Les Rois maudits, tome 3 : Les poisons de la couronne

En gros, Une première trilogie qui, même si les trois premiers chapitres paraissent longs, nous happe dès que l'intrigue est lancée. de là, tout s'enchaîne, se complique, et l'on retient son souffle à chaque page tant l'intrigue est géniale. de plus, on ne peut qu'apprécier chaque ligne, chaque mot de cet auteur à la plume magique, qui nous transporte comme s'il avait inventé la langue française. Sans compter que ce roman historique a une partie de réalisme qui nous apprend énormément de choses sur l'histoire de la royauté française dans les années 1300. Bref, n'hésitez plus, achetez-le, pitié ! Ce livre est un sans-faute et je défie quiconque de lui trouver un défaut autre que... le fait qu'il soit parfait ! :p

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Après les bûchers et les potences, nous passons sur ce tome aux poisons...
Ce livre continue sur la lancée des deux précédents et se boit comme du petit lait.
Les intrigues restent évidement passionnantes et la cour de France nous semble toujours aussi malsaine.
L'auteur sait nous embarquer dans l'univers de notre XIVème siècle sans pour autant nous alourdir de descriptions superflues.
Alors vite! le tome 4....!!!!

Maurice Druon a ce talent pour narrer des faits historiques tout en les romançant qui vous aspire littéralement dans sa saga des Rois Maudits sans que vous vous en rendiez compte. Mêlant habilement la réalité à son imaginaire, il nous entraîne dans ce troisième volume au coeur d'intrigue politique, de complot, de batailles territoriales, de mariages, grossesses, alliance et trahison. Il fait et défait les rois en quelques pages avec une facilité déconcertante et un talent indéniable. Chaque nouveau volume apporte son lot de drames et de bonheur. Un réel plaisir pour mes yeux de lectrice que ce texte d'une fluidité et d'une beauté narrative exemplaire.

Vous l'aurez compris j'ai adoré Les Rois Maudits 3 – Les poisons de la couronne et je ne peux que recommander cette saga à tous ceux qui, comme moi, aiment l'Histoire.
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Raconter l'histoire avec un grand H comme un roman est véritable gageure. On peut y laisser des plumes... ou sa plume.
Druon s'y est employé avec moult réussite. Cette fresque ou les hauts faits sont soutenus par un liant romanesque qui remplit fort bien les vides n'a rien perdu de son charme, de son rythme, de son “suspens“. Point ici de racontage verbeux, poussiereux et sans style. Place au roman et son lot de vils complots, amour courtois, chanson de geste, nobes sires, gentes dames, intrigues retorses. le tout servi dans une langue fort plaisante par sa musicalité d'Antan.

Une série de romans avec de vrais morceaux d"hisoire dedans.

Dans la continuité des 2 premiers livres, ce troisième tome est tout aussi passionnant. Ce tome se concentre sur le règne de Louis le hutin qui est loin de s'élever à la hauteur se ses ancêtres. Les personnages secondaires développe leur histoire principalement celle de Guccio qui est pleine de rebondissements. On a toujours envie de lire les tomes suivants et contrairement à games of thrones cité sur la couverture, on sait que la fin sera passionnante

Troisième tome, assez court. Comme toujours, la langue est belle, soutenue et bizarrement on est presque fier de lire des ouvrages d une telle qualité. Toutefois, j ai un peu moins apprécié ce troisième tome... Pourquoi ? Je ne sais pas trop : moins de tension, moins de violence, moins de suspens ? Je me dis que c était peut etre un tome de transition... Car je n abandonnerai pas une aussi belle saga pour un tres léger essoufflement.

Toujours un réel plaisir à poursuivre "Les Rois maudits" avec ce troisième volume.
Le bref règne de Louis X le Hutin y est dépeint comme le règne de l'arbitraire et des humeurs de ce personnage sans envergure, cruel et retord.
La trame de ce volet est multiple: la rivalité exacerbée entre deux clans (Charles de Valois, Robert d'Artois contre Mahaut d'Artois et Philippe Comte de Poitiers), les amours contrariées de Guccio le Lombard jugé indigne d'une jeune Marie de petite noblesse miséreuse, les manoeuvres infructueuses pour élire un pape en Avignon, les troubles en Flandre et en Artois...
Tout est parfaitement imbriqué, dépeint, huilé.
C'est remarquable.

Louis X, immature et colérique rêve de prouesses, rêve de gagner des guerres et de devenir le héros qu'il pense être, le meilleur des rois. Il sera malhabile et incompétent dans son envie de récupérer la Flandre, mais il faut dire qu'il jouera de malchance aussi. Toute une épopée! Clémence deviendra reine et je crois qu'elle aura un souvenir quelque peu chamboulé de ses noces. le roi sera encore moins à ses affaires à l'annonce de sa prochaine paternité et montrera un certain laisser aller dans sa gouvernance face à un peuple qui souffre de famine. En fait, pour lui et pour son entourage, rien ne se passera comme prévu. On commence à apprécier vraiment les personnages pour ce qu'ils sont, des loyaux et gentils jusqu'aux perfides, cruels, ambitieux et méchants. Rien à dire de ce troisième tome qui est à la hauteur des deux premiers. Entre le récit, la plume, le côté roman, l'histoire et la documentation, tout est très bien accompli.

Dans le tome 3 des Rois Maudits-toujours aussi additif-le faible roi Louis X le Hutin, prend une nouvelle femme après la mort sans doute pas naturelle de sa précédente épouse, convaincue d'adultère. La nouvelle reine Clémence, d'une grande bonté, lui donnera un fils, qui naîtra quelque mois après la mort de son père, possiblement empoisonné. Les passions sont encore à l'oeuvre dans ce tome 3. Amour, haine, courage, lâcheté, générosité, cruauté, ruse se déploient sur fond de lutte pour le pouvoir entre le roi et la Haute noblesse qui voit progressivement grandir la place d'une bourgeoisie naissante.
En route pour le tome 4.

Mon avis :

A peine Marguerite de Navarre a-t-elle trépassé que déjà une nouvelle épouse entre en scène. de stratègèmes politiques en secrets d'alcoves, je me régale à parcourir les couloirs de cette Histoire de France si riche en machiavélisme et faux semblants. La reine Clémence m'a beaucoup attendrie, elle a l'air si pure au milieu de toutes machinations. Elle a presque réussi à faire entendre raison à son hutin de mari. Comme je me suis émue pour Guccio et Marie de Cressay et leur petite histoire, noyée dans la grande. Malgré la richesse qu'il lui apporte, sa naissance est un véritable frein à leur bonheur. La comtesse Mahaut d'Artois en revanche, me glace les sangs : rien n'est trop vil à son sens pour faire triompher ses propres intérêts qui pour le moment se trouvent plutôt bien lotis. J'en serais presque à espérer que la roue tourne et qu'elle subisse le revers de ses méfaits.
Je continuerai ma lecture avec beaucoup de plaisir et d'attention. Ce tome est pour le moment mon préféré car je l'ai trouvé particulièrement rythmé et addictif.