C'est un des rares livres ou hélas je n'ai pas du tout accroché.
Les histoires qui sont narrées pour moi sont très négatives et m'ont mis mal alaise.
Nous vivions une période de crise de sanitaire qui dure depuis bientôt un an quand je lis ce livre.
Il y a de la recherche c'est indéniable dans le style.
Les chutes sont pour moi pas assez positive.
Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre.
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Un recueil de nouvelles écrit avec un style extrêmement bien travaillé. Certaines nouvelles m'ont tenues en haleine et captivées, amenant une réflexion sur le sens de la vie, et la place de nos actes ainsi que leurs conséquences. Mais pour d'autres je suis complètement passée à côté... peut-être un peu trop fantastique dans le style, et trop oppressant.
En bref, ça se lit bien, ça se lit vite, mais je n'ai pas trouvé ça incroyable.
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On n'est encore, pour une heure, que le vingt-trois du mois et mon compte navigue déjà à l'orée du rouge. Le frigo a des allures de plaine morte et les provisions du buffet se résument à un paquet de spaghettis entamé et une boîte de thon datant de l'époque où je pouvais m'offrir le luxe de laisser passer une date de péremption.
Pour essayer de me calmer et de tuer le temps, je recours à la bonne vieille méthode qui m'a si souvent sauvé de l'ennui : sortir un livre - j'en ai toujours un dans mon sac.
Je pourrais tisser de nouveaux liens, sauf que quelque chose en moi s'est durci. J'inspire la peur, la répulsion. J'ai désappris à sourire, je ne sais plus plaisanter.
De plus en plus performante, la pétasse, de plus en plus sûre d'elle à mesure que je m'enlise dans le doute et la remise en question.
La mesquinerie, c'est ta marque de fabrique ou ça fait partie de ce qu'on vous apprend dans les hautes écoles ?
Salon du livre romand 2016, table ronde du samedi 19 nov. : La loyauté
Avec Sabine Dormond, Denise Campiche, Anne Bottani, Hélène Dormond, André Ourednik
Modération : Daniel Bernard