et j'avais oublié "les détails inutiles". 17heures d'écoute.... et pour être honnête, il y a plus d'une fois où je n'écoutais plus justement.
Et si enfin je me concentre sur le coeur de l'histoire (qui ne doit pas encombrer plus de 25% du livre : je n'y crois pas, ce n'est pas crédible, ça ne tient pas debout.
Ca aura rempli de son l'habitacle de ma voiture pendant quelques jours
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L'affaire Alaska Senders ...

Avril 1999, une belle jeune fille, un meurtre, une enquête bâclée...11 ans plus tard, une lettre anonyme envoyée au sergent Gahalowood fait rouvrir le dossier et clôture l'affaire grâce à l'aide précieuse de son ami, le talentueux Marcus Goldman, (écrivain célèbre, connu dans le monde entier en panne d'inspiration qui va miraculeusement écrire un nouveau bestseller "l'affaire Alaska Senders") .. ça me rappel vaguement un autre roman de l'auteur 🤔

J'ai tout de même été embarquée par l'intrigue et j'ai apprécié retrouver les deux protagonistes de HQ malgré quelques longueur et beaucoup de trop de répétions...

- N'est-ce pas l'écrivain ?
-Je vous le fait pas dire Sergent !

J'ai donc souvent lu en diagonal...Le roman aurait pu être bien plus court et à contrario la fin est bien trop expéditive.

Je vous rassure si vous ne vous souvenez pas des précédents livres inutiles de les relire, l'auteur en parle sans arrêts entre deux indices ...

Comme dans la chambre 622 où l'écrivain se met en scène, Marcus Goldman n'est autre que le fruit de sa mégalomanie...ce que j'ai moyennement apprécié encore une fois.

J'avais clairement adoré, jusqu'au coup de coeur deux de ces premiers romans mais j'aime de moins en moins ces histoires....

Pour vous dire, si on ne me l'avait pas prêter, j'aurais demandé remboursement !

J'ai de plus en plus de mal à comprendre l'engouement pour ces livres .. dommage vraiment il était si bien parti !
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Joël Dicker n'a aucun talent d'écriture et pire encore il commet des erreurs de concordance des temps et des erreurs d'emploi des expressions usuelles.
Il est incapable de décrire un paysage, un personnage ou quoi que soit d'autre autrement que par un adjectif souvent banal ou inapproprié.
Ses dialogues sont indigents et démontrent qu'il ne maîtrise même pas les niveaux de discours élémentaires.
La plus grande énigme reste son obtention de prix prestigieux et notamment celui de l'académie Française pour « L'affaire Harry Quebert ». En creusant un peu on découvre que son vieil éditeur (probablement subjugué par son jeune protégé) lui a fait profiter de ses relations de l'académie Française. Sa popularité s'est développée sur cette base d'autant qu'il s'y greffe des enjeux économiques. Beaucoup de lecteurs ne s'attachant qu'à une intrigue qui ne s'encombre jamais de vraisemblance d'aucune sorte et notamment psychologique sont enthousiastes. Dicker écrit en effet ses romans au fil de l'eau sans en connaître lui-même la fin et en s'ingéniant à reconstruire une nouvelle histoire dès qu'il est arrivé à une fin plausible pour remettre en cause l'intuition du lecteur et plus encore produire un roman long voire très long. Ses personnages ne sont que des marionnettes dont le profil psychologique est à la merci d'un dialogue ou d'un changement d'orientation de l'intrigue.
Dicker dispose d'un réseau de protecteurs qui lui assure même un relais dans des émissions dont on aurait pu espérer de l'objectivité.

Les interviews de Dicker se placent toujours à un niveau d'analyse trop philosophique et global pour qu'apparaisse la pauvreté de sa littérature. Aucun journaliste ne prendrait le risque de décortiquer son style par le détail sur un extrait.

Un examen un peu critique des premières lignes du roman en question ici permet pourtant de bien se rendre compte de l'indigence du style.
Le texte est l'original truffé de quelques remarques entre crochets mettant en évidence les critiques qui peuvent être faites.

Il était 7 heures du matin. Elle courait, seule, le long de la route 21, dans un paysage verdoyant [description simplette]. Sa musique dans les oreilles, elle avançait à un très bon rythme [expression creuse]. Ses foulées étaient rapides[platitude 1], sa respiration maîtrisée [platitude 2] : dans deux semaines, elle prendrait le départ du marathon de Boston. Elle était prête.
Elle eut le sentiment que c'était un jour parfait [parfait parce que le soleil irradiait…?] : le soleil levant irradiait les champs de fleurs sauvages, derrière lesquels se dressait l'immense forêt de White Mountain [la forêt se dresse tiens ?].
Elle arriva bientôt à la station-service de Lewis Jacob, à sept kilomètres exactement [pourquoi exactement ?] de chez elle. Elle n'avait initialement pas prévu d'aller plus loin [lourd], pourtant elle décida de pousser encore un peu l'effort [original comme expression !]. Elle dépassa la station-service et continua jusqu'à l'intersection de Grey Beach. Elle bifurqua alors sur la route en terre que les estivants prenaient d'assaut [cliché] lors des journées trop chaudes. Elle [« Elle » c'est la route maintenant ] menait à un parking d'où partait un sentier pédestre qui s'enfonçait dans la forêt de White Mountain jusqu'à une grande plage de galets au bord du lac Skotam. En traversant le parking de Grey Beach, elle vit, sans y prêter attention, une décapotable bleue aux plaques du Massachusetts [décapotable bleue du Massachusetts sans y prêter attention ?]. Elle s'engagea sur le chemin et se dirigea vers la plage [le chemin mène à la plage en même temps].
Elle arrivait à la lisière des arbres,[de la forêt plutôt !] lorsqu'elle aperçut, [virgule inappropriée] sur la grève, une silhouette qui la fit s'arrêter net [pourquoi ?]. Il lui fallut quelques secondes pour se rendre compte de ce qui était en train de se passer [lourd ! Et que se passe-t-il réellement ?]. Elle fut tétanisée par l'effroi [Elle ne pouvait donc plus bouger alors]. Il [qui est ce « il » ?] ne l'avait pas vue. Surtout, ne pas faire de bruit, ne pas révéler sa présence : s'il la voyait, il s'en prendrait forcément à elle aussi. Elle se cacha derrière un tronc.
L'adrénaline [n'était elle pas tétanisée et d'où lui vient cette adrénaline ?] lui redonna la force de ramper discrètement sur le sentier, puis, lorsqu'elle s'estima hors de danger [Elle serait donc redevenue très calme tout d'un coup ?], elle prit ses jambes à son cou [cliché]. Elle courut comme elle n'avait jamais couru [cliché]. Elle était volontairement [le « volontairement » est de trop. Si c'était involontaire on aurait dit qu'elle l'avait oublié.] partie sans son téléphone portable. Comme elle s'en voulait à présent ! [enfantin ou destiné aux enfants]
Elle rejoignit la route 21. Elle espérait qu'une voiture passerait : mais rien [Elle a attendu alors ? Combien de temps ?]. Elle se sentait seule au monde [cliché ridicule]. Elle piqua alors un sprint [peu élégant ] jusqu'à la station-service de Lewis Jacob. Elle y trouverait de l'aide. Quand elle y arriva enfin[pourquoi « enfin » ? Rien n'indique que ce fut long], hors d'haleine, elle trouva porte close. Mais voyant le pompiste à l'intérieur elle tambourina jusqu'à ce qu'il lui ouvre. Elle se jeta sur lui en s'écriant :
« Appelez la police ! Appelez la police ! »

Si j'étais correcteur du brevet élémentaire mon appréciation serait la suivante :
On sent la bonne volonté pour créer du suspense, mais le style est maladroit et doit être complètement revu et débarrassé en particulier d'un certain nombre de clichés.
Attention à l'utilisation d'un pronom dont le nom référent n'apparaît jamais.
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Trop de fausses pistes, trop de retours en arrière, trop de rebondissements, trop de longueurs mais aussi et surtout trop d'invraisemblances ont achevé de me perdre dans cette lecture. Moi qui me réjouissais de retrouver Marcus Goldman, le personnage principal de l'excellent roman La vérité sur l'affaire Harry Quebert, j'ai été très déçue. Mon enthousiasme s'est rapidement émoussé pour se transformer en un ennui profondément tenace. J'ai eu souvent envie d'abandonner mais j'espérais toujours un regain d'intérêt qui ne s'est manifesté, bien au contraire. Il me semble avoir lu que Joël Dicker travaillait sans plan de départ, il faudra sans aucun doute qu'il revoit sa copie pour continuer à me compter parmi ses lecteurs.
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