"Hans" est né, au début des années 80, de la la collaboration de Duchateau, écrivain, scénariste, et de Rosinsky, dessinateur. Elle a paru, à l'époque, dans les pages de "Tintin" avant de paraître au "Lombard" sous forme d'albums.
C'est une excellente série de science-fiction, injustement un peu méconnue.
Elle a été, à mon avis, poussée dans l'ombre par le succès de "Thorgal" dessiné dans les mêmes temps par Rosinsky.
Mais elle mérite largement d'être redécouverte.
Les habitants de la terre, toutes races confondues, après le grand désastre, sont venus habiter une seule cité, contrôlée par un gouvernement mondial. L'organisation de cette nouvelle humanité est confiée à "Moloch" un ordinateur central surpuissant.
Mais, dehors, vivent des humains qui retournent à de "vieilles habitudes sales et rétrogrades". Ils sont pourchassés sans pitié car ils organisent au sein, même de la cité un trafic d'objets "d'avant" qui sont frappés d'interdiction.
Dans ce deuxième album, qui peut se lire indépendamment, nous retrouvons Hans, allongé dans l'herbe, goûtant un repos bien mérité.
Les souvenirs de sa dernière mission ont été effacés de sa mémoire. Mais soudain le décor s'efface, Hans, allongé dans une cabine futuriste reçoit un appel immédiat, de Valsary, qui le charge d'infiltrer "les extérieurs" et de les détruire.
Et Hans se souvient. Lors de sa précédente mission. Les vigilants ont tué la belle Orchidée, la femme qu'il aime. Il décide donc de voler un translateur et de retourner vers elle dans le passé...
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Ric Hochet Suspense pour la pub